Le groupe bancaire a annoncé avoir intégralement remboursé l’Etat après le rachat de 1,2 milliard d’euros d’actions de préférence et d’un milliard d’euros de titres super subordonnés (TSS) détenus par la Société de Prise de Participation de l’Etat (SPPE), filiale à 100% de l’Etat. Ce remboursement intervient en avance par rapport à l'échéance de fin 2012 fixée par son plan stratégique.
Le groupe bancaire BPCE a annoncé avoir intégralement remboursé l’Etat après le rachat de 1,2 milliard d’euros d’actions de préférence et de 1 milliard d’euros de titres super subordonnés (TSS) détenus par la Société de Prise de Participation de l’Etat (SPPE), filiale à 100% de l’Etat. Ce remboursement intervient en avance par rapport à l'échéance de fin 2012 fixée par son plan stratégique et alors que Natixis vient de rembourser à la banque 800 millions d’euros de titres super subordonnés.
L’assemblée générale annuelle de la ROAM (Réunion des Organismes d’assurance mutuelles) du 22 mars 2011 a élu Olivier Désert, directeur général de la Mutuelle de Poitiers Assurances, président de la ROAM. Il succède à Michel Dupuydauby qui terminait son 6ème mandat de président de la ROAM. Olivier Désert, occupait déjà le poste de vice-président de la ROAM et celui de secrétaire-général trésorier. Il devient ainsi membre du Bureau de l’AFA (Association Française de l’Assurance), de la FFSA (Fédération Française des Sociétés d’Assurances), de la FFSAM (Fédération Française des Sociétés d’Assurance Mutuelles). Les quatre vice-présidents élus ou réélus le même jour sont : André Renaudin, AG2r- La Mondiale, Jacques Deparis, AREAS, Bernard Millequant, SMABTP, Jean-François Allard, MAF. Marcel Kahn, MACSF est élu secrétaire-général trésorier.
Swiss & Global Asset Management, la société de gestion fournisseur des fonds Julius Baer, lance, en collaboration avec Swiss Hedge Capital, le fonds Swiss Hedge Trading Fund. Il s’agit du premier hedge fund «single manager» domicilié en Suisse et régulé par l’autorité de surveillance des marchés financiers (FINMA), selon Swiss & Global AM."Lancer un hedge fund dans un environnement onshore est une nouveauté en Suisse. Cette démarche reflète la tendance en faveur d’une transparence et d’une régulation accrue dans le sens de la protection des investisseurs. Nous estimons que ce domaine recèle encore un important potentiel de marché pour les années à venir», commente Reto Barbarits, chef de projet pour le Swiss Hedge Trading Fund auprès de Swiss & Global Asset Management. Swiss Hedge Trading Fund est un fonds long/short en actions qui suit une stratégie active de trading. Il se concentre sur les thèmes actuels de marché ainsi que sur les grandes tendances boursières. La majeure partie de ses investissements intervient dans des valeurs standards européennes. Swiss & Global Asset Management administre le fonds tandis que Swiss Hedge Capital est responsable de sa gestion.
In an interview with the Frankfurter Allgemeine Zeitung, Eric Syz, CEO of the Swiss firm of the same name, claims that German investors expect too much of private banks, but that they are stingy about paying commissions, which makes it impossible to conduct private banking activities in reasonable economic conditions. Retail clients are also difficult to serve because they are often passive and conformist.However, Syz sees opportunities to develop in the institutional client segment, especially pension funds and insurers. In terms of institutional asset management, the Swiss firm is hoping to gain market share in Germany, France and Italy.
Principaux résultats de l’enquête de mars 2011 : La situation de la trésorerie d’exploitation des grandes entreprises est toujours considérée comme aisée. Les trésoreries globales continuent de s’améliorer. Les trésoriers sont beaucoup moins pessimistes sur l’influence du taux de change actuel sur leurs trésoreries. Par contre, ils deviennent très négatifs sur l’influence du prix du pétrole. Les marges payées sur les crédits bancaires sont jugées stables. La recherche de financements redevient un peu plus facile. Voir l’enquête
p { margin-bottom: 0.08in; } The Private Banking division of Credit Suisse may exceed its 2012 objectives for net inflows in Asia ex Japan, Agefi Switzerland reports. Walter Berchtold, CEO of the division in question, confirmed the news on 21 March in Singapore in a televised interview. In 2009, the bank announced plans to bring in CHF35bn to CHF45bn in new capital by 2012. Since then, Credit Suisse has taken on about CHF18.5bn in new money, for a total of CHF78.5bn in assets under management.
p { margin-bottom: 0.08in; } Matthieu Duncan, head of business strategy at Newton Investment Management (GBP47.2bn), has told Newsmanagers in an interview at the Forum GI that the London-based boutique from BNY Mellon absolutely does not practice socially responsible investment (SRI) as a separate entity from extra-financial analysis, which is handled by three specialised managers (out of a total of 25), who also rely on research from EIRIS, and who are an integral part of the stock-picking process, which may also be a part of the reason that the management firm relies on a range of charitable organisations as clients (GBP4.5bn in dedicated mandates for 500 clients), and a team of 15 managers.SRI is, more precisely, part of Newton’s DNA, and was present when the firm was founded in 1998. The management firm has also more recently also introduced environmental, social and governance (ESG) criteria into the investment process. It has also been supplemented with an active “engagement” policy and a variety of reporting and transparency as to the nature of activities.Half of total assets at Newton, a business with 400 employees, come from institutional mandates (250 clients), many of them for pension funds. One third of assets under management are held in thirty British-registered OEIC products, and less than 10 Irish-registered UCITS-compliant funds. The remainder of assets are from charities and private clients.
p { margin-bottom: 0.08in; } Clients of Swiss banks which refuse to bring themselves into compliance with new tax sharing rules could turn to independent managers, the chairman of the board of directors of Julius Baer, Raymond Baer, admits in an interview with Le Temps published on 19 March, Agefi Switzerland reports. “We are planning to address such cases,” the banker admits. “The fact that they can turn to independent managers is a concern which we have as a depository bank.” Independent managers represent “an important sector which doesn’t have the same rules as banks,” Baer adds. But “the reputation of the financial market needs to be defended. Hence the need to regulate it.”
Notre dernier commentaire rappelait que les futurs retraités auraient à se préparer à deux inflations : celle de la durée de vie, la longévité (certaine) et celle du coût de la vie, les prix, (probable). Alors pourquoi ne pas utiliser l’opportunité de la première pour couvrir la seconde. Rien ne sert de courir, il faut partir à point. A l’heure où les investisseurs et les particuliers échaudés cherchent, voire achètent, des solutions de derisking, n’est il pas davantage l’heure du rerisking. Racheter du risque à prix raisonnable : risk at reasonable price. Lire l'étude
Legal & General Investment Management a vu son bénéfice augmenter à 206 millions de livres en 2010, contre 172 millions en 2009. Cette hausse intervient alors que ses encours sous gestion ont grimpé de 315 milliards de livres à 354 milliards, soit une augmentation de 12 %.
Depuis février 2010, Hervé Bouclier était conseiller du Directeur Général de MACSF SGAM. Il a collaboré à des sujets comme l’innovation dans l’assurance, solvabilité 2, les normes IFRS pour l’assurance, les évolutions du traitement de la réserve de capitalisation et les nouvelles règles fiscales. De début 2007 à février 2010, Il a été Directeur Général Adjoint de la MACSF et plus particulièrement en charge de l'épargne retraite et de la gestion financière du Groupe. De 1980 à 2007 il a collaboré au sein du Groupe AXA dans le cadre d’une expertise en assurances de personnes et du management de différentes directions opérationnelles avec notamment la responsabilité d’une direction vie individuelle et celle de la direction des partenariats. Hervé Bouclier succède à Bernard Le Bras et devient Président du directoire de Nord Europe Assurances, holding portant les participations du Crédit Mutuel Nord Europe dans le monde de l’assurance, pôle constitué de plusieurs entités et notamment : ACMN VIE. Créée en 1998, ACMN Vie est la société du Groupe spécialisée en assurance vie et en prévoyance. Tous les contrats sont conçus, gérés et assurés par ACMN VIE et commercialisés à la fois par les réseaux français et belge du Groupe Crédit Mutuel Nord Europe. ACMN IARD. Cette structure développe toute la gamme de produits et services d’Assurances Dommage disponibles auprès du réseau des Caisses locales mais aussi via le site cmne.fr (demandes de devis et souscription en ligne). Nord Europe Assurances a réalisé en 2010 un chiffre d’affaires de 1,6 milliard d’euros.
Crédit agricole SA a annoncé jeudi vouloir quintupler son bénéfice net d’ici 2014 et confirmé renoncer à des acquisitions majeures sur cette période. La banque française, qui présente son nouveau plan stratégique, a indiqué viser un résultat net part du groupe de 6 à 7 milliards d’euros en 2014 contre 1,26 milliard publié en 2010. Elle espère aussi sur la période dépasser la barre des 25 miliards d’euros de revenus et atteindre un rendement des fonds propres de l’ordre de 10% à 12%. «Notre plan a été construit sans recours à la croissance externe, mais en nous concentrant sur la croissance organique», a déclaré Jean-Paul Chifflet, directeur général du Crédit agricole, dans une interview aux Échos de jeudi.
Les nouvelles techniques et technologies de gestion systématiques apportent-elles des réponses plus satisfaisantes aux objectifs de diversification, que les techniques de gestion traditionnelle? Le 16 mars, à l’occasion d’un atelier du Forum GI consacré à ce dossier, les intervenants ont apporté une réponse nuancée mais clairement en faveur du recours aux deux approches.Pour Malik Haddouk, responsable de la gestion diversifiée chez CPR Asset Management, «c’est l’allocation qui est à la base de tout». Cela dit, «nous faisons tous du quantitatif», ajoute-t-il, ne serait-ce que par l’évaluation des risques. «On peut se tromper dans l’allocation et il est donc important d’avoir une approche multi-scénarios qui prenne en compte les risques», explique Malik Haddouk. Marc Fleury, responsable du développement commercial chez Theam, ex-Harewood Asset Management, souligne qu’il convient de bien distinguer gestion quantitative et gestion systématique. Seule la deuxième approche met en place des outils mathématiques qui exécutent eux-mêmes les actes de gestion, ce qui n’est pas le cas de la gestion quantitative qui intervient plutôt comme une aide à la prise de décision. «Nous sommes une maison de stock-pickers. Le stock picking fait partie de notre ADN», rappelle de son côté Mirela Agache-Durand, responsable de la gestion diversifiée chez Oddo Asset Management. Toutefois, ajoute-t-elle, le stock picking n’exclut pas la rigueur. «Nous sommes très disciplinés et systématiques dans notre prise de décision», lance-t-elle. Ce que confirme Marc Fleury. «Beaucoup de stock-pickers utilisent des modèles pour quantifier leur prise de décision». Mais il ajoute que l’approche quantitative ne marche pas à tous les coups, notamment si la classe d’actifs manque de profondeur. «Il n’existe par exemple que très peu d’indicateurs de marché sur la volatilité», relève Marc Fleury. Lorenzo Ballester, directeur général de CCR Asset Management, affirme pour sa part avoir une vision «œcuménique». La combinaison des deux approches est «la clé du futur», estime-t-il. «Nous avons toutes les catégories d’investisseurs, ceux qui veulent décider de tout comme ceux qui délèguent tout. Sauf qu’il nous faut tout de même gérer les risques extrêmes», remarque-t-il. Tout en défendant le stock picking, Mirela Agache-Durand estime qu’il y a malgré de la place pour l’approche systématique au travers de produits très réactifs, comme les produits passifs. Et tout en défendant l’approche systématique, Marc Fleury ne peut pas non se montrer trop affirmatif, non seulement pour les raisons évoquées plus haut, mais aussi parce que la naissance de Theam résulte du rapprochement d’un spécialiste de l’approche systématique (Harewood) avec un gérant discrétionnaire (Sigma)…