Le groupe de protection sociale va dépasser les 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires à fin 2016. En 2015, son chiffre d’affaires a progressé de 24 %, à 1,6 milliard d’euros. Changement d'échelle pour Apicil. Sur la période de son plan stratégique 2011-2016, le cinquième groupe de protection sociale français aura plus que doublé son chiffre d’affaires en assurances. Alors qu’il s'élevait à 1 milliard d’euros en 2011, celui-ci devrait dépasser les 2 milliards d’euros à la fin de cette année, annonce Philippe Barret, son directeur général. Ce qui est « en ligne avec notre business plan d’origine », souligne-t-il. Le groupe lyonnais aura notamment grandi sous l’effet des acquisitions successives des activités de Skandia en France et au Luxembourg en 2015, puis de Legal & General France (plus de 600 millions d’euros de chiffre d’affaires en santé-prévoyance et en épargne l’an dernier). Rebaptisée « Gresham », cette dernière entité est consolidée dans les comptes à partir du 1er janvier 2016. Un résultat affecté par la baisse des taux d’intérêt Pour 2015, Apicil a publié jeudi un chiffre d’affaires en hausse de 24 %, à 1,64 milliard d’euros, rééditant la performance de 2014. Avec Skandia, le chiffre d’affaires en épargne a bondi de 74 %, tandis que la part des unités de compte dans l’encours est passée de 19,1 % à 33,4 %. Le groupe indique avoir fait également mieux que le marché en santé (+6,8 %) comme en prévoyance (+ 2,9 %). La baisse des taux d’intérêt , qui vient renchérir les provisions pour les arrêts de travail et les rentes, a pesé sur son résultat net, en retrait de 4%, à 38,6 millions d’euros. Si les fonds propres d’Apicil ont augmenté de 3,7 % l’an dernier, à 943 millions d’euros, sa rentabilité sur fonds propres s’est légèrement effritée, passant de 4,6 % en 2014 à 4,2 % en 2015. « L’ambition est d’améliorer cet indicateur pour le faire tendre vers 7 % », indique Philippe Barret. Pour s’adapter au nouvel environnement prudentiel de Solvabilité II, Apicil s’apprête à créer cette année une société de groupe assurantiel de protection sociale (Sgaps). Cette structure doit rassembler Apicil Prévoyance, ses filiales (Apicil Assurances, Skandia, Gresham) ainsi que les mutuelles Micils, Intégrance et Miel Mutuelle. Deux autres mutuelles, MBTP Sud-Est et MBTP Nord, « devraient aussi rejoindre ce périmètre au 1er janvier 2017 », indique Philippe Barret. Apicil confirme par ailleurs avoir été sollicité par l’institution de prévoyance B2V Prévoyance qui rencontre « certaines difficultés » et y avoir « répondu favorablement ».
Dans une interview au Financial Times, Greg Johnson, le directeur général et président de Franklin Resources, prédit une vague de concentration dans le secteur de la gestion d’actifs, en raison du mouvement massif des investisseurs de la gestion active vers la gestion passive à bas coûts. Le dirigeant estime que le secteur pourrait faire des économies par le biais de fusions et acquisitions en consolidant les forces commerciales et les autres infrastructures de distribution. Mais il souligne que les opérations restent difficiles car les sociétés ont des cultures différentes et fusionner des fonds exige l’accord des conseils d’administration indépendants des fonds. « Plus la société est grande, plus ce sera difficile », commente Greg Johnson. « Je ne vois aucun des 10 principaux acteurs fusionner. Mais nous verrons de l’activité dans le milieu du marché », ajoute-t-il.
Partech Ventures, fonds de capital-risque spécialiste du numérique et des technologies de l’information et de la communication, a recruté en tant que general partner Emmanuel Delaveau, qui a développé pendant neuf ans l’activité private equity de CNP Assurances. Il aura pour mission d’accélérer la structuration des relations avec les investisseurs et d’orchestrer la stratégie de croissance de la société de gestion au niveau international depuis le bureau parisien. Partech Ventures a également nommé Reza Malekzadeh general partner. Cet entrepreneur viendra renforcer l’équipe d’investissement en venture composée de Philippe Collombel et Jean-Marc Patouillaud à Paris, Nicolas El Baze à San Francisco et Olivier Schuepbach à Berlin.
Le groupe Prévoir a annoncé un résultat net consolidé en hausse de 2,8%. Il s’établit à 44,36 M€. Le chiffre d’affaires consolidé s’élève à 557,1 M€ contre 539,3 M€ en 2014, soit une progression de 3,3%. Il est notamment tiré par l’activité prévoyance qui affiche une augmentation de 13% du chiffre d’affaires des affaires nouvelles et par Prévoir Partenaires, l’activité en marque blanche qui réalise une progression de 39,5%. Cette activité représente 14% du chiffre d’affaires total. Le groupe, présent au Portugal, en Pologne, au Vietnam et au Cambodge (micro-assurance), réalise un chiffre d’affaires à l’international de 33,9 M€, en hausse de 36%. Il représente 6% du chiffre d’affaires du groupe. **3,5 MD€ D’ENCOURS FIN 2015 ** L’encours des provisions mathématiques et techniques du groupe atteint 3 553,3 Md€ à fin 2015 en hausse de 3,8%. Les placements s’élèvent, eux, à 4 038,5 M€ (+4,4% par rapport à 2014). Le groupe précise que la réserve pour participation aux bénéfices s’élève à 3,67% des provisions mathématiques de Prévoir-vie à fin 2015. PERSPECTIVE STABLE POUR LE GROUPE Enfin, et bien que non côté, le groupe est noté par les agences de notation Fitch Ratings et Standard & Poor’s. Fitch Ratings a attribué une note de A pour les sociétés d’assurance Prévoir-Vie et Prévoir-Risques Divers et A- pour la holding Société Centrale Prévoir, avec une perspective stable. Les compagnies d’assurance du Groupe ont obtenu A- et la holding Société Centrale Prévoir BBB de la part de Standard & Poor’s, avec une perspective stable.
Les plus grands assureurs sont déjà équipés pour la plupart pour suivre leurs actifs de diversification. Certains ont souvent créé leur propre société de gestion et internalisé par ce biais l’analyse financière, comme c’est le cas pour le Groupe Pro BTP. Véronique Leroux, directrice générale adjointe administratif et financier du groupe de protection sociale, a expliqué pourquoi lors d’une interview accordée à l’Agefi.
Le 6ème réseau mondial d’audit, d’expertise comptable et de conseil RSM, renforce, en France, son équipe dédiée aux institutions financières, couvrant les trois domaines d’activité clés: Banque, Assurance et Asset Management. RSM accueille quatre nouveaux professionnels au sein de son bureau de Paris. Il conforte son ancrage dans le secteur bancaire avec Nathalie Renauld (associée) et Annie Hoareau (directeur). En parallèle, il étoffe son savoir-faire dans l’assurance avec l’arrivée de Gaël Léger (directeur) et Anne Seibel (directeur au sein de son pôle juridique et fiscal). Nathalie Renauld et Annie Hoareau ont en particulier développé des compétences pointues et reconnues en amélioration de la performance et accompagnement de grandes institutions financières, sur des projets de fusion-acquisition et transformation, notamment dans la mise en conformité avec les nouvelles réglementations applicables au secteur bancaire. Gaël Léger apporte son expertise normative et sa connaissance opérationnelle des enjeux comptables et prudentiels du secteur de l’assurance. Anne Seibel intervient à leurs côtés sur les projets d’optimisation de la fonction fiscale et de suivi du taux effectif d’imposition.Nathalie Renauld, associée, a rejoint RSM en janvier 2016 pour renforcer l’activité de la Banque et du secteur public. Diplômée de HEC, expert-comptable et commissaire aux comptes, elle dispose d’une double compétence en audit et conseil. Elle a débuté sa carrière chez Arthur Andersen avant de créer sa propre activité dans le secteur public et le secteur financier.Annie Hoareau, directrice, a rejoint le cabinet RSM fin 2015 pour renforcer l’offre de conseil autour des enjeux réglementaires et normatifs du secteur bancaire (CRD-IV, IFRS9 notamment). Elle est diplômée d’une Maîtrise de Sciences Economiques et de Gestion d’Assas et d’un Master en Contrôle de Gestion de l’ESCP. Elle dispose d’une expérience de seize ans en conseil dans les domaines de la gestion opérationnelle et la maîtrise des risques de projets de reporting et de pilotage financier acquise notamment chez BearingPoint, Protiviti et au sein de son propre cabinet.Gaël Léger, Directeur au sein de RSM, a rejoint le cabinet en mars 2016, afin de renforcer l’activité dédié au secteur de l’assurance. Il est diplômé de Sup de Co Clermont-Ferrand et titulaire du MBA Management de l’entreprise d’assurance de l’Ecole Nationale d’Assurance. Gaël Léger a débuté sa carrière chez Scor, où il a exercé les fonctions de contrôleur de gestion, puis d’auditeur interne, avant de rejoindre SwissLife France, en tant qu’adjoint au directeur de l’audit et du contrôle de gestion. Il a ensuite créé sa propre activité de conseil. Il a exercé les fonctions de responsable des normes comptables et prudentielles au sein de trois groupes majeurs de bancassurance (BNP Paribas - Cardif, Crédit Agricole Assurance et Société Générale Assurance). Il a également participé activement aux travaux de place sur la transposition comptable de la Directive Solvabilité 2 et l’application des normes IFRS à l’activité d’assurance.Anne Seibel rejoint le pôle juridique et fiscal de RSM en tant que directeur. Elle est titulaire du CAPA et d’un DESS de droit des affaires et fiscalité. Anne Seibel a débuté sa carrière chez PDGB, cabinets d’avocats d’affaires. Elle intègre par la suite le monde mutualiste chez Covéa puis assurantiel chez Generali. Anne Seibel a une expertise en fiscalité corporate.
Institutional investors are showing increasing demand for alternative investments. According to a study by BNY Melon, undertaken in partnership with FTRemark, these investors are noticeably increasing their allocation to these asset classes in order to obtain better returns in a context of very low interest rates.According to the study, based on interviews with directors of the 400 largest institutional investors worldwide, private equity represents the most popular alternative strategy, accounting for 37% of exposure to alternative assets for the investors surveyed. This is followed by infrastructure and real estate, which both represent slightly under 25% of their exposure. Hedge funds represent only 14% of their allocation to alternative assets. In a sign of the attraction of private equity, 53% of respondents surveyed said that they were planning to increase their allocation to this asset class in the next 12 months.The appetite of investors for alternative assets owes nothing to chance. 93% of institutionals surveyed say that these investments met or exceeded their expectations in terms of returns over the past 12 months, while 65% of investors say that their alternative investments have earned returns of at least 12%, and 28% of respondents even point to returns of 15% or more.The future is bright for alternative investment. 39% of investors surveyed are planning to increase their allocation to these asset classes (private equity, hedge funds, infrastructure, real estate) in the next 12 months, while only 6% of investors are planning to reduce their allocation to these assets. 53% of investors are planning to increase their allocation to private equity, while 36% of respondents are planning to increase their allocation to real estate. 40% of investors would like to increase their allocation to infrastructure, while 25% of them are planning to increase their allocation to hedge funds in the next 12 months.
Les classes d’actifs dites alternatives au sens large pourraient supplanter les actifs traditionnels dans les allocations pour de nombreuses raisons liées autant aux conditions de marché, qu’au contexte règlementaire. Toutefois, cette tendance est lente et nécessite d’engager une véritable réflexion stratégique et une action pédagogique au sein des instances décisionnaires. Un article signé Christel Bapt, président de Cedrus Partners avec Matthieu Broquere, le directeur Pôle entreprises et Family Business.
Selon nos informations, Alexandre Piazza, jusqu’alors directeur des investissements de la Mutuelle d’Ivry La Fraternelle (MIF) va quitter ses fonctions pour rejoindre Groupama AM, en tant que responsable des investissements ALM, clientèle externe et caisses régionales, à compter du 1er juillet. Il aura notamment pour objectif de dynamiser la clientèle externe, à savoir les assurances et les mutuelles, de l’asset manager. Il évoluera sous la direction de Claire Bourgeois, directrice des investissements ALM et membre du comité de direction. Alexandre Piazza a débuté sa carrière professionnelle en tant que sales dans les produits dérivés énergie au sein de BNP Paribas, à Londres, en 2007. L’année suivante, il rejoint Dalkia (groupe EDF) où il est nommé trader dans les produits dérivés énergie. En mai 2010, il pousse les portes de MIF Assurances, tout d’abord aux fonctions de gérant fixed income, puis de directeur des investissements à partir de 2013. Depuis cette même année, Alexandre Piazza dispense des cours sur la gestion obligataire au sein de la Faculté Panthéon Assas. Il est diplômé du magistère Banque-Finance de cette même université en 2008. Il s’attèle actuellement à l'écriture d’une thèse intitulée «Dynamic Fixed Income Trading for a Life-Insurance Company under ALM and Accounting Constraints».
L’Allemagne souhaite que l’Union européenne durcisse sa législation encadrant les émissions de CO2 des automobiles, a annoncé hier le ministère des Transports, confirmant une information du Handelsblatt. Cette proposition intervient après la publication le mois dernier d’un rapport d’enquête montrant que 30 modèles dégageaient des niveaux élevés de CO2. Le document entend également faire en sorte que les constructeurs soient contraints de dévoiler les dispositifs utilisés pour préserver les moteurs lorsque ceux-ci sont fortement sollicités.
La caisse de pensions du CERN (organisation européenne pour la recherche nucléaire), qui détient 3,4 milliards d’euros d’encours sous gestion, a l’intention d’augmenter son exposition au private equity. Nicolas Salomon, responsable au sein du Portfolio Management Committee, a en outre indiqué à Instit Invest que le fonds de pension allait diminuer d’un tiers ses investissements dans la gestion alternative. L’ambition est d’accroître, dans le même temps, la performance fournie par cette classe d’actifs.
A quelques semaines du départ du Tour de France, Nicolas Salomon finalise les derniers préparatifs. En grand passionné de vélo, ce cycliste amateur va lui-même rouler dans l’une des étapes les plus dures du parcours 2016, le temps d’une journée où la course est ouverte aux cyclotouristes du monde entier. De Dublin à Genève, en passant par l’île de Jersey, découvrez l’itinéraire de Nicolas, responsable au sein du Portfolio Management Committee de la Caisse de pensions du CERN.
Le Parti de la liberté (FPÖ) autrichien va très probablement contester le résultat de l'élection présidentielle remportée de justesse le 22 mai par le candidat indépendant Alexander van der Bellen aux dépens du candidat du parti d’extrême droite, Norbert Hofer, a déclaré samedi le chef du FPÖ dans une interview à la radio autrichienne Ö1. Il a ajouté que son parti prendrait sa décision d’ici à mercredi, date butoir pour le dépôt des recours.
Selon nos informations, suite au départ le 3 juin dernier de Vandad Ghiassi, le Conservateur recherche un profil senior pour l'équipe investissements de la société de gestion du Conservateur, placé sous la responsabilité de Geoffroy Carteron, le directeur général délégué. Diplômé de l’Ecole centrale de Paris et titulaire du SFAF, Vandad Ghiassi a débuté sa carrière en 1994 en tant que responsable allocation d’actifs à la banque Paribas. Trois ans plus tard, il est devenu directeur de recherche Quant chez Baring Asset Management au Royaume Uni de 1997 à 2000, puis Manager Capital Markets chez Capgemini Consulting de 2001 à 2003, et CDO manager et Risk Manager/Quant chez Fortis Investments de 2003 à 2007. Avant de rejoindre l'équipe du Conservateur Gestion Valor en 2015, il occupait le poste de gérant de portefeuilles d’allocation d’actifs chez Oddo & Cie pendant huit ans.
Jean-Louis Charles, directeur des investissements d’AG2R La Mondiale a évoqué l’internalisation de l’analyse financière lors du forum de la gestion institutionnelle organisé par l’Agefi, le 26 mai dernier, à Paris. Il explique plus en détails la stratégie de l’assureur sur ce sujet lors d’une interview vidéo.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The digital revolution is a threat to traditional wealth management, and is driving increasing customer expectations. 56% of high net worth clients feel it is important for a wealth management firm to offer a digital product range, and this percentage rises to 65% among those under 45 years of age, according to a study by the consulting firm Pwc published on 1 June. For the survey, PwC interviewed 100 high net worth individuals in Europe, North America and Asia. It also interviewed 100 client advisers and directors of companies active in wealth management and financial technologies in late 2015 and early 2016. Although 69% of high net worth clients use online banking applications and 48% manage investments online, only one quarter of wealth managers offer a digital communications channel aside from email. This represents one of the least advanced areas of financial services in terms of digitalisation, the authors of the study point out. The survey finds, however, that high net worth clients are manifestly interested in new technologies. Half of those surveyed know the term robo-adviser, and 14% of respondents have already used them. 47% of respondents under 45 are planning to use these services in the future.
L’Italie va privatiser sa compagnie ferroviaire Ferrovie dello Stato dans les 18 mois à venir, a annoncé hier son ministre de l’Economie, Pier Carlo Padoan dans une interview à la chaîne de télévision SkyTG24. Dans le cadre d’un programme de privatisation longtemps retardé, qui vise à réduire le lourd fardeau de la dette du pays, Rome prévoyait de vendre jusqu'à 40% de l’entreprise publique au second semestre de 2016. Le ministre a annoncé que la cession se ferait entre 2016 et 2017.
Odile Renaud-Basso, directrice générale adjointe de la Caisse des Dépôts, a été nommée directrice générale du Trésor en conseil des ministres ce mercredi 1er juin 2016. Spécialiste des questions européennes, elle deviendra, à compter du 30 juin prochain, la première femme à occuper cette fonction.
Après le départ de Thierry Savy pour la Cour des comptes, l’Institut de France est actuellement à la recherche d’un directeur des services financiers. Thierry Savy était précédemment secrétaire général du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques (CVV) (autorité des ventes aux enchères) avant d'être nommé directeur des services financiers de l’Institut de France et des académies. Il est titulaire d’une maîtrise de droit des affaires de l’Université Paris II-Panthéon Assas et d’un diplôme d'études approfondies (DEA) de veille technologique de l’Université Aix-Marseille III.
Emma Haight-Cheng, responsable des investissements en dette infrastructures au sein d’AMP Capital à Londres, nous annonce que la société de gestion australienne va lancer son troisième fonds de dette infrastructures. AMP Capital, qui prône une stratégie d’investissement "défensive", vise un montant cible de 2 milliards de dollars américains pour ce nouveau fonds.
En signant les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) et le Montreal Carbon Pledge, BNP Paribas Cardif réaffirme son engagement en faveur de l’Investissement Socialement Responsable (ISR) initié dès 2008, et l’élargit en mesurant l’empreinte carbone de son portefeuille d’investissement.
La Caisse des Dépôts et l’Association française de l’assurance ont annoncé dans un communiqué la réussite de la deuxième levée de capital des fonds Novo pour un montant de 405 millions d'euros, supérieur à l’objectif initial de 300 millions d'euros.
L’Adie a été créée en 1989. L’association, pionnière du microcrédit en France, accompagne les personnes en difficulté économique grâce à 120 antennes et plus de 450 salariés. Le Fonds Adie, fonds de dotation créé par l’Adie en 2009, a pour objectif de trouver de nouveaux leviers de financement afin de développer l’activité de l’association et de soutenir sa croissance. La quasi-totalité des ressources du Fonds Adie provient de dons défiscalisables, y compris à l’ISF. L’objectif du fonds de dotation est, à terme, de disposer d’une dotation suffisamment importante pour pouvoir financer son fonctionnement par les revenus de ses placements.
L’Italie va privatiser sa compagnie ferroviaire Ferrovie dello Stato dans les 18 mois à venir, a annoncé son ministre de l’Economie, Pier Carlo Padoan dans une interview à la chaîne de télévision SkyTG24. Dans le cadre d’un programme de privatisation longtemps retardé, qui vise à réduire le lourd fardeau de la dette du pays, Rome prévoyait de vendre jusqu'à 40% de l’entreprise publique au second semestre de 2016. Le ministre a annoncé que la cession se ferait entre 2016 et 2017.
En une minute, 1.500 contrats Futures sur l’indice chinois CSI 300 ont changé de mains hier, faisant chuter brutalement le cours de 12%, rapporte L’Agefi. Celui-ci s’est repris instantanément et s’est stabilisé ensuite. Pour sa part, la China Financial Futures Exchange a diligenté une enquête pour identifier les raisons de cet incident qui intervient deux semaines après celui qui a frappé le marché des actions chinoises cotées à Hong Kong. Des opérations massives de couverture, exemptées des limites fixées par les autorités, pourraient en être la cause. Quoi qu’il en soit, l’incident tombe mal en intervenant avant une possible entrée des actions A dans l’indice MSCI mi-juin, indique le quotidien.