Pour la 1ère fois, l’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC) présente l’activité des professionnels du capital-investissement français spécialisés dans l’infrastructure et regroupés au sein de son Club Infrastructures. Alain Rauscher, Président du Club Infrastructures de l’AFIC, souligne : « Le marché français du financement en capital des infrastructures est une référence en Europe. Les chiffres que publie pour la 1ère fois l’AFIC montrent qu’il s’agit d’un secteur en forte croissance, qui collecte des capitaux internationaux et les alloue au financement de projets européens. Ce secteur puissant, exportateur, s’appuie sur l’expertise historique de l’écosystème de la Place de Paris dans le financement et la réalisation des infrastructures. » Olivier Millet, Président de l’AFIC, ajoute : « Le capital-investissement français accompagne non seulement la croissance et la transformation des start-up, PME et ETI mais aussi, et c’est moins connu, des projets d’infrastructures utiles à la collectivité. Des projets de grande ampleur, consommateurs de fonds propres où les actionnaires professionnels que regroupe l’AFIC travaillent le plus souvent aux côtés des acteurs publics pour apporter des financements complémentaires, leur expertise et leur dynamique entrepreneuriale. » Lancé en 2015, le Club Infrastructures de l’AFIC regroupe 19 investisseurs financiers implantés en France, qui figurent parmi les plus actifs dans les projets d’infrastructure. 33 Mds€ sous gestion et un marché a empreinte européenne Les 13 membres du Club qui ont répondu à la mesure de l’activité de l’infrastructure en France gèrent 33 Mds€, soit 93% des capitaux gérés par les membres du Club. 57% de ces capitaux sont à destination de projets basés en Europe (hors France). 38% à destination de projets en France. Ces capitaux sont investis dans quatre secteurs essentiels à la collectivité : les transports (47% des capitaux gérés), l’énergie/environnement (35%), les infrastructures sociales (10%) et les télécoms (8%). En 2016, croissance des levées à 8,3 Mds€ et diversité des investissements pour un montant de 3,2 Mds€ En 2016, 8,3 Mds€ ont été levés par les acteurs de l’infrastructure, soit une forte hausse par rapport à 2015 (+28%). 2/3 de ces capitaux proviennent d’investisseurs étrangers et 70% d’assureurs et de fonds de pension. 3,2 Mds€ ont été investis, un montant stable par rapport à 2015. Sur les 123 transactions réalisées, 78% ont porté sur des montants unitaires inférieurs à 20 M€, et 65% ont été alloués aux énergies renouvelables et aux infrastructures sociales. Les financements de nouvelles infrastructures (« Greenfield ») sont en forte croissance ; ils ont plus que doublé en nombre (20 en 2015, 52 en 2016) et en montants (229M€ en 2015, 513 M€ en 2016). Le poids conséquent de l’infrastructure dans le capital-investissement français L’infrastructure est une classe d’actifs de premier plan et à part entière du marché français du capital-investissement. Ce segment représente 25% des 133 Mds€ gérés par la communauté des 300 membres de l’AFIC. En 2016, il totalise 36% du total des 23 Mds€ levés, et 20% des 15,6 Mds€ investis. L’intégralité des statistiques sur l’activité 2016 du Club Infrastructures de l’AFIC est disponible sur www.afic.asso.fr/statistiques.
Selon des sources syndicales, la mission d’uniformisation des gestions (MUG) de la Caisse des Dépôts viendrait d’arriver à son terme. Pilotée par Olivier Mareuse, directeur du fonds d'épargne du groupe Caisse des Dépôts, la MUG déboucherait sur la création le 1er juillet 2017 d’une plateforme de gestion commune regroupant la DFE (direction des fonds d'épargne) et la section générale (DFIN le compte propre). Joël Prohin, directeur des gestions pour compte propre de la CDC, serait en charge de superviser les actifs de cette nouvelle structure, composée de 70 personnes pour la gestion directe et 6 personnes pour la gestion quantitative, déléguée et nouveaux produits (équipe dirigée par Laurent Deborde) et gérant environ 400 milliards d’euros.
Chaque trimestre, l’étude Pulse of Fintech de KPMG décrypte les tendances du financement des Fintech à travers le monde. Cette nouvelle édition fait état d'un fort développement du financement de la Fintech en France, qui connait son nombre le plus important de deals closés dans ce domaine ce trimestre.
Dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest 2017, Romain Durand, directeur des investissements de SHAM met en lumière les récentes initiatives de l’institution lyonnaise en matière de financement de l’économie, de gouvernance ou encore en faveur du financement de la transition énergétique.
L'ACPR a publié dans sa dernière revue une étude du marché français de l’assurance vie dans le contexte de taux bas. Selon l'association, il est nécessaire pour les assureurs de développer une vision prospective et d’anticiper une baisse progressive du rendement des actifs dans les années à
venir.
Jamais les trésoriers des grandes entreprises et des ETI depuis 2005 n’ont eu une appréciation aussi favorable de l’évolution de la trésorerie globale de leur entreprise. Le solde d’opinions, mesuré en tendance, rejoint un niveau inédit depuis le lancement de l’enquête Coe-Rexecode.
In an interview with NewsManagers, Frédéric Lejeune, chairman of Robeco for France, explains the strategic areas that the French affiliate will aim for in the next five years.
A l'occasion d'une interview accordée au magazine Investment Europe, Camille Barbier, co-fondateur de Salamandre AM et Arezki Sehad, analyste-gérant pour Myria AM, dévoilent leurs fonds préférés sur les marchés actions et obligations européens.
Stéphanie Villers, chef économiste du groupe Humanis, démontre l'importance du financement des PME, notamment en vue de la création d'emplois. Pour répondre à ce défi de long terme, il est selon elle nécessaire de développer l’offre de produits d’épargne et améliorer la demande par une meilleure formation économique et financière pour en maîtriser les enjeux.
L’ANC vient de lancer un appel à projets qui vise à stimuler la recherche sur plusieurs thèmes d’actualité, parmi lesquels la distinction entre dette et capitaux propres, le numérique ou encore l’impôt.
Les bonnes recettes de 2016 ne suffiront plus. La MACSF (Mutuelle d’Assurance du Corps de Santé Français) publie aujourd’hui un résultat net consolidé de 170 millions d’euros en 2016, en baisse de 18% par rapport à 2015, suite à une «réalisation beaucoup plus faible de plus-values sur les obligations convertibles», explique le groupe dans un communiqué. Le produit net d’assurance vie s’établit à 125 millions d’euros (+3,4%) et celui d’assurance non-vie à 653 millions (+2,8%). Premier chantier de 2017 : accélérer la conversion des contrats monosupports en multisupports. Entre le 1er janvier et le 31 mars, la mutuelle a ainsi converti 550 millions d’euros d’encours. Elle vise 1,6 milliard d’euros à fin 2017. «Nous nous y sommes pris plus tard que certains concurrents car nous avons toujours cru à l’euro, explique Stéphane Dessirier, directeur général du groupe. Notre motivation plus récente tient au besoin de rendement et au fait que Solvabilité 2 coûte de plus en plus cher en fonds propres.» Par ailleurs, la MACSF pourra moins compter qu’en 2016 sur ses SCPI. «L’année dernière, alors que les marchés actions étaient malmenés, nous avons eu la chance de pouvoir nous appuyer sur le lancement des SCPI dans notre gamme d’unités de compte (UC). L’immobilier est mieux perçu», explique Guillaume Rosenwald, directeur général délégué du groupe en charge de l’épargne retraite. Entre avril et décembre 2016, 50% des encours souscrits en UC l’ont été sur des SCPI. «Le désavantage de ce placement est le manque de liquidité, notamment en cas de panique sur le marché immobilier. Nous limitons à 5% de l’actif général le total des SCPI que nous proposons», précise Roger Caniard, le directeur financier. La mutuelle passera à l’offensive en assurance emprunteur, en proposant systématiquement à ses clients de résilier chez le concurrent. «Nous pouvons promettre 500 euros d’économies par an», souligne Stéphane Dessirier. L’objectif est de vendre 10.000 contrats supplémentaires par an. La MACSF espère enfin récupérer l’épargne qui a fui en mars, lorsque certains sondages prévoyaient un affrontement entre Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon au second tour de l’élection présidentielle. Il y a eu quelques gros rachats de contrats, de 500.000 euros à 2 millions chacun, pour un flux sortant total de 20 millions d’euros sur 28 milliards d’euros d’encours. «Il s’agit de rachats partiels, c’est une épargne qui reviendra», veut croire Guillaume Rosenwald.
Selon une information des Echos qui nous a été confirmée, Eric Lombard va quitter son poste de PDG de Generali France. La rumeur couvait depuis plusieurs semaines, mais toujours fermement démentie par Generali France. Cette fois-ci elle prend corps après que nos confrères des Echos ont annoncé le départ d’Eric Lombard de son poste de PDG de Generali France. Le départ d’Eric Lombard intervient un peu plus d’un an après l’arrivée de Philippe Donnet à la tête du groupe. Il devrait également signifier un changement de président pour Europ Assistance Holding, poste qu’il avait pris en juin 2015. Eric Lombard était arrivé aux manettes de Generali France en octobre 2013. Transfuge de chez BNP Paribas Cardif, il avait mené le rétablissement de la compagnie, notamment sur le segment du dommages. En 2013, quelques mois après sa prise de fonction, le résultat opérationnel de l’entité française en dommages était négatif de 1 million d’euros et la ratio combiné s’établissait à 105,5%. Fin 2016, le résultat opérationnel sur cette branche atteignait 137M d’euros avec un ratio combiné qui repassait sous les 100% à 99,4%. Jean-Laurent Granier va prendre la place d’Eric Lombard le premier juin prochain Cet ancien homme fort d’AXA remplace Eric Lombard comme PDG à compter du premier juin. C’est un proche du patron français de Generali, Philippe Donnet. Le nouvel arrivant va par ailleurs siéger au « Group Management Committee » de Generali. Il s’agira pour Jean-Laurent Granier de « mener l’accélération du redressement opérationnel de notre activité », explique dans un communiqué Philippe Donnet, le directeur général français de Generali. Ce changement à la tête de la France, le troisième grand marché du groupe transalpin après l’Italie et l’Allemagne, intervient alors qu’Eric Lombard a mené à bien un important travail de redressement financier depuis son arrivée à l’automne 2013. Un passé commun chez AXA Avec Jean-Laurent Granier, Philippe Donnet fait appel à un homme qu’il connaît particulièrement bien. Ils s'étaient auparavant côtoyés chez AXA et se retrouvent autour d’une même passion pour le rugby. Ils sont par ailleurs tous deux reconnus pour être de véritables assureurs. Une profonde connaissance du marché français Agé de cinquante-et-un ans, Jean-Laurent Granier, X-Ensae et diplômé de l’Institut des actuaires, français, a fait ses classes à l’UAP, avant d’effectuer toute sa carrière dans le groupe AXA après la fusion. Numéro deux d’AXA France, le vaisseau amiral du groupe, dans les années 2000, il apportera en particulier « une profonde connaissance du marché français », fait valoir Philippe Donnet. Jean-Laurent Granier revient ainsi sur le devant de la scène presque un an après avoir quitté AXA. L’ancien patron de l’assurance-dommages et de la région était parti fin juin 2016 dans la foulée de la nomination - surprise - de l’allemand Thomas Buberl comme successeur d’Henri de Castries . Eric Lombard, lui, quittera le groupe de Trieste à la fin de l’année. En attendant, il va continuer à travailler avec Philippe Donnet « sur des dossiers stratégiques et internationaux », tout en conservant son rôle de président d’Europ Assistance, précise l’assureur.
L'assureur italien veut plus que tripler les profits de ses entités d'asset management d'ici à 2020. Il mise sur les actifs réels et la gestion de conviction.
La principale chaîne de restaurants japonais en France annonce un accord de refinancement portant sur un crédit long terme souscrit auprès de Goldman Sachs Private Capital. Ce dernier a accordé à Sushi Shop un crédit de 60 millions d’euros pour refinancer les lignes de crédit existantes et financer la croissance future. «Ce refinancement intervient alors qu’en 2016 Sushi Shop a vu son chiffre d’affaires progresser d’environ 10%», souligne un communiqué de l’enseigne, dont l’actionnaire de référence reste Naxicap Partners.
Apicil lance un nouveau plan stratégique d’ici à 2020, « Défis 2020 », pour accompagner un groupe de protection sociale qui a changé de dimension ces dernières années.
La principale chaîne de restaurants japonais en France annonce un accord de refinancement portant sur un crédit long terme souscrit auprès de Goldman Sachs Private Capital. Ce dernier a accordé à Sushi Shop un crédit de 60 millions d’euros pour refinancer les lignes de crédit existantes et financer la croissance future. «Ce refinancement intervient alors qu’en 2016 Sushi Shop a vu son chiffre d’affaires progresser d’environ 10%», souligne un communiqué de l’enseigne, dont l’actionnaire de référence reste Naxicap Partners.
The insurance group Axa on 10 May announced plans to hold an initial public offering for a minority stake in its US activities in first quarter 2018. The activities concerned will include life insurance, savings, retirement, and its stake in the asset mangement firm AB (AllianceBernstein). The decision aims to “create more financial flexibility to accelerate the transformation of Axa,” the group says in a statement. The operation also aims to create “a diversified, top calibre US institution, with increased strategic flexibility, more visibility and stronger outlooks for growth as a publicly-traded company,” Axa adds. In the United States, Axa has over 2.5 million clients for life insurance, savings and retirement, and controls a stake of about 64% in AB, which is already on the stock exchange and has USD498bn in assets under management as of the end of March 2017. In a telephone interview with analysts, covered by Reuters, Thomas Buberl, CEO of Axa, also stated that the insurance company “do not plan to acquire minority stakes in its US asset management affiliate AB as part of the IPO of its United States activities.” “With the new CEO of AB, Seth Bernstein, we have an opportunity to create a top American group in life insurance, savings, retirement and asset management,” says Mark Pearson, CEO of Axa US, in a statement. In order to strengthen the capital structure of the US activities ahead of the initial public offering, internal debt owed by Axa US to the Axa Group will be converted into owners’ equity, totalling about USD1bn, the insurer states. Axa is planning to reinvest the proceeds of the initial public offering “in targeted segments and/or potentially in the form of returns on capital to shareholers according to opportunities and subject to market conditions,” the group says. The target segments concerned are, notably, health, capital-efficient savings products, retirement planning and business and damage insurance, in line with the “Ambition 2020” strategic plan. On Wednesday, 10 May, Axa also announced plans to undertake an equity repurchasing programme for up to 37 million shares. These equity repurchases will begin on 11 May 2017, and will run until 31 December 2017 at the latest.
La société de gestion Value Partners, basée à Hong Kong, vient de recruter Wayne Shum en qualité de directeur commercial dans le cadre d’un remaniement en professionnel de sa direction sous l’impulsion de son nouveau directeur général King Lun Au, rapporte le site spécialisé Asian Investors. Ce recrutement intervient alors que Raymond Tan, directeur général adjoint, et William Chow, responsable des ETF, ont quitté la compagnie en février. Raymond Tam officiait également en tant que directeur commercial.Wayne Shum, ancien directeur général adjoint de Bochk Asset Management, a rejoint Value Partners ce mois-ci, selon un porte-parole de la société qui n’a pas précisé la date exacte de son arrivée. Selon Asian Investors, d’autres cadres ont récemment quitté Value Partners. Ainsi, Jasmine Hung, directrice des ventes institutionnelles, Andrew Lai, analyste en investissement, et Anne Lui, responsable du marketing, sont partis de la société en avril, selon des sources proches du dossier.
Dans le cadre du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2017, Philippe Goubeault, directeur financier de l'Agirc-Arrco nous explique la politique de l'institution en matière de gestion des risques, notamment appuyée par une diversification internationale du portefeuille actions. Il évoque par ailleurs son action en financement de l'économie locale, appuyée par la création d'un fonds de dette de 200 millions d'euros.
Le Syndicat national de la banque (SNB) a demandé à la direction de BNP Paribas de trouver une alternative à la délocalisation au Maroc d’activités dans les services informatiques représentant actuellement 150 postes en Ile-de-France.
Le groupe scandinave Nordea a décidé de mettre un terme à ses activités de banque privée à Zurich, rapporte le site spécialisé finews. Nordea avait pourtant assuré récemment que la division Global Private Banking, nouvellement constituée, fonctionnerait sur trois pieds : Luxembourg, la Suisse et Singapour. Ce n’est manifestement plus le cas. En raison des coûts réglementaires et informatiques, le site de Zurich n’a plus sa place dans le dispositif envisagé. La clientèle fortunée de Nordea sera désormais couverte à partir du Luxembourg.Le sort des 24 collaborateurs basés à Zurich n’est pas réglé, relève finews. Une partie d’entre eux devrait rejoindre le site luxembourgeois. Cette décision intervient alors que la rentabilité de la banque privée est sur le déclin. L’an dernier, le bénéfice de la division, qui affiche des encours de quelque 90 milliards d’euros, a chuté d’environ 20% à 169 millions d’euros. Le groupe ne donne pas de données sur la Suisse mais a indiqué que la banque privée de Nordea a enregistré l’an dernier une collecte nette de 1,9 milliard d’euros.
BNY Mellon Investment Management has USD1.7trn in assets worldwide in a multi-boutique model which stands out for its originality. Hilary Lopez, head of intermediated distribution for Europe, discusses the organization throughout Europe, where the firm has nearly EUR95bn in assets under management, with NewsManagers. Although France is its second-largest market after the United Kingdom, the German market has enormous potential.
Ipsen a annoncé hier avoir finalisé l’acquisition d’un portefeuille de cinq produits grand public auprès de Sanofi. Le groupe familial avait initialement annoncé ce rachat mi-février pour un montant de 83 millions d’euros. Cette transaction intervient alors que la Commission européenne a imposé à Sanofi de céder des actifs dans le cadre de son projet de reprise du pôle de santé grand public de l’allemand Boehringer Ingelheim
« A l’école, j’étais plutôt un littéraire », reconnaît Pierre Fromont, actuel directeur de la gestion financière et de l'ALM de la Caisse d'Epargne de Bourgogne Franche-Comté. Le hasard l’a conduit vers un tout autre domaine, après avoir décroché un Bac D en 1982, sans grande conviction. « Sur les conseils de mes parents, je me rends à l’université Panthéon-Assas pour suivre un cursus de droit, raconte Pierre. Mais devant une file d’attente très longue, je décide finalement de m’inscrire en sciences économiques ».
Soumis depuis plus d'un an à Solvabilité II, les compagnies d'assurances ont de plus en plus recours à des gérants tiers pour doper le rendement de leurs actifs.
Entretien croisé entre Fadi Fattouh, directeur général d'EnTrustPermal, et Julien Rerolle, fondateur de Spread Research, à propos des stratégies de gestion de portefeuilles long short sur les marchés de crédits européens, à l'occasion des Clubs Dates Invest, qui se sont déroulés à Lyon le 23 mars dernier.
La Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté qui gère près d’un milliard d’euros de valeurs mobilières, des obligations essentiellement, a conçu son portefeuille dans le respect du ratio de liquidité à court terme imposé par Bâle III. Elle se prépare désormais à la mise en place des normes IFRS 9.
Confrontés à une situation inédite de taux bas durant l’été 2016, les assureurs ont désormais les yeux rivés sur la « repentification » des indicateurs obligataires., qui conjugués à la reprise de l’inflation, les conduit à un délicat jeu d’équilibriste pour maintenir le cap d’une gestion solide.