En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Outre la révision de la directive sur les services de paiements DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
Alors que commence la semaine de l’éducation financière sous l’égide de la Banque de France, un projet européen de «cybercitoyen» vient de présenter un rapport sur les pratiques des Etats-membres dans ce domaine.
La clientèle de commerçants du premier pourra ainsi bénéficier des innovations développées par le second et accepter des paiements open banking ou en cryptos.
La fintech de paiement, dont la valeur baisse continuellement depuis deux ans, veut utiliser ces fonds pour racheter les actions attribuées à ses salariés et régler la note fiscale correspondante.
Le service, qui sera intégré à la filiale Django de La Banque Postale, s’adresse directement aux consommateurs. Il ne nécessite pas d’intégration chez les commerçants et évite la surconsommation grâce à l’open banking.
En combinant open data et intelligence artificielle, cette start-up nordiste réduit considérablement la fraude et améliore le taux de transformation des enseignes.
Les fintechs ont déjà pris 10% du marché des paiements. Face à cette concurrence, 94% des banques cherchent à investir dans les technologies innovantes selon une enquête Finastra/Aite-Novarica.