Joseph (Joe) Linhares has been with iShares since the beginning, in April 2000. He held several positions, including head of sales for iShares in the United States, before becoming CEO for Europe at the ETF provider in August 2010. For the first time, he discusses the firm's strategy in an interview with Newsmanagers.
Stockholm serait prête à signer le pacte de compétitivité européen si le texte lui permet de fixer sa politique salariale comme elle l’entend, a déclaré le ministre des Finances dans une interview diffusée samedi par la radio publique suédoise. Le pacte a été essentiellement conçu pour les pays de la zone euro, mais les autres membres de l’Union européenne peuvent s’y joindre.
Naturex, spécialiste français des ingrédients naturels pour l’industrie agroalimentaire, espère conclure cette année une ou deux nouvelles acquisitions pour renforcer sa croissance et étoffer son activité de cosmétiques. La société fera état lundi d’une croissance à deux chiffres de son chiffre d’affaires du premier trimestre, a déclaré le PDG de Naturex dans une interview à Reuters.
Nestlé n’a pas l’intention de remettre en cause l’indépendance de L’Oréal, assure mercredi Liliane Bettencourt, principal actionnaire du groupe français de produits cosmétiques, dans une interview au Figaro. Le numéro un mondial de l’agroalimentaire, qui détient 29,7% de L’Oréal, avait indiqué mi-avril qu’il prendrait une décision sur sa participation dans le groupe français en 2014.
In an interview with La Tribune, the chairman of Crédit Agricole SA, Jean-Marie Sander, discusses the potential acquisition of Pioneer, the management firm of the UniCredit group. He says that Crédit Agricole is waiting, and that “if the deal does not go through, Crédit Agricole will be no worse off.” Sander says that the asset management affiliate of the group, Amundi, “could open to other partners, but it already has critical size.”
In an interview with Reuter Insider TV, Handelsblett reports, Hans-Jürgen Dannheisig, chairman of the board, says that according to a survey by the Kommalpha agency, the approximately 800 ETF funds available on the German market are sufficient for the 196 institutional investors surveyed. One third of respondents estimate that new ETF launches are not necessary, although 84% of respondents use the products.However, 51% of institutionals had only 5% ETFs in their portfolios, and none had more than 25%.63% of those surveyed say the greatest drawback of ETFs is that without active management, there is no way to outperform the market.
Les régimes de l'AGIRC et de l'ARRCO totalisent aujourd'hui quelques 60 milliards d'euros d'actifs dont l'essentiel (44 milliards d'euros) est placé sous l'égide de la fédération AGIRC ARRCO (GIE). Les 15 Caisses assurent la gestion de 16 milliards d'euros en conformité avec la réglementation AGIRC et ARRCO.
Pour la première fois, l’industrie de la gestion d’actifs a fait partie de la délégation française qui s’est rendue à Pékin la semaine dernière dans le cadre du Comité France-Chine, rapporte La Tribune. Cela a été l’occasion pour Paul-Henri de La Porte du Theil, président de l’AFG (Association française de la gestion financière), de promouvoir ce secteur et de rencontrer les régulateurs et son homologue chinois. Dans une interview, Paul-Henri de La Porte du Theil souligne que cinq des 63 sociétés de gestion enregistrées en Chine sont des coentreprises avec des maisons françaises, ce qui permet à ces dernières de bénéficier d’un réseau de distribution dans le pays et à leur partenaire local de profiter d’une solidité, d’une qualité et d’une technicité qu’il n’a pas encore.
In an interview with Newsmanagers, Francis Ailhaud, CEO of Groupama Asset Management, discusses the creation of Sigma and international activities, two strategic areas for the asset management firm of the Groupama group, which as of the end of December managed EUR89.9bn in assets.
Le groupe de télévision a fait part jeudi de la cession de sa société de jeux et de paris en ligne SPS à Solfive. L’opération intervient un peu plus d’un an après la montée de TF1 au capital de SPS. Les termes financiers n’ont pas été dévoilés, mais un analyste estime que le prix de cession devait être de l’ordre de 5 millions d’euros.
Dans le cadre de son mandat de surveillance des développements sur les marchés, le Forum de stabilité financière (FSF, ou FSB, Financial Stability Board) a publié le 12 avril une note sur les risques potentiels liés à la forte croissance des ETF («Potential financial stability issues arising from recent trends in exchange-traded funds»).Outre sa forte croissance, le marché des ETF, encore pour l’essentiel constitué de produits simples, a néanmoins diversifié son offre avec, dans certains cas, des produits complexes. La note vise à améliorer la compréhension des problèmes de stabilité financière liés à ces développements et à encourager le secteur financier à adapter ses pratiques de gestion des risques et d’information au rythme des innovations sur le marché.A la fin du troisième trimestre 2010, les actifs sous gestion du secteur des ETF s'élevaient au niveau mondial à 1.200 milliards de dollars, dont 85% en produits simples. Le secteur a connu une croissance moyenne de 40% par an au cours des dix dernières années. Récemment, le marché s’est caractérisé par une forte innovation produits, tant sur le marché des ETF proprement dit que sur le marché des ETN (Exchange Traded Note) ou des ETV (Exchange Traded Vehicle) qui sont pour l’essentiel des produits de dette alors que les ETF sont des fonds. Certains de ces nouveaux produits sont emblématiques de cette fièvre innovatrice, à l’instar des ETF à levier ou des ETF inverses). Le premier ETF de prêts corporate dans la catégorie spéculative a été lancé récemment. Selon le FSB, «la complexité et l’opacité qui caractérisent ces innovations appellent une surveillance accrue dans la mesure où les investisseurs pourraient être ainsi exposés à des risques non anticipés».Le Forum estime notamment que l’accélération de la croissance des ETF synthétiques mérite une attention particulière, en raison par exemple des risques de conflits d’intérêts que peuvent présenter ces produits lorsqu’une banque intervient à la fois comme fournisseur d’ETF et contrepartie sur le dérivé. La note évoque également l’impact potentiel du fort volume de transactions des ETF sur la liquidité et les prix des titres sous-jacents. Dans la même veine, les faibles marges sur les ETF physiques simples poussent les fournisseurs à s’engager dans du prêt de titres à grande échelle afin de gonfler leurs rendements.Dans ce contexte, les autorités de marchés et les superviseurs bancaires sont en train de renforcer la surveillance du marché des ETF et des travaux sont en cours pour évaluer l’impact des innovations récentes sur les risques systémiques. En attendant les résultats de toutes ces initiatives, les fournisseurs d’ETF et les investisseurs devraient se pencher sur les stratégies de gestion des risques des ETF, notamment en ce qui concerne le risque de contrepartie et la gestion du collatéral, et évaluer leur exposition aux risques de liquidité et de marché. En outre, estime le FSB, les fournisseurs d’ETF devraient améliorer le niveau de transparence proposé aux investisseurs, en proposant notamment de manière régulière une information détaillée sur la composition des produits et les différents risques «afin de permettre aux investisseurs d’exercer leur due diligence et de promouvoir une meilleure compréhension du marché des ETF dans son ensemble».Le Forum indique dans un communiqué que les commentaires sur toutes ces problématiques sont bienvenus jusqu’au 16 mai prochain.
En Europe, les fonds obligataires à haut rendement (high yield) ont débuté 2011 en fanfare, avec des souscriptions nettes de 11 milliards d’euros sur janvier-février (5,8 milliards en janvier et 5,2 milliards en février), contre 3,9 milliards d’euros sur la période correspondante de l’an dernier, qui était pourtant déjà un niveau record pour cette classe d’actifs, selon les dernières statistiques de Lipper. Cet essor intervient alors que la plupart des fonds obligataires et actions - toute nature confondue - ont souffert en février. Ainsi, les premiers ont globalement enregistré des souscriptions nettes de seulement 160 millions d’euros sur le mois et les seconds de 4,6 milliards d’euros (le plus faible niveau en 5 mois). Dans les deux cas, ce sont les rachats sur les marchés émergents qui ont pesé sur le solde total. Par exemple, les fonds de dette émergente monde ont accusé des sorties nettes de 1 milliard d’euros (le pire niveau en deux ans), tandis que les fonds actions émergentes (monde, BRIC et Amérique latine) ont accusé des rachats de 5,8 milliards d’euros, dont près de 90 % sur des fonds gérés activement. Hormis les fonds high yield, les classes d’actifs les plus dynamiques, ont été les matières premières (souscriptions nettes de 1,3 milliard d’euros), les obligations convertibles (1,7 milliard) et les fonds garantis (1 milliard). Mais la palme revient aux fonds d’allocation d’actifs, qui ont enregistré des souscriptions nettes de 2,7 milliards d’euros, ce qui semble confirmer l’intérêt des investisseurs pour ces produits flexibles. Au total, en février, les fonds commercialisés en Europe ont enregistré en février des souscriptions nettes de 15,7 milliards d’euros hors fonds monétaires et de 18 milliards d’euros fonds monétaires inclus. La société de gestion ayant le plus collecté en février est BlackRock, avec 3,6 milliards d’euros, dont 2,6 milliards dans des fonds actions. Robeco et Henderson arrivent ensuite pour les actions, avec chacun juste un peu plus de 530 millions d’euros. Côté obligations, c’est Franklin Templeton qui a été le plus actif, avec des souscriptions nettes de 1,4 milliard d’euros.