En France, les professionnels de la gestion entament l’année 2014 avec le sourire puisque les marchés actions domestiques s’inscrivent dans la tendance de 2013, ont maintenant effacé leurs pertes et ont délivré à plus long terme des performances honorables de l’ordre de +12% par an sur 5 ans avec une volatilité de 16% pour la catégorie Actions France. Et si l’investisseur avait diversifié son portefeuille sur des actions américaines, le rendement aurait grimpé à +16% par an avec 30% de risque en moins. Nous utilisons le conditionnel à dessein car la vraie question est de savoir si les investisseurs européens ont réellement profité de cette hausse des marchés actions depuis le point bas de 2009. Pour cela, Morningstar calcule l’Investor Return, la performance retraitée des flux d’entrée et de sortie par grande classe d’actifs, par marché et même par fonds. Le constat est sans appel : Les investisseurs ont privilégié massivement les placements obligataires depuis 2009 de manière régulière avec une collecte nette cumulée en Europe de +470 milliards d’euros au plus haut qui ne s’est véritablement calmée que très récemment, à partir de mai 2013, venant donc s’investir sur une classe d’actifs offrant des taux historiquement bas. Alors que le rendement des obligations en Europe a été en moyenne de +7% en moyenne sur les 30 dernières années, il convient de préciser que le niveau des taux était proche de 14% en 1984 et proche de 1% en 2013 ! Sur les marchés actions, la collecte a été très timide, elle ne s’est réveillée à partir de fin 2012 et a surtout profité aux marchés émergents avec une collecte nette de +70 milliards d’euros jusqu’en mai 2013, subissant ainsi de plein fouet la baisse récente sur ces marchés et loupant donc, par ricochet, le rattrapage sur l’Europe depuis plus de 2 ans. En effet, les collectes nettes sur les actions européennes sont restées négatives jusqu'à fin 2012 et n’ont véritablement accélérées qu'à partir de mi-2013. La palme revient aux investisseurs allemands qui se sont payés le luxe de sortir régulièrement sur les 5 dernières années de leur marché domestique alors que ce marché a battu des records. Si les investisseurs européens ont loupé en grande partie la phase de hausse que nous venons de connaître, la question intéressante est de savoir s’ils vont finalement pouvoir profiter de la hausse future si elle se présente. La bonne nouvelle est que le gros des bataillons des investisseurs particuliers n’est pas encore revenu significativement sur les marchés européens et devraient servir de soutien aux marchés dans les mois à venir. Qu’en sera-t-il pour les investisseurs institutionnels ? Sommes-nous entrés dans un nouvel environnement plus propice pour les actifs risqués ? C’est justement tout l’objet de la conférence de clôture du prochain Forum Gi qui se tiendra à 17h30 : Panorama des stratégies d’investissement des institutionnels européens : Profil et vision long terme ? Jean-François Bay, Directeur Général Morningstar France
Nomura Asset Management remanie son état-major. Kunio Watanabe vient ainsi d’être nommé directeur général de la société de gestion japonaise, avec effet au 1er avril, en replacement de Toshihiro Iwasaki. Cette nomination intervient dans le cadre d’un réaménagement en profondeur des équipes au sein de l’ensemble du groupe Nomura.Kunio Watanabe est actuellement responsable des clients internationaux depuis avril 2013. Il est remplacé par Fumiki Kondo, actuel directeur général d’Instinet, la filiale de Nomura en charge des services d’exécution actions, qui, à compter du 1er avril, prendra donc la responsabilité de la clientèle internationale.En conséquence de ce mouvement, Nomura a nommé Jonathan Kellner, actuel responsable des activités américaines d’Instinet, au poste de directeur général d’Instinet en remplacement de Fumiki Kondo.
La Direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts a pour vocation d'éclairer les décisions du conseil d'investissement des institutions sociales qu'elle a sous mandat. Si son pouvoir n'est pas décisionnaire, le rôle de suivi et de conseil qu'elle exerce dans le cadre de la gestion financière est majeur.
Le 17 mai dernier, la Mutuelle Humanis familiale avait voté son départ du groupe Humanis, devant ainsi M comme Mutuelle. Et la séparation entre les deux mutuelles semblerait, selon L’Argus de l’assurance, se terminer devant les tribunaux. Parmi les sujets de désaccord, les 56 millions d’euros réclamés par le groupe de protection sociale à M comme Mutuelle au titre de la « désimbrication » des activités.
Le ministre du Travail Michel Sapin indique dans une interview au journal dominical que «la majeure partie» des 10 milliards d’euros d’allègements de cotisations promis par le gouvernement aura lieu l’an prochain. Il ajoute que le calendrier «tiendra compte des rendez-vous de suivi avec les partenaires sociaux, et des économies dans les dépenses publiques qui financeront le pacte de responsabilité».
P { margin-bottom: 0.08in; } Within the next nine months, Candriam, the former Dexia Asset Management, wants to grow institutional business in Switzerland and Germany while increasing third-party distribution exposure in the United Kingdom, IPE.com reports. In an interview with the website, Naïm Abou-Jaoudé, CEO of Candriam, says that “institutional business in the United Kingdom was an ambition, but would be more realistic in 18 months’ time.”
Scor Global Life, filiale de réassurance vie du groupe Scor, Swiss Re et Munich Re ont annoncé le 6 mars avoir conclu un contrat de longévité avec l’assureur britannique Aviva. Cette transaction couvre les pensions en cours de quelque 19.000 retraités affiliés au régime de retraite d’Aviva. Le risque d’allongement de la durée de vie de ces affiliés est transféré du régime de retraite d’Aviva au marché de la réassurance. Les engagements associés représentent près de 5 milliards de livres, soit le swap de longévité pour régime de retraite le plus important jamais conclu à ce jour sur le marché international. La transaction prend effet au 1er janvier 2014.Pour Scor, il s’agit du quatrième swap de longévité souscrit au Royaume-Uni, confirmant la solidité du fonds de commerce et la grande expertise du groupe sur ce marché en plein croissance. Le succès rencontré au Royaume-Uni, dans le prolongement de la transaction de réassurance du risque de longévité innovante réalisée par Scor aux Pays-Bas en décembre 2013, témoigne du chemin déjà parcouru par Scor Global Life pour la mise en oeuvre du plan stratégique «OptimalDynamics». Scor entend doubler son volume d’affaires en longévité au cours du plan triennal tout en maintenant un niveau de rentabilité conforme à l’objectif fixé dans «OptimalDynamics» d’un ROE de 1.000 points de base au-dessus du taux sans risque. De son côté, Swiss Re est présent sur le marché de la longévité depuis 2007, avec plusieurs opérations à son actif en partenariat avec des assureurs et des fonds de pension des secteurs privé et public. Derniers en date, des contrats de longévité conclus en 2012 avec LV=Employee Pension Scheme pour un montant de 1,3 milliard de dollars et avec Akzo Nobel (CPS) Pension Scheme pour un montant de 2,2 milliards de dollars. Selon Paolo De Martin, directeur général de Scor Global Life, «cette transaction de longévité importante est pleinement conforme à l’appétence au risque de Scor et à la stratégie suivie par le groupe en matière de longévité, et elle respecte les critères de rentabilité du groupe. Elle intervient seulement quelques mois après la conclusion de la transaction réalisée avec Aegon aux Pays-Bas, démontrant les solides compétences de Scor Global Life sur le marché mondial de la longévité. Scor est un acteur important de ce marché et nous entendons établir de nouveaux partenariats afin d’offrir des solutions de longévité dans les mois et les années à venir».
Après vingt-cinq ans de carrière chez Mercer, Denis Stainier a décidé de quitter le cabinet de courtage spécialisé en ressources humaines, protection et avantages sociaux. Une décision inattendue, moins d’un an après sa nomination en tant que président de Mercer France. Denis Campana, directeur de l’activité santé prévoyance, assurera l’intérim à ce poste. A l’aube du nouveau plan stratégique Interviewé le 20 décembre dernier par l’Argus de l’assurance, Denis Stainier avait annoncé que Mercer France finalisait « un nouveau plan stratégique qui court jusqu'à 2018 », dans lequel le groupe avait de «grands projets pour [ses] métiers développés en France, à savoir la santé-prévoyance, la retraite et la gestion des talents et des rémunérations». « Sur ces trois axes, nous avons vocation à devenir leader de marché », nous avait alors précisé Denis Stainier.
Après les fonds Novo (lancés en octobre 2013) et la charte sur les Euro-PP (publiée mi-février 2014), les assureurs poursuivent leurs réflexions sur le financement de l'économie française. De nouveaux projets pourraient être publiés au cours de l’année 2014. L’objectif est avant tout de répondre aux problématiques spécifiques d’alimentation des contrats Vie Génération qui doivent être investis au moins à 35%, notamment dans les entreprises non cotées, un des secteurs de l'économie jugés prioritaires par les pouvoirs publics. Pour rappel, le contrat Vie Génération a été créé dans le cadre du projet de la loi de finance rectificative.
Selon nos informations, Alexandre Gardel est nommé directeur commercial institutionnel de Fédéris Gestion d’Actifs, fonction qu’il occupait au sein de Metropole Gestion depuis juin 2011. Son arrivée est prévue le 17 mars. Alexandre Gardel évolue depuis une vingtaine d’années dans l’asset management, au sein respectivement de Fortis Investments, BNP Paribas AM et Alfi Gestion. De septembre 2007 à juin 2011, il a notamment pris part à la création de l’activité institutionnelle de Generali Investments France. Avant la nomination du nouveau directeur commercial institutionnel, Frédéric Bedigis, consultant management de transition chez Montgomery Conseil, a participé jusqu'à fin janvier à la mise en place de la fonction commerciale axée développement externe. Fédéris GA gère 24 milliards d’euros d’encours, dont 2 milliards gérés pour compte de tiers. La société se lance en 2014 dans la refonte totale de son système d’information avec l’objectif d’obtenir un outil ultra performant du front jusqu’au back office et à la transmission comptable des informations aux clients.
Marie-Thérèse Piechaud est nommée directrice de l’immobilier et du patrimoine de la Croix-Rouge Française. Il s’agit d’une nouvelle direction. Marie-Thérèse Piechaud a débuté à Bordeaux au sein d’organismes publics, dont le Comité d’expansion Aquitaine et le Conseil général de la Gironde, pour poursuivre ensuite dans le secteur de l’immobilier. Elle a notamment occupé plusieurs fonctions de directrice de développement immobilier chez Cirmad Ouest Atlantique (Bouygues) puis chez Vinci Construction, en charge notamment des programmes médico-sociaux, avant de rejoindre, en 2011, Pitch Promotion, en tant que directrice régionale.
Cécile Gauché, 34 ans, est nommée directrice financière et membre du comité de direction d’Euler Hermes France, à compter de décembre 2013. Diplômée de l’ESSEC, elle est entrée chez Euler Hermes France en mai 2003 après 2 ans au contrôle de gestion des AGF (devenu Allianz France). Elle devient successivement contrôleur de gestion, responsable de secteur de contrôle de gestion puis responsable du département contrôle financier en mars 2010.
Thierry Brevet va quitter prochainement son poste de directeur général du Fonds de dotation du Louvre. Après avoir créé le fonds en janvier 2010, doté de 120 millions d’euros, issus d’un accord intergouvernemental avec Abu Dhabi, Thierry Brevet a accompagné la croissance régulière de l’encours de ce fonds destiné à perpétuer le rayonnement international du musée en assurant le financement de ses grands projets pour les prochaines décennies. L’encours du Fonds de dotation du Louvre s'élevait fin 2013 à 153 millions d’euros. Il rejoint la compagnie d’assurance anglaise West Of England, où il exercera la fonction de secrétaire général et Chief Investment Officer (CIO). Il sera basé à Luxembourg, siège social de la compagnie. Son successeur au Fonds de Dotation du Louvre n’est pas encore connu pour le moment.
Chiffres clés au 31 décembre 2013 (Statistiques ASPIM - IEIF) : 157 SCPI gérées par 26 groupes Capitalisation : 29,96 milliards € Collecte nette : 2 499,83 millions € Transactions sur le marché secondaire : 522,63 millions € (soit 1,74% de la capitalisation) Retraits non compensés : 3,90 millions € Collecte brute: 3 026,27 millions € (soit 10,10% de la capitalisation) Augmentation de capital : 2 503,74 millions € par 58 SCPI de 23 groupes de gestion Lire la suite en pièce jointe
À l'occasion de sa participation à un Panel Instit Invest sur le thème de l'immobilier, Frédéric Bôl, président du directoire et fondateur de Viveris REIM, nous a confié sa vision du marché immobilier d'investissement pour les institutionnels.
Alain Pivert, ancien directeur général de NAMI AEW Europe (1980-2013), rejoint le cabinet de conseil en investissement Amadeis, en tant que consultant en charge du conseil en investissement immobilier. Cette collaboration a d’ores et déjà été concrétisée par une première opération : l’acquisition d’un immeuble de bureaux à Neuilly-sur-Seine pour le compte d’un family office, indique Amadeis dans son communiqué. Alain Pivert bénéficie d’une expérience de plus de trente ans dans le développement et la gestion de parcs immobiliers pour le compte d’institutionnels comme Natixis Assurances, ainsi que la création de véhicules d’investissements spécifiques (SCPI et OPCI). Son arrivée permettra à Amadeis d’offrir à ses clients une large gamme de services : audit du patrimoine immobilier, définition d’allocation d’actifs, conseil en valorisation et arbitrage d’immobilier physique, conseil en sélection et suivi de fonds immobiliers.
D’après un article de La Tribune de l’assurance publié ce mois-ci, les assureurs seraient de plus en plus intéressés par les collectivités territoriales qui se professionnalisent davantage dans la gestion des risques. Yannis Wendling, directeur de l’audit, du contrôle interne et de la gestion des risques du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, explique les raisons de cette tendance en l’illustrant avec le département dont il est responsable. Même si la plupart des collectivités territoriales n’ont pas encore adopté une culture du risque aussi développée que celles des entreprises privées, les choses évoluent pourtant dans le bon sens. « Le chemin parcouru au cours des quatre dernières années est assez significatif, précise Yannis Wendling. Nous avons réalisé la première cartographie des risques par direction en 2010, que nous avons par la suite consolidée au niveau du département ». Un premier rapport annuel sur le management des risques voit ainsi le jour quelques temps après. Deux ans plus tard, un rapport sur la cartographie des risques et le contrôle interne est présenté aux élus. Les offres d’assurance sont tellement florissantes que le département de la Seine-Saint-Denis n’a aucun problème pour couvrir tous ses risques, bien au contraire. « Que ce soit en responsabilité civile ou en dommages aux biens, les assureurs se montrent intéressés pour nous accompagner, note Yannis Wendling. L’appétence des compagnies pour les risques des collectivités se vérifie à chaque appel au marché. Même les violences urbaines de 2005 dans le département n’ont pas modifié substantiellement les perceptions des risques et les politiques de souscription des assureurs. » Comme pour les organismes publics, le conseil général est dans l’obligation de faire appel au marché public pour les demandes d’assurances. « Chaque lot fait l’objet d’un appel à concurrence », ajoute Yannis Wendling. En 2013, le montant total des dépenses assurances du département de la Seine-Saint-Denis s’est élevé à 1 135 990 euros pour 7 contrats. Le financement des projets d’investissement est également l’une des préoccupations majeures de toutes les collectivités territoriales. Même si les emprunts toxiques de ces dernières années sont encore dans l’esprit de chacun, certaines collectivités territoriales ont pourtant pris le taureau par les cornes pour les traiter efficacement. « Les élus et la direction financière du Conseil général se sont emparés très tôt du sujet, raconte Yannis Wendling. Nous gagnons des contentieux et certains établissements bancaires revoient leurs conditions de financement. Le niveau de nos expositions a fortement baissé puisque le stock de dettes structurées est passé de 93% en 2008, à environ 58% aujourd’hui. Plus globalement, nous n’avons pas de difficulté pour trouver des lignes de crédit, car le spectre des opérateurs s’est élargi notamment avec l’arrivée d’acteurs étrangers. Par ailleurs, dans une logique de diversification, de plus en plus de collectivités ont recours à des emprunts obligataires », conclut-il.
Interrogé dans le numéro de mars (n°1259) d’Option Finance, Jean-Jacques Berthelé, directeur général de la Carac, explique son choix de ne pas proposer des contrats « euro-croissance ». « En tant que mutuelles, nous veillons à proposer des produits lisibles et faciles à comprendre, précise le directeur général de la Carac. Par ailleurs, le contrat euro-croissance ressemble un peu à l’euro-diversifié qui n’a pas été un succès ». L’institution ne suit pas forcément la tendance actuelle de proposer les nouveaux contrats d’assurance vie créés par la loi de finances rectificative 2013, les « euro-croissances ». En revanche, concernant les contrats fonds en euros, « l’exposition aux actions a été renforcée, ce qui a contribué positivement à la performance du portefeuille : nous avons dégagé 180 millions d’euros de plus-values latentes à fin 2013, contre 60 millions d’euros à fin 2012. », explique-t-il.
Directeur général d'Indep'AM, société de gestion filiale de la Mutuelle des Artisans (MNRA), Frédéric Lagier nous décrit l'évolution récente de son allocation. Il relativise la notion de liquidité du point de vue de l'allocation stratégique. Pour lui, quand le passif de l'investisseur est long, le choix de titres illiquides peut s'avérer judicieux.
Résilience des marchés face aux tensions géopolitiques Nous titrions le mois dernier sur les problèmes politico-économiques des pays émergents, avec comme conclusion un impact à priori limité sur les marchés financiers des pays développés. Voilà qu’en février un des points chauds de l’univers émergent s’enflamme. La hausse des tensions autour de l’Ukraine peut-elle mettre à mal la bonne tenue, aujourd’hui confirmée, des marchés. Le parlement russe a autorisé à l’unanimité Vladimir Poutine à envoyer des troupes en Ukraine, sans limitation de nombre, ni de calendrier. Ce coup de force politique a été suivi par des man??uvres militaires en Crimée, sur la rive sud de l’Ukraine (dont Poutine prétend qu’elles ne sont pas l’??uvre de son armée). Les pays occidentaux menacent de boycotter le G8 de Sotchi prévu en juin, voire même d’en exclure la Russie pour revenir à un G7 formé exclusivement de pays développés. Lire la suite en pièce jointe
P { margin-bottom: 0.08in; } The new CEO of Pimco, Doug Hodge, in an interview with Financial Times fund management refutes the claim that his predecessor, Mohamed El-Erian, left due to a dispute with founder Bill Gross. “Mohamed informed us of his intention to depart, and we worked had to convince him to stay. He is clearly an exceptional person, an exceptional talent, but he really took his decision due to personal choices, personal reasons,” he says.
P { margin-bottom: 0.08in; } Virginie Maisonneuve, who since mid-January has been director of equity activities at Pimco, has suggested in an interview with the Börsen Zeitung that the equity unit is expected to undergo numerous changes in the next 12 months. Pimco, whose assets under management for third parties total about USD1.5trn, would like to reduce its dependence on bonds and develop its equity unit. Currently, actively-managed equity strategies represent USD12bn, in addition to which come index-based strategies, which weigh in at about USD43bn.
Joli pactole pour le directeur général de Jupiter. Edward Bonham-Carter, qui va céder son fauteuil à Maarten Slendebroek le 17 mars, a en effet vendu un million d’actions de la société de gestion britannique, empochant ainsi 4,36 millions de livres, révèle Citywire. C’est la première fois qu’Edward Bonham-Carter cède des actions de Jupiter depuis mars 2013, date à laquelle il avait vendu pour 750.000 livres d’actions sur le marché. L’actuel directeur général de la société britannique détient toujours un peu plus de 12 millions d’actions, soit 2,62 % du capital, et demeure dans le top 10 des actionnaires.Cette opération intervient quelques jours seulement après la publication de très bons résultats pour Jupiter, marqués notamment par une progression de ses profits avant impôts de 55 %, à 114,1 millions de livres.
Pour contrecarrer la baisse des rendements des fonds en euros, les assureurs cherchent à diversifier leur poche obligataire et à investir davantage sur les actions et l’immobilier. S’ils sont toutefois limités par leurs contraintes réglementaires et celles du produit, ils auront davantage de marge de man??uvre dans les nouveaux contrats euro-croissance. En dépit de certaines contraintes, certaines compagnies d’assurance comme AG2R La Mondiale parviennent à faire largement mieux que la moyenne du marché. L’assureur a affiché 4,75% brut sur un contrat dynamique et 3% sur les fonds en euros classiques. « Nous proposons un contrat en euros avec une garantie permanente mais qui est investi à 70% sur l’actif général et à 30% sur des actifs dynamiques à savoir des fonds que nous avons sélectionnés pour leur performance, précise Roger Bonne, directeur gestion assurantielle taux d’AG2R La Mondiale. Cela permet de délivrer des rendements plus élevés que les contrats en euros, mais en contrepartie les rendements peuvent être plus volatils d’une année sur l’autre. » La compagnie d’assurance n’hésite pas à prendre davantage de risque sur les obligations car « on peut jouer sur la courbe des taux qui est assez pentue pour aller chercher du rendement, précise Roger Bonne. Sur la partie longue, on peut trouver des rendements à 2,5% ou à 3% ». Concernant les nouveaux contrats d’assurance-vie créés par la loi de finance rectificative 2013, à savoir les euro-croissance, Roger Bonne prévient qu’il « sera difficile de délivrer de la performance sur un produit garanti avec des taux d’intérêt proches des points bas historiques. Avec les niveaux actuels, l’allocation d’actifs des contrats euro-croissance sera assez proche de celles des fonds en euros, c’est-à-dire schématiquement 80% d’obligations et 20% d’actions. Pour assurer leurs succès, il faudrait cependant qu’ils affichent une espérance de rendement supérieure aux fonds en euros et qu’ils aient recours à l’ingénierie financière, avec par exemple des produits structurés ».
Jean-Pierre Jouyet, directeur général du groupe Caisse des Dépôts, a procédé aux nominations suivantes : Catherine Mayenobe, directrice de cabinet auprès du directeur général, est nommée secrétaire générale du groupe Caisse des Dépôts. Sophie Quatrehomme, cheffe de cabinet, est nommée directrice de cabinet auprès du directeur général. Nicolas Chung, chef de projets d’investissement à CDC Climat, est nommé chef de cabinet auprès du directeur général. Leur prise de fonction est effective depuis ce jour. Catherine Mayenobe, conseiller maître à la Cour des comptes, est diplômée de l’Institut d'études politiques (IEP) de Paris (1986) et ancienne élève de l’Ecole nationale d’administration (promotion Jean Monnet 1988-1990) et du Program for Senior managers in Governement (Kennedy School - Harvard University 1993). Elle commence sa carrière à la Cour des comptes en tant qu’auditeur puis comme chargée de mission auprès des Premiers présidents Pierre Arpaillange et Pierre Joxe. En 1996, elle est nommée directrice administrative et financière puis directrice générale adjointe (2000) à la Compagnie nationale du Rhône avant de réintégrer la Cour des comptes en 2003. Elle est nommée rapporteur auprès de la commission pour la transparence de la vie politique et rapporteur adjoint auprès du Conseil constitutionnel (2005). En 2007, elle est déléguée dans les fonctions de secrétaire générale de la Cour des comptes avant de rejoindre en 2011 la Caisse des Dépôts comme directrice adjointe du développement territorial et du réseau, puis directrice de la mission « Programme d’investissements d’avenir ». Elle était parallèlement chargée de la mission de préfiguration « Paris capitale numérique » et était depuis janvier 2013 directrice de cabinet de Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des Dépôts. Sophie Quatrehomme, titulaire d’une maîtrise de Lettres modernes, d’un diplôme d'études approfondie en politiques nationales et politiques européennes des Etats de l’Union européenne ainsi que d’un DESS de géopolitique européenne, est diplômée du Centre national de la fonction publique territoriale. Elle débute sa carrière, en 2002, en tant que collaboratrice parlementaire. Elle devient ensuite, en 2005, conseillère technique chargée des relations avec l’Assemblée nationale au cabinet d’Henri Cuq, ministre délégué aux Relations avec le Parlement. En 2007, elle est nommée conseillère parlementaire au cabinet de Jean-Pierre Jouyet au secrétariat d’Etat chargé des Affaires européennes. De 2008 à 2010, elle exerce la fonction de conseillère parlementaire au cabinet de Bruno Le Maire, ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche. Elle devient, en mars 2010, conseillère pour les relations avec le Parlement et les relations institutionnelles de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Elle était depuis juillet 2012 cheffe de cabinet, conseillère de Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des Dépôts. Nicolas Chung, ingénieur en chef des mines, est un ancien élève de l’Ecole normale supérieure, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des télécommunications et d’un DEA de mathématiques de l’Université Paris XI - Orsay, agrégé de mathématiques. Dans un premier temps en poste à la Direction de la technologie du Ministère de l'éducation nationale (2001-2004), il devient conseiller technique auprès du Président de l’Association des Régions de France (2004-2006), puis rejoint le groupe Caisse des Dépôts, d’abord en tant que responsable des nouveaux services au Département du développement numérique des territoires de la Direction du développement territorial et du réseau (2006-2010), puis en tant que Chef de projets d’investissement à CDC Climat (2010-2013).
P { margin-bottom: 0.08in; } Winton Capital, the fourth-largest hedge fund firm in Europe, is planning to recruit up to 100 employees this year, as part of planned developments which include the launch of five funds and opening offices in New York, Tokyo and Sydney, the Wall Street Journal reports, on the basis of an interview with the founder of the firm, David Harding. The foreign offices will be opened by the end of this year, and will be composed of salespeople and analysts. Among the funds which will be launched, two will target European investors and two will target US investors. They will offer long-only equity strategies.
Le fonds vedette de Pimco, Total Return Fund (237 milliards de dollars) géré par Bill Gross, a réduit de moitié son exposition à la dette canadienne à 2 % de son portefeuille au troisième trimestre, contre près de 4 % un an plus tôt. Cela intervient alors que des inquiétudes planent sur le marché immobilier local, qui serait surévalué.