Covéa vient d’annoncer l’arrivée d’Edouard Vieillefond comme charge? de mission aupre??s de Thierry Derez, le PDG de la Sgam (Société de groupe d’assurance mutuelle). Covéa (qui coiffe les assureurs mutualistes Maaf, MMA et GMF) vient d’annoncer la nomination d’Edouard Vieillefond en tant que charge? de mission aupre??s du PDG du groupe, Thierry Derez. Jusqu’alors secre?taire ge?ne?ral adjoint de l’Autorite? des Marche?s Financiers (AMF), Edouard Vieillefond rejoindra Cove?a le 1er mars 2014 et aura notamment pour mission de renforcer la gouvernance des risques du groupe, dans la perspective de l’entre?e en vigueur de la directive Solvabilite? 2 le 1er janvier 2016. Âgé de 43 ans, Edouard Vieillefond est un ancien e?le??ve de l’Ecole polytechnique et de Supaero. Il a effectue? l’essentiel de son parcours professionnel a?? la direction du Tre?sor, a?? l’Agence des participations de l’Etat puis, a?? partir de 2009, a?? l’AMF.
En s’installant à Londres, Axiom Alternative Investments espère faire coup double. Tout d’abord, la présence dans la capitale de la finance européenne, devrait lui ménager une entrée sur les marchés des institutionnels et des conseillers indépendants, permet une confrontation directe avec les poids lourds du secteur. «Nous voulions jouer dans la cour des grands. Mais il nous fallait auparavant atteindre une certaine taille», a indiqué le 11 février à Newsmanagers David Benamou, associé-gérant d’Axiom AI, en marge d’une conférence-débat sur le secteur bancaire.Avec des actifs sous gestion qui dépassent désormais très largement la barre des 500 millions d’euros, la société estime avoir atteint la taille critique pour envisager une nouvelle étape de sa croissance. Et c’est là qu’intervient l’autre raison de s’installer à Londres. Après les dégraissages massifs des dernières années, on trouve à la City un vivier de talents dans lequel on peut puiser pour constituer des équipes solides et performantes.Le bureau de Londres pourrait ainsi compter quatre ou cinq personnes d’ici à la fin de l’année. Outre David Benamou qui va diriger la succursale londonienne, l'équipe pourrait comprendre un analyste et un vendeur. Il est également question d’installer la recherche à Londres. Si bien qu’avec une douzaine de personnes à Paris, l’effectif total pourrait compter 17 à 18 collaborateurs fin 2014.Voire plus. Car c’est au Royaume-Uni que se trouve le principal contingent étranger de la société mais ce n’est pas le seul. Axiom AI a aussi une clientèle importante au Luxembourg, en Belgique, en Suisse, et dans des proportions moins importantes en Europe du Sud, à savoir en Espagne et en Italie. Axiom AI envisage ainsi d’installer une antenne commerciale en Italie.Last but not least, la société travaille parallèlement à un enrichissement de sa gamme avec le lancement prochain d’une stratégie dédiée aux actions bancaires. Une classe d’actifs que la société ne propose pas encore mais un secteur qu’elle connaît bien compte tenu de sa spécialisation sur la dette subordonnée bancaire...
L’Af2i participe activement aux travaux de la Place de Paris pour développer le financement des entreprises par les marchés et notamment les ETI. Ces travaux initiés au 1er trimestre 2013 par la Chambre de Commerce et d’industrie Paris Île-de-France et par la Banque de France ont porté sur les moyens d’amélioration de la chaîne de financement des entreprises, et notamment pour les ETI et les PME. Plusieurs groupes de travail ont été ainsi constitués dont l’un sur les moyens de développement du marché des billets de trésorerie et des BMTN et l’autre sur le marché des placements privés obligataires et crédit. L’Af2i a participé à tous les groupes de travail de Place. En parallèle, dès le 1er trimestre, un groupe de travail a été constitué sous la responsabilité d'Éric DUBOS, directeur de la gestion de MACSF et réunissant des représentants des sociétés d’assurance adhérentes de l’Af2i avec l’appui de Me Hubert de VAUPLANE, afin d'élaborer une doctrine commune et différents types de documents standardisés sur les placements privés obligataires et crédit. Le document d’information sur les billets de trésorerie est téléchargeable ci-dessous. Plaquette_dinformation_sur_les_BT.pdf
La création d'un nouveau segment de marché des OPC (OPCVM ou FIA) sous la forme de fonds de « trésorerie crédit » est nécessaire pour accompagner le mouvement actuel vers une plus grande désintermédiation du crédit aux entreprises. Plusieurs raisons militent en ce sens.
Le Club des Assureurs décernait hier ses Grands Prix pour l’année écoulée. Une fois n’est pas coutume, c’est une femme qui a été élue «Assureur de l’année 2013???, en la personne de Stéphane Pallez, PDG de CCR. Depuis 2000, le Club des Assureurs distingue des professionnels de l’assurance dans le cadre de ses Grands Prix. Cette année, le jury composé de 9 femmes journalistes, a décerné le prix d’ «Assureur de l’année 2013??? à Stéphane Pallez, PDG de CCR. Cette dernière succède à Jacques Richier (PDG d’Allianz France) élu en 2012 et Eric Lombard (DG de Generali France) qui obtint cette distinction en 2011 sous les couleurs de BNP Paribas Cardif. Les critères de nomination pour ce prix sont relatifs aux opérations menées par la compagnie au cours de l’année ainsi qu'à la personnalité du dirigeant. Dans le même temps, le Club des Assureurs a également décerné le prix du «Meilleur communicant presse 2013???, une distinction qui revient Anne-Marie Lasry-Weilly, directrice de la communication de Swiss Life, saluant ainsi la riche et solide carrière de cette dernière dans le secteur de l’assurance.
P { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with Financial Times fund management, Richard Buxton explains the reasons for his departure from Schroders for Old Mutual Global Investors. “I had been at Schroders fo 12 years and I wanted a new challenge,” the star manager says, though he does not consider himself a star. “My fund represented 6% of assets under management at Schroders, so I was not sure I was making a difference, though here (at OMGI) I can make a difference, by helping to buil an activity,” he continues. “We want to build a larger activity in the United Kingdom. We wanted to build a large asset management franchise. We are smaller, but we have ambitions.” OMGI has GBP16bn ina ssets, FTfm states.
Marcel Kahn, directeur général de la MACSF, a confirmé à l’Argus de l’assurance qu’il sera candidat à sa propre succession à la présidence de la Réunion des organismes d’assurance mutuelle (Roam), dont le mandat, renouvelable chaque année, s’achèvera fin mars. Dépasser le conflit interne Le conflit qui oppose actuellement en interne la commission exécutive et sa déléguée générale, Marie-Hélène Kennedy, mise à pied depuis le 3 février dernier, n’a manifestement pas entaché la détermination de Marcel Kahn à s’engager dans un second mandat. « J’aurais préféré ne pas avoir à régler cela », souligne-t-il. Et d’ajouter : « Les structures nous dépassent. On a besoin de la Roam sur de vrais sujets et de vrais combats même s’il n’y a pas matière à être agressif en ce moment. La mission est simple : faire en sorte que les adhérents de la Roam trouvent une réponse à leurs besoins. » La candidature de Marcel Kahn sera examinée par les dix-sept membres de la commission exécutive de la Roam lors de l’Assemblée générale qui se tiendra le 25 mars prochain. Aucun autre candidat ne s’est, pour l’heure, déclaré.
Valérie Maillard est nommée directrice du Centre de formation de la SFAF. Elle a pour mission de dynamiser le Centre de formation, développer les formations inter et intra entreprises ainsi que les relations avec les écoles et universités. Valérie a été administrateur de la SFAF de 2012 jusqu'à sa prise de fonction au Centre de formation. Valérie Maillard a 25 ans d’expérience des marchés financiers. Elle a débuté sa carrière en 1988 chez Nesbitt Thomson Deacon Inc (Banque de Montréal) à Toronto. Elle a ensuite rejoint Cheuvreux de Virieu en tant que Sales Trader Actions, puis Viel comme courtier Taux. De 1996 à 2009, Valerie a évolué au sein du Groupe ABN AMRO. Sa gestion, au sein de Neuflize OBC Asset Management a été récompensée en 2007 et 2008 par des Lipper Fund Awards. En 2010, Valerie a été nommée responsable de la gestion actions de Quilvest Gestion. Agée de 47 ans, Valérie Maillard est titulaire d’une maitrise de gestion-MSG de l’Université de Paris IX Dauphine et du DESS de Gestion Internationale et Droit des Affaires Européennes de l’Université de Paris I la Sorbonne. Elle est également diplômée du Centre de formation de la SFAF (promotion 2003) et membre de la SFAF depuis lors.
The third-largest professional area at La Française, the activity for stakeholding and incubation, grouped together at NExT AM, has developed strongly in the past few years. In an interview with Newsmanagers, the chairman of NExT AM, Nicolas Duban, presents the various facets of the firm, and discusses the regions for the current architecture, including the merger with NewAlpha. He also discusses his ambitions for the next few years.
Dans sa première interview depuis sa nomination à la tête de la supervision unique des banques de la zone euro, Danièle Nouy prévient que certaines banques de la région n’ont pas d’avenir et devraient être autorisées à mourir. Elle annonce également au Financial Times qu’elle veut affaiblir le lien entre les gouvernements et les banques en demandant que ces dernières détiennent du capital face à leurs actifs souverains. « L’une des grandes leçons de la crise actuelle est qu’il n’y a pas d’actifs sans risque, donc les souverains ne sont pas des actifs sans risque. Cela a été prouvé et maintenant nous devons réagir », affirme Danièle Nouy.
«Je regrette la situation actuelle, mais elle ne viendra pas pénaliser le bon fonctionnement de la Roam», souligne Marcel Kahn, président de la Roam, interrogé par la rédaction de l’Argus de l’assurance suite à la révélation par la Lettre de l’assurance de la mise à pied de Marie-Hélène Kennedy, déléguée générale de la Roam. «Il s’agit d’une mise à pied conservatoire, précise Marcel Kahn, qui a été décidée par la Commission exécutive de la Roam (17 membres, NDLR) à l’issue d’une succession d'événements qui l’a conduite à prendre cette mesure, alors même que la déléguée générale occupait cette fonction depuis plus de 10 ans.» Amaury Roland-Gosselin assure l’interim Il semblerait que, déjà sous la présidence d’Olivier Désert, quelques tensions aient eu lieu concernant certaines prises de position de Marie-Hélène Kennedy dans le débat public sans que la commission exécutive n’en ait été informée. Depuis, il lui aurait été rappelé à plusieurs reprises, par oral ou par courrier, le périmètre et l'étendue de sa fonction, jusqu'à la rédaction, fin décembre, d’un courrier formel «mais simple», précise le président de la Roam, qui poursuit : «En réponse, la déléguée générale a tout contesté et tout refusé». La situation apparaîssait alors bloquée, tandis que Marie-Hélène Kennedy partait en vacances pour plusieurs semaines, jusqu'à un entretien avec Marcel Khan, le 3 février au matin, quelques heures avant la réunion de la commission exécutive. La conciliation est apparue alors impossible, et la mise à pied conservatoire est décidée. Une procédure de licenciement est donc actuellement en cours, tandis que l’intérim de la fonction est assuré par le juriste Amaury Roland-Gosselin. «Cette organisation mise en place autour des deux permanentes de la Roam et avec le soutien de l’ensemble des adhérents, nous permet aujourd’hui d'éviter toute urgence et précipitation», conclut Marcel Kahn. Contactée par la rédaction, Marie-Hélène Kennedy répond dans un message qu’elle est «sous le choc».
Graeme King, co-responsable du trading spot de devises chez RBC Capital Markets à Londres, a quitté la banque, a appris Reuters de source proche du dossier vendredi. Les motifs de son départ n’ont pas été précisés. Il intervient moins d’une semaine après ceux de trois cadres dirigeants des activités de changes de Citigroup et Goldman Sachs.
Lors d’une conférence sur la chaîne de financement de l’innovation donnée le 6 février 2014 à Paris à l’occasion du forum de l’innovation organisé par l’Afic (Association Française des Investisseurs pour la Croissance), Denis Champenois, vice-président de l’AFIC, regrette qu’on «manque en France d’institutions financières prêtes à investir des tickets importants» dans les entreprises innovantes, «alors que nous avons des sociétés tout à fait viables qui ont besoin de ces fonds pour se développer à l'étranger». Même constat de la part de Philippe Gluntz, président de la fédération nationale des réseaux de Business Angels, qui regrette que le relais entre les business angels et le capital innovation, qui intervient plus tard, soit si difficile à faire. «Les business angels ne sont pas assez nombreux et ne disposent pas de moyens assez importants», souligne-t-il. «Les pouvoirs publics qui ont fait des efforts sur l’amorçage doivent maintenant se pencher sur le co-investissement pour la suite», estime-t-il. Les pouvoirs publics sont conscients d’une importante demande sur le capital innovation. Dernièrement, la Banque publique d’investissement (Bpifrance)a annoncé qu’elle allait bénéficier de d’une hausse de ses capacités de financement de 30% par rapport à 2013, portant à un milliard d’euros sa force de frappe pour promouvoir et financer des projets innovants. De nombreux gestionnaires se sont posé la question des modalités de co-investissement aux côtés de Bpifrance. «Pour répondre à leurs inquiétudes, l’Afic et Bpifrance ont signé une charte de bonnes pratiques», précise Louis Godron, président de l’Afic. Par exemple, en ce qui concerne les appels d’offres et processus compétitifs structurés de recherche de fonds, notamment les processus d’enchères organisés, Bpifrance s’engage à n’effectuer aucune surenchère sur les propositions des acteurs privés», souligne Louis Godron.
Dans une interview au journal, le gouverneur de la Banque de France juge que le pacte de responsabilité, qui repose sur une baisse de 30 milliards d’euros des charges des entreprises, apportera «un surplus de croissance d’environ un point de PIB dans les 2 à 3 ans à venir et la création de plusieurs centaines de milliers d’emplois», à condition que chaque entreprise soit libre d’utiliser cet allègement de charges «en fonction de sa propre situation». Il ajoute que ce pacte doit «absolument s’accompagner de réformes structurelles fortes» pour s’attaquer aux rigidités de l’économie française et au déclin de la productivité du pays.
Le Crédit Mutuel Arkéa et le management du groupe Primonial annoncent être entrés en négociations exclusives à l’occasion de la recomposition de l’actionnariat du groupe Primonial. Les deux acteurs collaborent déjà au travers du partenariat qui unit Suravenir, la filiale d’assurance-vie du Crédit Mutuel Arkéa, et le groupe Primonial pour la commercialisation du contrat Sérénipierre. La structuration envisagée conduirait à une participation minoritaire de Crédit Mutuel Arkéa et à l’ouverture du capital à un fonds d’investissement pour accompagner le renforcement du management actuel au capital du groupe.
Groupama a bel et bien tourné le dos à la stratégie de croissance à tout prix qui avait longtemps été la sienne. Sa nouvelle «???planification stratégique opérationnelle???» - un outil prévisionnel qui est revu régulièrement - ne fait ainsi état que d’une hausse très modeste de son chiffre d’affaires d’ici à 2015. Selon une présentation interne dont «???Les Echos» ont obtenu une copie, l’assureur mutualiste vise un chiffre d’affaires de 14,54 milliards d’euros en 2015, soit une croissance annuelle moyenne de 1,2 % sur trois ans. En France, la croissance annuelle moyenne attendue est de 1% pour les activités d’assurance. Les activités d’assurance internationales doivent faire légèrement mieux (1,8% en moyenne par an) malgré le repli programmé du chiffre d’affaires en Italie, la principale implantation de Groupama à l'étranger. Comme son directeur général, Thierry Martel, l’avait indiqué, le groupe se focalise désormais sur sa rentabilité opérationnelle et sa solidité financière. En assurance de biens et de responsabilité, l’objectif affiché est de faire revenir dans le vert le ratio combiné (sinistres et frais rapportés aux primes), de 102,6 % en 2012 à 97,6 % en 2015. En assurance-vie, Groupama cherche par tous les moyens à favoriser le développement de la production en unités de compte (UC) au détriment de la collecte sur les fonds euros, jugée trop coûteuse en capital. Il espère faire bondir les taux d’UC dans l’encours de 9 % en 2012 à 21,5 % en 2015. Globalement, l’assureur table sur un net redressement de son résultat opérationnel économique. Alors qu’il était négatif de 78 millions d’euros en 2012, il est espéré à 300 millions d’euros en 2015. Quant à la marge de solvabilité sur fonds propres durs, elle doit, elle aussi, s’améliorer de façon continue sur la période, pour atteindre 130% en 2015, contre 112 % en 2012. Renforcer l’encours de la banque commerciale Alors qu’il avait frôlé le pire en 2011, le groupe a employé les grands moyens pour se redresser. Il a lancé cinq plans de départs volontaires (chez GAN Assurances, Groupama Banque, Groupama SA, Groupama Supports et Services et GAN Prévoyance), vendu un grand nombre d’actifs et de filiales en France et à l'étranger et diminué les risques à son bilan. Parmi les axes stratégiques poursuivis, Groupama pense pouvoir enfin amener Amaline, l’entité qui chapeaute l’activité d’assurance directe Amaguiz, au point mort en 2015. Cela passera notamment par un quasi doublement des primes entre 2012 et 2015 (de 45 à 84 millions d’euros) et par une nette amélioration du ratio sinistres à primes. Après avoir enclenché un plan de revitalisation de Groupama Banque, l’assureur vise un encours supérieur à 2 milliards d’euros pour la banque commerciale en 2015, contre 1,5 milliard fin 2013. Il veut également porter le taux de comptes actifs de 20 à 25 %.
Les grands fonds de pension mondiaux ont le vent en poupe. Selon une étude du cabinet Towers Watson réalisée sur les 13 plus grands marchés des fonds de pension institutionnels, ces derniers ont vu leurs actifs sous gestion augmenter de 9,5 % en 2013 - après une hausse de 6,9 % en 2012 - pour atteindre un niveau record estimé à 31.980 milliards de dollars. Les 13 marchés de fonds de pension étudiés sont l’Australie, le Canada, le Brésil, la France, l’Allemagne, Hong-Kong, l’Irlande, le Japon, les Pays-Bas, l’Afrique du Sud, la Suisse, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Ces marchés représentent plus de 85 % des actifs mondiaux des fonds de pension. Cette nouvelle croissance confirme une tendance de long terme, les encours des fonds de pensions mondiaux ayant enregistré une progression annuelle de 6,7 % en moyenne depuis 2003. Désormais, les actifs gérés par ces fonds de pension représentent autour de 83 % du produit intérieur brut (PIB) mondial, en hausse de 7,6 % par rapport au ratio de 2012 qui ressortait à 75,6 %. A fin 2013, les plus importants marchés de fonds de pension restent les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Japon, qui représentent respectivement 59 %, 10,2 % et 10,1 % des actifs sous gestion globaux, note l'étude de Towers Watson. L’an dernier, ces trois marchés ont connu une croissance de leurs encours respectivement de 12 %, 13,3 % et, enfin, 2,2%. En se concentrant sur les 7 principaux marchés mondiaux - Australie, Canada, Japon, Pays-Bas, Suisse, Royaume-Uni et Etats-Unis - l'étude souligne que l’allocation d’actifs des fonds de pension est majoritairement orientée vers les actions. De fait, en moyenne, les actions représentent 52 % de l’allocation des fonds de pension fin 2013, contre 29 % pour les obligations, 1 % pour le cash et 18 % pour d’autres classes d’actifs (alternatifs, immobilier). Depuis 1995, la part des obligations a fortement chuté, passant de 40 % à 28 %, tandis que celle des actions a progressé de 49 % à 52 %. De même, les classes d’actifs alternatives ont vu leur part dans l’allocation grimper de 5 % en 1995 à 18 % en 2013.
Le fonds de prêt à l'économie Novo 2 géré par la société de gestion Tikehau Investment Management a annoncé le 5 février avoir investi dans le réseau d’exploitation de salles de cinéma parisiennes MK2. Fondé en 1974, le groupe compte 12 complexes parisiens pour 65 écrans. Il s’agit de son premier investissement en direct. En novembre dernier, Novo 2 avait déjà investi dans Altrad, leader européen de l'échafaudage, aux côtés notamment de Novo 1, l’autre fonds de place géré par BNP Paribas Investment Partners. Deux ans pour investir 1 Md€ Lancé en 2013 à l’initiative des assureurs, les fonds Novo 1 et 2 ont pour vocation d’investir respectivement 355 M€ et 660 M€ dans des financements obligataires d’entreprise de taille intermédiaire (ETI) et PME non cotés en France. Si le montant des investissements reste confidentiel, Bruno de Pampelonne, président de Tikehau IM, a précisé à l’Argus de l’assurance que «le fonds investit entre 10 M€ et 30 M€ pour chaque ligne» en rajoutant que «2 à 3 dossiers d’entreprises sont actuellement dans une phase finale». Les deux sociétés de gestion ont deux ans, soit jusqu’en novembre 2015, pour investir un milliard d’euros.
P { margin-bottom: 0.08in; } The banking group Julius Baer will lay off a total of 100 people in Geneva, out of 230, according to head Boris Collardi. The move comes as part of the integration of the activities acquired from Merrill Lynch in 2012, he explains in an interview published in Agefi Switzerland in 2012. Julius Baer on Monday indicated in a presentation of its 2013 results that it would be seeking to lay off 400 jobs from its international wealth management activities acquired from Merrill Lynch.
P { margin-bottom: 0.08in; } Asset management firms based in Scotland may have to spend millions of pounds to pay for a new financial regulator if the Scots vote in favour of independence in a referendum in September, the professional association for the Scottish financial sector, Scottish Financial Enterprise, warns. In the event of a positive vote, asset management firms will have to custom their products and services for Scottish clients, to make them comply with the fiscal and regulatory regime, which would create additional costs and complexities, says Owen Kelly, president of the association, in an interview with the Financial Times. Scottish asset management firms now represent more than 4,000 jobs and at lesat GBP520bn in assets, according to the Investment Management Association.
Le groupe bancaire Julius Baer va supprimer une centaine d’emplois nets à Genève sur 230, selon son patron Boris Collardi. Cette mesure entre dans le cadre de l’intégration des activités acquises de Merrill Lynch en 2012, explique-t-il dans une interview publiée mardi dans L’Agefi suisse.Julius Baer avait indiqué lundi, dans la présentation de ses résultats 2013, vouloir supprimer 400 postes dans ses activités internationales de gestion de fortune reprises à Merrill Lynch.
S'appuyant sur un certain nombre de facteurs, Léonard Vinville est convaincu que les convertibles sont appelées à bien se comporter au cours des prochaines années. Premièrement, leurs rendements présentent une nature asymétrique, signifiant qu'elles participent davantage à la hausse des actions qu'à la baisse. Leur profil de rendement / risque attrayant, alors même que l'évolution future des marchés actions est encore plus imprévisible que d'habitude, suscite un intérêt grandissant.
Selon les informations de l’Argus de l’assurance, c’est Pascal Pigot, directeur général adjoint, qui dirige aujourd’hui par interim Unéo. Les salariés de la mutuelle des militaires ont effectivement appris, vendredi dernier, par un mail de leur président, le départ de la directrice générale, Anne-Marie Cozien, comme l’a révélé la Lettre de l’assurance. Toujours selon l’Argus de l’Assurance, le départ de Anne-Marie Cozien serait lié à la nomination, début janvier, d’Antoine Lamon, commissaire général de division aérienne (2s) et jusqu’alors premier vice-président de la mutuelle, comme président d’Unéo, en remplacement du général Claude Lepetit. Lire la suite ici
La Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) est une société civile à but non lucratif gérée par ses membres : les auteurs, les compositeurs et les éditeurs de musique. La SACEM dispose en moyenne de 900 millions d'euros de trésorerie. Christophe Waignier, Directeur Ressources et Stratégie, et Philippe Otero Del Val, Directeur financier, nous exposent l'allocation d'actifs et la stratégie d'investissement de la SACEM.
Le 30 janvier, Schroders a accru de 19,6 % à près de 23 % sa participation au capital de Liontrust Asset Management, selon un communiqué publié au London Stock Exchange par la boutique britannique. Cette annonce intervient quelques jours après la publication de résultats intermédiaires par Liontrust AM, marqués par une croissance de 6 % de ses actifs sous gestion au quatrième trimestre pour s'établir à 3,6 milliards de livres (lire NewsManagers du 30 janvier 2014).
Dans une interview filmée de Bluerating, Alex Ricchebuono, responsable pour l’Europe du Sud Est de La Française AM, indique chercher de nouveaux accords pour la distribution des fonds de la société en Italie. En Italie, La Française AM est surtout présente dans le secteur des gestions institutionnelles. « Concernant le retail, nous sommes ouverts aux réseaux de distribution : aux grands, mais aussi et surtout aux moyens et petits », confie Alex Ricchebuono.
Nouveau mouvement dans les cabinets d’avocats parisiens. Les six avocats formant l’équipe contentieux/arbitrage du cabinet de Gaulle Fleurance et Associés viennent de créer le cabinet Meridian. Arnaud de Barthès de Montfort, François Berthod, Olivier Delsupexhe, Xavier Desnos et Vincent Vilchien se sont associés à Philippe Clément. Le cabinet intervient principalement dans les secteurs de l’industrie, des transports, du luxe, des assurances et de la finance.