La Commission européenne s’apprête cette semaine à émettre des objections au projet de fusion entre Deutsche Börse et Nyse Euronext , a rapporté mardi une source au fait du dossier. La Commission européenne devrait envoyer un communiqué de griefs aux parties concernées cette semaine, a déclaré la source, refusant de donner plus de détails. Un communiqué de griefs présente généralement les inquiétudes de l’exécutif européen concernant les questions de concurrence. Après réception de ce document, les groupes concernés peuvent tenter de convaincre la Commission que ses craintes sont infondées ou proposer des mesures visant à dissiper les risques d’entrave aux règles de la concurrence.
L'ANCV est un acteur majeur de la politique sociale du tourisme visant à favoriser l'accès aux vacances pour tous grâce à deux outils d'intervention complémentaires : les Chèques-Vacances pour les salariés, des programmes d'action sociale pour les publics en difficulté et le financement du patrimoine du tourisme social (villages de vacances).
En 2010, 3,4 millions de salariés du secteur privé et du secteur public ont bénéficié de Chèques-Vacances. La valeur des Chèques-Vacances émis atteint 1,3 milliards d'euros, 210 000 personnes sont parties en vacances grâce aux programmes d'action sociale menés par l'ANCV et ses partenaires associatifs.
Dans un article paru dans Option Finance, Laurent Chardonnet, responsable du risk management du groupe Prévoir (3.4 milliards d’euros d’encours) revient sur les travaux préparatoires à l’application de Solvabilité 2: Nous avons commencé à nous atteler au projet de Solvabilité 2 à la mi-2009 et nous avons notamment participé aux dernières études quantitatives afin d'évaluer nos ratios avec cette nouvelle réglementation. Mi 2009, nous avons choisi notre logiciel de modélisation financière et actuarielle pour calculer nos ratios de solvabilité. Un cabinet d’actuariat nous a alors aidé pour les travaux de modélisation et il intervient désormais plus ponctuellement sur des problématiques d’interprétation de la méthodologie. Si nous pouvons désormais évaluer notre situation par rapport aux exigences de capital de Solvabilité 2 selon une approche déterministe, nous devons aussi évoluer vers la modélisation stochastique, c’est à dire aléatoire de nos résultats, en y intégrant plusieurs scénarios d'évolution de marché. A l’heure actuelle, la réglementation est encore fixée à janvier 2013 alors que nous ne disposons pas encore de tous les détails notamment concernant les piliers 2 et 3, rappelle Laurent Chardonnet. De plus, le calibrage du calcul de la formule standard pourrait être remanié en raison de la crise financière que nous vivons. Nous sommes donc attentifs aux évolutions à venir de la réglementation en particulier à la publication à la fin d’année ou début 2012 de la directive Omnibus 2 qui précisera les mesures transitoires et les délais de mise en conformité avec Solvabilité 2. En attendant, nous sommes encore dans l’expectative quant aux moyens supplémentaires à déployer en interne.
Fitch a abaissé la perspective de la note des entreprises françaises de l’assurance-vie qui passe de stable à négative, mais relève le secteur de l’assurance dommage de négative à stable, selon un communiqué. Selon l’agence d'évaluation financière, une part importante des sociétés proposant de l’assurance-vie pourrait voir leur bilan revu à la baisse d’ici un à deux ans. L’agence franco-américaine évoque en effet un avenir incertain concernant le secteur : « L’industrie française de l’assurance fait face à bon nombre de défis, qui ont été amplifiés par la crise financière ». Des taux d’intérêts plus élevés et une solvabilité plus forte Fitch pointe en effet du doigt la baisse des primes, ainsi qu’un portefeuille d’activité « défavorable » qui va peser sur sa rentabilité et sa solvabilité. En prévision : une baisse de la collecte en 2011-2012 et qu’une hausse du nombre de contrats arrivant à expiration. Les ventes de contrats en UC sont par ailleurs menacées par la volatilité des marchés financiers, selon l’agence. Fitch cite deux conditions pour réviser la perspective de l’assurance-vie : des taux d’intérêt plus élevés, qui pourraient permettre au secteur français de l’assurance-vie de reconstituer ses marges et d’augmenter ses profits, ainsi qu’une solvabilité « plus forte ». L’assurance dommage relevé à stable L’agence a revanche relevé la perspective de l’assurance dommage française de négative à stable après avoir observé une amélioration des conditions tarifaires et des demandes d’indemnisation, le secteur n’ayant subi aucun évènement climatique majeur. Fitch relève néanmoins une faible croissance des primes d’assurance pour 2010 et remarque l’apparition d’offres à bas coût, plus séduisantes pour les assurés. Fitch prévoit donc pour les 12 à 24 mois à venir un retour des politiques tarifaires agressives, qui auraient un effet négatif sur la rentabilité du secteur. L’agence prédit également un rôle plus important de la bancassurance, avec notamment le développement d’une offre par La Banque Postale.
Les actions Dexia ont plongé en Bourse après la décision de l’agence de notation Moody’s de placer la note de la dette de la banque franco-belge dette sous surveillance négative. Moody’s a justifié sa décision par des inquiétudes sur la liquidité du groupe alors que les conditions des marchés de refinancement restent très tendues. Mardi dernier, Fitch Ratings avait déjà annoncé avoir abaissé sa note de viabilité. En fin de matinée, Dexia signait la pire performance de l’indice sectoriel européen des banques - en retrait de 4,11% - avec une baisse de 8,43%. La décision de Moody’s intervient aussi alors que les spéculations sur le future de l'établissement bancaire battent leur plein.
Crédit Agricole Cheuvreux a annoncé le 30 septembre la publication d’un guide –le deuxième d’une série- qui synthétise les attentes de plus en plus pressantes des investisseurs sur la transparence des sociétés vis-à-vis de leurs enjeux dits ESG (environnementaux, sociétaux et de gouvernance).Ce guide a pour premier objectif d’aider les sociétés cotées à renforcer la transparence et la pertinence de leur communication dite ‘extra-financière’ afin de répondre aux exigences d’une nouvelle génération d’investisseurs qui veulent se donner les moyens d’intégrer les critères ESG dans la sélection de leur investissement, que ce soit dans une optique de responsabilité sociale ou simplement de discipline d’investissement. La publication de ce guide intervient dans un contexte d’initiatives convergentes (en France avec la loi Grenelle, mais aussi au niveau de la Commission européenne ou de propositions au G20) en faveur d’une standardisation du reporting social et environnemental des organisations. Le guide met en avant la nécessité pour les entreprises cotées de poursuivre leurs progrès en termes de précision et de pertinence de leur communication extra-financière, d’adapter cette communication à la dynamique et aux changements de comportement chez les gérants d’actifs, d’engager un dialogue proactif avec les investisseurs pour communiquer sur leur performance en termes de développement durable, et enfin d’améliorer la compréhension par le marché de leur réalité et de leurs fondamentaux, au-delà des éléments purement financiers.
La société de gestion canadienne AGF a augmenté ses facilités d’endettement en vue d’acquérir une société de gestion institutionnelle en Europe ou aux Etats-Unis, selon Financial News. Cela intervient un an après le rachat d’Acuity, une société de gestion basée à Toronto.
BNP Paribas doit annoncer ce lundi l’acquisition de 25 % supplémentaires d’Innocap, une plate-forme de comptes gérés (ou managed accounts) dont elle détenait déjà 25 %. Cela lui permet de contrôler 50 % de cette société qui avait été fondée en 1996 par la Banque Nationale du Canada pour superviser ses placements alternatifs et qui représente aujourd’hui 3 milliards de dollars d’encours sous gestion. En 2007, la banque française avait pris 25 % du capital de la structure avec une option pour aller plus loin. Ce qui est désormais chose faite.Cette montée au capital s’opère au profit de Theam, la nouvelle filiale de BNP Paribas Investment Partners spécialiste de la gestion indicielle, systématique active, garantie et alternative. Elle va lui permettre d’étoffer son offre de solutions alternatives, notamment à destination des investisseurs institutionnels. «Nous allons proposer aux investisseurs institutionnels des solutions alternatives à la carte, en fonction de leurs ressources, de leurs contraintes... Par exemple, nous pouvons offrir via Innocap l’infrastructure à un investisseur qui aurait repéré un hedge fund dont le processus de gestion lui convient, pour autant que le hegde fund réponde aux exigences de la plateforme. Nous pouvons également l’aider dans ses allocations de stratégie ou à sélectionner des gérants», explique Gilles Guérin, le CEO de Theam, dans une interview à Newsmanagers. «Notre offre s’appuie sur trois piliers : une infrastructure solide et conçue au départ pour le compte propre de la Banque Nationale du Canada, une équipe de sélection de gérants et de construction de portefeuilles expérimentée et un contrôle des risques éprouvé et rigoureux», ajoute-t-il. Pour étayer ce renforcement de l’offre, Theam a d’ailleurs recruté, comme nous l’avions annoncé précédemment, trois anciens de HDF Finance (lire Newsmanagers du 23 août 2011). Eric Debonnet devient responsable de l’équipe hedge funds solutions, tandis que Thierry de Rycke et David Gilleron sont nommés co-responsables des investissements hedge funds solutions. Cela porte les effectifs du pôle alternatif de Theam à 9 personnes, auxquelles viennent s’ajouter 5 personnes basées à Montréal chez Innocap. «Avec 14 collaborateurs, l’équipe est désormais au complet», commente Gilles Guérin. Aujourd’hui, les encours gérés de Theam sur la plate-forme Innocap représentent 1 milliard d’euros, sur un total de 5 milliards gérés par le pôle alternatif de Theam. L’ambition est de les porter à environ 3 milliards d’euros à horizon trois ans. «Les fonds de hedge en tant que tels ont vu leur rythme de collecte se ralentir, mais l’univers des hedge collecte. Il y a donc bien de l’appétit pour une offre à la carte».
BNP Paribas will this Monday announce the acquisition of a further 25% stake in Innocap, a managed accounts platofrm in which it already controlled a 25% stake. This will give the firm a 50% stake in the firm, which was founded in 1996 by the Banque Nationale du Canada to oversee hedge fund investments that now represent USD3bn in assets under management. In 2007, the French bank acquired a 25% stake in the capital of the structure, with an option to increase the stake further; it is now using that option. The increase in the stake will benefit Theam, the new affiliate of BNP Paribas Investment Partners specialised in index-based, systematic active, guaranteed and alternative management. The move will allow the firm to increase its range of alternative solutions, particularly those aimed at institutional investors. “We will offer institutional investors a la carte alternative solutions, depending on their resources, their constraints, etc. For example, via Innocap we might offer infrastructure to an investor who is looking for a hedge fund with a management process suitable to it, where hedge funds must meet the requirements of the platform. We may also assist with allocations to strategies or the selection of managers,” explains Gilles Guérin, CEO of Theam, in an interview with Newsmanagers. “Our range is founded on three areas: solid infrastructure designed from the ground up by the Banque Nationale du Canada, an experienced manager selection and portfolio construction team, and proven and rigorous risk control,” he adds. In order to expand its range, Theam has also recruited three former employees of HDF Finance, as Newsmanagers has previously reported (see Newsmanagers of 23 August 2011). Eric Debonnet becomes head of the hedge funds solutions team, while Thierry de Rycke and David Gilleron are appointed as co-heads of hedge funds solutions investments. The recruitments bring personnel in the hedge fund unit at Theam to 9, in addition to which 5 more are based in Montreal at Innocap. “With 14 employees, the team is now complete,” says Guérin. Assets under management at Theam on the Innocap platform now total EUR1bn, out of a total of EUR5bn managed by the hedge fund team at Theam. The firm’s ambition is to increase that total to about EUR3bn in the next three years. “Hedge funds as such have seen a slowdown in the pace of inflows, but the hedge fund universe is seeing inflows. There is therefore strong demand for a la carte solutions,” concludes Guérin.
SCOR Global Life, filiale de SCOR qui regroupe l’ensemble de ses activités de réassurance Vie, annonce le lancement de SOLEM, son nouvel outil de tarification en ligne des risques médicaux, sportifs, professionnels, financiers, de séjour et de transport. La sélection des risques est le service le plus important apporté aux assureurs par un réassureur Vie, selon l’enquête Flaspöhler[1] réalisée en Europe en 2009. Le centre de R&D international en Sélection des Risques et Acceptation des Sinistres de SCOR Global Life a développé cet outil en étroite collaboration avec les médecins et experts spécialisés des différentes entités Vie du Groupe afin de proposer une approche adaptée aux spécificités de chaque zone géographique. SOLEM permet une tarification de tous les produits pour les garanties décès, décès accidentel, dépendance, invalidité, incapacité et maladies redoutées. Il comprend un volet sur l’acceptation des sinistres et dispose de calculateurs facilitant la prise de décision au quotidien. Ce nouveau logiciel unique et innovant permet de sauvegarder, retrouver et modifier les tarifications effectuées. Le déploiement de SOLEM auprès des clients de SCOR Global Life débute ce mois-ci pour s’achever à la fin du premier trimestre 2012. Gilles Meyer, CEO de SCOR Global Life, déclare : « Grâce à SOLEM, SCOR Global Life offre à ses clients la possibilité de tarifer leurs dossiers des plus simples au plus complexes. SOLEM est un des manuels de sélection des risques les plus complets, et il est disponible dès son lancement en cinq langues afin d'être au plus près des besoins locaux de chacun de nos clients. »
Dans quel objectif, la fondation de l'école Polytechnique a-t-elle été créée ?
La fondation a été créée en 1987 par le conseil d'administration de l'école aux fins de la rapprocher du monde de l'entreprise. De ce fait, les ressources drainées par la fondation sont destinées exclusivement à l'école Polytechnique ou à des actions pour lesquelles, elle est partie prenante importante.
Créé en 2002, Le Centre Français des Fonds et Fondations (CFF) est une association qui a vocation à regrouper tous fonds de dotation ou fondations, quels qu'en soient le statut juridique, le mode opératoire, les moyens, les fondateurs ou la mission d'intérêt général. Il compte près de 200 adhérents et membres associés. Il a pour mission d'aider à la connaissance du secteur et d'en favoriser le développement et vise à développer une forte culture philanthropique, en France au service de toutes les causes d'Intérêt Général.
Entretien avec Béatrice de Durfort, directrice du CFF.
F&C Investments vient de recruter Peter Svoboda en tant que spécialiste produits dans son équipe dette émergente. Il rejoindra la société en novembre et sera placé sous la direction de Jonathan Mann, le nouveau responsable de la dette émergente après le départ d’Helene Williamson. Peter Svoboda vient d’Erste Group, une société basée à Vienne où il travaille depuis 2005, dernièrement en tant que responsable des ventes et marketing pour la banque privée.Ce recrutement intervient après celui de Diliana Deltcheva comme gérante de fonds, en provenance d’ING IM.
Le groupe Pasteur Mutualité a annoncé l’acquisition de 100% du capital de Scamp/Pharmateam, cabinet de courtage spécialisé dans la protection des pharmaciens et biologistes. Pasteur Mutualité était déjà actionnaire à 49% de Scamp/Pharmateam. Il a acquis les 51% restants. Il pourra servir ainsi 4700 pharmaciens et internes en pharmacie. Scamp sera intégrée au sein de la direction du développement. Jean-Pierre Bonglet, son fondateur, restera au sein du cabinet et assumera aussi des missions complémentaires pour le groupe Pasteur Mutualité.
Dommages En route vers la réforme du régime des « Cat Nat » Interview : Stéphane Hallegatte, économiste, climatologue Retraites Interview : Retraites supplémentaires : « une croissance forte et régulière » Prévention* En toute sécurité sur le trajet de l'école avec Tom et Lila La FFSA s’engage pour sauver des vies et signe la Charte du Coeur Agenda Pour télécharger le document: cliquez ici
D’après Standard & Poor’s, le coût additionnel du crédit bancaire pourrait atteindre de 30 à 50 milliards d’euros par an pour les entreprises de la zone euro d’ici à 2018.
Deuxième mutuelle de la fonction publique, Unéo gère la complémentaire santé de plus de 1,2 million de personnes, les militaires des quatre armées, en activité de service ou retraités, et leurs familles.
Née en octobre 2008 de la fusion de l'activité santé des trois mutuelles de militaires : la Caisse Nationale du Gendarme (CNG), la Mutuelle Nationale Militaire (MNM), la Mutuelle de l'Armée de l'Air (MAA), Unéo est, depuis le 1er janvier 2011 et pour les sept prochaines années, le seul organisme de protection sociale complémentaire référencé par le ministère de la Défense pour les militaires.
Pour la deuxième année consécutive, SCOR a été élu « Best Global Reinsurance Company » par le panel mondial des professionnels de l’assurance et de la réassurance qui attribuent les « Global Awards ». SCOR a été également élu cette année « Best Global Reinsurance Company for Life » et a reçu le prix de la « Best Capital Raising Initiative ». Ces prix viennent saluer la dynamique et la capacité d’innovation du Groupe, illustrées notamment en réassurance Vie par l’acquisition du portefeuille mortalité de Transamerica Re, et en matière de protection du capital par la mise en place du premier mécanisme de capital contingent. Ces « Global Awards » s’inscrivent dans une série de distinctions obtenues par le Groupe, avec récemment le prix de « Reinsurance Company CEO of the Year » décerné à Denis Kessler en juin 2011 lors des Reactions London Market Awards, et celui de « Reinsurance CEO of the Year » attribué par le magazine Intelligent Insurer en septembre 2011. Denis Kessler, Président-Directeur général de SCOR, déclare : « SCOR est très heureux d’avoir été couronné par trois « Global Awards » en 2011, dont celui de « Best Global Reinsurance Company » obtenu pour la deuxième année consécutive. Ces distinctions sont une reconnaissance de la capacité du Groupe à poursuivre ses orientations stratégiques et à conserver sa dynamique malgré un environnement particulièrement incertain et difficile. SCOR vient d’en faire une nouvelle démonstration avec la version actualisée de son plan stratégique présentée le 7 septembre, « Strong Momentum V1.1 », qui confirme les objectifs de rentabilité et de solvabilité fixés un an plus tôt. »
Depuis 2009, Olivier Gourragne occupait le poste de Président FIL Investissements et FIL Gestion, les deux structures de Fidelity International en France. Il intégrait le groupe Fidelity en 1996. Initialement basé aux Etats-Unis, il a ensuite rejoint, en 1998, les équipes de Fidelity en France et a été nommé Directeur Exécutif en 1999. De 1990 à 1994, Olivier Gourragne a travaillé au sein de la direction financière de la Société Européenne de Propulsion au poste de Responsable des Affaires Internationales en charge des activités financières internationales et de la communication financière. Olivier Gourragne a débuté sa carrière en tant qu'économiste pour le Crédit Commercial de France - aujourd’hui HSBC. Olivier Gourragne est diplômé de l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) et d’un MBA de la Cornell University.
Dans le cadre de ses nouvelles fonctions de Chef Economiste, qui prennent effet à compter du 26 septembre 2011, Ludovic Subran dirigera le département de recherche économique du groupe, qui assure l’analyse des tendances macroéconomiques et sectorielles, du risque pays et des défaillances d’entreprises. Ludovic Subran a entamé sa carrière en tant qu’enseignant-chercheur en économétrie et en macroéconomie, entre 2002 et 2004, à l’ENSAI, l’ENSAE Paris Tech, l’Ecole des Ponts Paris Tech, l’ESSEC Business School et l’INSA. De 2004 à 2006, il a été chargé des prévisions d’inflation à l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques, au sein du ministère de l’Economie et des Finances. En 2007, il a rejoint le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies en tant que conseiller économique de la Directrice Exécutive, en Italie et dans plusieurs pays d’Afrique. Depuis 2009, il officiait à la Banque Mondiale, à Washington, en tant qu'économiste et chef d'équipe chargé des opérations et de l’assistance technique pour l’Amérique latine et les Caraïbes. Ludovic Subran, 30 ans, de nationalité française, est diplômé de l’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information (2002) en statistiques et en économie, et de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris en politique économique (2007).