Financière de l’Echiquier, a French asset management boutique founded in 1991 by Didier Le Ménestrel, will this morning announce its acquisition of 100% of Acropole AM, a specialist in convertible bonds, Les Echos reports. The firm, founded in 2006 by three former Fortis employees, including its chairman, Jacques Joakimides, now has EUR780m in assets under management. The acquisition price has not been disclosed, but is said to be “reasonable” by Le Ménestrel, and is probably near 3% of total assets under management. Acropole AM had been supported by UFG (which has since become La Française AM), which controlled 14.5% of its capital, Cheyne Capital and Matmut, with 33.5% and 1% stakes. All three are selling their stakes to Financière.
The real estate specialist boutique from BNY Mellon, Urdang, has announced the appointment of P.J. Yeatman to the newly-created position of head of private real estate, with the mission of setting up and developing a strategy for the sector. Yeatman recently founded a consulting firm specialised in real estate, CoveredBridge Ventures. Urdang has about USD6.4bn in assets under management in publicly-traded real estate, via Urdang Securities Management, and USD2.3bn in private real estate, with Urdang Capital Management.
If statistics released on 29 January by Morningstar are to be believed, French asset management firms on the whole in 2012 had a “difficult” year, wih net inflows in all strategies combined of EUR7bn to open-ended funds domiciled in France.This bottom-line figure conceals more significant disparities, as money market funds were able to post net subscriptions of EUR19bn, and long-term fund suffered net outflows of EUR12bn.Aside from money market funds, only a few asset management firms managed to do well, such as Axa IM and Oddo AM (primarily for fixed income funds), Carmignac Gestion (for diversified funds) and TOBAM (for equity funds).Among the most severely affected French asset management firms are banks, as in 2011: BNP Paribas, Amundi, Dexia, Lyxor and Creidt Mutuel. BNP Paribas has seen the heaviest net outflows of any European asset management firm, with redemptions totalling EUR7.53bn. Edmond de Rothschild takes fourth-to-last place in the rankings, with net outflows of EUR2.146bn.To complete the picture, Sandander has seen outflows of EUR3.593bn, Anima has suffered outflows of EUR2.354bn, and Fidelity has seen redemptions of EUR1.845bn.
Once again, three British asset management firms, the same ones as at the end of September (see Newsmanagers of 12 November) have won the top three spots in the national rankings by Feri EuroRating Services of seven countries: the winners are Threadneedle, Schroders and Aberdeen. The rankings are determined by the proportion of funds rated A or B of the total number of funds rated in each market, which number over 25 for “large” asset management firms, or 8 to 24 funds for “small” firms.Threadneedle finishes first in Germany, Austria, Italy, Sweden (in the 8-24 fund category) and the United Kingdom, second in France, and fourth in Switzerland. For its part, Schroders finishes top in France, and second in Germany, Austria, Italy and the United Kingdom, third in Sweden, and fifth in Switzerland.Aberdeen takes second place among large asset management firms in Switzerland, and fourth in the United Kingdom. It is third among small firms in Austria and Sweden, and fourth in France and Italy, but in each case with levels of funds rated A or B above 60%, meaning with average scores higher than those of the top two in the rankings, although the 77.80% rate Threadneedle achieves in Sweden in the small firm category is hard to beat, except by DNCA Finance in France (88.9%), and First State in Germany, with 87.5%, also in the small firm category.In France, Covéa Finance takes third place among large firms, with 60.7% of funds rated A or B, while Axa IM takes sixth place, with 47.5%, and Lazard Am is seventh, with 46.9%. Among small operators, DNCA Finance, previously cited, finishes ahead of the Groupe le Conservateur (72.7%) and Comgest, as well as ProBTP, in eighth place with 53.3%.
L’agence de notation a confirmé à Aa1, avec perspective négative, la note de l'établissement public indusriel et commercial de la Banque publique d’investissement. L’Epic BPI est le nouveau nom de l’Epic Oséo et est actionnaire d’Oséo SA. Cette dernière s’est vu également confirmer sa note Aa1. Le projet de création de la BPI prévoit ensuite le transfert d’Oséo SA à la holding BPI France, sans impact sur sa notation, selon Moody’s.
Financière de l’Echiquier a annoncé jeudi le rachat d’Acropole AM, le spécialiste des obligations convertibles. L’opération répond à un double objectif: diversifier le profil de l’acquéreur, surtout connu pour sa gestion actions, et accroître le poids de la clientèle institutionnelle. Avec 750 millions d’euros d’encours sous gestion, Acropole AM permettra à la société de Didier Le Menestrel de porter ses actifs à près de 6 milliards d’euros.
Le Trésor italien a émis mercredi 6,5 milliards d’euros à cinq et 10 ans avec des rendements revenus à un plus bas sans précédent depuis octobre 2010 pour l’obligation 2022. Pour cette échéance, 3,5 milliards ont été mis à prix avec un ratio de couverture à 1,32 pour un rendement moyen à 4,17%, contre 4,48% à la précédente opération fin décembre. Les obligations à cinq ans ont trouvé preneurs avec un rendement à 2,94%, contre 3,26% lors de la dernière opération similaire, pour un ratio de couverture à 1,301.
La Commission européenne a annoncé mercredi qu’elle bloquait la fusion qu’envisageaient UPS et TNT, jugeant insuffisantes les concessions du groupe américain au regard des risques d’altération de la concurrence. Le numéro un mondial des messageries avait prévenu à la mi-janvier que l’exécutif européen s’apprêtait à bloquer la transaction et qu’il retirerait son offre en conséquence.
L’opérateur boursier américain a regroupé ses activités données et indices dans le cadre de sa réorganisation. La nouvelle division, «Global Information Services»,a été lancée le 1er janvier. Dirigée par le vice-président exécutif John Jacobs, elle représente 20% du chiffre d’affaires annuel global du groupe. Cette fusion doit permettre de «donner un effet de levier aux derniers investissements technologiques».
Le hedge fund activiste estime que le groupe new yorkais spécialisé dans l’énergie devrait conduire une revue stratégique approfondie de ses activités, incluant la scission éventuelle de ses actifs de gaz de schiste du gisement de Bakken. Dans une lettre aux investisseurs, le patron d’Elliott Management, Paul Singer, recommande en outre de voter en faveur de cinq nouveaux administrateurs qu’il propose. Le fonds alternatif détient 4% du capital de Hess.
L’agence a placé sous revue pour une éventuelle dégradation la note Baa2 allouée au courtier interbancaire. Moody’s évoque notamment un environnement opérationnel délicat avec de faibles volumes de transactions, ainsi l’«issue incertaine» de l’enquête de la FSA concernant le Libor.
Le quotidien avance que la société de gestion fondée par Didier Le Ménestrel doit annoncer ce jour l’acquisition de 100% d’Acropole AM. La cible, spécialiste des obligations convertibles, a été lancée en 2006 par trois anciens de Fortis et gère aujourd’hui 780 millions d’euros. Didier Le Ménestrel évoque un prix «raisonnable», «probablement proche» selon le quotidien de 3% des encours. Le dirigeant, qui entend «clairement participer à la consolidation du secteur», vise des encours «à deux chiffres», alors qu’ils vont pour l’heure passer à 6 milliards d’euros grâce à Acropole AM après une collecte nette négative de 44 millions l’an passé.
Le Shanghai Securities News relève de source anonyme que le régulateur chinois des marchés, la CSRC (China Securities Regulatory Commission), avait formellement réuni lundi plusieurs banques souhaitant mettre en place des sociétés de gestion d’actifs. Sont concernées Industrial Bank, Bank of Beijing, Bank of Shanghai, Bank os Ningbo et Bank of Nanjing.
LF IS, le pôle solutions, monté avec l’appui de Sofiène Haj-Taieb, ancien de SG CIB, attend son agrément. Le groupe va aussi lancer son fonds de dette immobilière.
Entre octobre et novembre 2012, les prix des logements ont augmenté dans toutes les grandes villes américaines sauf New York, selon l’indice Case-Shiller publié par Standard & Poor’s. Sur un an, la valeur des maisons a augmenté de 5,5% pour retourner aux niveaux de l’automne 2003.
Les banques chinoises ont étendu la maturité de 3.000 milliards de yuans (360 milliards d’euros) de dette contractée par les collectivités locales sur les 4.000 milliards qui devaient être remboursés avant la fin de l’année 2012, selon le journal. «Sur la base de la date de remboursement pour les projets d’infrastructures, cela prendra plus de 10 ans à rembourser ces emprunts» confirme Stanley Li, analyste chez Mirae Asset Securities.
Le quotidien croit savoir, selon un document de travail actualisé, que la taxe européenne sur les transactions financières pourrait bien rapporter entre 30 et 35 milliards d’euros. Elle pourrait être mise en œuvre début 2014 et concernerait toute transaction impliquant une institution ayant son siège dans la zone de taxation ou réalisée pour le compte d’un client de la zone.
Carole Zacchéo, Gérante Senior Taux à la MAIF, à la rédaction de www.institinvest.com : Depuis peu, nous souscrivons à des fonds ouverts thématiques, spécialisés sur la dette high yield, la dette émergente, ou encore l’inflation. La dette high yield est encore marginale dans notre allocation, représentant environ 0,5 % des actifs. Nous avons l’intention de monter en puissance en 2013, considérant que cette classe d’actifs offre encore des perspectives intéressantes avec la poursuite du resserrement des spreads. Nous pensons que le taux de défaut devrait rester bas et qu’une éventuelle hausse serait en outre très bien appréhendée par les gérants actifs. Nous ne croyons pas non plus à une remontée brutale des spreads et même si elle intervenait, le portage permettrait d’en amortir l’effet. Pour toutes ces raisons, nous nous donnons la possibilité de porter en 2013 notre allocation high yield à 2 %. En ce qui concerne la dette émergente, nous travaillons à une sélection de fonds libellés en devises locales. Nous considérons que les émergents présentent souvent des fondamentaux meilleurs que ceux des pays de la zone Euro. En témoigne la dynamique des notations qui est positive pour de nombreux émergents désormais investment grade, alors que les dégradations ont été nombreuses dans la zone Euro. Nous sélectionnons dans un premier temps des fonds globaux qui présentent généralement la répartition suivante : un tiers Asie, un tiers Amérique Latine et un tiers Europe de l’Est. La diversification pourrait se poursuivre vers des fonds de dettes corporates émergentes qui tendent à se développer actuellement. L’allocation dettes émergentes pourra représenter au maximum 2% de nos actifs.
Les prix des maisons individuelles ont augmenté à un rythme conforme aux attentes en novembre, renforçant le sentiment que le marché immobilier américain s’améliore, selon l’indice S&P/CaseShiller publié mardi. Cet indice composite, basé sur les prix dans 20 zones métropolitaines des Etats-Unis, a progressé de 0,6% en novembre par rapport à octobre, en données ajustées des variations saisonnières, comme attendu par une majorité d'économistes. La hausse d’octobre a été révisée à +0,6% au lieu de +0,7%. Sur un an, les prix dans les 20 villes ont augmenté de 5,5%. «Le marché immobilier se redresse clairement», a déclaré dans un communiqué David Blitzer, président du comité des indices chez S&P Dow Jones Indexes.
Standard & Poor’s a relevé sa perspective sur l’Autriche de «négative» à «stable», disant s’attendre à ce que l'économie du pays continue de résister à la crise de la dette en Europe. L’agence de notation prévoit également que les banques autrichiennes augmenteront leur capital, contenant ainsi le risque constitué par leur faible capitalisation et leur importante exposition à l’Europe centrale, de l’est et du sud-est. S&P a maintenu sa notation souveraine à AA+/A-1.
Selon le secrétaire d’Etat à l’Economie Andreï Klepach, la croissance du PIB russe a ralenti à 3,4%-3,5% en 2012, contre 4,3% en 2011. Ce taux de croissance est conforme aux attentes, le ministère des Finances ayant dit anticiper 3,5%. En décembre, l'économie russe a progressé de 2,4% d’une année sur l’autre, contre 2,1% (révisé) en novembre. Andreï Klepach a déclaré en outre qu’il existait une marge de manœuvre suffisante pour davantage d’assouplissement quantitatif.
L’indice établi par le Conference Board mesurant la confiance du consommateur américain s’est établi à 58,6 en janvier, son plus bas niveau depuis novembre 2011, après un chiffre révisé de 66,7 en décembre. Cette chute de moral coïncide avec une hausse de deux points de pourcentage des charges salariales destinées au financement de la sécurité sociale.
Le hedge fund activiste estime que le groupe new yorkais spécialisé dans l’énergie devrait conduire une revue stratégique approfondie de ses activités, incluant la scission éventuelle de ses actifs de gaz de schiste du gisement de Bakken. Dans une lettre aux investisseurs, le patron d’Elliott Management, Paul Singer, recommande en outre de voter en faveur de cinq nouveaux administrateurs qu’il propose. Le fonds alternatif détient 4% du capital de Hess.
Le gouvernement japonais a approuvé mardi un projet de budget de 92.600 milliards de yens (760 milliards d’euros) pour l’exercice 2013-2014 qui prévoit des recettes fiscales supérieures aux nouveaux emprunts pour la première fois en quatre ans mais repose encore à 46,3% sur l’endettement. Le gouvernement du Premier ministre libéral-démocrate Shinzo Abe a en outre réduit le montant global des dépenses budgétaires pour la première fois en sept ans.
Le gouverneur de la Banque d’Israël Stanley Fischer, à qui l’on attribue la résistance affichée par l'économie israélienne durant la crise économique mondiale, quittera son poste au mois de juin, deux ans avant la fin de son mandat. L’homme, âgé de 69 ans, ancien économiste en chef à la Banque mondiale puis premier directeur général adjoint du FMI de 1994 à 2011, a occupé la fonction de vice-président de Citigroup avant de rejoindre la Banque d’Israël.