
Le fonds norvégien est autorisé à céder ses actifs russes
Le ministère des Finances accède à la demande du fonds souverain de se défaire de ces actifs gelés.
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L’introduction en Bourse de la plateforme crypto, cet été à Wall Street, a donné lieu à un tour de «passe-passe» peu glorieux, avec le recours à une mécanique légale mais déséquilibrée propre aux ETF, explique Denis Alexandre, fondateur de DAA Advisor.
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Pour Bruno Retailleau, "hors de question" que LR accepte un Premier ministre de gauche
Le Port-Marly - Le président du parti Les Républicains, Bruno Retailleau, a averti dimanche qu’il était «hors de question» que la droite accepte la nomination d’un Premier ministre socialiste à Matignon, posant ses conditions pour que LR se maintienne au gouvernement si François Bayrou tombait lundi. «Il est hors de question, comme vous le savez, qu’on accepte demain (lundi) qu’un Premier ministre socialiste soit nommé à Matignon», a affirmé l’actuel ministre de l’Intérieur lors de son discours de clôture de la rentrée politique des Républicains à Port-Marly, dans les Yvelines. Avec cette déclaration, il a pris le contre-pied du président des députés LR Laurent Wauquiez, assis au premier rang, qui a écarté une «censure automatique» d’un Premier ministre socialiste avant de connaître le programme qu’il compte appliquer. «Vous allez faire tomber des gouvernements qui se présentent sans même savoir ce qu’ils veulent faire ?», s’est-il interrogé sur LCI, assurant que si l’exécutif comportait «des ministres de LFI ou applique le programme du Nouveau Front populaire» il y aurait évidemment censure. Bruno Retailleau, qui appelle les parlementaires LR à voter la confiance au gouvernement Bayrou, a par ailleurs annoncé son intention de proposer un accord de gouvernement au prochain Premier ministre si celui de François Bayrou tombait lundi, dans des déclarations à la presse en marge de la rentrée de LR. Cet accord, qui pourrait également s’appeler «contrat ou engagement», contiendrait deux priorités qui sont le budget et «une partie régalienne». «C’est une sorte d’engagement» pour vérifier que les conditions d’entrée dans le prochain gouvernement seront «compatibles avec l’idée que l’on se fait du redressement de la France», a ajouté l’actuel ministre de l’Intérieur. «On ne rentrera pas au gouvernement à n’importe quelle condition», a martelé le Vendéen, qui appelle à une rapide nomination d’un nouveau Premier ministre si le gouvernement de François Bayrou était bien renversé lundi. «Le temps presse. La fenêtre de tir est courte», a-t-il affirmé, d’autant que le mois de septembre risque à ses yeux «d'être propice au désordre» avec deux journées de mobilisation, les 10 et 18 septembre. M. Retailleau n’a pas épargné le RN, l’accusant d'être «dans une stratégie de déstabilisation». © Agence France-Presse -
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