Finesti, a Luxembourg-registered firm specialised in collecting and distributing data on investment funds, on 9 September announced the launch of a new service which allows investment funds to comply with the requirements of the UCITS IV directive regarding pan-European filings.Finesti will offer a notification service, based on secure and high-speed automatic electronic messages, to transmit a high number of documents to 30 supervisory authorities in the European economic area.The solution offered by Finesti for pan-European notifications is a new module, integrated into the e-file regulatory reporting platform, which Finesti operates with its parent company, the Luxembourg stock exchange.The e-file notification model allows fund managers, promoters, legal advisers, administrators and auditing firms to adapt to the new environment. It assists them in the completion and transmission of notification forms to the authorities in their countries. These forms include up to 10 documents, such as the prospectus, financial reports, and the Key Investor Information Document (KIID).The e-file platform from Finesti may also handle the initial registration procedure for investment funds in their home countries. It also allows funds to send updates to notification documents directly to the supervisory authorities in destination countries.
Dans un entretien accordé à Option Finance, Philippe Goubeault, directeur financier de l’AGIRC ARRCO revient sur les aménagements en cours de réflexion au sein des fédérations Agirc et Arrco: Concernant la construction des portefeuilles, les instances ont demandé à la direction financière de poursuivre différentes études. Une question portera notamment sur l’intérêt d’une déclinaison de l’allocation stratégique d’actifs en incorporant dans un indice composite de référence des composantes de diversification (par exemple, un niveau de duration, un poids donné à la diversification internationale, etc.). Les dispositions du règlement financier seront réexaminées, en vue d’une mise à jour, notamment celles relatives à la diversification (notation minimale des titres, accès aux dettes des pays émergents...). Une institution ne peut pas aujourd’hui investir plus de 5% en titres notés BBB, et ne doit détenir aucun titre en dessous de cette note. Les critères de notation pour la partie taux ne seront vraisemblablement pas desserrés, mais il pourrait être envisagé une reclassification des investissements de crédit dans la partie des placements actions et assimilés, comme cela existe déjà dans certaines réglementations. La question se pose aussi pour les obligations convertibles qui sont affectées selon notre réglementation dans la partie taux. La contrainte d’une noté égale ou supérieure à BBB a pour conséquence de priver les institutions de près de 90% du marché des convertibles. Une étude sera également menée sur les indices de référence susceptibles d'être retenus par classes d’actifs, notamment une réflexion sur les principes de construction, par exemple, les avantages et inconvénients des indices construits en fonction de critères fondamentaux par rapport aux indices fondés sur l’importance des capitalisations ou émissions.
Créée en 1999, Altaprofits est une société de courtage spécialisée en assurance vie diffusée sur Internet pour les particuliers et les Travailleurs Non Salariés. Elle propose de l’assurance vie, des produits d'épargne, des placements multi supports déclinés sous différentes enveloppes fiscales (assurance vie, contrat de capitalisation ISF, PEA, PEP, loi Madelin), de la prévoyance. En 2010, la collecte d’Altaprofits s'élevait à 180 millions d’euros. Hervé Tisserand est le directeur Général d’Altaprofits. Sa vocation est de trouver toujours de nouvelles solutions d’investissement innovantes pour ces clients sur le marché. Instit Invest: Comment les contrats Altaprofits se différencient-ils sur le marché de l’assurance vie en ligne ? Altaprofits: Nous proposons une offre diversifiée de fonds grâce à nos partenariats avec trois compagnies d’assurance-vie : E-cie vie (groupe Generali), ACMN Vie (Groupe Crédit Mutuel du Nord) et depuis janvier 2011 Swiss Life. Par ailleurs, chez nous, ce sont des conseillers en gestion du patrimoine qui répondent au téléphone et qui sont à même de traiter les demandes des clients, sur toutes les questions patrimoniales (juridique, financière ou fiscale). Instit Invest: Vous proposez aussi un outil d’allocation d’actifs. Pourquoi une telle initiative ? Altaprofits: Sur Internet, soit le client sait exactement ce qu’il veut acheter et il choisit lui-même ses fonds, soit il souscrit à une gestion déléguée qui se charge de faire les achats et les ventes pour le compte du client. Il existe une troisième solution où c’est le client qui souhaite être aidé tout en conservant la main sur le contrat. Pour se faire, l’Asset Allocator propose un portefeuille de fonds optimisé en calculant les meilleurs rapports rendement/risque pour assurer une plus grande régularité de performance. Instit Invest: Comment se répartissent les clients entre le fonds en euros et les unités de compte ? Altaprofits: La majorité des clients souscrivent aux fonds en euros mais c’est le marché qui veut ça. Nous avons une clientèle assez mobile qui est capable de passer du fonds en euros aux unités de compte. Instit Invest: Comment sélectionnez-vous les fonds de votre contrat ? Altaprofits: Nous sélectionnons des fonds purs sur des zones diversifiées. Altaprofits propose à peu près tout ce qui est disponible sur le marché en termes de secteur d’activité ou de zone géographique mais nous restons à l’affût de nouveaux fonds. Instit Invest: Envisagez-vous de renforcer les fonds en provenance de sociétés de gestion basées à l'étranger ? Altaprofits: Nous avons déjà un certain nombre de sociétés de gestion étrangères. Il faut qu’elles apportent une valeur ajoutée par rapport aux sociétés de gestion basées en France.
Global Logistic Properties (GLP), filiale du fonds souverain de Singapour (GIC), prépare la cotation de ses actifs japonais, une opération qui lui permettrait de lever au moins 100 milliards de yens (950 millions d’euros), a rapporté Reuters de sources proches du dossier. GLP a mandaté Citigroup, Goldman Sachs et Nomura comme souscripteurs principaux.
Directeur général d’HSBC à Hong Kong, Mark McCombe va prendre la responsabilité des activités de BlackRock sur le continent asiatique. Le gestionnaire d’actifs pourra compter sur son expérience, puisqu’il a dirigé HSBC Asset Management pendant plusieurs années. Il a notamment été en charge d’HSBC AM Europe à Paris, au début des années 2000 après le rachat du CCF.
Les autorités américaines disposent désormais de données statistiques en provenance de dix banques suisses soupçonnées par la justice d’avoir aidé leurs clients basés aux Etats-Unis à frauder le fisc, a rapporté samedi le Neue Zürcher Zeitung. TagesAnzeiger, un autre journal suisse, a écrit de son côté que les banques suisses ont maintenant jusqu’au 23 septembre pour fournir des informations plus spécifiques sur leurs clients.
C’est la dernière chose dont l’Europe avait besoin, une crise au sein de la BCE qui a conduit à la démission de son chef économiste, Jürgen Stark. Même si des « raisons personnelles » peuvent expliquer cette initiative sans précédent, son occurrence au paroxysme de la crise de la dette souveraine est désastreuse. Jürgen Stark n’était pas favorable à l’intervention de la BCE sur le marché de la dette souveraine. Il considérait, selon un courant de pensée très répandu outre-Rhin, que la banque centrale n’a pas à intervenir sur le terrain fiscal, et qu’il revient aux seuls gouvernements de faire les efforts budgétaires nécessaires pour retrouver la confiance des investisseurs. Les arguments avancés par justifier l’intervention - d’opportunité d’abord face à la carence des Etats, de légalité, de modération s’agissant des montants engagés, et d’efficacité -, tout comme son caractère temporaire, ne l’ont pas convaincu. Après le renoncement d’Axel Weber à briguer la succession de Jean-Claude Trichet, ce départ a toutes chances d’être perçu comme un nouveau signe d’érosion de l’influence allemande au sein de la BCE. La polémique outre-Rhin s’annonce virulente. Jean-Claude Trichet a sans doute l’autorité qu’il faut pour y résister. Mais pour son successeur italien, Mario Draghi, assurer une gouvernance harmonieuse de l’institution s’annonce très difficile. En Allemagne, où l’on regrette volontiers la Bundesbank, la BCE est entrée dans l’ère du soupçon.
Le plan de 447 milliards de dollars qui doit encore être validé par le parti d'opposition, ne dynamiserait le PIB que de 0,5 % en 2012 selon BNP Paribas
Le PIB de l’Archipel s’est finalement contracté de 0,5 % au deuxième trimestre, pénalisé par la force du yen et le ralentissement de l’économie mondiale
Le déficit du budget de l’Etat français s'établit à 86,6 milliards d’euros à fin juillet contre 93,1 milliards un an plus tôt, selon les données publiées vendredi par le ministère du Budget. L'évolution d’une année sur l’autre est marquée notamment par une dégradation de 10,9 milliards du solde des comptes spéciaux, liée principalement aux décaissements du prêt octroyé à la Grèce. Le solde du budget général s’est parallèlement amélioré de 17,4 milliards d’euros.
La production industrielle de la France a rebondi de 1,5% en juillet après un recul de même ampleur en juin, montrent les statistiques publiées vendredi par l’Insee. La production manufacturière, c’est-à -dire hors énergie mais en incluant l’agroalimentaire, a progressé de 1,4% après une baisse de 1,8%.
La Chine devrait très probablement rendre le yuan convertible sur les comptes de capitaux avant 2015, a déclaré vendredi Li Daokui, conseiller de la banque centrale chinoise. Il n’a toutefois pas précisé si la convertibilité du yuan pourrait être totale ou limitée.
Avec le Bonds EUR Investment Grade Aggregate, compartiment de la sicav luxembourgeoise Petercam L Fund, Petercam commercialisera à compter du 15 septembre un produit «tout-terrain» dans le domaine obligataire catégorie investissement.Les équipes de gestion obligataire (Johnny Debuysscher pour les «govies» et Peter De Coensel pour les corporates) aideront le gérant Sam Vereecke à constituer un portefeuille optimisé par un arbitrage actif entre les différents segments du marché, les titres d’Etat, et assimilés, et les obligations d’entreprise. Tous les papiers (60-80 lignes) seront libellés en euros.Un agrément de commercialisation pour la France a d’ores et déjà été sollicité de l’AMF.CaractéristiquesDénomination : Petercam L Bonds Eur Investment Grade AggregateCodes Isin : Income share - class A - ISIN LU0664123691Accumulation share - class B - ISIN LU0664123774Income share - class E - ISIN LU0664123857Accumulation share - class F - ISIN LU0664123931Droit d’entrée : 3 % maximumCommission de gestion : 0,60 %Valeur liquidative initiale : 100 euros au 15 septembre
Neil Hounslow, patron pour la zone Asie-Pacifique des services de prime brokerage chez Credit Suisse, ainsi que deux membres de son équipe, ont quitté la société, rapporte Asian Investor. Neil Hounslow est remplacé dans ses fonctions par Dereke Seeto, précédemment en poste à Sydney où il dirigeait les services de prime brokerage pour l’Australie. Pour sa part, Neil Hounslow pourrait rejoindre JP Morgan, précise Asian Investor.
Le fonds souverain de Singapour Temasek vient de recruter Tan Chong-Lee en qualité de co-CIO (chief investment officer), rapporte Asian Investor qui ajoute toutefois ne pas avoir pu se faire confirmer l’information.Tan Chong-Lee travaillait précédemment chez Bank of America Merrill Lynch où il avait la responsabilité des activités de banque d’investissement dans le Sud-Est asiatique.
Filiale du groupe financier coté cash.life AG, le distributeur «B2B» max.xs recrute quatre personnes pour son département suivi de clientèle, tant du côté investisseur que de celui des partenaires produits, les sociétés de gestion First Private Investment Management, Gamax Management, Kleinwort Benson Investors, Rothschild & Cie Gestion et Veritas Investment Trust, ainsi que le courtier Wölbern Invest KG.Dans le détail, Thomas Dinges (ex FPM) et Thomas Gils (ex Franklin Templeton) sont embauchés comme senior sales managers tandis que Sibylle Schrempp (ex Meta Communication et ancienne de Threadneedle) rejoint le client service. En octobre, Alexandra Flechsig (ex Silk Invest) se joindra à l'équipe marketing.Les nouveaux entrants seront subordonnés à Rainer Ottemann, Managing Director et Head of Distribution, et à Oliver Roll, Managing Director et Head of Fund Selection & Institutional Business.
La collecte nette des fonds ouverts au public et des fonds dédiés s’est élevée en juillet à 6,6 milliards d’euros, selon les statistiques communiquées par l’association allemande de la gestion financière (BVI).Du côté des fonds ouverts au public, qui ont drainé en net 3,9 milliards d’euros, les investisseurs se sont concentrés sur les classes d’actifs traditionnelles. Les fonds d’actions ont ainsi enregistré une collecte nette de 4,1 milliards d’euros. Les fonds obligataires ont drainé 1,1 milliard d’euros, les fonds immobiliers ouverts enregistrant des souscriptions pour un montant de 200 millions d’euros. A noter toutefois que les fonds diversifiés ont subi une décollecte de 200 millions d’euros. L’association professionnelle souligne dans son communiqué que la nouvelle classification des fonds monétaires en vigueur depuis le 1er juillet dernier a entraîné l’intégration de plus des deux tiers des fonds classés auparavant monétaires dans les fonds obligataires. A fin juillet, les actifs des fonds monétaires s'élevaient ainsi à 11,9 milliards d’euros, contre 39 milliards d’euros le mois précédent alors que les actifs des fonds obligataires passaient à 183,6 milliards d’euros contre 154,1 milliards d’euros précédemment. Fin juillet, les actifs des fonds ouverts au public s’inscrivaient à plus de 697 milliards d’euros, dont 235 milliards de fonds d’actions, et 184 milliards de fonds obligataires. Les fonds diversifiés représentent 17% (119 milliards d’euros) du total et les fonds immobiliers ouverts 12%, soit quelque 85 milliards d’euros. Les actifs des fonds dédiés s'élevaient à fin juillet à 838 milliards d’euros.
Selon des proches du dossier, le capital-investisseur Blackstone aurait payé au total environ 220 millions d’euros pour acheter les 6.800 logements sociaux et les 73 magasins du groupe immobilier Level One en faillite, rapporte la Börsen-Zeitung. La plupart de ces actifs sont situés à Berlin. Blackstone apporte bien moins que la moitié de la somme en fonds propres, l’opération étant principalement financée par Corealcredit Bank et SEB.
Maintenant que les caisses d'épargne allemandes sont seules propriétaires de DekaBank (96,75 milliards d’euros d’encours en fonds retail ouverts au public plus 20 milliards de fonds immobiliers et 50,8 milliards en fonds institutionnels à fin juillet), la structure de commandement du gestionnaire d’actifs central de ces caisses évolue. Après le non-renouvellement en juin du mandat de Walter Groll (lire Newsmanagers du 8 avril), qui était le responsable des activités de marché, le directoire se composera désormais de seulement cinq membres. Manifestement, le développement des activités sur les dérivés n’a pas été du goût des caisses d'épargne qui n’ont par ailleurs pas pardonné à Walter Groll les transactions d’optimisation fiscale au profit de certains clients, parce que les procédures n’avaient pas été respectées… ce qui a coûté plus de 60 millions d’euros de bénéfice au titre de 2010. Oliver Behrens, qui coiffe la gestion d’actifs/valeurs mobilières, sera désormais chargé aussi des activités de négoce et donc de toutes les produits de marché des capitaux du groupe. Matthias Danne, directeur financier et responsable de la division gestion d’actifs/immobilier, prend en charge toutes les activités crédit. Quant à Hans-Jürgen Gutenberger, qui était chargé de la distribution retail, il est désormais responsable également de la trésorerie.Les fonctions de Franz S. Waas, président du directoire et de Friedrich Oelrich, directeur du risque, demeurent inchangées.
Au 1er novembre, Frank Pörschke, qui était jusqu’au 31 août président du directoire d’Eurohypo, rejoindra le groupe Jones Lang LaSalle Allemagne comme international director. Il deviendra ensuite CEO à compter du 1er janvier 2012. Il remplacera ainsi Andreas Quint, qui a dirigé les activités allemandes de Jones Lang LaSalle ces trois dernières années et qui est promu responsable du pôle corporate finance paneuropéen, à cheval sur Londres et Francfort.
Bloomberg rapporte que la division gestion de fortune d’UBS a recruté à Zurich sept spécialistes de la Turquie, dont quatre conseillers et trois assistants, qui travaillaient chez Credit Suisse. Il sont subordonnés à Beat Frey, patron de l'équipe Turquie.