
« Solvabilité 2 est inopérant dans un cadre de forte volatilité »
Dominique Trébuchet, directeur général de la France Mutualiste, plaide pour des exigences de solvabilité simplifiées et moins fréquentes afin que les assureurs vie puissent jouer leur rôle d’investisseur de long terme et participent à la sortie de crise actuelle.
Laurence Pochard

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Paris - La cheffe des Ecologistes Marine Tondelier a demandé dimanche au Premier ministre Sébastien Lecornu de mettre dans la balance de ses tractations avec les partis politiques un engagement contre l’accord de libre-échange entre des pays du Mercosur et l’Union européenne. «Je vais être d’accord avec la FNSEA», n’a pas manqué de souligner la cheffe du parti écologiste à l’antenne de LCI. "Ça fait des décennies que nous on défend les agriculteurs dans ce pays contre les traités de libre échange». Interrogée sur les sujets sur lesquels elle attendait des réponses du chef du gouvernement, engagé dans des tractations avec les forces politiques pour éviter une censure lors de la séquence budgétaire automnale, Mme Tondelier a notamment cité la fiscalité des plus aisés, la réforme des retraites, et le Mercosur. «Monsieur Macron, il y a quelques mois, était prêt à s’allonger sur les rails, disait-il, pour faire dérailler le Mercosur (...) Résultat, ils se sont couchés comme jamais, ils se sont couchés et ce traité est en train de passer, inquiétant fortement les agriculteurs», a-t-elle critiqué, demandant des «réponses» de l’exécutif. Bruxelles a lancé le processus de ratification de cet accord, qui doit permettre à l’UE d’exporter davantage de voitures, machines ou vins en Argentine, au Brésil, en Uruguay et au Paraguay. En retour, le traité facilitera l’entrée de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains. Début septembre la France, qui menait l’opposition au sein des 27 contre cet accord, avait salué des garanties apportées par Bruxelles, sous forme notamment de clauses de sauvegarde renforcées, mais avait ajouté avoir encore «besoin de (les) analyser». «L’Union européenne, c’est nous», a insisté dimanche Marine Tondelier. «Si la France décide de s’opposer fortement, de monter au cocotier et d’en faire un point dur, alors nous entraînons des pays derrière nous parce qu’on n’est pas les seuls à avoir des agriculteurs», a-t-elle argué. Si la France voulait s’opposer à l’accord, elle ne pourrait pas le faire seule. Il lui faudrait réunir une «minorité de blocage», soit au moins quatre Etats représentant plus de 35% de la population de l’Union européenne. © Agence France-Presse -
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