Nos articles d’actualités et d’analyse sur l’allocation des investisseurs par grandes classes d’actifs - actions, obligations, crédit, actifs réels, immobilier.
En tant qu’acteur du financement de l’économie, le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) a pu mesurer l’intérêt d’investir aux côtés d’autres institutionnels, notamment à travers l’initiative des fonds Novo et Novi. Pour autant, la gestion en mode "collaboratif" reste ponctuelle. Yves Chevalier, Membre du directoire du FRR, a donné cette interview en amont du panel de la JNI du 8 décembre dernier intitulé : "Quelle aurait été la croissance de la France sans la mobilisation des investisseurs pour financer son économie ? La gestion institutionnelle évolue-t-elle vers un mode de plus en plus "collaboratif" ?".
Damien Guichard, Gérant Dette Privée Corporate chez Allianz GI, nous détaille la façon dont la stratégie de la société de gestion dans le non coté répond aux attentes de l’assureur Allianz mais aussi à la demande institutionnelle de manière générale qui est en pleine évolution. Il a participé le 8 décembre dernier au panel de la Journée nationale des investisseurs intitulé : Quelle aurait été la croissance de la France sans la mobilisation des investisseurs pour financer son économie ? La gestion institutionnelle évolue-t-elle vers un mode de plus en plus "collaboratif" ?
Dans le droit fil des mois précédents, la politique budgétaire expansionniste de la Chine permet à l’économie mondiale de se maintenir sur le voie d’une expansion modérée, grâce à un rebond du secteur manufacturier, après le passage à vide du premier semestre de l’année. On sait que la politique budgétaire américaine va connaitre à son tour un virage expansionniste avec Donald Trump. Cependant, l’ampleur de son programme de
stimulation sera probablement révisée à la baisse au terme des négociations avec sa majorité républicaine et les mesures ne devraient être connues que mi 2017. Par ailleurs, les répercussions positives sur la croissance du reste du monde pourraient être limitées par une facette protectionniste
inédite.
En France, l’allocation des institutionnels se dirige vers des actifs liquides : il reste donc 10 ou 20 % pour l’immobilier, les infrastructures, le private equity et un peu de produits plus exotiques comme les hedge funds. Harold d’Hauteville, directeur chez Deutsche AM Infrastructure Europe basé à Londres nous explique pourquoi et nous éclaire sur les cas de l’Australie et du Canada où les actifs illiquides sont plus importants. Il a participé le 8 décembre dernier à un panel lors de la Journée nationale des investisseurs, intitulé : « La concentration des portefeuilles institutionnels sur les actifs les plus liquides : peut-on parler d'exception française ? ».
Chez EDF, 75 % du portefeuille d’actifs dédiés aux engagements nucléaires doivent être investis en actifs liquides. Cependant, Stéphane Tortajada, directeur des Financements et Investissements du groupe, nous explique que le passif exigible sur le long terme permet d’investir sur des classes d’actifs réels non cotés, de type infrastructures ou immobilier pour améliorer le rendement, diversifier et obtenir une récurrence des revenus.
Stéphane Tortajada a participé le 8 décembre dernier au panel de la Journée nationale des investisseurs (JNI), intitulé : La concentration des portefeuilles institutionnels sur les actifs les plus liquides : peut-on parler d'exception française ?
Dans le cadre du Questionnaire des Couronnes 2016, le directeur administratif et financier et président du directoire de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) détaille la composition de son portefeuille. Il fait également un point sur la gouvernance de l'institution, des prises de décision en gestion financière à la maîtrise des risques.
L’élection de Donald Trump adossée à une solide majorité républicaine au Congrès représente un tournant positif pour la croissance mondiale. La combinaison d’une baisse massive des impôts (sans équivalent depuis Reagan) et d’amples dépenses d’infrastructures vient à point nommé ajouter à la croissance mondiale les quelques dixièmes de points de croissance nécessaires à une légère accélération. Avant même de décider quoi que ce soit, Donald Trump hérite d’une économie américaine solide après deux mandats Obama. Nulle économie n’a engrangé davantage de révisions positives que le Japon ces dernières semaines. En Chine, la croissance décrétée d’en haut est stable à un niveau élevé mais les capitaux n’ont pas confiance. L’économie britannique continue de défier les pronostics d’un ralentissement. La faiblesse de la Monnaie Unique met la Zone Euro en position idéale pour tirer parti du net raffermissement du cycle manufacturier global. Hélas, le risque politique grossit à vue d’œil et pourrait l’emporter sur toute autre considération dans les calculs des investisseurs. La suite est disponible en téléchargement ci-dessous.
Jean-Marc Pont, investment specialist chez Generali Investments, nous explique la façon dont Generali Investments accompagne les investisseurs institutionnels pour les aider à relever les nouveaux défis qui se présentent à eux. Il précise notamment les avantages des approches de gestion dynamique et sous contrainte de risques. Jean-Marc Pont participera le 8 décembre prochain au Panel de la Journée nationale des investisseurs intitulé : La crise financière de 2008 aurait-elle été plus violente sans la gestion systématique ? Comment l’approche scientifique et quantitative permet-elle la mobilité de l’allocation d’actifs sans créer de volatilité ?
Une enquête réalisée en novembre 2016 par MorningstarPro.fr (52 institutionnels français interrogés) montre que 63% d’entre eux considèrent qu’ils pourraient y avoir un léger problème d‘adéquation actifs/passifs à moyen terme si la situation perdure, à cause de l’environnement de taux bas, les contraintes réglementaires, la persistance du risque pays en zone euro et l’anticipation d’une croissance faible. Dans ce contexte de taux bas voire négatifs, le poids des liquidités a eu tendance à diminuer pour 60% des institutionnels. En revanche, la majorité des investisseurs interrogés (57%) a eu tendance à conserver le poids des taux dans leur allocation ces dernières années, notamment pour des raisons de passif, quitte à diversifier et faire évoluer les répartitions des stratégies à l’intérieur de cette poche de taux. 5 grandes sources de diversification et de rendement ont été privilégiées par les institutionnels pour près de 90% d’entre-eux : le risque géographique (obligations internationales, émergentes…), le risque de crédit (High Yield…), le risque de liquidité (dette privée en zone euro…) , le risque sectoriel (obligations d’entreprises, obligations bancaires…) et la diversification des allocations sur d’autres classes d’actifs ayant un profil « obligataire » ou « income » (immobilier, infrastructure…). Voir l'étude
Philippe Goubeault, directeur financier de l’Agirc-Arrco,nous explique pourquoi l’Agirc-Arrco souhaite intégrer de la gestion actions systématique au sein de son portefeuille mais aussi fait un premier point sur l’audit réalisé par PwC pour réduire ses frais de gestion. Philippe Goubeault participera le 8 décembre prochain à la Journée nationale des investisseurs en tant qu’intervenant dans le panel intitulé : Nouvelles solutions d'investissements : l'innovation est-elle toujours rentable? Comment se prémunir dans un monde devenu de plus en plus complexe? Existe-t-il un moyen de protéger ses plus-values ?
Les modèles multifactoriels sont des outils standards d'analyse de la performance et du risque des portefeuilles actions. Outre l'impact des facteurs ordinaires, les gérants de portefeuilles actions analysent également comment les attributs propres aux actions peuvent expliquer les différences observées entre divers actifs et portefeuilles en matière de performance et de risque.
Le président de la commission finance de la Fondation pour la mémoire de la guerre d'Algérie, des combats du Maroc et de la Tunisie évoque, dans le cadre du questionnaire des Couronnes Instit Invest, le développement de sa poche immobilière, qui représente désormais 26% de son allocation d'actifs. Ses investissements se dirigent ainsi davantage vers les SCPI, avec pour objectif de conserver un rendement satisfaisant.
Le directeur général du Fonds de dotation du Louvre présente, dans le cadre du Questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016, sa stratégie d'allocation. Une stratégie qui fait la part belle aux infrastructures et à l'alternatif. Il décrit également sa gestion du risque, prenant en compte notamment la volatilité, le max drawdown, et la déformation de la courbe de distribution des performances pour les gérants alternatifs.
Le directeur de la gestion d’actifs d’Apicil dévoile, dans le cadre du Questionnaire des Couronnes Instit Invest, la politique d'investissement du courtier lyonnais dans l'économie réelle, et notamment l'importance de l'investissement local en région Auvergne-Rhône-Alpes. Il évoque également les initiatives d'Apicil en matière de création d'emplois et d'insertion.
Depuis 2008, un nouveau modèle de développement se met en place lentement basé sur les échanges entre zone économique de même niveau de développement (stratégie autocentrée), qui se fera sans doute à des niveaux de croissance plus faible et exigera une transition importante des structures de production précédentes (cout de la transition associée à une progression plus faible des consommations internes) ; la partie la plus dynamique concernera le développement de la nouvelle économie et passe par la création de sociétés nouvelles, TPE ETI réactives et innovantes ; le réservoir de demande globale se situe dans les pays en rattrapage de croissance.
Le groupe APRIL a diversifié depuis plusieurs années son portefeuille d'actifs de rendement. Jean-Sébastien Lyonnaz, directeur trésorerie, financement et gestion d’actifs du groupe, nous détaille la composition de celui-ci et justifie la place prépondérante qu'ont pris récemment les comptes à termes. Marc Le Doze, son directeur financier poursuit la discussion en mettant en avant l'importance des contre-pouvoirs des mandataires envers la gestion d'actifs d'APRIL. Cette interview a été réalisée dans le cadre du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016.
A l'occasion du questionnaire Couronnes Instit Invest 2016, Christophe Harrigan, directeur financier et Alban Jarry, directeur du programme Solvabilité II à La Mutuelle Générale présentent la politique d'investissement, la gouvernance et la politique de gestion des risques de la mutuelle.
D'après notre étude sur les appels d'offres aboutis lors du premier semestre 2016, les investisseurs institutionnels se renforcent dans le non coté. Bien que marginaux en termes de montants investis, les fonds de prêts à l'économie représentent tout de même un projet d'investissement sur six. Le private equity continue d'être attractif, particulièrement via les fonds de dette et les prises de participation, avec un appétit renforcé pour les starts-ups innovantes. Enfin, nous avons élaboré une liste des différentes sociétés de gestion sélectionnées lors des six premiers mois de l'année.
Présent dans le financement de l’économie réelle depuis quelques années, Aviva France multiplie les initiatives pour accompagner les entreprises françaises. Philippe Taffin, directeur des investissements de la compagnie d’assurance, explique en détails sa stratégie d’investissement à l’occasion du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016.
Selon cette enquête, les actifs mondiaux des plus grands fonds de pension affichent un repli pour la première fois depuis la crise financière mondiale.