Le gestionnaire de fortune Banque Bénédict Hentsch & Cie SA devient GS Banque SA en adoptant la marque Geneva Swiss Bank. Ce changement intervient suite au départ à la retraite de Bénédict Hentsch et la cession de sa participation à ses plus proches associés."La banque réaffirme ainsi son origine genevoise et son appartenance aux valeurs fondamentales de la place financière suisse. La marque Geneva Swiss Bank renforce également la notoriété des activités de la banque privée de tradition genevoise et suisse auprès d’une clientèle suisse et internationale», a souligné la banque à la veille du week-end.Geneva Swiss Bank souhaite déployer ses activités autour de quatre métiers : la gestion privée, la gestion d’actifs, les activités de négoce et la banque d’investissement.
Malgré la loi du 29 juin 2013 sur le déblocage exceptionnel de 6 mois, les 13 gammes labellisées par les organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT enregistrent en 2013 une progression de 14% avec des encours de 11,893 millions. Cette épargne d’Investissement Socialement Responsable (ISR), plébiscitée par les salariés, représente désormais plus de 20% de l'épargne salariale diversifiée. Avec ces Fonds, les salariés et le CIES veulent peser par une épargne responsable sur les entreprises afin qu’elles développent la prise en compte des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) pour un développement durable favorable à l’emploi et à sa qualité. Orienter dans ce sens, le plus rapidement possible, la majorité de l'épargne salariale est plus que jamais l’ambition du CIES.
Fédéris Gestion d’actifs (FGA), filiale de Malakoff Médéric, groupe de protection sociale, paritaire et mutualiste, à but non lucratif, vient d’adhérer au Forum pour l’Investissement Responsable dans le collège des investisseurs. Elle y sera représentée par Philippe Aurain, Directeur Général Délégué de FGA « L’adhésion au FIR s’inscrit dans le continuité de l’engagement historique du Groupe Malakoff Médéric en faveur de l’Investissement Socialement Responsable (ISR), et pour le développement durable. FGA est déjà très active au sein de la commission ISR de l’Association Française de la Gestion financière (AFG), du Carbon Disclosure Project (CDP) et est, bien sûr, signataires des PRI (Principles for Responsible Investment) adoptés par les Nations Unies. » Déclaration de Grégoire Cousté, Délégué général du FIR : « L’implication des investisseurs institutionnels dans l’ISR ne cesse de croitre depuis quelques années. Ils sont essentiels à son évolution et à la mise en place des meilleures pratiques, notamment en matière d’engagement actionnarial. Le Forum se félicite de voir le groupe Malakoff Médéric le rejoindre afin de participer à la promotion de l’ISR auprès des pouvoirs publics, des épargnants, des salariés mais aussi des chercheurs et des entreprises. »
Coe-Rexecode et l’AFTE publient les principaux résultats de l’enquête mensuelle de février 2014 sur la trésorerie des grandes entreprises. Elle s’est déroulée entre le 5 et le 11 février 2014. Pour saluer la 100e édition de cette enquête, voici quelques éléments positifs qui en ressortent : les trésoriers d’exploitation sont jugés majoritairement aisés, et ce pour la première fois depuis mars 2012, l’influence du prix des matières premières, qui touche 25% des trésoriers interrogés, n’est plus considérée comme pénalisante pour la première fois depuis le début de l’enquête en 2005, de l’avis des trésoriers, les marges bancaires se stabilisent, depuis octobre 2013, de moins en moins de trésoriers ont l’intention de mettre en place de nouvelles lignes de crédit de précaution. Les résultats détaillés sont consultables en cliquant ici
P { margin-bottom: 0.08in; } Bill Gross, the founder of Pimco, has no plans to change styles, and has the blessing of his bosses, the Wall Street Journal reports. In an interview with the newspaper which a few days before published a somewhat less flattering portrait of his firm, he defends the culture of competition at Pimco. He says he is focused on the performance of the firm, and that nobody has expressed concerns related to his behaviour. He says he understands why some emplyoees may perceive him as someone with whom it is difficult to work, but he adds that not everyone thinks that.
Bill Gross, le fondateur de Pimco, n’a pas l’intention de changer de style, et il bénéficie de la bénédiction de ses patrons, rapporte le Wall Street Journal. Dans une interview au journal qui a quelques jours publié un portrait parfois peu flatteur de sa société, il défend la culture de compétition de Pimco. Il affirme être concentré sur la performance de la société et que personne n’a émis d’inquiétudes concernant son comportement. Il indique comprendre pourquoi certains employés peuvent le percevoir comme étant quelqu’un avec lequel il est difficile de travailler, mais il ajoute que tout le monde ne pense pas comme cela.
Bruno Rousset, PDG et fondateur du courtier et assureur lyonnais April, revient dans le cadre d’une longue interview sur les points forts et points faibles du groupe. Des problèmes de management constatés à l’esprit d’initiative et d’innovation souhaité, en passant par les relations avec les assureurs, le PDG répond en exclusivité vidéo aux questions de News Assurances Pro. April a vécu une année 2013 marquée par une baisse de son résultat malgré une hausse de son chiffre d’affaires. Pour Bruno Rousset, PDG et fondateur du courtier, les éléments financiers et une mauvaise gestion des boutiques April expliquent ces résultats décevants. Le président pointe plus particulièrement un problème de management sur le réseau de boutiques d’April. Relais physique du courtier dans son activité aux particuliers et aux entreprises, en parallèle de son activité de courtier grossiste, les boutiques étaient un point essentiel de la stratégie. Reste qu’elles sont une charge importante alors même qu’elles sont moins nombreuses qu’auparavant (192 boutiques actuellement). Le retour de Bruno Rousset au premier plan chez April coïncide également avec une volonté de retrouver un esprit «entrepreneur» au sein du groupe. Un esprit perdu, selon le PDG, ces dernières années et qu’il voit ressurgir dans les entités qui composent le courtier. La capacité d’innovation sera en effet importante, selon lui, ainsi que la réactivité. De réactivité il faudra faire preuve en 2014. La fin des clauses de désignation et l’ouverture du marché de la santé complémentaire obligatoire à 4 millions de salariés attisent les appétits et April ne cache pas ses forces, détaillées dans cette interview par Bruno Rousset. Des forces qui attirent logiquement des institutions de prévoyance, en quête de relais de distribution. Dans ce cadre, des discussions sont d’ores et déjà en cours avec des acteurs. Bruno Rousset revient également sur les relations avec les fournisseurs. En effet, April a besoin d’assureurs et de porteurs de risques pour ses produits, et les relations entre les courtiers grossistes et les fournisseurs se sont dégradées l’an passé. «Nous n’avons aucun problème avec les assureurs» réaffirment le PDG d’April, qui trouve donc les fournisseurs pour ses produits, en allant parfois chercher des réassureurs ou des acteurs étrangers travaillant en France en libre prestation de service. Lire la suite : cliquez ici
Le Conseil d’administration de Sgam la AG2R La Mondiale vient de nommer Michel Huc à sa présidence, en succession de Madame Brigitte Millart, elle-me??me e?lue vice-pre?sidente aux côtés de Jean-François Dutilleul. Michel Huc vient d'être élu président de la Sgam (Société groupes d’assurances mutuelles) AG2R la Mondiale, Brigitte Millart et Jean-Franc?ois Dutilleul ayant été élus vice-présidents à ses côtés. Ancien Secre?taire ge?ne?ral de la Fe?de?ration FO Me?tallurgie, Michel Huc est administrateur d’AG2R Pre?voyance. De son côté, Brigitte Millart est diplo??me?e de l’IEP Paris et de l’Institut europe?en. Elle a e?te? Secre?taire ge?ne?rale de l’Union des Industries papetie??res pour les affaires sociales (Unipas) et occupe actuellement le poste d’administratrice de l’OCIRP, d’AG2R Macif Prévoyance et de l’E?cole industrielle de Rouen (EIR). Elle est e?galement Vice-pre?sidente d’AG2R Pre?voyance, Pre?sidente d’Agire (association regroupant les administrateurs employeurs du Groupe AG2R La Mondiale) et administratrice du Gie AG2R. Enfin, Jean-Franc?ois Dutilleul, Inge?nieur Civil H.E.I. (E?cole des Hautes E?tudes Industrielles de Lille), est pre?sident de la socie?te? Rabot-Dutilleul Travaux Publics SAS. Il est, entre autres, membre e?lu de la Chambre de commerce et d’industrie de Lille Me?tropole, membre du Conseil de la Banque de France (Lille) et du Conseil d’administration du Port de Lille. Il occupe enfin le poste de vice-pre?sident de La Mondiale et administrateur de l’Association sommitale AG2R La Mondiale et d’Agire.
Selon nos informations, Fabien Arcambourque a rejoint, en novembre 2013, le groupe AXA Prévoyance & Patrimoine en tant qu’agent général exclusif. Son agence est spécialisée dans la protection financière des personnes, auprès d’une clientèle de particuliers, de professions libérales, de cadres, de dirigeants et de chefs d’entreprises. Ma méthode de travail consiste à faire un audit social et patrimonial pour connaitre les besoins précis de mes clients. Puis, je recommande des solutions sur mesure sur les sujets de prévoyance, retraite, santé et placements. Je suis mandaté Axa et Agipi indique son profil Linkedin. Fabien Arcambourque a passé plus de 10 ans au sein du groupe Natixis, ou il fut Directeur Adjoint, du département Fund Advisory (Paris & Londres). A ce titre, il a participé au démarrage et développement de ce centre d’expertise en délégation de gestion pour institutionnels : sélection et analyse de fonds y compris pour structuration, toute stratégie et classe d’actif. L'équipe de 6 personnes était rattachée à la salle des marchés de la BFI sur Paris et Londres et proposait du conseil en investissements pour comptes propres bancaires ou passifs d’IP (> 15 Md€) du Groupe Caisse d’Epargne.
P { margin-bottom: 0.08in; }A:link { } The Credit Suisse group on 26 February admitted that its employees had assisted with tax fraud in the United States, according to a document composed for its head, Brady Dougan, to read before the US Senate, AFP reports. Credit Suisse admits that a small group of private bankers based in Switzerland acted inappropriately, the bank says in a statement, adding that the management were unaware of these actions. According to the speech given by Brady on 26 February in a hearing of a Senate investigative committee, the bank launched an internal enquiry as soon as it learned of certain actions with respect to American clients. The enquiry was carried out by US and Swiss law firms, which consulted more than 10 million documents and carried out more than 100 interviews. The enquiry found that a small group of private bankers working at a desk focused on larger accounts held by US residents acted incorrectly. The bank profoundly regrets the actions, the Credit Suisse document says. No evidence that the executive management of the bank were aware of these problems were found by the internal investigation, Credit Suisse notes. The bank says that it has very strict rules which prohibit employees based in Switzerland from prospecting in the United States. Some private bankers have violated these rules, however, the bank writes. The bank concludes by remarking that it takes all questions regarding tax compiance int eh United States very seriously.
Goldman Sachs, Barclays, JPMorgan Chase et Citigroup font partie des 18 maisons de courtage qui ont passé un accord avec le procureur général de New York, Eric Schneiderman, pour cesser de participer aux sondages d’analystes qui semblaient donner à certaines sociétés de gestion un avertissement sur les changements de recommandations sur des valeurs, rapporte le Financial Times. Cet accord, qui intervient moins de deux mois après celui passé avec BlackRock, couvre toute la recherche sur les actions cotées sur les Bourses américaines. Eric Schneiderman a déclaré que le comportement des sociétés, qu’il a qualifié de « délit d’initié 2.0 », avait aidé « une certaine élite, des clients sophistiqués d’un point de vue technologique, aux dépens d’autres ».
Le groupe Credit Suisse a reconnu le 26 février que des employés avaient aidé la fraude fiscale aux Etats-Unis, selon un document publié pour l’audition de son patron Brady Dougan devant le Sénat américain, rapporte l’AFP.Credit Suisse reconnaît qu’un petit groupe de banquiers privés basés en Suisse ont eu un mauvais comportement, indique la banque dans ce document, en ajoutant que la hiérarchie n'était pas au courant de ces agissements.Selon le discours que le patron de la banque Brady Dougan a prononcer le 26 février devant une commission d’enquête du Sénat américain, la banque a lancé une enquête interne dès qu’elle a eu connaissance de certains agissement vis-à-vis de la clientèle américaine.Cette enquête a été menée par des cabinets juridiques américains et suisse, qui ont consulté plus de 10 millions de documents et mené plus de 100 interviews. L’enquête a montré qu’un petit groupe de banquiers privés, travaillant sur un desk centré sur de gros comptes détenus par des résidents américains avait eu un comportement incorrect. La banque regrette profondément ces agissements, indique le document du Credit Suisse.Aucune preuve montrant que la direction exécutive de la banque était au courant de ces problèmes n’a été trouvée par cette enquête interne, a ajouté le Credit Suisse. La banque indique avoir des règlements très stricts qui empêchent des employés basés en Suisse d’aller prospecter aux Etats-Unis. Certains banquiers privés ont cependant violé ces règles, écrit la banque.La banque conclut en indiquant qu’elle prenait très au sérieux toutes les questions relatives à la conformité fiscale aux Etats-Unis.
Eovi MCD Mutuelle n’a pas terminé sa croissance, bien au contraire. La preuve avec son rapprochement avec la mutuelle Myriade dont le protocole d’accord a été signé en janvier dernier. Le dossier sera présenté aux assemblées générales de juin, dans la perspective d’une fusion avec effet rétroactif au 1er janvier. « Cela nous apportera 250 000 personnes protégées de plus et environs 120 millions de chiffre d’affaires, ce qui nous rapproche du milliard, explique Maurice Ronat, président d’Eovi MCD Mutuelle. Nous ajouterons à nos activités de gestion des régimes complémentaire et obligatoire des indépendant la gestion du régime obligatoire des étudiants, car Myriade substitue les mutuelles étudiantes Vittavi. » Eovi MCD Mutuelle a en revanche changé sa politique qui envisageait les rapprochements uniquement dans une logique de fusion. « Aujourd’hui, nous accueillons au sein du groupe des mutuelles avec qui nous avons envie de travailler, mais la fusion n’est pas gravée dans le marbre, précise Maurice Ronat. C’est le cas avec Avenir Mutuelle, issue du rapprochement entre la Mutuelle générale de Paris et une mutuelle de Belfort. C’est aussi le cas des mutuelles étudiantes, qui ont un statut spécial. Et les mutuelles de livre III, les réseaux sanitaires et sociaux dans lesquels nous sommes très investis sont une autre composante importante du groupe, qui s’ajoute à nos activités assurantielles.» La mutuelle travaille actuellement sur la diversification et en attend beaucoup de la part de Michèle Delaunay, ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie, au sujet de la dépendance. « Je considère qu’il vaut mieux aller chercher ce genre de produits dans sa mutuelle que chez son banquier, s’exclame le Président d’Eovi MCD Mutuelle. Je pense que c’est une femme de grande valeur qui essaie de se battre pour sortir un produit, mais elle est dans un contexte économique difficile. Nous le voyons car nous sommes gestionnaires d’une association d’aide à domicile, et c’est la quadrature du cercle pour atteindre l'équilibre. » En revanche, la mutuelle réfléchit à un partenariat en dommages. « Cela ne pourra se faire qu’avec un acteur de l'économie sociale, dans le périmètre du Gema, développe-t-il. La généralisation de la complémentaire santé à tous les salariés prévue par l’accord national interprofessionnel (ANI) de janvier 2013 a « aiguisé les appétits » selon Maurice Ronat. «Aujourd’hui, nous avons 60% d’individuel et 40% de collectif. La problématique de l’ANI est simple : si nous conservons nos effectifs avec une bascule importante de l’individuel vers le collectif, les taux de chargement étant différents, nous aurons un modèle économique à retravailler », explique-t-il. « Cela amènera à travailler sur notre réseau et des évolutions pour une partie de nos collaborateurs, ajoute Nathalie Danizan, directrice générale d’Eovi MCD Mutuelle. Les entreprises concernées par la mise en place de l’ANI sont surtout de très petites entreprises, et nos implantations sont un atout qui doit nous permettre de nous conforter. »
P { margin-bottom: 0.08in; } Tobam has doubled its assets under management in 2013. From USD2.778bn as of 31 December 2012, they reached USD5.568trn twelve months later. In addition, it was driven by net inflows totalling USD2bn. In an interview with Newsmanagers, Yves Choueifaty, Tobam’s founder, confirmed the international vocation of his firm, 20% of whose assets come from the Americas, 73% from Northern Europe, and only 8% from France alone. Because America has a different economic culture, Tobam opened an office in New York a few days before the end of last year, with the ambitious goal of increasing the weight of US clients to 50% of assets in 2 years. To achieve this, the use of a partner in the world of distribution is planned. For Asia and the Middle East, where logically a Tobam office will be opened eventually, the asset management firm now relies on the resources of Amundi, which last year acquired a 17.08% stake in the firm, alongside CalPERS, which controls 12%. Might this distribution change? Choueifaty prefers to point to the results of these partnerships, particularly with Amundi. Inflows were more modest in 2013, with less than USD100m driven by the French giant, but he is expecting “a very good first quarter,” the head says, due to its success in Asia and the Middle East.
Arnaud MONTEBOURG, ministre du Redressement productif et Michèle DELAUNAY, ministre déléguée en charge des Personnes âgées et de l’Autonomie, ont lancé ce mardi 25 février le Fonds sectoriel d’investissement de la Silver économie, concrétisant ainsi l’une des principaux engagements du Contrat de filière de la Silver économie. Le premier closing du Fonds d’investissement de la Silver économie - à hauteur de 42 millions d’euros - intervient quelques semaines seulement après la signature du Contrat de Filière, le 12 décembre 2013, et quelques mois après le lancement national de la filière industrielle de la Silver économie, le 24 avril 2013. Ce temps record témoigne du dynamisme de la filière industrielle de la Silver économie, véritable opportunité de croissance et d’emplois pour notre pays. Le Fonds sectoriel d’investissement - géré par la société Innovation Capital et dont Bpifrance, le principal souscripteur, est accompagné par des investisseurs acteurs majeurs du secteurs, comme les groupes de protection sociale - doit permettre de financer en fonds propres des TPE et des PME innovantes de la filière industrielle de la Silver Economie, à fort potentiel de croissance et intégrant outils technologiques et innovation organisationnelle. Ce fonds investira essentiellement dans la phase de croissance et de développement des entreprises afin d’en assurer leur déploiement commercial et leur expansion géographique, tout particulièrement à l’export. L’ambition est de créer des ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire), potentiels leaders mondiaux dans leur segment d’activités de la Silver économie. Le Fonds sectoriel de la filière Silver économie réalisera ses premiers investissements à partir du second trimestre 2014. Il viendra accompagner les initiatives économiques et industrielles des « Silver régions », déclinaisons régionales du Contrat de filière. Le Fonds sectoriel de la filière Silver économie ambitionne un closing final à hauteur de 100 millions d’euros.
Le décret du n° 2013-717 du 2 août 2013 a modifié le Code des assurances en vue de favoriser les investissements des assureurs dans les prêts accordés à l'économie réelle. Si ces opérations de crédit restent strictement encadrées, le décret élargit la liste des actifs éligibles à deux nouvelles catégories de fonds de dettes et aux prêts directs à l'économie.
Le groupe Humanis est issu du rapprochement de trois groupes paritaires et mutualistes de protection sociale. Ce mouvement s'est fait en deux étapes. Aprionis et Vauban Humanis se sont rejoint en 2011 pour former Humanis. Novalis Taitbout et Humanis ont fusionné en janvier 2012, conservant le nom « Humanis ». L'ensemble regroupe aujourd'hui 6500 collaborateurs. Pascal Merchez, directeur immobilier d'Humanis, est aujourd'hui confronté à des enjeux immobiliers importants.
Ageas annonce la nomination de Filip Coremans en tant que membre du Group Executive Committee et directeur des risques à compter du 1er juillet 2014. Filip Coremans succédera à Kurt De Schepper, qui a confirmé son intention de terminer sa carrière cette année. Filip Coremans (49 ans, de nationalité belge) est actuaire et possède une vaste expérience en assurances. Filip est entré chez Ageas en 2002 et y a exercé plusieurs fonctions au sein des activités asiatiques en Inde, en Malaisie et plus récemment au siège régional à Hong Kong. Actuellement, Filip est directeur financier et directeur des risques (CFO/CRO) pour la région asiatique et détient plusieurs mandats dans les conseils d’administration d’entités du groupe Ageas dans la région. A l’issue des formalités réglementaires usuelles, le Conseil d’Administration a décidé de nommer Filip Coremans avec effet au 1er juillet. Reprenant les responsabilités de l’actuel directeur des risques, il aura la responsabilité des départements Conformité, Juridique, Risques, Ressources Humaines, Informatique et Bureau d’appuie. Son enveloppe de rémunération sera identique à celle de l’actuel CRO, dans le respect de la politique de rémunération de la société, telle qu’approuvée par l’assemblée générale des actionnaires de 2012. L’actuel directeur des risques, Kurt De Schepper, terminera sa carrière au 1er juillet. Ageas pourra toutefois encore faire appel à lui pour des missions spécifiques. Kurt a été nommé CRO d’Ageas en septembre 2009 et, durant sa carrière exemplaire, il a occupé plusieurs positions au sein du groupe. Au terme de ce remaniement et à partir du 1er juillet 2014, le nouveau Group Executive Committee se composera de Bart De Smet (CEO), de Christophe Boizard (CFO) et de Filip Coremans (CRO). Le Group Management Committee comprend les trois membres de l’Executive Committee, Barry Smith, COO, Emmanuel Van Grimbergen, Group Risk Officer, et les responsables des quatre secteurs: Antonio Cano, CEO AG Insurance; Steven Braekeveldt, CEO Europe continentale; Gary Crist, CEO Asie et Andy Watson, CEO Ageas Royaume-Uni. À propos de ces changements au sein de la direction du Groupe, Bart De Smet, CEO d’Ageas, s’est exprimé en ces termes : Je suis très heureux que Filip ait accepté ce rôle important: outre ses qualités professionnelles et ses réalisations, il apporte à l’Executive Committee sa vaste connaissance opérationnelle de notre activité, en particulier des activités asiatiques. Je tiens également à remercier Kurt pour sa contribution de grande valeur tout au long de sa carrière au sein du groupe et en particulier pour ses cinq dernières années en tant que CRO d’Ageas.
Le Grand Conseil de la Mutualité (GMC), le premier réseau de services et de soins d’accompagnement mutualiste des Bouches-du-Rhône, vient de nommer Thierry Marnez au poste de directeur général. Issu de la distribution spécialisée, Thierry Marnez devra assurer le redressement de la structure (en plan de continuation depuis mai 2013) et ramener la situation financière vers un équilibre durable. Découvrant le monde du mutualisme, ce diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole nationale des Ponts et Chaussées a effectué sa carrière dans l’industrie agro-chimique (groupe EMC), en France, aux Pays-Bas et au Canada, puis dans la distribution spécialisée (Brenntag Spécialités, Brossette). Il a ensuite présidé la Financière Marnez, société de conseil et d’investissement avec laquelle il a mené diverses réorganisations d’entreprises, et intégré le réseau de management de transition MCG Managers.
P { margin-bottom: 0.08in; } At a time when a raft of mandates is maturing, BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP) is planning to take a position on the British fiduciary management market by constructing a dedicated team, eFinancial News reports. “We have developed a fiduciary activity which weight USD16bn in the Netherlands,” says Charles Janssen, head of multi-asset class solutions at BNPP IP, in an interview with the website. “We are now in the process of recruiting to construct this activity in the United Kingdom and we are also planning to grow in Germany,” In the fiduciary management sector, BNPP IP already has a reputation due to its management of BNZ, the pension fund for Netherlands health insurance, alongside Russell Investments.
David Azéma n’est pas candidat au poste de PDG de Veolia Environnement. «Je n’ai reçu aucune sollicitation ferme du comité des nominations de Veolia Environnement pour y occuper les fonctions de président directeur général. Je ne suis pas candidat à ces fonctions. Je n’ai donc déposé aucun dossier auprès de la commission de déontologie», a affirmé à Reuters le directeur général de l’Agence des participations de l’Etat. Cette déclaration intervient alors qu’Arnaud Montebourg, l’un des deux ministres de tutelle de l’APE, avait annoncé plus tôt dans la matinée avoir «demandé à l’intéressé (David Azema) de voir la commission de déontologie qui va passer au scanner le risque d’un conflit d’intérêts, à l’issue duquel le gouvernement se prononcera». La famille Dassault, deuxième actionnaire de Veolia Environnement, pousse depuis plusieurs semaines pour remplacer Antoine Frérot, l’actuel PDG du numéro un mondial du traitement de l’eau et des déchets, dont le mandat arrive à échéance le 24 avril.
Si le métier d’actuaire n’est pas forcément très connu du grand public, le secteur de l’assurance - et plus largement le secteur financier - ne peuvent pas se passer de ceux que l’on considère comme les «ingénieurs de la gestion du risque». Les actuaires sont indispensables aux compagnies pour concevoir des contrats, tarifier des produits, gérer ou placer des capitaux. Comme le montre une récente étude du cabinet de conseil Hudson (réalisée fin 2013 et appuyée sur les données chiffrées de l’Institut des Actuaires), les salaires fixes des actuaires sont les plus attrayants dans les secteurs banques & sociétés de gestion, réassurance et conseil devant les compagnies d’assurance, les institutions de retraite et prévoyance (IP) et les mutuelles, avec des rémunérations fixes moyennes «supérieures de près de 40% par rapport au secteur de la mutualité«, selon Hudson France. Concernant la part variable du salaire (qui concerne 79% des actuaires), elle fluctue selon le secteur, passant en moyenne de 46% dans les banques et institutions financières à 4% au sein d’une mutuelle (14,4% dans les compagnies d’assurance). Enfin, les actuaires bénéficient d’une augmentation de salaire de16% en moyenne par an, une hausse qui peut atteindre 20-25% lorsqu’il change d’organisation. Avantages et carrières mouvementées Outre le salaire, la fonction d’actuaire permet d’avoir d’autres avantages. L'étude révèle qu’en moyenne, 15% de ces derniers ont des stock-options, tous secteurs de l’assurance confondus. Autre avantage, la voiture de fonction pour 11% des actuaires. Très prisés par les compagnies, les actuaires sont encore rares (trop peu d’actuaires sont formés en France pour répondre aux besoins du marché) ce qui leur permet d'être très courtisés et de pouvoir rapidement évoluer à leur poste, tout en bénéficiant d’une «évolution moyenne des salaires supérieure à celle du marché des cadres avec un écart avec les autres métiers qui se creuse au fur et à mesure des ans». Les candidats, aussi difficiles à recruter qu'à fidéliser, reconnaissent être constamment ouverts à de nouvelles opportunités. Ainsi, à 5 ans d’expérience, les actuaires ont (déjà) changé 1 fois d’entreprise en moyenne. Après 12 ans d’expérience, ils ont changé 2 fois d’entreprise tandis qu’entre 12 et 20 ans d’expérience, le nombre de changement d’employeur est de 2,6 en moyenne.
La Macif et la Matmut renforcent leur alliance au sein d’Inter Mutuelles Entreprises, une structure commune destinée à apporter une réponse assurantielle complète en responsabilité civile et dommages aux biens sur le marché des professionnels et des entreprises. En avril 2013, les groupes Macif et Matmut annonçaient dans une lettre d’intention leur volonté partagée de réunir leurs forces pour constituer un partenariat durable sur le marché des professionnels et des entreprises. Neuf mois plus tard, la signature des accords vient concrétiser l’entrée prochaine de la Macif à hauteur de 40% dans le capital de Matmut Entreprises, qui deviendra Inter Mutuelles Entreprises. Sous réserve de l’accord de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, cette structure sera opérationnelle au cours du second trimestre 2014. La gouvernance d’Inter Mutuelles Entreprises reposera sur un Conseil de surveillance et un Directoire. Au sein du Conseil de surveillance, présidé par Daniel Havis, Président de la Matmut, la Matmut et la Macif disposeront chacune de 5 sièges sur les 10. Au sein du Directoire, présidé par Bernard Scagliotti, actuel président du Directoire de Matmut Entreprises, la Macif disposera de 2 sièges sur les 5, la Matmut disposant des 3 autres sièges. Inter Mutuelles Entreprises proposera une offre assurantielle sur mesure qui viendra compléter les offres forfaitaires des groupes Macif et Matmut, leur permettant d’apporter des solutions en Responsabilité civile et Dommages aux biens spécifiquement adaptées aux besoins des entreprises, professionnels, associations gestionnaires, syndics de copropriétés et propriétaires de murs commerciaux. Par ailleurs, ils continueront de bénéficier des offres existantes au sein des deux Groupes dans les autres domaines (véhicules, santé/prévoyance, finance/ épargne). Commentant la naissance d’Inter Mutuelles Entreprises, Daniel Havis, PDG de la Matmut a déclaré : « Avec la naissance d’Inter Mutuelles Entreprises, nous concrétisons une nouvelle fois de façon très opérationnelle les liens qui nous unissent à la Macif, au service des professionnels qui nous ont jusqu’ici fait confiance et de ceux qui, demain, trouveront auprès de notre filiale commune l’offre d’assurance adaptée à leurs besoins. » Jean-Marc Raby, directeur général du groupe Macif a, quant à lui, précisé : « Nouvelle étape dans l’approfondissement des liens entre les groupes Macif et Matmut, Inter Mutuelles Entreprises va nous permettre d’accélérer notre développement sur le marché des professionnels et des entreprises aux côtés de la Matmut qui, plus que jamais, est un partenaire de confiance pour notre Groupe ».
The investment adviser Koris International had a very good start into 2014 with a number of contracts in France and in Europe. In an interview with Newsmanagers, its CEO, Jean-René Giraud, presents the company and explains his strategy
Comme souvent en période de vacances, nous proposons un petit « best of » permettant à ceux qui n'ont pas eu le temps de suivre la publication de tous nos portraits de se rattraper !
Alors que le groupe Crédit agricole (Caisses régionales, LCL, Crédit agricole SA, etc.) a publié des résultats 2013 en net rebond avec 5,1 Md€ de résultat net, soit mieux que ceux annoncés la semaine dernière par BNP Paribas et Société Générale, et un PNB de 31,2 Md€ (+1,6%/2012), le métier assurances est lui aussi dans le vert en termes d’activité, confirmant les résultats du troisième trimestre 2013. 4,3 Md€ de collecte nette positive en France en 2013 Ainsi, selon les premières données dévoilées par le groupe, l’activité assurance affiche un chiffre d’affaires de 26,4 Md€ sur l’année 2013, avec 18,6 Md€ (+14,9%/2012) rien que pour l’assurance vie, qui «enregistre en 2013 une progression de son activité supérieure à celle du marché», indique le groupe dans son communiqué. La collecte nette positive s'élève à 5,4 Md€ en 2013, dont 4,3 Md€ en France pour 235 Md€ d’encours d’assurance vie à fin décembre 2013 (dont 18,4% en unités de compte), en hausse de 4,6% en un an. 2,6 Md€ de chiffre d’affaires pour l’assurance dommage en 2013 De son côté, l’activité assurance dommages poursuit sa croissance avec un chiffre d’affaires en France de 2,6 Md€, en progression de 6,2%. «Le ratio sinistralité / cotisations de l’activité (net de réassurance) est toujours bien maîtrisé, à 70,9% pour l’année 2013, malgré les événements climatiques de l'été et de la fin de l’année 2013», se félicite le groupe. Seul marché en baisse, l’assurance emprunteur voit son chiffre d’affaires atterrir à 932 M€ (964 M€ en 2012), une fois de plus plombé par la baisse de la production de crédit à la consommation. A l’international, le chiffre d’affaires total atteint 4,2 Md€ en 2013. Un résultat net part du groupe de 922 M€ Si le résultat avant impôt reflète les bonnes performances en termes d’activité du métier assurances (+14,1% au quatrième trimestre 2013 par rapport au quatrième trimestre 2012), le résultat net part du groupe s'établit à 922 M€ en 2013 : il est «pénalisé par la hausse du taux d’impôt comptabilisée au quatrième trimestre 2013 pour l’ensemble de l’année et qui représente une charge supplémentaire de 35 M€», ainsi que d’autres charges financières liées aux exigences de Bâle 3, souligne le groupe. 9 Md€ investis dans l'économie française En ce qui concerne les placements, le pôle assurances a «poursuivi sa politique de gestion prudente» en réduisant son exposition aux dettes de l’Italie, l’Espagne, l’Irlande et le Portugal (7 Md€ fin 2013, - 900 M€ sur un an) et en augmentant la part des produits de taux (82,8% des placements en 2013 contre 79,4% à fin 2012). Enfin, le groupe rappelle que Crédit agricole assurances a confirmé en 2013 son rôle dans le financement de l'économie française en y investissant 9 Md€.
A un jour d’intervalle, BPCE et CNP Assurances ont employé presque les mêmes mots pour évoquer la suite de leurs relations commerciales, après les accords actuels qui s’achèvent fin décembre 2015. « Je suis confiant dans la capacité de nos deux institutions à suivre une démarche de type industriel et commercial. C’est une approche bien meilleure qu’une démarche de type juridique et financière », a déclaré hier Frédéric Lavenir, le directeur général de CNP Assurances, à l’occasion de la présentation des résultats annuels du premier assureur-vie français. Des propos qui font écho à ceux de François Pérol, le président du directoire du groupe BPCE : « Nous sommes confiants : la discussion va s’engager sur le terrain industriel, qui reste le seul qui vaille pour le groupe BPCE, comme pour la CNP » (« Les Echos » d’hier). Divergence de vue Alors que le groupe bancaire a annoncé qu’il ne ferait plus produire les nouveaux contrats d’assurance-vie vendus aux guichets des Caisses d’Epargne à partir du 1erjanvier 2016 par CNP Assurances, mais par sa propre filiale Natixis Assurances, Frédéric Lavenir a assuré une fois de plus qu’ « il y aura un partenariat » à cet horizon. Mais « il ne faudrait pas qu’il soit a minima », a-t-il ajouté. Aux dernières nouvelles, les négociations n’ont pourtant toujours pas commencé. Si les deux parties ne se sont pas encore mises autour de la table, c’est qu’ils ont une divergence de vue profonde sur le devenir après 2015 des commissions versées par CNP Assurances à BPCE, aujourd’hui versées en échange de la distribution de ses produits dans le réseau de l’Ecureuil. Celles-ci se sont élevées à 848 millions d’euros au titre de l’exercice 2013 pour l’ensemble des produits (épargne, prévoyance, assurance-emprunteur). « Nous sommes dans une posture de négociation globale, a réaffirmé Frédéric Lavenir. BPCE avait une vision moins globale et considérait qu’il y avait un sujet à part sur les commissions. Il est évident que l’ensemble des sujets sont liés. » L’assureur confirme avoir travaillé à des schémas de propositions. En attendant, il sort d’une année qui montre, selon lui, « la solidité et la capacité d'évolution du modèle CNP Assurances ». Donnant la priorité « à la qualité de sa production », à travers notamment une collecte d'épargne davantage tournée vers les unités de compte, le groupe a vu sa marge sur affaires nouvelles augmenter de 2,5 points, à 14,1 %. Son chiffre d’affaires, lui, a progressé de 4,6 %, à 27,67 milliards d’euros. Le fort redémarrage de l’activité en Italie (+ 85,4 %), ainsi que la croissance du Brésil (certes limitée à 4,9 % en raison de la forte dépréciation du real) ont compensé le repli en France (-1,8 %, à 21,1 milliards) qui tient à une moindre collecte d’assurance-vie en euros. Le résultat net ressort en hausse de 8,3 %, à 1,03 milliard d’euros pour une marge de solvabilité de 302 % (115 % hors plus- values latentes). Lire la suite : cliquez ici
A l’occasion de la présentation de ses résultats 2013, Swiss Re a annoncé la nomination de David Cole au poste de directeur financier du groupe. Ancien directeur des risques du groupe, David Cole succède ainsi à George Quinn qui doit rejoindre Zurich Insurance au printemps. Ainsi, David Cole prendra ses nouvelles fonctions le 1er mai 2014. Walter B. Kielholz, président du conseil d’administration de Swiss Re, déclare: « Je suis heureux d’annoncer que David Cole a été nommé nouveau directeur financier du groupe Swiss Re, succédant à George Quinn. David a les compétences nécessaires pour performer dans ce rôle clé. En tant que directeur des risques du groupe pendant trois ans, il a acquis une grande expérience en matière de réglementation, qui est de plus en plus complexe dans notre secteur. La nomination de David démontre bien la capacité que Swiss Re a d’avoir de véritable talent. » David Cole rejoint Swiss Re en novembre 2010 et devient directeur des risques du groupe en mars 2011. Avant cela, il était directeur des risques, puis directeur financier d’ ABN Amro Holding, groupe bancaire basé aux Pays-Bas. Il a occupé plusieurs postes de gestion des risques et de gestion de la relation client, et a travaillé dans plusieurs pays en Europe et dans les Amériques. Il a rejoint ABN Amro en 1984. En 2012 et 2013, David Cole a également servi en tant que président de la CRO Forum, une association internationale de gestion des risques de haut niveau des professionnels de réassurance. David Cole est né en 1961 et a la double nationalité américaine et néerlandaise.