Après un passage en salle des marchés, Franck a rejoint L’Agefi en 2000. Sur le web d’abord, à une époque où tout le monde n’avait pas encore d’adresse mail, puis sur le magazine patrimonial Actifs, alors que les contrats d’assurance vie étaient encore présentés en francs. Passé au Quotidien en 2020 par plaisir de l’actu et de l’adrénaline, Franck en prend la rédaction en chef en 2022 mais reste très attaché à ses amours de jeunesse que sont les banques et la gestion d’actifs.
Un texte de loi sur l’attractivité financière de la France devrait sortir au printemps 2024. Bercy a aussi annoncé le lancement d’une nouvelle mission sur l’Union des marchés de capitaux.
Le 1ᵉʳ janvier 2024, la cession du réseau de HSBC France à My Money Group sera officialisée. Les agences dévoilent pour l’occasion le logo de la banque, renommée CCF, comme elle s’appelait encore au début des années 2000.
Le gendarme de la finance britannique a proposé de nouvelles règles simplifiées de cotation pour enrayer le manque d’attrait des entreprises pour la place londonienne.
Le fonds activiste a investi 1,2 milliard de dollars dans la banque suisse, en considérant qu'elle devrait se valoriser comme un gestionnaire de fortune américain. Le rattrapage n’est cependant pas gagné.
Le fonds activiste Cevian fait pression pour que Pearson quitte le London Stock Exchange au profit de New York. Un nouveau coup de canif pour l'attractivité de la City.
Après deux ans de crise, l’univers des cryptoactifs s’est assagi. Les acteurs régulés font partie intégrante du secteur et s’apprêtent aujourd’hui à déployer des offres crypto aux clients qui s’en tenaient éloignés.
Au début de l’année 2022, Samuel Bankman-Fried était vu en sauveur des acteurs cryto en difficulté. Neuf mois plus tard, l’industrie s’est aperçue que le plus faible n’était pas celui qu’on croyait.
Les Etats-Unis réfléchissent à la mise en place d’une réglementation sur les cryptos, tandis que l’Europe a déjà la sienne. De son côté, le Comité de Bâle a pris des dispositions rapides qui pourraient avoir davantage de répercussions que les textes régionaux.
La banque est exposée à plus de 600 millions de francs suisses à Signa via son portefeuille de dette privée. Le conseil d’administration «examinera cette activité et le cadre dans lequel elle est menée».