Les titres, à échéance janvier 2015, ont été émis par le biais d’un véhicule ad hoc de droit irlandais baptisé Calypso Capital Limited. Il s’agit de la deuxième opération réalisée par le biais de ce véhicule, après une première émission de 275M d’euros en octobre 2010. Les obligations catastrophes sont des titres qui permettent à un assureur de transférer une partie de ses risques aux investisseurs, ce qui limite ses pertes en cas d'événement climatique d’importance. La couverture porte sur l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France (hors DOM-TOM), l’Irlande, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède, le Royaume-Uni et la Suisse. Les événements envisagés ont une probabilité de survenance plus élevée que celle retenue pour l'émission d’octobre 2010, a expliqué à l’AFP Thomas Kretzschmar, responsable du transfert de risque assurance au sein de la direction financière d’Axa. La probabilité de perte moyenne est cette fois de 1,70%, contre 1,08% pour la première émission. Le rendement de ces titres sera de 4,10 points de pourcentage au-dessus du taux d’une obligation émise par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), de même maturité que le titre émis par Axa. Ce rendement vaudra pour la période à risque, la couverture ne jouant que de début 2012 à fin 2014. « Nous sommes vraiment très satisfaits du spread (le taux), qui est compétitif par rapport à la réassurance traditionnelle », a commenté M. Kretzschmar, ajoutant que le montant placé correspondait au maximum souhaité par le groupe.
Viveris REIM vient de clore le premier tour de table d’une SPPICAV (société de placement à prépondérance immobilière à capital variable) qui se spécialisera sur des actifs de résidences étudiantes situés à des emplacements de qualité dans les principales villes étudiantes françaises qui bénéficient du plan gouvernemental en faveur de l'émergence de campus d’excellence, a annoncé le 19 octobre la société de gestion. L’encours géré devrait rapidement atteindre une centaine de millions d’euros conformément aux objectifs initiaux.L’OPCI sélectionnera principalement des résidences à construire (VEFA, vente en état futur d’achèvement) mais pourra également se positionner sur des actifs existants, en visant une certification Habitat & Environnement et/ou le label BBC (Bâtiment Basse Consommation). Les premiers engagements sur les résidences en VEFA seront pris au cours de l’automne 2011. «Dans un contexte général globalement très instable, le secteur des résidences étudiantes bénéficie d’un timing favorable à plusieurs titres : une demande de logements étudiants non satisfaite qui ne cesse de croître, la limitation des niches fiscales des particuliers qui favorise les acheteurs en bloc, et enfin, un couple rendement risque très compétitif dans le contexte actuel avec notamment un niveau élevé de résilience aux aléas de marché», affirme Fabrice Lombardo, membre du directoire, associé et co-directeur de l’Asset Management, cité dans un communiqué. Le lancement de ce produit ISR intervient dans la lignée de la mise en place d’une charte pour l’investissement responsable et d’un référentiel ESG, confirmant ainsi le positionnement de gérant responsable de Viveris REIM. Il s’agit, avec ce fonds, de répondre à une problématique sociale importante, la carence de logements étudiants, tout en favorisant des immeubles à haute qualité environnementale.
Le FCI Limousin est un « fonds de co-investissement ». Constitué sous forme de société commerciale, il a pour objet social de co-investir dans les PME ou de les financer en quasi fonds propres selon le principe du pari passu, en partenariat avec un ou plusieurs co-investisseurs privés. Le capital de la société, de 17 millions d’euros, est constitué de 2 millions d’euros provenant des crédits FEDER gérés par la Région Limousin et de 15 millions d’euros directement apportés par la Région Limousin sur ses propres deniers. Le co-investisseur intervient, aux côtés du FCI Limousin, dans des cibles, dans les premières phases de leur croissance (amorçage et démarrage expansion), qui remplissent les critères suivants : petites et moyennes entreprises au sens de la réglementation européenne, non cotées sur un marché réglementé (au sens communautaire), ayant leur siège social ou un site d’exploitation principal en région Limousin, agissant notamment, mais non exclusivement, dans des filières bois (première et deuxième transformation), agroalimentaire, les énergies renouvelables et l'économie sociale et solidaire, dont l’activité présente un potentiel innovant valorisable (sur le plan technologique, des services et des usages) et/ou créateur de richesse et d’emplois. Cette liste n'étant pas exhaustive, le FCI Limousin pourra étudier, au cas par cas, tout financement au profit d’entreprises présentant un intérêt économique pour la Région Limousin (investissements, création d’emplois, etc.). Le FCI prend les décisions de co-investissement conformément à ses statuts, il ne participe pas à la sélection des cibles, ni à l'évaluation de ces dernières, ni à l'étude des modalités de prises de participations, attributions dévolues à son gestionnaire. L’investissement du FCI Limousin est fixé par cible et par période de douze mois entre 50.000 € et 1.500.000 €, soit un ticket global avec le co-investisseur de 100.000 € à 3.000.000 €. La maturité moyenne visée par les investissements du FCI Limousin est de 5 à 8 ans, pour chaque investissement. Pour consulter l’appel d’offres et postuler, cliquez ici.
« Si la mise en pratique de Solvabilité II ne devrait avoir de fort impact sur les plus grands groupes, certaines procédures vont sensiblement évoluer dans les années à venir » a déclaré Julien Chartier, actuaire senior au sein d’Optimind à Instit Invest. La nouvelle réglementation Solvabilité II va nécessiter une conception différente des stratégies d’allocation. Les investisseurs ont tendance à regrouper dans de grandes classes d’actifs des fonds qui n’ont pas de corrélation forte entre eux, ce qui rend difficile une vision claire de la situation de chaque catégorie. « L’exigence accrue de transparence qui est attendue implique d’améliorer la gestion du risque » explique Julien Chartier qui propose une réorganisation de ces classes d’actifs. « En ce qui concerne par exemple l’allocation en action, elle devra être a minima scindée en deux catégories : côtée et non côtée, de même avec l’immobilier pour lequel nous devrons isoler les fonds d’investissement avec levier ». Mais Solvabilité II n’implique pas seulement une meilleure répartition du risque. Le coût du capital n’est pour l’instant calculé que dans l’optique de déterminer le risque de marché. Une méthode qui ne correspond pas, selon l’actuaire, à la réalité économique : « Il faut optimiser le coût du capital pour prendre en compte le coût marginal des décisions de gestion, à partir duquel les décideurs pourront déterminer quelle est leur véritable capacité d’investissement. » Julien Chartier prévoit aussi un changement lors de la souscription à de nouveaux fonds d’investissement. Pour plus de transparence, certaines BFI et sociétés de gestion commencent dès à présent à proposer des indicateurs de coût en capital destinés à anticiper l’impact de certaines décisions, comme par exemple le changement de gestionnaire. Julien Chartier l’affirme : « d’ici quelques années, les directions ALM et des placements financiers vont avoir recours à de nouveaux outils qui leur serviront ensuite pour les reportings annuels. » Cette approche, pour le moment émergente, devrait bouleverser les besoins en terme de reporting et imposer une documentation plus importante à propos des fonds sur les places européennes.
Towers Watson annonce la nomination de Nicolas Moinier en tant que courtier senior au sein de sa branche d’activité dans la réassurance, afin de renforcer sa présence sur le marché européen du courtage en réassurance. Nicolas Moinier, préalablement Responsable de la réassurance du groupe d’assurance mutuelle français MAIF, sera basé à Paris afin de développer l’activité de courtage en Europe continentale. Nicolas Moinier est expert comptable de formation. Jean-François Delon, Directeur du département réassurance de Towers Watson France a déclaré : « Je suis ravi que Nicolas ait pris la décision de rejoindre Towers Watson. Avec 15 ans d’expérience à son actif, il apporte de solides compétences, alliées à un savoir-faire qui constituerontautant d’atouts pour notre équipe en Europe. Nicolas possède une excellente connaissance du marché IARD français et de solides capacités d’analyse. Il est donc bien placé pour renforcer notre activité sur le marché, ainsi que notre offre de conseil auprès des clients à mesure que nous continuerons de poursuivre des opportunités de croissance dans toute l’Europe. »
Agée de 40 ans, Karine ROBIDOU est diplômée de l’Ecole de formation des barreaux de la Cour d’Appel de Paris et titulaire du DESS contentieux et arbitrage de l’Université Panthéon - Assas, Paris II. Tout d’abord Avocat au Barreau de Paris, elle a ensuite occupé la fonction de Responsable immobilier et assurances au sein du Groupe Presstalis (ex. NMPP). Elle est par ailleurs membre du Cercle des femmes de l’immobilier. Karine ROBIDOU a rejoint CCR (Caisse Centrale de Réassurance), le 19 septembre 2011 en qualité de Responsable Immobilier. CCR et ses filiales détiennent un patrimoine immobilier composé de 23 immeubles d’habitations, de commerces et de bureaux situés à Paris et en proche périphérie. CCR s’inscrit par ailleurs dans une dynamique d’acquisition.
Covéa vient d’annoncer la nomination de François Josse au poste directeur général de Fidélia, filiale assistance de la sgam, présidée par Michel Gougnard. L’homme prendra ses nouvelles fonctions le 1er novembre 2011. Âgé de 39 ans, François Josse est diplomé de l’ESC Marseille (EUROMED) et du Centre des Hautes Etudes d’Assurances. Il démarre sa carrière en 1995 en qualité d’auditeur chez Salustro Reydel avant de rejoindre rejoint PricewaterhouseCoopers en tant que consultant Senior en 1997, puis il devient directeur de mission chez Cap Gemini Consulting en 2000. Il rejoint le groupe MMA en 2003 comme directeur des Opérations où il prend en charge les back-offices de souscription et de gestion IARD et Vie. En 2005, il prend la responsabilité du pôle Performance Matériel IRD de Covéa AIS (Assistance Indemnisations Services) chargé de la politique commune, du pilotage des prestataires et des innovations en matière de gestion des sinistres IRD pour le groupe Covéa. Depuis 2009, il occupait le poste de directeur Central Comptabilité et Contrôle Economique de de l’assureur.
D’après la dernière enquête réalisée auprès des trésoriers des grandes entreprises début octobre 2011, l’indicateur de situation de la trésorerie d’exploitation se dégrade en octobre : le solde d’opinion devient négatif. Nouvelle forte détérioration de l’indicateur d'évolution de la trésorerie globale entre septembre et octobre. Envolée significative des marges de crédit bancaire. La recherche de financements est jugée beaucoup plus difficile en octobre qu’en septembre. Tension sur les délais de paiements sans toutefois d’aggravation
La Mutuelle Générale de la Corse (MGC) est une mutuelle interprofessionnelle assurant la protection complémentaire santé de plus de 25 000 personnes. Le siège de la MGC est à Bastia et elle dispose d'un réseau de 6 agences. La MGC est adhérente de la FNMF (Fédération Nationale de la Mutualité Française).
En dépit des difficultés persistantes qui affectent la zone euro, les investisseurs européens demeurent confiants sur la survie de la monnaie européenne. Il ressort d'une enquête, conduite par Allianz Global
Investors auprès d'investisseurs institutionnels en Europe, que 80% des sondés croient en la capacité de l'euro à faire face aux défis actuels.
Diplômé de l’EM-Lyon et anciennement directeur de la multigestion chez Barclays Wealth Managers France, Alain Zeitouni prend la direction de la branche Solutions d’Investissements à destination des investisseurs institutionnels. Agé de 36 ans, Alain Zeitouni a passé dix ans chez Barclays. Tour à tour en charge des OPCVM (conception, développement et promotion) au sein du Groupe Barclays en France, responsable des offres de gestion et de conseil puis directeur général délégué de Barclays Wealth Managers France, il a créé et développé l’activité de multigestion de Barclays en France.
Ce montant comprend 22,6 millions d’euros de dividende avant finalisation et sous réserve d’ajustements de prix à la clôture des comptes. Le paiement éventuel d’un complément de prix (earn-out) dépendra des performances futures de Fidea, précise KBC dans un communiqué. «La transaction d’aujourd’hui constitue une nouvelle étape du déploiement de notre nouvelle stratégie. Le désinvestissement de Fidea est l’un des choix difficiles que nous avons dû faire pour répondre aux exigences de la Commission européenne» dans le cadre de son programme de restructuration mis sur pied fin 2009, a expliqué Jan Vanhevel, PDG de KBC Groupe, cité dans le communiqué. Le groupe précise que la cession de Fidea «n’aura aucune incidence défavorable sur le modèle d’entreprise de KBC sur ses marchés domestiques». Fidea est présente sur le marché belge de l’assurance où elle propose des produits d’assurance vie et non vie à une clientèle de particuliers, d’indépendants et d’entreprises. Cette transaction libérera environ 100 millions d’euros de capital pour KBC, essentiellement en réduisant de 1,8 milliard d’euros les actifs pondérés par le risque, sachant toutefois que la transaction aura finalement une incidence négative de quelque 100 millions d’euros sur le compte de résultats de KBC, indique le communiqué. La transaction doit encore recevoir l’aval des autorités de contrôle et devrait être finalisée au premier trimestre 2012.
Fidelity decided in summer 2006 to move into the German corporate retirement planning market. At the time, that market for unit-linked individual pension plans, was divided between Allianz Global Advisors, DB Advisors (Deutsche Bank) and Deka (German savings banks), recalls Klaus Mössle, director of institutional activity at Fidelity Germany, in an interview with the Börsen-Zeitung.The move was thus a long-term project, and in the meanwhile, JP Morgan and BlackRock have withdrawn from this segment. Fidelity, however, manages EUR437m in this area, which represents an adequate basis for further growth.
As the choice of an index is a crucial step in both asset allocation and performance measurements, it is useful to investigate index use and perceptions about indices. The EDHEC-Risk European Index Survey 2011 analyses the current uses of and opinions on stock, bond and equity volatility indices with the aim of providing unique insight into the users’ perspective in the index industry. Furthermore, there is a growing body of research on index construction and index use. Recent studies assess current indices and also propose alternative approaches to construct indices. This survey also serves as a tool to explore views of institutional index users on the conclusions of the literature. This survey enabled opinions from 104 institutional investment managers to be gathered, which represent approximately seven trillion Euros of assets under management. This represents more than half of all assets under management by the European asset management industry. The respondents are from asset management companies, pension funds and insurance firms located all over Europe. The opinions collected reflect investors’ overall judgement on index quality, on the key issues they see with current indices, and the likely future trends for the index landscape. The report is divided into four sections. The background discusses the relevant criteria when evaluating the quality of indices in general, discusses the main issues associated with indices in specific asset classes and provides an overview of the development of the indexing industry and of research that has been published on index design and index use. It then introduces the methodology used for the survey and describes the sample collected. Detailed results are presented in the final section. Pour télécharger l'étude: cliquez ici
Par croissance organique et par des acquisitions, Liontrust se fixe comme objectif 10 milliards de livres d’actifs sous gestion pour la fin de 2016, contre 1,3 milliard à présent, après l’acquisition d’Occam Asset Management (lire notre article du 6 octobre).Dans une interview à Money Marketing, le CEO John Ions précise qu’il entend développer le pôle hedge funds, notamment en achetant une stratégie macro, et monter une activité multi-classes d’actifs en acquérant une équipe déjà constituée.Avec Occam, Liontrust peut désormais élargir sa distribution à l’Europe continentale, aux Etats-Unis et à la clientèle de fonds souverains. John Ions prévoit aussi pour les deux trimestres à venir le lancement d’un produit pour chacune des équipes issues d’Occam (marchés émergents mondiaux et Asie. Pour les émergents, il s’agirait d’une version long-only du fonds de performance absolue.
Le Conseil des Gouverneurs de la Banque centrale européenne a laissé inchangé son taux directeur à 1,5% mais annonce des mesures non conventionnelles pour soutenir la liquidité bancaire. Le danger reste en effet que les banques ne se prêtent plus entre elles, pour cause de défiance sur leurs engagements en emprunts d'États risqués (dette grecque, portugaise, espagnole, italienne...).
Fidèle à sa position de courtier multi-spécialiste, Axelliance Groupe assurance a fait l’acquisition en 2011 de SART Assurances et de Solyas Courtage. Ce rapprochement permet à Axelliance Groupe Assurance de renforcer son pôle direct et fixer ses objectifs à 17 millions d’euros de CA en 2012. Thierry Prats, dirigeant de SART Assurances, rejoint le comité de direction d’Axelliance Groupe Assurance ainsi que les deux dirigeants de Solyas Courtage, Eric Defond et Guy Perraud. SART Assurances a rejoint Axelliance Groupe Assurance en avril 2011. Fondée il y a 20 ans, elle apporte au groupe un chiffre d’affaires de 1,3 millions d’euros en 2010. Reconnue pour son savoir-faire et sa parfaite connaissance du marché de l’Hôtellerie de Plein Air, elle est depuis 1994 le conseil en assurance de la Fédération Nationale de l’Hôtellerie de Plein Air. La localisation de SART Assurances permet à Axelliance Groupe Assurance de disposer d’une nouvelle implantation à Bordeaux. Solyas Courtage, fondée en 1959, réalise un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros pour 12 salariés en 2010. La société de courtage est aujourd’hui spécialisée dans les domaines de l’entreprise, des professionnels de l’automobile et de la construction, promotion immobilière. Axelliance Groupe Assurance va poursuivre une stratégie de courtier multi-spécialiste et une politique active de croissance externe en 2012.
La crise financière qui ébranle à nouveau les marchés, remet aussi en question certains aspects stratégiques dans la mise en ??uvre de la règlementation Solvabilité 2 pour les compagnies d'assurance. Dans ce contexte, le soutien des cabinets de conseil prend tout son sens.
Lancée lors de la Convention Patrimonia, la pétition visant à protester contre la possibilité de suppression par Bruxelles des rétrocessions de commissions perçues par les conseils en investissements a recueilli plus d’un millier de signatures. Stéphane Fantuz, Président de la CNCIF encourage les CIF à amplifier le mouvement. Plus d’un millier. C’est le nombre de signatures recueillies face au projet de la Commission européenne qui voudrait interdire les rétrocessions de commissions, soit la quasi-totalité des rémunérations des CIF. En effet Bruxelles, interdirait la perception par les professionnels d’autres éléments de rémunération que leurs honoraires. Ce qui aurait pour conséquence de remettre brutalement en question la viabilité économique de l’activité de CIF et de CGPI. Aussi, l’initiative lancée lors de la Convention Patrimonia a largement mobilisé. Stéphane Fantuz, Président de la CNCIF, s’il se réjouit bien sûr de cette réaction positive, appelle désormais la profession à poursuivre la mobilisation et encourage à signer la pétition en ligne sur le site internet de l’association à l’adresse suivante : http://www.cncef.org/files/file/Petitionpatrimonia2.pdf « Toute réforme non concertée de la distribution des produits financiers serait dangereuse à la fois pour l’avenir de la profession mais aussi pour la protection du consommateur épargnant ; il faut donc poursuivre notre action » conclut Stéphane Fantuz. La pétition continue.
AG2R LA MONDIALE et la mutuelle Radiance Sud nouent un partenariat qui se traduira en 2012 par l’adossement de cette dernière au Pôle mutualiste du 1er groupe de protection sociale en France. Par ailleurs, à la suite de discussions engagées par son Conseil d’administration, Radiance Sud a décidé de reprendre sa précédente dénomination Toulouse Mutualité à compter du 1er janvier 2012. André Renaudin, Directeur général de AG2R La Mondiale, ajoute « L’adhésion de Toulouse Mutualité témoigne de l’attractivité du Pôle mutualiste d’AG2R LA MONDIALE qui se caractérise par une communauté de valeurs et de destin tout en ménageant un espace d’autonomie propre à ses différents membres ». L’adossement de Toulouse Mutualité comprend un partenariat opérationnel et commercial. En plus de ses produits d’assurance santé, la mutuelle proposera la gamme de produits d’AG2R LA MONDIALE en prévoyance, épargne, santé individuelle (Flexeo) et collective (Omega). Elle ciblera notamment les petites et moyennes entreprises et les TNS de la région Midi-Pyrénées. Serge Bouquié, Président de Toulouse Mutualité, ajoute « Toulouse Mutualité a l’ambition de redevenir l’acteur santé de référence en région Midi-Pyrénées en s’appuyant sur un partenaire connu et reconnu »
Pour des raisons autant conjoncturelles que structurelles, cette classe d'actifs a?? part entie??re peut ide?alement repre?senter jusqu'a?? 10% des portefeuilles institutionnels et prive?s. Pour compenser les difficulte?s des classes d'actifs traditionnelles, bien su??r, mais aussi gra??ce aux spe?cificite?s de leurs propres fondamentaux.