Interview de Dorothée de Kermadec-Courson, Co-Présidente du groupe de travail Gestion responsable d'actifs de la FFSA. Elle est aussi Directrice des Risques et de la Conformité et du Développement Durable chez CNP Assurances.
Pour des raisons autant conjoncturelles que structurelles, cette classe d'actifs a?? part entie??re peut ide?alement repre?senter jusqu'a?? 10% des portefeuilles institutionnels et prive?s. Pour compenser les difficulte?s des classes d'actifs traditionnelles, bien su??r, mais aussi gra??ce aux spe?cificite?s de leurs propres fondamentaux.
Dans une interview publiée hier par le quotidien transalpin Corriere della Serra, Massimo Ponzellini, président de Banca Popolare di Milano (BPM), a assuré que l’'augmentation de capital prévue pour 800 millions d’euros serait un succès grâce à la solidité du réseau de distribution des services financiers de l’établissement bancaire.
Dans les marchés tourmentés que nous traversons le pilotage budgétaire des placements fournit une boussole précieuse pour l’investisseur, une référence externe et intangible qui permet une bonne gouvernance de la gestion d’actifs. Ce pilotage budgétaire des placements structure notre relation de conseil avec la majorité de nos clients. L'élaboration du budget annuel des placements inclut systématiquement un scénario pessimiste, qui officialise le rendement « au pire » toléré par l’investisseur pour la période budgétaire concernée. Lorsque le rendement « au pire » est atteint en cours d’année, alors la discipline budgétaire impose de couper les actifs risqués, puisque des pertes supplémentaires mettraient en péril le respect du rendement minimum toléré. Cette année, dans bien des cas, le budget de risque a été consommé fin août-début septembre, et les clients ont été incités à céder leurs positions dynamiques. Cette décision est difficile psychologiquement puisqu’il s’agit souvent de vendre des positions en moins-values, et que les gérants des actifs risqués rivalisent d’arguments pour inciter à conserver les positions. Mais elle est grandement facilitée par le fait que cet évènement malheureux, et heureusement rare, est prévu dès le début de l’année. Le rendement « au pire » est en quelque sorte l’engagement réciproque entre nos clients et Forward Finance, il est un élément de bonne gouvernance. Après quelques semaines inconfortables, nous constatons que nos clients sont désormais beaucoup plus sereins que la moyenne des investisseurs.
Afin de renforcer le rôle stratégique de la fonction pilotage financier et contrôle des risques et de la séparer des opérations d’investissement, les dispositions suivantes ont été arrêtées depuis le 1er octobre 2011: Christian Collin, Directeur Général Finance et Risques de Groupama aura la responsabilité des directions Risques et Contrôle Interne Groupe, Réassurance et Pilotage, Fiscalité Groupe et Comptabilité Groupe. Jean-Louis Charles quitte l’assureur mutualiste et est remplacé par Arthur Chabrol, nommé Directeur Financement, Investissement et Actuariat, direction composée des directions Financements et Investissements, Actuariat Groupe et Solvabilité 2 ainsi que du pilotage des filiales de gestion d’actifs. Compte tenu de ces éléments, au 1er octobre 2011, le Comité de Direction Générale de Groupama SA sera composé autour de Jean Azéma, des membres suivants : René Cado, Isabelle Calvez, Arthur Chabrol, Christian Collin, Cécile Daubignard, Maurice Faure, Frédérique Granado, Pierre Lefèvre, Thierry Martel, Astrid Panosyan et Francis Thomine.
Mutavie, branche assurance-vie du groupe Macif, participe à la semaine de l’ISR du 10 au 16 octobre 2011. Son objectif est d’informer et de sensibiliser ses clients, ses salariés mais aussi le grand public, de manière ludique et pédagogique avec un jeu en ligne sur www.mutavie.fr, une conférencev à Niort le 12 octobre et une formation en interne pour les salariés. Accessible à tous sur la page d’accueil du site durant le mois d’octobre, ce jeu de mémoire a été conçu sur le thème de l’investissement socialement responsable et apporte des informations concrètes (engagements, environnement, solidarité, labels...) de façon ludique et innovante. UNE CONFÉRENCE AU SIÈGE SOCIAL DE MUTAVIE, À NIORT, LE 12 OCTOBRE Mutavie organise une conférence intitulée « L’ISR : un engagement de développement durable pour son épargne » , animée par Eric Van La Beck, directeur de la Recherche et du Développement de Macif Gestion, la filiale de gestion d’actifs du groupe Macif. Cette conférence est ouverte à tous les curieux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur ce thème, mais aussi aux étudiants niortais du secteur de la banque et de l’assurance. La conférence aura lieu le mercredi 12 octobre 2011 de 10 à 12h à Mutavie (9 rue des Iris - Bessines). Pour s’inscrire : conference.isr@mutavie.fr. UNE FORMATION POUR LES SALARIÉS Mutavie s’implique auprès de ses collaborateurs en mettant en place une sensibilisation sur le thème « Comment aborder et valoriser notre engagement ISR ? » . L’objectif est double : renforcer les connaissances sur les supports ISR des contrats Mutavie et répondre aux interrogations que les souscripteurs peuvent se poser sur ces placements.
Gérard Andreck, a été désigné personnalité de l’année dans le secteur de l’assurance pour son engagement sociétal, citoyen et son action en faveur de l'égalité des chances. Le président de la Macif milite en effet pour que l’assurance soit accessible au plus grand nombre de personnes, notamment les plus fragilisées. Actuellement, par exemple, il ??uvre pour le maintien d’une protection sociale universelle. Dans un contexte de crise, Gérard Andreck défend l’idée que la santé n’est pas un coût mais un investissement pour l’avenir, et que donner à nos concitoyens les moyens d'être en bonne santé est un enjeu pour les générations d’aujourd’hui et de demain. À ce titre, il s’oppose fermement aux taxes successives imposées par l'État aux mutuelles, qui seront à l’origine d’une précarité sanitaire et sociale extrêmement dommageable pour l’avenir. Autres actions emblématiques : c’est sous sa direction générale que la Macif a créé la Prestation Solidarité chômage en 1999, une prestation unique en France. En 2003, toujours sous son impulsion, la Macif met en place un dispositif inédit « Macif Sourds », rendant l’assurance accessible aux personnes sourdes et malentendantes. En 2007, la même démarche est initiée pour les personnes atteintes de déficiences visuelles. Avec la création de Macif Egalis, démarche d’accessibilité globale de toutes les personnes en situation de handicap, le Groupe concrétise le droit à la citoyenneté et à l’autonomie pour tous. Enfin, préoccupé par les conséquences sociales de la perte d’autonomie, Gérard Andreck soutient dès 2009 un vaste programme destiné aux aidants familiaux. Parce que selon lui, les mutuelles se distinguent avant tout par leur mode de gouvernance démocratique, Gérard Andreck mène de nombreux travaux destinés à améliorer ce système et pilote pour le compte du Gema le rapport de gouvernance des mutuelles du Gema , dit rapport Andreck II en 2005. Très impliqué dans l'économie sociale, il participe à la réalisation de la charte développement durable de l’ensemble de la profession. Élu à la présidence du Ceges, en 2009, il n’a de cesse de rassembler toutes les composantes de l'économie sociale et solidaire pour organiser le secteur et lui donner davantage de poids dans le paysage économique national et européen.
Le directeur général d’Axa France, Nicolas Moreau, a affirmé lundi sur Radio classique que les assureurs n’avaient pas besoin de capitaux car ils n’ont pas de problèmes de liquidités, contrairement aux banques. «Les assureurs n’ont pas besoin de capital», a déclaré M. Moreau.»Nous avons des problématiques qui sont très différentes des problématiques des banquiers puisque nous n’avons pas de problème de liquidités». «Notre métier, c’est de collecter de l’argent. Nous ne prêtons pas, nous investissons», a-t-il relevé. Selon lui, «le problème de la crise bancaire et le problème de la crise assurantielle (sont) extrêmement différents même si nous sommes touchés dans un deuxième ordre puisque nous détenons des actifs émis par des banques, soit des actions ou des obligations». Les comptes du premier semestre d’Axa ont déjà absorbé une décote de ces titres, a-t-il souligné. Par ailleurs, il a estimé que les rendements des contrats d’assurance-vie devraient se situer «entre 3 et 4%» sur le marché français.
Laurence BASSET rejoint OPTIMIND en qualité de consultante Risk Management / audit et contrôle interne, Bénédicte PORROT en qualité de consultante senior manager et Guillaume CAUSER en qualité d’actuaire consultant, membre de l’Institut des Actuaires. Laurence BASSET, 28 ans, est diplômée d’un Master 2 « Etudes Stratégiques et Politiques de Défense », obtenu à HEI Paris, ainsi qu’un Mastère spécialisé en « Management des risques internationaux » obtenu à HEC Paris. Laurence débute sa carrière en 2008, au sein du département conseil de Marsh, en tant que consultante en gestion des risques / Analyste Risque Pays. Bénédicte PORROT, 41 ans est diplômée d’un 3ème cycle de Recherche Technologique (DRT) Les systèmes d’information stratégiques obtenu à l’Université de Clermont I. Elle a débuté sa carrière au sein de la société Methodis. Guillaume CAUSER, 30 ans, est diplômé de l’ENSAE, Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique, majeure Actuariat, et d’un Master 2 « Mathématiques de l’Assurance, de l’Economie et de la Finance », obtenu à l’Université Paris 9 Dauphine. En 2006, il démarre sa carrière chez ERNST & YOUNG.
Le marché des changes (forex) n'est pas une classe d'actifs de plus mais toutes les classes d'actifs réunies sur un même marché. Il peut être une vraie source de diversification et de performance sous réserve d'un suivi méthodique, discipliné et rigoureux.
La crise actuelle des marchés financiers doit être l'occasion de s'interroger sur les allocations d'actifs traditionnelles et de proposer des alternatives d'investissement suffisamment diversifiées et décorrélées des turbulences officielles.
F&C Asset Management a annoncé jeudi que son CEO depuis six ans, Alain Grisay, allait quitter la société à la fin du troisième trimestre 2012. «Il démissionnera du conseil d’administration et de son poste de CEO lors de l’assemblée générale de mai 2012 et il restera à disposition du groupe pour des consultations et des conseils jusqu’à fin septembre 2012", précise un communiqué. Le conseil d’administration a nommé Edward Bramson, déjà président, en tant que président exécutif par intérim avec effet immédiat. D’ici à l’assemblée générale de mai, les responsabilités d’Alain Grisay seront progressivement transférées à Edward Bramson. Mais dès à présent, la stratégie du groupe est reprise par ce dernier.Ce départ intervient quelques mois après la prise de pouvoir d’Edward Bramson, en février 2011, de F&C, dont il a acquis progressivement 17 % via sa société Sherborne Investors, qui se définit comme une société d’investissement spécialisée dans le redressement des entreprises. Il fait suite à de nombreux autres départs dans la société de gestion britannique.
Les capacités de synthèse des économistes chargés de prédire l'évolution des marchés est à l'épreuve. A l’analyse classique du flux de données sur la conjoncture, s’ajoute celle des multiples initiatives des autorités monétaires et des gouvernements pour juguler la crise. Les scénarios sont constamment réajustés. En septembre, les anticipations d’un ralentissement de la croissance aux Etats-Unis et dans la zone euro ont accentué la chute des marchés. La dette des pays périphériques a continué d'être sanctionnée par crainte d’une contagion de la crise grecque. Le mouvement d’extrême aversion au risque et de fuite vers la qualité a poussé le rendement des Treasuries à 10 ans sous les 2 %, un plus bas niveau d’après guerre. Les banques centrales continuent de soutenir le système financier, en palliant aux tensions sur les marchés interbancaires et en rachetant de la dette gouvernementale. Lire la suite: cliquez ici
Nous allons tenir le calendrier que nous nous étions fixé fin 2009, annonce Guy Herry, le président d’Harmonie mutuelles, dans Les Echos. Cette nouvelle entité regroupera bientôt cinq mutuelles : Harmonie Mutualité, Prévadiès, Mutuelle Existence, Sphéria Val de France et Santévie. La fusion sera juridiquement effective au 1er juin 2012, pour un démarrage opérationnel en 2013. Nous mettrons nos moyens à disposition des petites structures qui chercheraient à s’adosser, notamment pour face à Solvabilité 2, indique François Venturini, directeur général d’Harmonie mutuelles. L’une des priorités pour ce géant de la complémentaire santé est de se diversifier vers la prévoyance afin de faciliter l’accès à une couverture globale. Harmonie Mutualité, Prévadiès et quatre autres mutuelles interprofessionnelles (Adréa, Apreva, Eovi et Ociane) ont participé à la mise en place d’une société anonyme à capitaux mutualistes pour constituer l’un des principaux acteurs de la prévoyance. Acté avant l'été, le principe de la création de Mutex SA a été confirmé la semaine dernière par l’assemblée générale de l’Union nationale de prévoyance de la Mutualité française (UNPMF), rappellent Les Echos. Harmonie mutuelles s’ouvre à des partenariats étrangers, notamment en Italie. Pour Guy Herry, il sera important d’aller à l’international avec des partenaires français de l'économie sociale pour être en mesure de présenter une offre complète d’assurance et d’avoir une force d’investissement plus importante.
Sur proposition conjointe de Bernard Spitz, président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA), de Jean Azéma, président de la Fédération française des sociétés d’assurance mutuelle (FFSAM) et de Gilles Benoist, président de la Fédération française des sociétés anonymes d’assurance (FFSAA), la Commission exécutive de la FFSA a nommé, le 12 juillet 2011, Yves Laqueille président de la Commission sociale. Yves Laqueille, 52 ans, diplômé de l’Ecole Centrale de Paris et titulaire d’un Master 2 Ressources humaines à l’Université Paris 2, débute sa carrière professionnelle en 1982 dans le secteur pétrolier (Total, Baker). Il rejoint le groupe Bouygues en 1989 où il exerce des responsabilités opérationnelles (travaux, montage immobilier, direction régionale) avant de prendre des responsabilités de DRH en 1997 : Quille en 1997, Bouygues Construction S.A en 2002, ETDE (Branche électricité maintenance) en 2003. Il est Directeur des Ressources Humaines d’Allianz France depuis 2009.
François Werner, le directeur général du Fonds de garantie, a présenté ce matin au cours d’une conférence de presse son rapport sur la non-assurance automobile. Il est parti d’un constat : « Malgré les progrès inéluctables en matière de sécurité routière, la charge pour le Fonds de garantie reste la même : c’est donc que la proportion de non-assurés augmente. » Une charge mutualisée qui se chiffre à 80M d’euros par an pour le FGAO. François Werner estime entre 1 et 2% le taux de véhicules qui ne sont pas assurés. Certains n’ont pas le droit de conduire, d’autres ne sont pas couverts La non-assurance concerne deux types de conducteurs : d’abord ceux qui ne devraient pas avoir le droit de conduire, parce qu’ils n’ont jamais eu de permis, ont vu leur permis annulé par une décision judiciaire ou ont perdu leurs points - ce dernier cas n'étant pas majoritaire remarque M.Werner. La deuxième catégorie de non-assurés concerne ceux qui peuvent conduire mais dont le véhicule n’est pas couvert : cessation du paiement de la prime ou nullité du contrat sont fréquemment observés. Également concernés, les jeunes conducteurs dont l’accès au marché est difficile. Solution au kilomètre ou plage horaire de circulation contractuellement définie, le directeur général du Fonds appelle les assureurs à développer des solutions adaptées à cette population. Expliquer l’utilité de l’assurance La non-assurance est d’abord un problème culturel, selon M. Werner. « En France, nous avons plus de 20.000 dossiers par an lorsque l’Allemagne en a moins de 400 ». Chez nos voisins outre-Rhin la souscription d’une assurance est en effet préalable à la délivrance d’une carte grise. Une réforme du système que la France n’est toutefois pas prête à accueillir, remarque M. Werner, puisque « cela impliquerait le renversement des rapports entre assureurs, concessionnaires et l’Etat ». Un répertoire informatisé en prévention Comme dans d’autres pays européens, le FGAO recommande un répertoire informatisé pour vérifier les informations. « Ce système ne recense pas une seule donnée personnelle. Cartes grises et contrats d’assurance sont répertoriés mais les conducteurs ne sont pas mentionnés » remarque M. Werner. Une solution préventive, insiste le directeur du Fonds, qui permet de constater le défaut d’assurance avant l’accident, et pas après, comme actuellement. La somme à débourser pour la mise en place de ce système serait de 3M d’euros selon François Wermer, «le coût d’un accident corporels pour le Fonds de garantie.»
The first-ever Corporate Pension Funds & Sustainable Investment Study is now available with a series of events planned with our sponsors DB Advisors and HSBC Global Asset Management. In this study, Eurosif examines to what extent corporate pension funds across Europe have adopted sustainable investment practices. Main research highlights include: A majority (60%) of the respondent corporate pension funds find that ESG factors affect the long term performance of pension funds; The main inputs for corporate pension funds looking to set up and SRI policy are the pension fund boards and Funding company sustainability/CSR policies; Not surprisingly, equities and bonds, along with real estate, are the most popular asset classes for the application of corporate pension fund SRI policies; The three instruments most commonly used for SRI policy implementation are voting, negative screening and integration, with country variations. Pour télécharger l'étude complète: cliquez ici
Le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI) annonce qu’il envisage d’investir dans Novasep afin de financer les projets de développement du groupe. Novasep intervient dans la fabrication de principes actifs principalement destinés à l’industrie pharmaceutique..Cet accord non-engageant prévoit notamment une réduction significative de la dette du groupe, en restructuration, et l’investissement par le FSI d’un montant d’environ 30 millions d’euros.
Francois Gouws et de Yassine Bouhara, co-responsables de l’activité «Global Equities» d’UBS, suite à la récente affaire concernant les opérations de négoce non autorisées, qui ont résulté en une perte de trading de 2,3 milliards de dollars pour la banque suisse. Leur démission intervient en raison de «la responsabilité globale qu’ils assument pour la gestion effective de l’unité Equities», précise un communiqué.Mike Stewart, qui a rejoint les rangs d’UBS en juillet, a été nommé global head of Equities chez UBS.
L’assemblée générale extraordinaire de Sparinvest SICAV (14 compartiments) le 30 septembre a voté la mise en conformité de la sicav à la directive OPCVM IV. Ce vote intervient après l’agrément, octroyé par la CSSF, à la société de gestion Sparinvest S.A. en juillet dernier.D’autre part, les actionnaires ont approuvé la désignation d’un nouveau conseil d’administration, dans une optique d’internationalisation. Sparinvest annonce la nomination de trois personnalité influentes du monde de la finance au conseil d’administration de Sparinvest SICAV. Il s’agit de Torben Nielsen, Président, qui est ancien gouverneur de la Banque Centrale du Danemark (Danmarks Nationalbank), de Benedicte Vibe Christensen, ancienne directrice adjointe du Fonds Monétaire International et de Peter Reedtz, Directeur et propriétaire de l’Institut Danois d’Allocation d’Actifs.
Focus Début d’un virage idéologique A voir le comportement des marchés au mois de septembre, sur lequel les statistiques économiques avaient peu d’emprise, nous sommes clairement entre les mains des politiques. Cela pose en soi des difficultés d’un point de vue de l’investissement. D’abord, la moindre inflexion dans le discours peut entrainer des mouvements violents, à la hausse comme à la baisse. Ensuite, le temps du marché est bien plus court que le temps des démocraties, ce qui laisse la place à des baisses prolongés des actifs risqués avant que le risque en cause ne soit levé. Enfin, les intentions des politiques et les batailles de coulisses sont très difficiles à décrypter, ce qui altère la visibilité. Lire la suite, en téléchargeant le document en pièce jointe
Keep it simple, but not simplistic A heightened awareness of the shortcomings of cap-weighted indices has led to the development of numerous alternative index methodologies. While the early non-cap-weighted indices use company characteristics to weight stocks, several forms of optimally diversified indices have received increasing attention recently, notably Minimum Variance Indices and Efficient Indices. Lire la suite: cliquez ici