Arié Assayag va quitter l'Union Bancaire Privée (UBP) à la fin du mois, selon les informations de Bloomberg. Il occupait au sein de la banque spécialisée dans le private banking le poste de head of alternative investments.
La réglementation donne plus de responsabilité aux membres du conseil. Et impose un programme de formation adapté pour disposer des compétences requises.
Marc Maurel a créé Maurel & Cie Holding il y a 12 ans. La société s’est principalement développée sur le conseil en épargne salariale et en actionnariat salarié des PME.
La dernière étude de PhiLinx relève un renforcement des institutionnels dans l’immobilier. La directive AIFM pourrait changer la nature des SCI « club deal ».
L’ERAFP, le groupe Caisse des Dépôts, le FRR et l’Ircantec se sont engagés à publier d’ici décembre 2015 l’empreinte carbone de leur portefeuille d’actions cotées, mettre à jour cette mesure sur une base annuelle et bâtir des initiatives pour réduire significativement à terme l’empreinte. Dans un communiqué, les investisseurs ont indiqué vouloir être en cohérence avec leur vocation d’investisseurs responsables de long terme et conscients des impacts que les conséquences du changement climatique pourraient avoir sur la rentabilité de leurs portefeuilles d’actifs, ainsi que du rôle qu’ils peuvent jouer dans le financement d’une économie moins émettrice de gaz à effet de serre.
La conférence annuelle des investisseurs pour la croissance, organisée par l’AFIC, au Pavillon Gabriel à Paris, le 20 mai 2015, a été l’occasion de faire le point sur les levées de fonds en compagnie d’investisseurs. Hélène Falchier, responsable des investissements Private Equity de CNP Assurances, Laurent Durdilly, directeur Private Equity Real Estate et Securisation chez CACEIS, Arnaud David, associé chez King & Wood Mallesons, Eric Neuplanche, président fondateur de Capital Croissance et Jean-Michel Beghin, associé gérant de Keensight Capital, ont participé au débat.
La Commission européenne n'a pas l'intention d'introduire une initiative parlementaire sur le statut de mutuelle européenne. Bruxelles n'est pas arrivée à trouver un consensus, au regard des réticences de l'Allemagne.
L’évocation par Benoît Cœuré d’une légère augmentation des rachats d’actifs de la BCE avant l’été a entraîné une baisse des rendements d’Etat et de l’euro. Cette déclaration intervient avant la publication des chiffres d’inflation de mai et des prévisions du staff de la BCE les 2 et 3 juin.
Dans un environnement de taux bas, les investisseurs institutionnels ont tendance à revoir leur approche générale et à s’intéresser à des classes d’actifs qui leur sont moins familières et à des stratégies moins contraintes, selon l’enquête 2015 réalisée par Mercer sur quelque 1.100 portefeuilles institutionnels dans 14 pays européens représentant plus de 950 milliards d’euros d’encours («European Asset Alloocation Survey»). L’allocation moyenne en gestion alternative s’est accru en un an de 2 points de pourcentage, passant de 12% à 14% du total des actifs. Au Royaume-Uni, l'évolution est encore plus marquée, avec une réduction de 6 points de pourcentage des allocations actions sur les deux dernières années, au profit pour l’essentiel des allocations alternatives. Autre évolution significative, le recours croissant aux stratégies passives pour les actifs traditionnels coeur de portefeuille, actions et obligations. Du côté actions, l’allocation moyenne investie passivement atteint 49%, contre 45% en 2014. Du côté obligataire, la part de la gestion passive est passée de 37% à 44%. L’enquête relève également une prise en compte de plus en plus importante des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Seulement 35% des institutionnels interrogés indiquent ne pas prendre en compte ces facteurs, contre près de la moitié (48%) en 2014. Parmi les facteurs ayant contribué à cette évolution, l’impact financier potentiel et la gestion du risque de réputation.
Après avoir intégré pour la première fois des fonds de performance absolue dans l'allocation du Fonds de dotation du Louvre, Philippe Gaboriau, le directeur, nous dévoile les principaux changements pour 2015 : plus de gestion active, une plus grande flexibilité dans la poche obligataire et un moindre recours aux consultants.
Stéphane Toullieux a annoncé lundi 18 mai l’acquisition de 55% du capital d’Athymis Gestion via sa société de conseil et d’investissement TTLX, avec laquelle «il souhaite constituer un pôle de participations dans des sociétés innovantes à fort potentiel de croissance», indique un communiqué. Cette opération intervient quelques semaines après l’entrée de TTLX au capital de la société de gestion Trusteam Finance à hauteur de 5 % (lire Newsmanagers du 22/04/2015). Athymis Gestion est une société spécialisée en allocation d’actifs et sélection de gérants pour les conseillers en gestion de patrimoine. Elle dispose de 92 millions d’euros d’actifs sous gestion dont 85 millions investis dans des OPCVM et le solde dans des mandats de gestion. En pratique, l’ancien directeur général de la Financière de l’Echiquier rend la présidence de la structure dont Tristan Delaunay, co-fondateur, restera directeur général.Stéphane Toullieux a indiqué qu’avec les associés fondateurs, qui restent au capital de l’entreprise, il souhaite mettre en place «une gamme de fonds de securities picking à forte valeur ajoutée». Pour sa part,T ristan Delaunay a fait part de son intention de lancer de nouveaux chantiers de recherche en allocation d’actifs au service des conseillers en gestion de patrimoine. Notamment en lançant de nouvelles publications, de nouveaux fonds et des services inédits destinés aux clients actuels et futurs.
Jérôme Kerviel a déposé une plainte contre X pour escroquerie au jugement, indique Le Figaro sur son site. Cette plainte intervient alors que la commandante de police de la brigade financière, chargée de l’enquête sur les pertes de la Société générale début 2008, a avoué devant le juge d’instruction Roger Le Loire, le 9 avril dernier, avoir des doutes, selon le site d’information Mediapart. Nathalie Le Roy s’est dit certaine que la banque ne pouvait ignorer les agissements de son ex-courtier. Réagissant à ses déclarations, la Société Générale a rappelé dans un communiqué que «l’affaire liée aux agissements frauduleux de Jérôme Kerviel remonte maintenant à plus de sept ans et a fait l’objet de plusieurs décisions de justice qui ont toutes reconnu la culpabilité pénale exclusive de Jérôme Kerviel».En théorie, la justice qui a condamné Jérôme Kerviel a tranché définitivement sur ce dossier. Mais la plainte pour escroquerie au jugement déposée par l’ancien trader de la Société générale pourrait changer la donne. Elle pourrait déboucher sur une mise en cause de la responsabilité pénale de la Société générale et/ou des responsables de la banque. Ces éléments pourraient alors être le socle pour l’ouverture d’un procès en révision.De son côté, Société générale «s'étonne des déclarations qui auraient été faites par un policier au juge d’instruction parisien en charge des plaintes déposées par Jérôme Kerviel alors qu’il avait lui-même déclaré aux policiers qui l’interrogeaient en janvier 2008 qu’il avait agi seul et à l’insu de sa hiérarchie». La banque souligne en outre avoir «déposé deux plaintes pour dénonciation calomnieuse pour répondre aux deux plaintes déposées par Jérôme Kerviel». Reste à savoir qu’elles seront les suites judiciaires réservées à ces plaintes.
Malgré son engouement pour l’histoire et l’économie, Philippe Desfossés, directeur de l’ERAFP, pousse les portes de Sciences Po à Paris un peu par hasard en 1976. Il passera pourtant par l’ENA quelques années plus tard, annonçant ainsi une longue carrière dans la fonction publique.
Dans un contexte économique et social tendu et malgré des taux d’intérêt historiquement bas, la finance solidaire continue de convaincre et enregistre encore une belle progression en 2014 (+ 13,6 % pour l’encours de l’épargne solidaire). Avec un encours qui dépasse 6,8 milliards d’euros au 31/12/2014, les indicateurs du secteur, présentés dans le 13ème Baromètre de la finance solidaire Finansol/La Croix, révèlent des performances dynamiques et plus homogènes dans toutes les composantes de cette épargne, même si l’on note une légère décélération des rythmes de croissance. ’Au regard du contexte actuel, nous nous félicitons de l’évolution de la finance solidaire en 2014. Cette nouvelle édition du Baromètre de la finance solidaire prouve que les épargnants sont de plus en plus nombreux à faire le choix de l’épargne solidaire et lui restent fidèles. En plaçant solidairement leur épargne, ils soutiennent des entreprises qui apportent des réponses concrètes aux enjeux économiques et sociaux de notre société’’, déclare Sophie des Mazery, Directrice de Finansol. L’épargne bancaire solidaire, une croissance record en 2014 Bien que l’épargne salariale solidaire reste la locomotive de l’épargne solidaire – elle représente 60,5% de l’encours total en 2014 –, l’épargne bancaire solidaire enregistre la plus forte progression annuelle et laisse entrevoir de belles perspectives avec une augmentation de son encours de +17,2% pour atteindre 2,23 milliards d’euros. ‘’La très forte dynamique de l’épargne salariale solidaire que nous avons connue depuis 2010 semble se ralentir. Il est donc essentiel de susciter de nouveaux leviers de développement pour la finance solidaire. La progression sensible des encours bancaires en 2014 confirme que les banques ont de réelles opportunités à saisir en commercialisant de manière plus volontariste les placements solidaires. Certains établissements financiers l’ont d’ailleurs bien compris en mettant en place des politiques de promotion ambitieuses’’, commente Sophie des Mazery, Directrice de Finansol. L’épargnant bancaire solidaire apparaît sous les traits d’une femme, âgée de 52 ans environ, vivant en région Rhône-Alpes et épargnant 11 510 € en moyenne. + 28% de financement en faveur de l’utilité sociale et environnementale Année après année, la finance solidaire s’ancre un peu plus sur les territoires et dans le paysage du financement des activités économiques au service de tous. Ainsi, en 2014, ce sont 240 millions d’euros supplémentaires (+ 28 %) qui ont été investis dans des entreprises et associations à forte utilité sociale et environnementale. Cette croissance significative permet aux épargnants d’agir concrètement en faveur de la lutte contre le chômage et le mal-logement, pour le développement de l’agriculture biologique et des énergies renouvelables, ainsi qu’en faveur de l’entrepreneuriat dans les pays en développement, … La finance solidaire, un circuit de financement qui permet à chacun de participer à une meilleure cohésion sociale A l’heure où la France enregistre un taux de chômage record de plus de 3,5 millions de demandeurs d’emplois, la finance solidaire a permis en 2014 de financer et soutenir plus de 1 200 associations et entreprises exerçant une activité d’utilité sociale et environnementale. Alors que 74 000 postes ont été détruits en 2014 dans le secteur marchand*, ce sont ainsi 43 000 emplois qui ont été consolidés, grâce à la finance solidaire, dont 5 200 pour des personnes en situation d’exclusion du marché du travail. En outre, alors que le mallogement est l’un des visages de la précarité, la finance solidaire a permis en 2014 d’accompagner près de 5 000 nouveaux bénéficiaires vers un logement décent (logement individuel très social, EHPAD…). ‘’Ces résultats sont cette année encore encourageants et devraient convaincre de nouveaux épargnants d’apporter leur contribution à cette finance socialement utile. Tous les membres de Finansol devraient également en tirer des conclusions quant aux perspectives qui s’offrent à eux au moment où ils célèbrent leur vingt années d’association au sein de Finansol : proposer de manière volontariste des produits solidaires répond à une forte attente des épargnants et ces derniers répondent positivement quand ils sont sollicités’’ déclare Frédéric Tiberghien, Président de Finansol.
L'ex-directeur général de la Financière de l'Echiquier, par le biais de sa holding TLLX, aurait pris une participation majoritaire au sein du capital de la société de gestion Athymis, ce qui devrait lui permettre d'être rapidement nommé président de la structure.
La Banque nationale suisse (BNS) surveille la parité du franc suisse contre un certain nombre de devises et est satisfaite de l’impact des taux d’intérêt négatifs, a déclaré l’un des membres de la direction générale de la banque centrale helvétique. «Le franc suisse est encore valorisé à un niveau très élevé. Tous nos modèles le montrent», a dit Fritz Zurbrügg dans une interview publiée lundi par le quotidien suisse Berner Zeitung. Il a également affirmé que la BNS pourrait augmenter son bilan, signe que la banque centrale serait peut-être prête à intervenir sur le marché des changes pour faire baisser le franc.
Coe-Rexecode et l’AFTE publient ce jour les principaux résultats de l’enquête mensuelle de mars 2015 sur la trésorerie des grandes entreprises. Elle s’est déroulée entre le 6 et le 13 mai. L’enquête, qui vient de passer le cap des dix ans et qui est largement reprise dans la presse, ne demeurera statistiquement pertinente que si de nombreux trésoriers l’alimentent de leurs observations. Merci de répondre au prochain questionnaire qui vous sera adressé le 3 juin : cela ne prend que quelques minutes. En résumé : Tous les indicateurs de l’enquête se sont retournés depuis quelques mois et s’orientent vers une zone défavorable ; La trésorerie globale des grandes entreprises et des ETI se dégrade et évolue de manière plus défavorable qu’anticipée par les trésoriers ; L’évolution des prix des matières premières et du pétrole sur les trésoreries est redevenue négative pour une courte majorité de trésoriers ; Les recherches de financement sont jugées aisées mais leur tendance à l’amélioration est interrompue ; Les placements très liquides restent privilégiés par les trésoriers. Les mouvements récents de remontée des taux d’intérêt ne semblent pas avoir modifié jusqu’à présent leurs préférences en matière de supports de placement. Les résultats détaillés sont consultables en cliquant ICI
Benoît Coeuré, membre du directoire de la Banque Centrale Européenne (BCE) a reconnu, lors d’un échange informel le 13 mai avec les commissions des finances et des affaires européennes de l’Assemblée nationale, que le modèle économique des assureurs pouvait être malmené du fait de la politique monétaire européenne actuelle d'assouplissement quantitatif.
Mirabaud Asset Management (Mirabaud AM) se renforce en Espagne. Le gestionnaire d’actifs vient en effet de recruter Emilio Barberá au sein de son équipe à Barcelone en qualité de «Senior Portfolio Manager» et analyste pour son fonds Spanish Equities. «La nomination d’Emilio Barberá intervient à un moment où les actions espagnoles suscitent un regain d’intérêt de la part de nombreux investisseurs du monde entier», observe la société de gestion dans un communiqué. De fait, son fonds en actions espagnoles vient de dépasser la barre des 120 millions d’euros d’encours. Emilio Barberá, qui compte 17 ans d’expérience, travaillait auparavant chez Inverseguros à Madrid où il a géré un fonds actions espagnoles et divers fonds européens au cours des 13 dernières années. Au sein de Mirabaud Asset Management, Emilio Barberá assumera les fonctions de «Deputy Portfolio Manager» pour le fonds Mirabaud – Equities Spain et d’analyste actions espagnoles alors que Gemma Hurtado San Leandro conservera le poste de «Lead Portfolio Manager» et continuera de diriger l’équipe.
Quels sont vos derniers arbitrages ? Gilles Dupin : Ces quatre dernières années, nous avons donné la priorité à l’immobilier. Même si le groupe n’a jamais cessé d’investir dans cette classe d’actifs, ses engagements ont récemment considérablement augmenté. Nous possédons aujourd’hui un parc immobilier de près de 70 immeubles, qui représente un peu plus de 200 000 mètres carrés de surface pour une valeur supérieure à 1 milliard d’euros. Ces derniers temps, nous avons beaucoup investi à Paris, mais historiquement nos investissements se situent aussi dans les grandes métropoles régionales (Lille, Marseille, Toulouse…). Nous possédons surtout des immeubles de bureaux, mais il nous reste encore quelques biens résidentiels à vendre. Parmi nos autres stratégies, nous avons intégré plusieurs fonds actions thématiques, notamment sur le secteur de la santé. Nous avons vendu la totalité de notre gestion alternative en 2006, mais nous avons investi dans quelques fonds de private equity (comme Latour Capital). Le problème de cette classe d’actifs reste les frais de gestion, qui sont excessifs, au minimum 2 % sur les engagements souscrits. Certains gestionnaires peuvent les justifier grâce à leurs performances, mais il est difficile de sélectionner les bons. Par ailleurs, en nous inspirant de la politique menée par les banques centrales pour la gestion de leurs réserves, nous avons acheté l’équivalent de 2 tonnes d’or physique en investissant dans un fonds commun de placement créé par la Financière de la Cité. Ce dernier est stocké à Zurich dans les coffres de Crédit Suisse, sous la responsabilité de BNP Securities Services. Nous croyons en la valeur refuge de l’or, d’autant plus aujourd’hui où nous avons aussi peu de visibilité sur les marchés. Dans ce contexte, nous allons par ailleurs continuer à adopter une gestion très liquide. Que représentent aujourd’hui vos liquidités ? Gilles Dupin : Globalement, nous détenons directement 460 millions de liquidités sur les 6 milliards d’encours gérés. C’est un choix visant à limiter les risques. Comme nous possédons une part importante d’actifs risqués dans les portefeuilles de nos fonds en euros dont le passif peut varier, nous devons être capables de mobiliser rapidement de la trésorerie en cas de besoin. Pour cela, nous privilégions les fonds monétaires. Nous n’avons pas de livrets bancaires et plus de comptes à terme, compte tenu des faibles rémunérations offertes aujourd’hui par les banques. Nous investissons à travers des OPCVM ouverts mais, avec l’un de nos gérants, nous avons adopté pour règle de l’informer avec un préavis de trois à quatre semaines avant tout retrait de fonds. Ainsi, cela permet au gérant d’acquérir des titres un peu plus longs et rémunérateurs. Ce fonds monétaire dynamique nous offre ainsi une performance encore supérieure à 1 %. Investir aujourd’hui sur des sicav monétaires qui ne rapportent que quelques centimes, voire laisser les fonds sur des comptes paraît une option préférable à une prise de risque inconsidérée et mal rémunérée. Quelles sont vos préoccupations sur les marchés ? Gilles Dupin : Les taux sont beaucoup trop bas. Or la valeur d’une obligation augmente lorsque les taux d’intérêt baissent. Les portefeuilles obligataires se sont valorisés dans des proportions considérables, cela fausse l’opinion de leurs détenteurs en créant l’illusion d’une richesse en partie artificielle. Aujourd’hui, s’ils revendent les obligations, dans quoi vont-ils investir ? La plus-value obligataire n’est qu’une forme d’anticipation des produits futurs. De plus, une remontée des taux, quel que soit le scénario économique, reprise ou récession, paraît inévitable. Dans ce contexte, nous restons persuadés qu’une politique financière cherchant à protéger les portefeuilles contre l’inflation doit être privilégiée même dans le contexte actuel. Au-delà des risques de tensions sur les taux et de poussées inflationnistes à long terme, elle est adaptée à la nature des engagements à long terme pris envers les sociétaires et clients du groupe, notamment ceux qui ont adhéré à nos régimes de retraite en points gérés par capitalisation.
Principal client de la banque HSBC, Dmitry Rybolovlev serait-il en train de manœuvrer pour sous évaluer son patrimoine ? Après avoir investi l'île de Chypre et succombé aux sirènes des paradis fiscaux, les journalistes de Médiapart nous apprennent que l’oligarque russe aurait sollicité l’ancien N°1 d’HSBC Private Bank Monaco, Gérard Cohen, afin de produire « des faux en écriture » dans l’affaire qui l’oppose au marchand d’art Yves Bouvier.
D’une année sur l’autre, le classement des premiers assureurs vie bouge peu : celui de 2014 reste conforme à celui de 2013. CNP Assurances reste rivé à la première place avec plus de 20 Md€ de cotisations nouvelles, soit 3 Md€ de plus qu’en 2013, année sombre pour le premier assureur de personnes. Son challenger, Crédit agricole Assurances, le suit de près. Toujours au coude à coude, BNP Paribas Cardif (3e du classement) et Société générale Insurance (4e) voient leurs places permutées par rapport à l’an dernier : ce changement se joue à quelques millions d’euros près, alors qu’en assurance vie, l’unité de mesure est plutôt le milliard.
Eres, premier acteur indépendant en actionnariat salarié, retraite et épargne salariale, publie les résultats de l’édition 2015 de son étude sur l’actionnariat salarié des entreprises du SBF120.
Lors d’une interview publiée dans Newsmanagers, Marie Lemarié, directrice des investissements de Groupama, a expliqué pourquoi l’assureur ne comptait pas investir dans les hedges funds et le private equity.
La modification du calcul de la balance courante chinoise intervient avant un éventuel ajustement du panier des droits de tirage attendu d'ici à novembre.
Jean-Michel Girardon vient d’être élu nouveau Président de Générations E.R.I.C. Il dévoile le dispositif que le think tank souhaite mettre en place dans les entreprises françaises. Interview parue sur simul-retraite.fr.