In an interview with Die Welt, Wilhelm von Haller, chairman of the managing board, has announced that Sal. Oppenheim will move into net profitability from 2011, one year ahead of predictions. The private bank, which was saved by Deutsche Bank two years ago, is already considering small external growth operations.Von Haller says that in the past two years, the bank has in the end not lost any assets under management, and furthermore, that there is no preferred distribution agreemnent with Deutsche Bank.The chairman has also announced that from 2012, Sal. Oppenheim will focus on developing its institutional client base, from its offices in Cologne and Luxembourg, In all areas (institutional, wealth management and investment funds), the bank is planning to promote absolute return strategies.
Après deux ans de présidence de la Sgam Sferen constituée par la Macif, la Maif et la Matmut, le PDG de la Maif, Roger Belot doit céder sa place en fin d’année, comme prévu dans le cadre du principe de présidence tournante arrêté par les trois partenaires. C’est Gérard Andreck, président de la Macif, vice-président de Sferen, président du Gema et de l’Afa qui était pressenti. Dans un entretien à paraitre dans l’Argus de l’assurance de jeudi 10 novembre, celui-ci annonce qu’il passe son tour au profit du président de Matmut et vice-président de Sferen, Daniel Havis. « En raison de ma charge de travail (à la Macif, au Gema, au Conseil économique et social, etc.), je cède mon tour à la présidence de Sferen » a déclaré Gérard Andreck.
Mercer has launched a new service to assist institutional investors in meeting the requirements of the UK Stewardship Code. The service will also be extended to the EFAMA Code for External Governance and the Eumedion Best Practices for Engaged Share-Ownership. Through the new Stewardship Service, Mercer will offer a tool that allows asset owners to check whether their asset managers are compliant with the codes and a service to help investors benchmark their own investment policies against the codes’ principles. Mercer’s Stewardship Service will also support trustees with the implementation of effective stewardship into their ongoing activities and within their investment policies and documentation. Will Oulton, Mercer’s Head of Responsible Investment for Europe, said: There is a growing view among academics and investment professionals that environmental, social and governance (ESG) issues does affect the short and long-term performance of institutional investment portfolios. It is the duty of trustees to act in the best long-term interests of their beneficiaries and we believe that effective stewardship can be an important element in both protecting and enhancing long-term shareholder value. Our Stewardship Service aims to make it simple for trustees to understand and define their stewardship responsibilities and to provide them with easy-to-use tools to assist in the selection and ongoing monitoring of their asset managers. Mr Oulton added: Stewardship exercised through oversight, voting and engagement activities helps the realisation of long-term shareholder value. Where companies have inactive or disengaged shareholders the chance is that much greater that company management will act in ways that are detrimental to shareholders’ interests. David Paterson, Head of Corporate Governance at the National Association of Pension Funds (NAPF), said: The NAPF is a strong supporter of the Stewardship Code and therefore welcomes this initiative from Mercer. By committing to the code and holding their managers to account for their stewardship, pension funds can help raise standards of governance in the investment industry as well as at the companies in their investment portfolios. To do this effectively they need tools such as the new service from Mercer. The UK Stewardship Code applies in the first instance to investment managers, however the Financial Reporting Council (FRC) has stated that all institutional investors, including asset owners, need to engage actively in the process and encourages them to report if and how they have applied the code. Mercer is a signatory to the code.
En tous les cas, des rumeurs contradictoires circulent sur les intentions de la Commission européenne vis-à-vis de la rémunération des conseillers et intermédiaires financiers et notamment sur son projet de suppression des rétrocessions de commissions.
In an interview with Funds People, Luis Ussía, regional director for western Europe and Latin America, has said that since the beginning of the crisis in July 2007, assets under administration have increased 32% to EUR55bn, due to an internationalisation policy put in place in 2005.Currently, Allfunds Bank is present in 25 countries, and one of the decisive steps in its expansion was the creation of Allfunds International in Luxembourg.The group, which is owned in equal parts by Santander and Intesa Sanpaolo, has offices in Madrid, Milan, London, Santiago, Chile, and Dubai. It specialises exclusively in services to institutional investors.Ussóa also states that two markets, Spain and Italy, alone represent 65% of activities.
Le troisième panorama des fonds et fondations démontre une augmentation du nombre de fonds de 60 % sur la période 2001-2010. Cette hausse est portée par le succès conséquent des fonds de dotations, en raison de l’organisation et de la réglementation très libérale de ce type de fonds.
Marcel Kahn, directeur général de MACSF assurances (Mutuelle d’assurance du corps de santé français) et directeur général de MACSF épargne retraite, a été nommé directeur général de MACSF SGAM le 12 octobre 2011 par son conseil d’administration. Il succède à à Michel Dupuydauby qui a pris sa retraite. Marcel Kahn a aussi été élu président de Libéa par son conseil d’administration le 20 octobre 2011. Il est également vice-président de l’Association of mutual and cooperative insurers in Europe (AMICE), et secrétaire général de la Réunion des organismes d’assurance mutuelle (ROAM).
Au sortir de ses études supérieures, Philippe Gravier se trouve rapidement au coeur de l’action gouvernementale en intégrant le Ministère des Finances. En quelques années, de 2003 à 2007, il y développe une solide expertise des services financiers et des marchés. Il est notamment en charge de la règlementation de l’assurance vie et des produits d'épargne retraite, puis de la règlementation des organismes de placement collectifs et des fonds d’investissement. Il est nommé en 2007, à l'âge de 29 ans, conseiller au cabinet de la ministre de l'économie, des finances et de l’industrie, responsable notamment du financement des PME et des politiques microéconomiques (droit des entreprises, capital risque, services, commerce, partenariats public-privé). Il est ensuite promu en 2010 directeur adjoint du cabinet de la ministre de l'économie, des finances et de l’industrie ainsi que directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat en charge des petites et moyennes entreprises, du commerce, du tourisme, des services et de la consommation, postes qu’il occupait avant de rejoindre Aviva. Philippe Gravier est diplômé de l’ESSEC, d’un DEA de Finance de l’Université Paris I, de Sciences Po Paris et ancien élève de l’ENA. Il a 34 ans. Philippe Maso y Guell Rivet, directeur général d’Aviva France : « Je suis heureux que Philippe Gravier rejoigne mon équipe. Sa connaissance approfondie des marchés financiers, son expérience de la régulation des produits financiers et son dynamisme permettront de renforcer le pilotage de la performance financière d’Aviva France dans un contexte réglementaire et économique en évolution. »
« La faible demande, de la part de nos affiliés, d’un versement partiel de la rente sous forme de capital démontre bien que ces derniers sont avant tout sensibles à l’intérêt d’une rente viagère », constate Christian Carrega, directeur général de Préfon. « Nos affiliés ont compris qu’elle correspondait mieux à l’objectif d’une retraite sereine, dotée d’une protection maximale : le montant de la rente est connu à l’avance et ne peut jamais baisser et son versement intervient jusqu'à la fin de ses jours. Ce que les nombreux futurs centenaires apprécieront ! » « Les reproches à l’encontre de ces fameux produits «tunnel», dont Préfon-Retraite fait partie, me semblent donc injustifiés... Une préparation rationnelle du volet financier de sa retraite passe par une épargne régulière pendant sa vie active qui se transforme ensuite en rente viagère, seule véritable parade à une situation financière aléatoire. », explique Christian Carrega. « Car si un produit financier classique, dont la somme capitalisée est récupérée à l’heure de la retraite - et dont le montant n’est, par définition, pas connu à l’avance et peut donc être décevant en période de conjoncture financière délicate - peut octroyer un complément de revenus appréciable, il ne représentera jamais un revenu sûr et constant. » « Autre avantage non négligeable de la rente : elle ne peut pas, comme un capital, être « dilapidée » sur un coup de tête ou sur incitation de son entourage. A 60 ans, l’affilié qui perçoit une rente de 300€ par mois, percevra la même somme revalorisée jusqu'à la fin de ses jours... », conclut le Directeur général de Préfon.
D’après nos informations, la CCI Finance (groupe CCI de Paris) a recruté Sébastien Thomas au poste de Responsable Gestion d’Actifs depuis le mois d’octobre. En provenance de Pictet où il a occupé pendant quelques mois le poste d’Investment Advisor, Sébastien Thomas fut auparavant fund manager chez Invest AM et Olympia Capital Management. La CCI Finance n’a pas souhaité faire de commentaires sur cette nouvelle arrivée.
Dans la continuité de la forte progression de 2009 avec 16 % de croissance, les encours des 500 plus grands gérants d’actifs mondiaux ont atteint en 2010 la somme de 65 milliards de dollars environs, ce qui revient à une augmentation de 4 %. L'étude Pensions & Investments / Towers Watson World 500 rappelle toutefois qu’en dépit de la hausse des actifs en 2009 et 2010, la progression reste moindre que celle constatée en 2007 où les montants étaient supérieurs à 69 milliards de dollars. Pour lire le rapport complet (en anglais), cliquez-ici.
1/ Existe-t-il un risque pour un investisseur à participer à un atelier de coopétition? Absolument aucun. Grâce au format très pragmatique et collaboratif d’un Open Workshop, les participants comprennent rapidement que plus ils partagent, plus ils reçoivent de feed-back et recueillent ainsi les opinions et positionnements de leurs « coopétiteurs ». La réalité est qu’un phénomène de team-building se développe au cours de la journée : le matin on se regarde en chien de faïence, mais à la fin de la journée tout le monde se tutoie et se donne l’accolade, heureux d’y voir plus clair et d’avoir débloqué un certain nombre de freins à sa performance responsable! 2/ Est-ce que ça signifie que les investisseurs doivent aujourd’hui se communiquer leurs stratégies? Je n’irai pas jusqu'à dire que nous en sommes déjà à l'échange de business-plans ; pourtant nous basculons nettement nos modèles managériaux dans une logique de réseaux. Dans ce cadre structuré transparent et ouvert elles s’apportent mutuellement sans risque d'être taxées de trust. Les réactions des participants sont probantes, en confrontant plus intimement leur offre à celles de leurs concurrents, leurs produits et services adhèrent beaucoup plus précisément aux besoins de leurs clients actuels et leurs efficacité s’en voit rapidement renforcée! 3/ Jusqu’où va l’influence de vos Open Workshops ? Nous découvrons régulièrement, qu’après un ou plusieurs Open Workshops des sociétés de gestion concurrentes signent une convention de partenariat. Pour répondre à certains appels d’offre elles s’informent ouvertement de leurs intentions et s'échangent leurs propales. Cette approche coopétitive favorise l'émulation d’intelligence collective, de communautés de pratiques et d’innovations très créatrices de valeur. 4/ Quelle vision avez-vous pour faire évoluer les entreprises vers une croissance plus durable? Notre approche est de résoudre en priorité ce qui empêche un dirigeant de dormir le soir. Or, faute de pression règlementaire à l’heure actuelle, ce n’est pas le développement durable, qui rend insomniaque. Chacun ressent bien que les modèles économiques qui prévalaient jusqu'à présent dans l'ère industrielle doivent évoluer puisque que cette époque se termine. Jusqu'à présent le monde du conseil proposait une offre clé en main plus ou moins adaptable à un besoin plus ou moins bien défini. Nous considérons aujourd’hui qu’il est indispensable de repenser l'écoute des problématiques d’une société pour y faire correspondre une solution totalement adaptée. On ne peut pas aujourd’hui se contenter de gérer une entreprise comme on le faisait il y a encore 5 ans! A charge pour nous, professionnels de l’accompagnement d’y répondre avec des méthodes innovantes et plus agiles. Si deux concurrents pratiquent le même métier cela ne veut pas dire qu’ils ont le même enjeu et la même stratégie. Pourtant, nombre de cabinets de conseil sont encore amenés à leur proposer la même compétence voire la même mission. N’oublions pas que notre métier est de permettre aux décideurs, confrontés aux incertitudes de leurs clients et aux contraintes de réduction des coûts, de mieux comprendre les réactions et attentes de notre civilisation moderne de plus en plus structurée en réseaux sociaux. C’est peut-être bête à dire mais c’est en consultant les parties prenantes que nous parvenons à atteindre et dépasser leurs attentes. Avec plusieurs réseaux gravitant autour d’un même enjeu il est alors plus facile de déverrouiller les ressources internes/externes qui permettent d’obtenir les leviers de croissance sur mesure ; le tout en privilégiant la responsabilité sociétale bien entendu. Experts en maîtrise d’??uvre de prestations d’accompagnement sur mesure, nos consultants se différencient par leur capacité à co-construire une performance sur mesure avec l’ensemble des parties prenantes de la chaine de valeurs.
L'ASM13 est une association reconnue d'utilité publique (devenue Établissement privé d'intérêt collectif avec la loi Hôpital Patient Santé Territoire de 2009) exerçant une mission de service public exclusivement dans le domaine des soins psychiatriques et de la santé mentale auprès de la population du 13e arrondissement de Paris. Elle emploie 800 personnes.
Elle exerce par ailleurs de nombreuses activités d'enseignement (notamment auprès des internes en psychiatrie) et de formation auprès des personnes de différents établissements exerçant dans ce champ.
Le bancassureur néerlandais ING a annoncé lundi avoir finalisé la vente de la majeure partie de ses activités de conseil et gestion en investissements immobiliers pour 1,04 milliard de dollars (750 millions d’euros), dont 940 millions à l’américain CB Richard Ellis (CBRE). «ING annonce aujourd’hui qu’il a finalisé la vente de ses activités de conseil et gestion en investissements immobiliers (ING REIM) en Europe à la société américaine CBRE, finalisant donc la vente de ING REIM tel qu’annoncé le 15 février», a indiqué ING dans un communiqué. La transaction incluait la vente au groupe de services immobiliers CBRE, pour 940 millions de dollars, des activités REIM d’ING en Europe et en Asie et de la société américaine Clarion Real Estate Securities, spécialisée dans la gestion de titres immobiliers. Ces trois sociétés géraient ensemble, au 31 décembre 2010, 44,7 milliards d’euros d’actifs. CBRE, gérait, au 31 décembre 2010, 27,8 milliards d’euros d’actifs. Le conseiller et gestionnaire en investissements immobiliers sur le marché privé américain Clarion Partners, qui gère 16,5 milliards d’euros d’actifs, a quant à lui été vendu pour 100 millions de dollars à sa direction, en partenariat avec la société de gestion d’actifs Lightyear Capital. ING a indiqué que la vente d’ING REIM lui a permis de réaliser un gain après impôts d’environ 470 millions d’euros et une libération de fonds propres d’environ 520 millions d’euros.