Anthony Bolton, star manager at Fidelity, has hired five external research firms to identify Chinese companies that are overstating their sales growth, the Financial Times reports. The move is an effort to improve the performance of the China Special Situations fund. Since its launch in April 2010, the product has lost 38%. In an interview with the Financial Times, Bolton admits that he underestimated the difficulty of undertaking due diligence on the Chinese small and midcaps he is concentrating on, and that he had had occasions where he bought companies on the basis of 30% growth in sales that never materialised.
En décembre 2009, IPD France a lancé un nouvel outil au service de la transparence et de la lisibilité du marché immobilier français. Cet instrument indépendant a pour vocation de suivre et de mesurer les anticipations des grands investisseurs institutionnels de la scène immobilière française, concernant l'évolution des marchés, à la location comme à l’investissement, ainsi que leurs stratégies d’investissement. Nous avons le plaisir de présenter ici la septième édition de ce Baromètre IPD, en partenariat avec Crédit Foncier Immobilier. Un panel représentatif des plus importantes structures d’investissement présentes en France est réuni trimestriellement. Au cours de ces réunions, les décideurs de ces structures exposent leur vision du marché immobilier pour 2011 et 2012. Croissance française, taux de rendement des actifs immobiliers, loyers faciaux contre revenus nets, mesures d’accompagnement... une vingtaine d’indicateurs est ainsi passée au crible par des acteurs clés du marché immobilier d’aujourd’hui et de demain.
L’assureur italien Generali a décidé de regrouper toutes ses activités de gestion immobilière au sein d’une seule société baptisée Generali Real Estate, a-t-il annoncé vendredi dans un communiqué. « Le conseil d’administration de Generali a approuvé le regroupement des activités de services et de gestion des investissements en immobilier et en infrastructures au sein d’une unique entité de droit italien, Generali Real Estate », a indiqué l’assureur. Cette société, qui sera présidée par le directeur financier de Generali, Raffaele Agrusti, sera opérationnelle à partir du 1er juillet 2012. Elle disposera d’un patrimoine en gestion d’environ 28Mdsd’euros d’actifs appartenant à Generali ou à ses clients. Son objectif à l’horizon 2016 est d’atteindre 36Mds d’actifs sous gestion, ce qui représente un taux de croissance annuel d’environ 6%. Présente dans onze pays, dont l’Italie, la France, l’Allemagne ou les pays d’Europe de l’est, Generali Real Estate emploiera 600 personnes.
Le taux de change euro-dollar est jugé moins pénalisant, les marges bancaires ont tendance à augmenter et les délais de paiements restent tendus mais s’allongent peu. Néanmoins, le solde sur la recherche de financements se dégrade très vivement.
L’industrie de la gestion subit aussi les conséquences de la régulation censée y faire face. Elle est confrontée à « une double peine réglementaire » avec, d’une part, Solvabilité II qui rend difficile l’investissement en action, le private equity ou la gestion alternative et, d’autre part, les nouvelles exigences de liquidité de Bâle III qui conduisent les réseaux bancaires à ré-intermédier l'épargne au détriment de l’assurance-vie et des OPCVM monétaires. Un rapprochement entre la banque d’investissement et la gestion d’actifs pour le développement de nouvelles offres de benchmark qui peuvent constituer une réelle réponse aux questionnements sur la pérennité et le coût de la génération d’alpha. Par ses compétences en gestion quantitative et par son organisation, l’industrie financière française a de réels atouts et peut tenir une place privilégiée dans le développement de nouveaux produits indiciels. Enfin, il faut reconnaître que le financement des retraites va devenir un enjeu essentiel pour de nombreux pays européens. Dans cette perspective, la mise en place de solutions individuelles et collectives de retraite par capitalisation va s’imposer en France. Pour lire l’article complet: cliquez ici
Le Crédit agricole, engagé comme les autres grandes banques françaises dans un plan de réduction de son bilan, a annoncé avoir signé un accord avec la société d’investissement Coller Capital pour la cession de son portefeuille de capital investissement. La banque précise dans un communiqué que cette cession, qui devrait être finalisée dans le courant du premier trimestre 2012, entraînera une réduction de l’ordre de 900 millions d’euros de ses encours pondérés. Une porte-parole n’a pas souhaité fournir de précision sur le montant de la transaction. Cette décision du Crédit agricole SA intervient dans le cadre de l’optimisation de l’allocation de ses fonds propres, explique le groupe, soulignant qu’il restera présent dans le financement des petites et moyennes entreprises via ses caisses régionales. Le Crédit agricole a prévenu mercredi que ses comptes 2011 seront dans le rouge en raison de lourdes dépréciations de 2,5 milliards d’euros. Il a également entrepris une réorganisation de ses activités de banque de financement et d’investissement (BFI) qui se traduira par la fermeture de 21 implantations dans le monde et la suppression de 1.750 postes.
Alors que le marché affiche une tendance baissière, la Carac, première mutuelle d'épargne, annonce pour 2011 des taux de rendement nets de ses garanties d’assurance-vie en euros identiques à ceux de 2010 : Entraid'ÉpargneCarac : 4 % Compte Épargne Carac : 3,90 % Compte Épargne Famille : 3,90 % Carac Profiléo (support Sécurité libellé en euros) : 3,90 % Les rendements distribués aux adhérents de la Carac sont le reflet d’une activité de développement dynamique et d’une gestion financière rigoureuse. Sécurité et prudence sont, en effet, les maîtres mots de la politique de gestion de la Carac garantissant ainsi sa solidité financière et les intérêts de ses adhérents sur le long terme. Ainsi, les réserves de la provision pour participation aux excédents n’ont pas été entamées pour servir les bonifications 2011. Jacques Goujat, président de la Carac : « Les bonifications sont accordées par la Carac sans aucun artifice. Elles sont les conséquences d’une gestion rigoureuse et performante. Elle est aussi citoyenne car malgré le chant de certaines sirènes qui ont convaincu bon nombre d’organismes financiers d’expatrier leurs engagements, nous avons volontairement choisi d’investir dans l'économie française». La Carac, toujours confiante en l'épargne solidaire En servant un taux de rendement net de 4 % à sa garantie d’assurance-vie solidaire Entraid'ÉpargneCarac, la Carac confirme sa volonté de faire rimer rentabilité avec solidarité. Transparent, sûr et performant, Entraid'Épargne Carac permet de reverser 1 % de chaque versement à l’une des quatre associations partenaires de la Carac (Association des Paralysés de France, Arc-En-Ciel, Mécénat Chirurgie Cardiaque et Solidarités Nouvelles face au Chômage). Le don réalisé bénéficie d’une fiscalité avantageuse avec une réduction d’impôts pouvant aller jusqu'à 75 %.
Mercer lance une lettre ouverte trimestrielle Mercer Investir pour les investisseurs institutionnels. Dans cette nouvelle publication seront abordés, à un rythme trimestriel, différents sujets de stratégie d’investissement. Ce second numéro traite des principaux actifs réels: les matières premières, l’immobilier et les infrastructures.
D’une manière générale, l’AMF a constaté cette année des améliorations s’agissant de la transparence de l’information donnée. En matière de rémunération des dirigeants, on note en particulier des progrès concernant l’information portant sur le cumul du contrat de travail et le mandat social et sur les conditions et modalités de versement des indemnités de départ. S’agissant du gouvernement d’entreprise, on peut notamment relever le taux élevé de sociétés qui ont expliqué les changements de structure de gouvernance qu’elles ont mis en oeuvre. Malgré ces constats positifs, des améliorations sont attendues soit de la part de certains émetteurs, soit de manière plus générale. Pour ces différentes raisons, l’AMF invite les émetteurs à poursuivre l’application des recommandations formulées et réitérées dans ses rapports annuels sur la gouvernance, la rémunération des dirigeants et le contrôle interne. Ainsi, l’AMF recommande notamment que les sociétés communiquent de manière précise, dans leur document de référence ou dans leur rapport annuel, toute l’information sur l’application des recommandations du code de gouvernement d’entreprise auquel elles se réfèrent. Lorsqu’une recommandation du code est écartée, l’AMF recommande de fournir des explications suffisamment circonstanciées et adaptées à la situation particulière de la société par exemple, lorsque l’application de certains critères d’indépendance des administrateurs n’est pas retenue. S’agissant de la transparence des rémunérations des dirigeants, l’AMF recommande notamment qu’un effort particulier soit réalisé sur la présentation des informations relatives à l’obligation de conservation des titres. Pour télécharger le rapport: cliquez ici
La gestion institutionnelle à long terme est de plus en plus impliquée dans les démarches de développement
durable et d'Investissement Socialement Responsable. Avant de faire ses choix, l'investisseur doit avoir présent à l'esprit que ses placements doivent assurer le financement de l'économie réelle et des entreprises et doivent être réalisés avec des prestataires qui ont les mêmes préoccupations.
Michael Fraikin, head of portfolio management at Invesco Global Strategies and CEO of Invesco KAG, says in an interview with the Börsen-Zeitung that German institutional investors have particular needs and expect asset managers to have the expertise of engineers.Christian Puschmann, head of institutional activities at Invesco Asset Management Germany, says the special quality of German institutional clients begins with their expectations on the level of service: they expect to be assisted by German interlocutors and investment professionals, though nationality is unimportant to clients in other countries. That’s the reason that Invesco has not settled for a distribution team in Germany, but has also set up part of its fund management team there.
Prince Max of Liechtenstein, CEO of LGT Group, has defended multi-management in an interview with Asian Investor. There have been outflows from multi-management funds, the prince admits, “but we are convinced that multi-management funds are the best approach in terms of diversification of risks,” he says. However, the head continues, in order to carry out such a strategy, experience and specialists on location are needed. “You need to have partners in New York to understand the funds based there, and in China you need to have people that speak Mandarin in order to understand some of the strategies used by hedge funds specialised in China.” In passive management, the CEO claims that ETFs “may be useful for short-term trading strategies. But what they can’t do, and precisely what we offer, is to provide due diligence on fund managers. We are able to identify active managers and generate long-term value, but the trouble is that the mentality of many asset managers is short-term and tactical,” he explains. The group will this year celebrate 25 years of being active in the region, where it has about USD10bn in assets under management.
La Fondation IFRS (International Financial Reporting Standards) a annoncé la nomination de Michel Prada en tant que nouveau président des Fiduciaires de la Fondation. Michel Prada est l’ancien président de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), chargée de la réglementation des marchés des valeurs mobilières en France. Lire le communiqué de presse: cliquez ici