Nos articles d’actualités et d’analyse sur l’allocation des investisseurs par grandes classes d’actifs - actions, obligations, crédit, actifs réels, immobilier.
Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en œuvre ; des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps. Téléchargez le baromètre de juin
En perspective des négociations pour un nouvel accord global sur le climat qui doivent se dérouler à Paris fin 2015, Mercer s’est penché sur le lien possible entre changement climatique et investissements. Le premier cabinet en conseil en investissement institutionnel alerte ainsi les investisseurs sur le fait qu’ils ne peuvent plus ignorer l’impact des évolutions environnementales sur le rendement financier.
USA : Vers un rebond modéré de l’activité au T2 Aux indicateurs maussades du 1er trimestre ont fini par succéder, à partir du milieu du mois de mai, des publications plus rassurantes laissant entrevoir un rebond de l’activité au T2 et un relèvement des taux directeurs au second semestre. A l’exception de la consommation des ménages dont la modestie continue de surprendre désagréablement, les autres paramètres importants tels que les créations d’emploi, l’investissement, le niveau d’activité des services, de l’industrie et l’immobilier, continuent de se raffermir en avril. Lire la suite en pièce jointe.
Dans un environnement de taux bas, les investisseurs institutionnels ont tendance à revoir leur approche générale et à s’intéresser à des classes d’actifs qui leur sont moins familières et à des stratégies moins contraintes, selon l’enquête 2015 réalisée par Mercer sur quelque 1.100 portefeuilles institutionnels dans 14 pays européens représentant plus de 950 milliards d’euros d’encours («European Asset Alloocation Survey»). L’allocation moyenne en gestion alternative s’est accru en un an de 2 points de pourcentage, passant de 12% à 14% du total des actifs. Au Royaume-Uni, l'évolution est encore plus marquée, avec une réduction de 6 points de pourcentage des allocations actions sur les deux dernières années, au profit pour l’essentiel des allocations alternatives. Autre évolution significative, le recours croissant aux stratégies passives pour les actifs traditionnels coeur de portefeuille, actions et obligations. Du côté actions, l’allocation moyenne investie passivement atteint 49%, contre 45% en 2014. Du côté obligataire, la part de la gestion passive est passée de 37% à 44%. L’enquête relève également une prise en compte de plus en plus importante des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Seulement 35% des institutionnels interrogés indiquent ne pas prendre en compte ces facteurs, contre près de la moitié (48%) en 2014. Parmi les facteurs ayant contribué à cette évolution, l’impact financier potentiel et la gestion du risque de réputation.
Après avoir intégré pour la première fois des fonds de performance absolue dans l'allocation du Fonds de dotation du Louvre, Philippe Gaboriau, le directeur, nous dévoile les principaux changements pour 2015 : plus de gestion active, une plus grande flexibilité dans la poche obligataire et un moindre recours aux consultants.
La Fondation de France souhaite dorénavant privilégier les investissements dans des actifs réels avec un impact environnemental directement quantifiable. Après avoir notamment investi en 2014 dans plusieurs fonds d’infrastructures dédiés aux énergies renouvelables, Jean-Pierre Lefranc, le directeur financier, évoque la volonté de la Fondation de France de se diriger vers le thème de la sécurité alimentaire.
Le cabinet de conseil en investissement Amadeis publie, pour la 14ème année consécutive, le Palmarès des Sociétés de Gestion. Cette enquête d’opinions a été menée début 2015 auprès d’une soixantaine d’investisseurs français, parmi lesquels des institutionnels (retraite et prévoyance, mutuelles, banques, compagnies d’assurances, fondations…) et des distributeurs (plateformes de distribution, multi-gestionnaires, banques privées...). Sur la base des opinions collectées auprès de ces investisseurs, disposant d’un total cumulé d’environ cent cinquante milliards d’euros de réserves, l’étude présente : un éclairage sur les tendances du marché institutionnel français ainsi qu’une analyse du comportement et des attentes des investisseurs en 2015. des classements de sociétés de gestion relatifs à la gestion de différentes classes d’actifs, ainsi qu’un Palmarès Général établi sur la base de ces classements. Par les montants de leurs réserves, leur horizon d’investissement et leur niveau d’exigence, l’opinion de ces investisseurs constitue une source d’information stratégique. Les différents palmarès sont établis sur la base des évaluations des investisseurs selon différents critères : qualité de la gestion, rigueur du processus d’investissement, qualité et la régularité des performances, efficacité du contrôle du risque, compétence et stabilité des équipes de gestion, clarté de la communication, efficacité du service client, qualité des démarches commerciales. Le Palmarès Général est la résultante des classements obtenus par les sociétés de gestion dans les différents palmarès.
Pascal Christory, directeur des investissement d'AXA France, nous indique que l'assureur compte, dans un contexte de taux toujours plus bas, augmenter ses investissements dans le financement des PME/ETI ainsi que dans les dettes infrastructures.
Jean-Sébastien Lyonnaz, directeur Trésorerie / Financement / Gestion d’actif d'April, évoque les investissements récents de l'assureur dans les loans pour optimiser le rendement de l'allocation. Il s'exprime par ailleurs sur Solvabilité II et les contraintes engendrées par la directive.
Ce pourrait être le titre du dernier Black et Mortimer ou encore une référence au « Deadly Bermuda Triangle ». Malheureusement, il n’en est rien. Sir Francis Blake n’a rien d’un Commissaire européen en charge de la stabilité financière, des Services financiers et de l’Union des marchés de capitaux et Philip Mortimer ne préside pas aux travaux de l’EIOPA. On pourrait presque d’ailleurs le regretter…
Stéphane Tortajada, directeur financement et investissements du groupe EDF, supervise la gestion de deux principaux portefeuilles : un dédié aux provisions nucléaires (22 milliards d’euros) et un second consacré à la gestion des retraites des employés d’EDF (9 milliards d’euros). Un appel d’offres devrait être lancé par le groupe pour renouveler les gérants de ce dernier portefeuille.
USA : Infléchissement ponctuel de l’activité malgré une diffusion qualitative de la croissance. Sous l’influence de facteurs négatifs temporaires, tels qu’une vague de froid dans le Nord-Ouest et des grèves dans les ports de la côte Ouest, le PIB préliminaire au 1er trimestre pourrait être plus proche d’une croissance de 1% annualisée que de 2%. Lire la suite en pièce jointe.
L’étude réalisée par Prophil, en collaboration avec Delsol Avocats et la Chaire Philanthropie de l’ESSEC, et avec le soutien de Mazars, propose le premier tour d’horizon européen (France, Danemark, Suisse et Allemagne en priorité) des fondations actionnaires, un mode de gouvernance à double vocation économique et philanthropique, qui devrait inspirer la France. Lire la suite ci-dessous
Il existe une grande diversité d'allocations d'actifs en Suisse, même si la réglementation impose des seuils pour chaque classes d'actifs, qui peuvent cependant être dépassés, mais momentanément seulement. Comme dans bien d'autres pays, on note une tendance à la consolidation du secteur, passant quelquefois par une uniformisation des plans. Autre particularité suisse : des portefeuilles modèles réalisés par les banques, dont s'inspirent les institutionnels. Dominique Favre, qui dirige l’Autorité de surveillance des caisses de pension de quatre cantons, est à un poste d'observation particulièrement précieux pour nous livrer ses vues.
Forward Finance est le leader français du conseil en gestion d’actifs avec 8 Mds € d’actifs conseillés. La société conseille ses clients institutionnels sur le long terme dans la gestion de leurs portefeuilles. La société réalise par ailleurs des audits, des formations, et des missions de conseil ponctuelles. Le cabinet connait une croissance de son activité et offre un cadre de travail appréciable. Le service Recherche se charge de décrypter l’évolution de l’économie et des marchés en vue de fournir des repères robustes pour le conseil en pilotage tactique des portefeuilles conseillés. Il s’occupe également de l’analyse et de la sélection des supports sur lesquels les clients investissent. MISSIONS Au sein du département Recherche, vous participerez à la sélection et au suivi des supports d’investissements (OPCVM) dans les catégories actions et diversifiés. Vous deviendrez ainsi l’interlocuteur privilégié de nos consultants pour documenter leurs préconisations d’investissements dans ces domaines. Vous contribuez activement au décryptage de la macro-économie et des marchés, en coordination avec les autres membres de l’équipe. Vous participez ainsi à la rédaction des différents éditoriaux publiés par la société (hebdomadaire et mensuel), ainsi qu’à l’élaboration du document de référence présenté tous les mois en comité. Vous participez à l’élaboration des scénarii qui donnent des lignes directrices dans la gestion des portefeuilles clients tout au long de l’année. Vous faites partie intégrante de la construction des portefeuilles modèle de la recherche et des arbitrages qui peuvent avoir lieu. PROFIL De formation Bac+5 en Economie/Finance, vous êtes récemment diplômé(e) d’une grande école de commerce, d’université (Master2), ou d’ingénieur (avec spécialisation en finance). Rigoureux(se), doté(e) de bonnes capacités de rédaction et d’un bon relationnel, vous êtes capable de synthétiser l’information macro-économique et sur les supports afin d’apporter une aide de valeur aux consultants. Des connaissances en analyse du marché actions et un vif intérêt pour la classe d’actifs sont souhaités. Le maniement aisé du pack office (Word, Excel, Powerpoint) est indispensable, la connaissance de VBA serait un vrai plus. Des notions concernant l’outil Reuters seraient appréciées. Un anglais courant est nécessaire pour la compréhension de certaines informations. Envoyer CV et lettre de motivation : contact@forwardfinance.com
Après une surperformance des actifs risqués européens depuis le début d’année et une performance de 27% du marché actions depuis les points bas de mi-octobre 2014, les investisseurs pourraient être tentés de réduire le risque dans leur allocation. De plus, côté obligataire, les perspectives sont guères exaltantes avec des taux souverains en Europe à leurs plus bas niveaux historiques (28% du gisement affiche un rendement négatif) et des primes de crédit largement resserrées, l’espérance de rendement reste donc limitée.
Que faire sur les actions européennes après la hausse rapide de ce début d’année ? Aujourd’hui les mêmes qui entouraient de précautions leur optimisme pour l’année 2015, semblent tout d’un coup saisis de panique à l’idée de rater la hausse et se montrent enclins à monter à bord des actions européennes alors qu’une hausse rapide de 15% a déjà eu lieu. Ont-ils raison ?
Au moment où la tendance haussière du marché actions américain arrive à maturité, les small et mid caps de qualité présentent des valorisations attractives et offrent une exposition à l’accélération de la croissance économique domestique. Un bon moment pour investir ? Analyse de Mark Sherlock, head of Hermes US SMID.
Les portefeuilles d'Aviva France étaient jusqu'à la crise constitués en majeur partie d'obligations. Le changement de paradigme provoqué par la baisse des taux et la technicité grandissante de la gestion liée au développement de nouvelles classes d'actifs (infrastructure, loans corporate, dette immobilière…) a contraint l’assureur à faire évoluer en profondeur son allocation d'actifs. Aviva France dispose du confort de pouvoir déléguer la gestion de la quasi-totalité de ses actifs financiers à une société sœur, Aviva Investors. Philippe Taffin, son chief investment officer, nous détaille ses positions en actifs de diversification.