Stéphane Gaudu a été nommé directeur général d’Identités Mutuelle par le Conseil d’administration du 27 octobre 2011. Entré à Micom mutuelle en tant que directeur du développement, Stéphane Gaudu avait été nommé au mois de mai directeur général adjoint d’Identités Mutuelle, née de la fusion des mutuelles Micom et Mnil.
Dans une interview à la chaîne canadienne BNN, le directeur général de Royal Bank of Canada (RBC), Gord Nixon, a confié vendredi qu’il étudiait les opportunités concernant sa coentreprise avec la banque belge en difficulté Dexia. Selon BarCap, il en coûterait entre 300 et 400 millions de dollars canadiens à RBC de racheter la coentreprise.
Nawal Robinet, directeur associé chez Forward Finance, analyse pour Instit Invest, le rôle d'un consultant dans le cadre du conseil financier aux Carpas
Au c??ur des débats en ces temps de crise à répétition, les agences de notation, omniprésentes dans l'actualité, sont l'objet de nombreux commentaires. A tel point que la remise en cause du système de notation actuel est de plus en plus envisageable.
Les petites et moyennes entreprises récoltent les premiers fruits des actions engagées en 2010 par NYSE Euronext et l'écosystème boursier pour faciliter leur accès aux marchés de capitaux. Le rapprochement avec Deutsche Börse permettra la création d’un marché unifié paneuropéen comptant près de 1 400 PME sur un total de 1 800 sociétés cotées. Quelque 80 % des entreprises cotées sur les places européennes de NYSE Euronext présentent une capitalisation boursière inférieure à un milliard d’euros. Elles constituent un maillon essentiel de l'économie européenne à travers leur contribution à l’innovation, la croissance et la création d’emplois. Or, elles sont confrontées à un immense défi en matière de financement. Ce besoin est assuré aujourd’hui à hauteur de 92 % par le crédit bancaire, de 7 % par le private equity et à seulement 1 % par les marchés financiers. « Suite à la crise financière, beaucoup ont trouvé leurs sources traditionnelles de capital épuisées ou offrant des solutions beaucoup moins attrayantes », souligne Marc Lefèvre, Directeur Business Development et Relations Emetteurs, Listings Europe, NYSE Euronext.« Pour financer leur croissance et leurs investissements, ces entreprises doivent pouvoir accéder à des capitaux abordables ; elles ont besoin de solutions de financement disponibles et fonctionnelles de la part des marchés financiers ». Malheureusement, les marchés de capitaux européens ne fonctionnent pas toujours comme ils le devraient pour apporter aux PME-ETI1 les ressources nécessaires à leur développement. Trop peu d’investisseurs, courtiers et analystes s’intéressent à ce segment de marché. D’autant que les réformes européennes telles que Bâle III et Solvabilité II ont conduit les grands acteurs du secteur financier à se détourner des petites valorisations. Créer un écosystème favorable aux PME « Il est primordial que nous développions un environnement plus positif pour les petites et moyennes capitalisations », insiste Marc Lefèvre. L’amélioration de l’environnement passe par une révision de certaines réglementations au niveau européen. NYSE Euronext soutient, en particuliers, l’adoption d’un « Small Business Act » du droit boursier européen afin de favoriser la cotation des PME. « Aujourd’hui, une entreprise avec une capitalisation de 150 millions d’euros doit faire face aux même contraintes que le groupe pétrolier Total », fait remarquer Marc Lefèvre. Il faudrait en particulier simplifier la directive Prospectus, allonger le délai de publication des comptes ou encore adapter les normes comptables. Augmentation des introductions en 2010 et 2011 Pour ce qui concerne ses marchés, NYSE Euronext a engagé dès 2010 un plan stratégique sur tous ses marchés européens afin de favoriser l’accès des PME-ETI à la bourse. Il se développe selon trois axes complémentaires : pédagogique, commercial et réglementaire (voir encadré ci-dessous). Les premiers résultats sont encourageants : plus de 50 nouvelles PME ont rejoint les plateformes d'échange européennes de NYSE Euronext l’an passé et encore une trentaine sur les sept premiers mois de 2011. Près des deux tiers des introductions en bourse sur NYSE Alternext ont été soutenues par des fonds de capital-risque qui voient désormais dans la bourse une sortie naturelle pour leurs investissements. Au total, le marché a apporté 4,3 milliards d’euros de nouveaux fonds propres aux petites et moyennes sociétés cotées en 2009 et 2010 à travers des introductions en bourse et des opérations secondaires, et déjà 1,1 milliard en 2011. Une nouvelle impulsion avec le rapprochement NYSE Euronext - Deutsche Börse La fusion avec Deutsche Börse devrait nous permettre encore d’accélérer cette stratégie puisque près de 1 400 des 1 800 sociétés cotées sur ce marché unifié paneuropéen seront des petites et moyennes entreprises. « Avec 80 % de nos cotes respectives, elles sont notre c??ur de métier et au centre de notre stratégie. En effet, nous nous sommes engagés à connecter nos deux marchés pour accroître la visibilité des PME-ETI et leur faire profiter d’un bassin de liquidité plus important », souligne Marc Lefèvre. NYSE Euronext bénéficiera notamment de l’expérience de son partenaire allemand et sa forte culture pour les entreprises de taille intermédiaire, le fameux modèle « MittelStand ». Les activités du listing en Europe du nouvel ensemble seront pilotées depuis Paris tandis que chaque place de marché continuera à être supervisée par le régulateur national et par des équipes de NYSE Euronext dédiées sur chacune d’entre elles.
Amancio Pérez, directeur des ventes de Pictet AM pour l’Espagne le Portugal et le Brésil, a indiqué que le gestionnaire helvétique a désormais l’intention de vendre des fonds au Brésil, où il ne compte pour l’instant que quelques clients en banque privée.Dans une interview à Funds America relayée par Funds People, il souligne que la formule de créer une société gestion locale a été écartée parce qu’elle n’offrirait pas de valeur ajoutée pour l’investisseur local. L’autre solution consiste à commercialiser des compartiments de la sicav luxembourgeoise, mais il s’agit d’une tâche ardue, notamment parce que le niveau des taux d’intérêt au Brésil est actuellement trop élevé pour que les clients s’intéressent aux fonds d’actions et aux produits internationaux.Cela posé, Pictet AM a lancé en mai une version locale de son fonds eau, Acqua Fund, en coopération avec le Banco do Brazil
The Asset Management unit of Reyl & Cie is aiming for CHF1bn in assets under management in Zurich by 2013, the CEO of Reyl AM, Thomas de Saint Seine, says in an interview with Agefi Switzerland. With this in mind, Reyl AM has opened a branch office in Zurich. Assets under management by the group currently total CHF4.5bn, of which CHF1.8bn are for Reyl AM.
Amancio Pérez, head of sales at Pictet AM for Spain, Portugal and Brazil, has announced that the Swiss asset management firm is now planning to sell its funds in Brazil, where so far it has only a few private banking clients.In an interview with Funds America, relayed by Funds People, Pérez says that the option to create a local asset management firm has been decided against, as it does not bring added value for the local investor. Another solution is to release sub-funds of the Luxembourg Sicav, but this is an arduous task, largely since the interest rates in Brazil are currently too high for investors to be attracted by equity funds and international products.However, in May, Pictet AM launched a local version of its water fund, Acqua Fund, in cooperation with the Banco do Brazil.
The newly proposed MiFID II directive does not appear to be a complete success. In an interview published in the most recent October 2011 issue of “ La lettre de la régulation financière,” Jean-luc Enguéhard, chairman of the board at La Banque Postale Asset Management, who this spring also become the newest member of the College of the AMF, claims that in the area of distribution, the first draft of the directive favours an Anglo-American model. “It is vital that all participants, particularly in France, make their voices heard, to explain that the Continental model is not less good than the Anglo-American one. Enguéhard also claims that the outlook for money market funds is “stabilised and clear,” with the new AMF classification in place. The question remains of money market funds with constand net asset value: “These funds need to be strictly regulated, as they represent an element of shadow banking which requires particularly high vigilance on the part of the financial authorities, as they present a potential source of systemic risk. The Financial Stability Forum has already announced that these funds would be subject to a very detailed examination with a view to potential new regulations,” the AMF College member says.
Crise financière déclenchée durant l'été 2011: l'analyse de Frédéric Debaere, directeur du conseil en investissement chez Mercer France, pour www.institinvest.com.
Les conséquences de la volatilité des marchés financiers et de la baisse des taux d'intérêt sur l'équilibre des régimes de retraite et de prévoyance, les exigences croissantes en matière de contrôle des risques, la multiplication des produits financiers et l'émergence de nouvelles préoccupations telles que l'investissement responsable ont fait de la gestion de portefeuilles institutionnels un métier d'experts.
Jean Azéma, qui était directeur général de Groupama SA quitte le groupe. Le conseil d’administration a nommé, le 24 octobre 2011, à effet immédiat, Thierry Martel, directeur général et Christian Collin, directeur général délégué. «La priorité de la nouvelle équipe dirigeante sera de mettre en œuvre les mesures destinées à renforcer la solvabilité du groupe tout en poursuivant l’amélioration de la rentabilité opérationnelle», précise un communiqué. Cette décision intervient alors que Groupama SA traverse une période difficile. Fin septembre, Standard & Poor’s puis Fitch avait abaissé la note de l'établissement. De BBB+ à BBB, en l’assortissant d’une perspective négative pour le premier et de A- à BBB pour le groupe pour le second. Le groupe mutualiste pâtit fortement de la chute des marchés boursiers. En publiant ses résultats semestriels en août, Groupama avait déjà reconnu que sa marge de solvabilité s'établissait à 117% en raison de la chute de marchés financiers, contre 130% à fin juin. Thierry Martel, 48 ans, occupait la fonction de directeur général assurance et banque France depuis 1er janvier 2010. Pour sa part, Christian Collin, 58 ans, était directeur général finance et risques de Groupama depuis janvier 2010.
APRIL enregistre au cours des neufs premiers mois de l’exercice 2011 un chiffre d’affaires consolidé de 565.49 M€, soit une progression publiée de 1.6% et une baisse de 2.5% en pro forma. Les commissions de courtage s’affichent toujours en hausse, à + 7.9%, (+ 1.0% pro forma), alors que les primes d’assurance diminuent de 8.6%. Dans le détail, la branche Santé-Prévoyance affiche un chiffre d’affaires de 370.40 M€ en baisse de 5.3%, avec des commissions de courtage en repli conjoncturel de 3.1% et des primes d’assurance diminuant de 8.6%. De son côté, la branche Dommages affiche une progression de chiffre d’affaires de 16.8 % à 201.97 M€, avec des commissions de courtage en forte hausse de 31.2 % (+ 8.1 % pro forma) et des primes d’assurances en repli de 8.4%. On notera une progression toujours très soutenue du développement des activités internationales du groupe, dont le chiffre d’affaires s’affiche en hausse de 45% aux neufs mois. Au regard de ces performances après 9 mois d’activité, en ligne avec les chiffres publiés au semestre, un repli un peu plus marqué en Santé-Prévoyance étant compensé par une accélération de la croissance des activités Dommages tant en France qu'à l’international, APRIL reste confiant sur ses anticipations de chiffre d’affaires et de résultat opérationnel pour l’ensemble de l’exercice 2011 (hors éléments exceptionnels liés au contexte financier).
Cabinet de conseil spécialisé dans les évolutions réglementaires, organisationnelles et technologiques des acteurs de l’Assurance et de la Protection Sociale, EVEHO Conseil annonce les nominations au sein de son pôle EVEHO services d’Hervé Dusart au poste de Directeur Général et d’Olivier Milon au poste de Directeur Associé. Diplômé de l’Ecole d’Ingénieur SUP AERO, Hervé Dusart, 41 ans, débute sa carrière en 1994 en tant qu’Ingénieur d’Etudes au sein d’Onera. En 1996, il entre chez IMRglobal, en 2001 il intègre la filiale française de CGI. Olivier Milon, 42 ans, entre en 1999 chez LM Informatique, puis chez APSIDE en 2000. Il occupait, depuis 2010, un poste de consultant dans un cabinet spécialisé AMO/MOA dans l’Assurance.
8ème édition, Synthèse de l’enquête, Octobre 2011 Près de 30 sociétés interrogées: Présidents, Directeurs Généraux et Directeurs Généraux Délégués ou Adjoints (75%) Directeurs du Développement, Marketing, Financier, Stratégie, Organisation et Opérations (25%) Panorama des décideurs interrogés : Compagnies et courtiers Bancassureurs Mutuelles d’assurances IP et Mutuelles 45 Voir la présentation en pièce jointe
CP Research bases its rating on a detailed analysis of each fund after a RFP filled in by the company and a meeting with its research and management teams. The rating takes into account three basic criteria: The company’s means in terms of research and management: the team’s organization, experience and stability, its tools and external research ressources The investment process: degree to which SRI is integrated, financial selection of securities and portfolio construction, risk control Communication with investors: transparency of the management company and proactive attitude towards SRI
Le constructeur automobile français s’attend à voir ses ventes en volumes progresser dans une fourchette de 2 à 8% cette année, déclare Carlos Tavares, le directeur général délégué, dans une interview publiée samedi par Automotive News Europe.
Assurément, le marché de l'assurance des pays du Maghreb offre un énorme potentiel.
La croissance est constante depuis plusieurs années. Le chiffre d'affaires estimé sur 2010 est de 3.4 milliards d'euros. Mais le marché se cherche. Subsistent de grandes disparités entre Maroc, Tunisie et Algérie, que les écarts de densité de population ne suffisent pas à expliquer.
L'assurance au Maroc pèse 1,9 milliards d'euros (21 milliards de dirhams) tandis que l'Algérie n'enregistre dans ce secteur qu'un chiffre d'affaires de 900 millions d'euros (79 milliards de dinars algériens) et la Tunisie ferme la marche avec 576 millions d'euros (1,113 milliards de dinars tunisiens).
La société d’investissement Weinberg Capital Partners a annoncé, jeudi 20 octobre, l’acquisition du groupe Climater auprès d’Industries & Finances.Le groupe Climater intervient dans l’étude, la conception, la réalisation, la mise en service et la maintenance d’installations de génie climatique. En moins de trois ans, le groupe qui compte 450 employés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 75 millions d’euros a triplé son chiffre d’affaires.Aux côtés de Weinberg Capital Partners, actionnaire majoritaire, l’actionnariat du groupe sera composé de Stéphane Gilet, président directeur général et de l’équipe de management de près de 70 cadres. L’acquisition par Weinberg Capital Partners doit permettre au groupe Climater de continuer la croissance organique de chaque filiale et de poursuivre une stratégie active de croissance externe, note un communiqué.
Nordea Fonder, la société de gestion suédoise de Nordea, sera désormais dirigée par Sasja Beslik, actuel responsable de l’investissement socialement responsable, rapporte le journal suédois Svenska Dagbladet (Näringsliv). Il succède à Erik Feldt, qui devient responsable des ressources humaines pour la banque. Ce changement intervient au moment où Nordea Fonder a fait l’objet de critiques après avoir été désignée comme la pire banque suédoise dans la gestion de fonds par Morningstar, souligne le journal. Mais les deux événements ne seraient pas liés.
“We do not believe in the decoupling theory. Problems in the euro zone will have an impact on Asia,” Angus Tulloch, joint managing partner for Asia-Pacific/global emerging markets at First State Investments, tells Newsmanagers in an interview during a visit to Paris.Europeans have invested large amounts in Asia. And if there is a problem, money will be repatriated. In addition. European governments may decide to favour portfolio investments in Europe to the detriment of investments in emerging markets, from pension funds, for example.In Asia, Tulloch says he is currently concerned about China. He estimates that inflation, which is currently 5%, may remain at this level for some time, which would require governments to raise interest rates. Meanwhile, rising income for Chinese employees in recent years will result in decreased competitiveness of the country in some export markets, such as textiles.Overall, Tulloch predicts that the Chinese economy will have a steeper than expected slowdown.In India, the other Asian giant, Tulloch estimates that the market offers great potential for well-managed companies. But the country suffers from the fact that nobody is taking decisions at a government level, in the wake of corruption scandals.Currently, Tulloch is preferring Hong Kong, Australia and Singapore for his funds, although the funds are managed with a bottom-up approach and geographical allocations are merely the result of stock-picking.
Les titres, à échéance janvier 2015, ont été émis par le biais d’un véhicule ad hoc de droit irlandais baptisé Calypso Capital Limited. Il s’agit de la deuxième opération réalisée par le biais de ce véhicule, après une première émission de 275M d’euros en octobre 2010. Les obligations catastrophes sont des titres qui permettent à un assureur de transférer une partie de ses risques aux investisseurs, ce qui limite ses pertes en cas d'événement climatique d’importance. La couverture porte sur l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France (hors DOM-TOM), l’Irlande, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède, le Royaume-Uni et la Suisse. Les événements envisagés ont une probabilité de survenance plus élevée que celle retenue pour l'émission d’octobre 2010, a expliqué à l’AFP Thomas Kretzschmar, responsable du transfert de risque assurance au sein de la direction financière d’Axa. La probabilité de perte moyenne est cette fois de 1,70%, contre 1,08% pour la première émission. Le rendement de ces titres sera de 4,10 points de pourcentage au-dessus du taux d’une obligation émise par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), de même maturité que le titre émis par Axa. Ce rendement vaudra pour la période à risque, la couverture ne jouant que de début 2012 à fin 2014. « Nous sommes vraiment très satisfaits du spread (le taux), qui est compétitif par rapport à la réassurance traditionnelle », a commenté M. Kretzschmar, ajoutant que le montant placé correspondait au maximum souhaité par le groupe.