Romain Durand, Responsable des investissements de SHAM, nous explique pourquoi il a été amené à privilégier les comptes et dépôts à terme mais aussi les comptes courants rémunérés.
P { margin-bottom: 0.08in; } The US asset management firm Legg Mason is planning to acquire a non-US equity asset management firm, in order to diversify its client base and return to net subscriptions, Financial Times Fund Management reports, on the basis of an interview with the firm’s new CEO, Joe Sullivan. Sullivan says that the group does not currently have a convincing range of non-US equity products, although several of its affiliates already offer such exposure. Adding a new product range could help Legg Mason to strengthen its ties with international investors, who represent about 40% of assets under management by the group, which total USD655bn.
Le fonds de pension californien prévoit de céder les 4% de participation qu’il détient dans la société de private-equity, valorisés 373,3 millions de dollars. Une opération qui intervient treize mois après l’introduction en Bourse de Carlyle. Depuis, le cours de ces actions a progressé de 34%.
Selon nos informations, Denis Metzger occupe depuis début juin le poste de chargé de mission au sein de la société de gestion D??M Finance, dont l’actionnaire de référence est le groupe Burrus, la famille propriétaire de la compagnie d’assurance AFI-ESCA. Denis Metzger sera en charge de la conduite du projet de mise en place du système d’information. Pour rappel, Denis Metzger a notamment était directeur financier de la Mutuelle Générale entre 2002 et 2012, en charge de la comptabilité de la trésorerie et de la gestion d’actifs (20 personnes, 1,5 Md € d’actifs sous gestion).
Cette nouvelle entité est issue du rapprochement de l’AACIF et de la CCIFTE deux associations professionnelles de référence, désireuses de converger pour faire émerger une association professionnelle de tout premier plan, représentative du conseil en finance d’entreprise, tant auprès des dirigeants que de l’univers institutionnel. L’effet mutualisation permettra au nouvel ensemble d'être plus visible, plus fort et ainsi de mieux se faire entendre. La mission de l’ACIFTE est d’accompagner les dirigeants pour les aider à renforcer la sécurité de leurs opérations en s’appuyant sur un corps professionnel garant des fondamentaux qui conditionnent l’intégrité du marché. L’association rassemble désormais plus de 250 entreprises et 360 professionnels, institutionnels et spécialistes du monde de l’entreprise, tous habilités à conseiller les institutionnels et les entreprises. Ainsi, ces spécialistes sont à même de s’engager, pour chacune de leurs missions, sur l’ensemble des dispositions légales et réglementaires applicables, directement ou indirectement, à leurs activités de conseil. Pour Jean-René Griton, président de cette nouvelle association (et précédemment président de l’AACIF), « le principal enjeu est de promouvoir l’offre de nos adhérents auprès des entreprises dont les attentes en matière de financement sont criantes. Au-delà des problématiques de commercialisation des produits financiers sur lesquelles l’AMF a beaucoup ??uvré, il existe d’autres sujets sur lesquels les pouvoirs publics doivent se pencher et qui concernent globalement les différents modes de financement des PME/ETI.» « Nous avons vocation à répondre aux problématiques des émetteurs, et plus précisément des entreprises non cotées. Celles-ci sont insuffisamment dotées en fonds propres ou en financement à long terme. Or, aujourd’hui, les banques conseillent de moins en moins les chefs d’entreprises dans la mesure où elles se désengagent de ce type de financement pour de multiples raisons, notamment prudentielles », commente Gilles de Courcel, vice-président de cette nouvelle structure (et précédemment président de la CCIFTE). Les liens étroits avec la SFAF sont maintenus, les membres de l’ACIFTE devenant de fait membres SFAF. Cette évolution a été approuvée par le Collège de l’AMF. Elle sera affective au 30 juin 2013. A propos de l’AACIF et de la CCIFTE L’AACIF, Association des Analystes Conseillers en Investissements Financiers, est une association, créée en 2006, qui a pour objet la représentation collective et la défense des droits et intérêts des conseillers en investissements financiers. Elle est agréée par l’AMF en qualité d’association professionnelle de CIF au titre de l’article L.541-4 du Code monétaire et financier. La CCIFTE, Compagnie des Conseillers en Investissement, Finance et Transmission d’Entreprise, est une association, créée en 2003, dont l’objet est la représentation collective et la défense des droits et intérêts des conseillers en investissements financiers. Elle est agréée par l’AMF en qualité d’association professionnelle de CIF au titre de l’article L.541-4 du Code monétaire et financier. Ces deux associations partagent des valeurs communes en termes de sélectivité des membres, respect d’un code de bonne conduite et adhésion à un code de déontologie. SFAF : Société Française des Analystes Financiers.
LCH.Clearnet a annoncé lundi le lancement aux Etats-Unis des services de compensation sur les dérivés de taux de SwapClear, à travers sa filiale locale. Dix banques - Barclays, BNP Paribas, Citigroup, Credit Suisse, Deutsche Bank, Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Nomura et UBS - vont recourir à la nouvelle plate-forme. L’annonce intervient alors que Nyse Liffe a confirmé aujourd’hui qu’il compenserait ses dérivés à compter du 1er juillet sur ICE Clear Europe, la chambre de sa future maison-mère, et non plus comme aujourd’hui sur LCH.Clearnet.
P { margin-bottom: 0.08in; } The former deputy CEO of Banque d’Orsay and co-manager of Orsay Asset Management, Philippe Farhi, in August 2012 founded a new asset management firm, LFPI Asset Management, of which he is the chairman, and which now has over EUR100m in assets under management. The firm is in fact an affiliate of the La Financière Patrimoniale d’Investissement group, a French private equity firm with assets of EUR2.2bn under management. “LFPI wanted to create a supplementary business unit in asset management,” explains Philippe Farhi, in an interview with Newsmanagers. To build his team, Farhi turned to veterans of Banque d’Orsay, which in 2010 was taken over by Oddo & Cie. He reunited Philippe Tranchet, former head of the bond and asset allocation teams at Orsay AM, and former head of the short-term bond and money market unit at Oddo Asset Management, who becomes head of fixed income management and asset allocation in the new structure, and Frédéric Staub, who had been in charge of long/short management and risk arbitrage at Orsay AM and Oddo AM, as head of equity management. Bertrand Llinas, also from Orsay AM and Oddo AM, also joins the team as a manager. A fifth person handles the back office. Two funds have already been launched, with the theme of absolute returns: LFPI Short Duration and LFPI Equity Arbitrage. The first, a short-term credit fund with a macroeconomic approach, is the one on which the sales efforts of the firm have hitherto been focused, and which is particularly well-adapted to the current context, according to its manager, Philippe Tranchet. After slightly less than one year, it has total assets of about EUR110m. The second fund, a long/short equity, will be promoted more actively in the next few months. So far, its assets total about EUR15m. Although after slightly less than one year, LFPI AM already has assets of over EUR100m, the objective is to reach EUR500m in three years. To get there, a third fund will be launched, with a diversified flexible approach.
UBS Suisse subit de plein fouet le bas niveau record des taux dans le pays. Entre 2008 et 2012, le numéro un bancaire helvétique a perdu près d’un milliard de francs sur les opérations d’intérêt des dépôts en banque, a déclaré Lukas Gähwiler, chef d’UBS Suisse, dans une interview à la SonntagsZeitung.Le chef d’UBS pour la Suisse estime qu’un niveau des taux de 2 à 5% est plus «favorable». Actuellement, rien n’annonce toutefois une prochaine valse à la hausse des taux. Le banquier est cependant conscient que ce mouvement peut prendre tout le monde par surprise.
Créée en juin 2012, Cedrus AM a gère et conseille plus de 350 M€ d’actifs dont 52 M€ d’encours gérés via son fonds Cedrus Sustainable Opportunities et 320M€ d’encours conseillés via 5 fonds et mandats dédiés. Après 1 an d’existence, Cedrus AM accroît ses moyens de développement en renforçant son équipe. Stéphane HUYGHUES-DESPOINTES, 48 ans, vient de rejoindre le management en tant que Directeur Général et Directeur de la gestion d’actifs. Stéphane, par sa triple expérience de gestion d’entreprise, directeur de salle des marchés et gérant d’OPCVM, permettra à CEDRUS AM d’asseoir encore plus l’expertise globale de l'équipe de direction. Son parcours : 2012-2013 : Largillière Finance : Senior Advisor 2002-2011 : Groupe La BANQUE POSTALE : Président d’EASYBOURSE et Directeur de la salle des marchés 1989-2002 : gérant d’actifs chez FIMAGEST, ALFI Gestion, BARCLAYS AM puis Expertise AM Christophe MOUNIER, 52 ans, conseille l'équipe de gestion sur la stratégie de marché. L’arrivée de Christophe permet de compléter l’expertise en matière de gestion active des couvertures et de l’allocation de risques. Son parcours : 2000-2007 : BNP PARIBAS AM : Responsible de l'équipe Global Macro et gérant de fonds diversifiés 1997-2000 : DEXIA AM : Gérant de fonds Global-Macro et gestion de couverture 1996-1997 : SOCIETE MARSEILLAISE DE CREDIT : Directeur de la Trésorerie et des Changes 1990-1996 : CHASE MANHATTAN BANK : Trading taux et devises 1987-1990 : BANQUE HERVE ET BANQUE CSIA/ CREDIT NATIONAL : Trader Franc Daniel PIRROTTA, 51 ans intervient en tant que conseil indépendant auprès de la direction générale, en charge de la stratégie de développement. Daniel utilise sa connaissance du marché des investisseurs français et étrangers pour aider CEDRUS AM à atteindre ses objectifs de développement ambitieux. Son parcours : Depuis août 2011 : IN ARTE S.A.S.- PDG 2006-2009 : EXANE DERIVATIVES - Directeur de la Clientèle institutionnelle 2002-2006 : ADI Alternative Investments - Directeur du Développement France et Europe 1999-2002 : AXA Investment Managers - Directeur de la Clientèle institutionnelle 1989-1999 : Commercial Institutionnel au Groupe CREDIT LYONNAIS puis chez CPR Asset Management 1987-1989 : SOCIETE GENERALE, Direction des Marchés de Capitaux - Contrôleur de gestion
En 1999, Gwénaël Rousseau décroche son diplôme à l'ESC Nantes (Audencia Nantes aujourd'hui) avec une spécialisation en Finance. Pendant sa scolarité, il effectue deux stages qui auront un impact durable sur sa carrière professionnelle en confirmant notamment son attirance pour le monde financier et les salles de marché.
La banque du Vatican vérifie tous les comptes bancaires sous sa responsabilité, y compris ceux ouverts au nom d’employés du Saint-Siège, a annoncé son nouveau président, Ernst von Freyberg. L’Institut pour les œuvres de religion (IOR), le nom de la banque du Vatican, suscite depuis des dizaines d’années des rumeurs de blanchiment d’argent. Dans une interview publiée vendredi par le Corriere della Sera, il précise que l’IOR a entrepris de passer au crible ses 18.900 clients afin de vérifier leurs droits à posséder un compte et les éventuelles délégations de signature, ajoutant qu’un millier de comptes sont contrôlés par mois.
L’Agence France Trésor a annoncé l’adjudication le lundi 3 juin d’un montant global compris entre 6,6 et 7,8 milliards d’euros de bons du Trésor (BTF). Cette adjudication intervient en regard d’une tombée de BTF de 7,992 milliards d’euros le 6 juin. Le jeudi 6 juin l’AFT adjugera un montant compris entre 7 et 8 milliards d’euros d’obligations assimilables du Trésor (OAT).
La société d'investissement Meridiam a réussi à boucler avec Bouygues un financement obligataire d'infrastructure sans garantie ni rehaussement de dette
Dans une interview donné dans l’Agefi Hebdo de ce jeudi, Thibaud Sybillin, chargé de la séléction des sociétés de gestion de l’Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (Erafp) explique qu’entre le lancement d’un appel d’offres et la sélection des gérants, il faut, compte tenu des règles de procédures définies dans le Code des marchés publics, environ neuf mois pour procéder à la sélection d’un gérant. Ainsi, explique-t-il, nous avons annoncé le 28 mars le nom des sociétés de gestion retenues pour le fonds de fonds multi-actifs, dont l’appel d’offres avait été lancé en juillet 2012.
L’assemblée générale de la Mutuelle de l’industrie du pétrole (MIP) a validé le projet de rapprochement avec le groupe de protection sociale Humanis. Dans un premier temps, cette mutuelle qui a encaissé 181 M€ de cotisations pour 220 000 personnes protégées en 2012, adhèrera à l’Union de groupe mutualiste (UGM) Humanis. Mutuelle historique de l’industrie pétrolière, la MIP, qui réalise 90% de son activité en complémentaire santé collective, est aujourd’hui présente dans différents secteurs industriels. MIP et le groupe Humanis indiquent que leur rapprochement se concrétisera dans un premier temps par une réponse conjointe à des appels d’offres en protection sociale complémentaire (santé et prévoyance) dans le secteur pétrolier. Lire la suite : cliquez ici
Les courtiers et autres intermédiaires d’assurances ne font pas l’objet d’un contrôle permanent de l’ACP mais sont pourtant les plus représentés dans les procédures disciplinaires concernant l’assurance. La commission des sanctions de l’ACP (Autorité de contrôle prudentiel) qui vient de rendre son 3ème rapport annuel, a sanctionné l’année passée trois intermédiaires d’assurances, ouvert deux nouvelles procédures cette année contre eux et pointé certaines de leur pratiques commerciales et relations avec leurs fournisseurs (mutualistes et assurances). Au sein de la place, les intermédiaires (courtiers, courtiers grossistes, agents, comparateur internet, intermédiaires dans la distribution...) sont les plus visés par des procédures disciplinaires. A qui l’ACP a-t-elle tordu l’oreille ? Pour l’instant, l’autorité qui encadre le secteur bancaire et des assurances, reste très discrète, ne dévoilant aucun nom, préférant laisser le lecteur à ses supputations et au jeu des devinettes. Pour seule consolation, en aparté de la conférence de presse de l’ACP, Fabrice Pesin, son secrétaire général adjoint, a affirmé que des délibérés des décisions seraient rendus publics dans les prochaines semaines. En effet, si par défaut la loi prévoit que les délibérés doivent être connus du grand public, le président de l’ACP peut toujours les rendre anonymes... Trois interdictions d’activités prononcées contre des intermédiaires En 2012, la commission des sanctions de l’ACP a rendu cinq décisions dont trois interdictions d’exercice d’activité concernant des intermédiaires d’assurances. Ce sont les sanctions les plus sévères parmi ces rendus, les autres décisions étant des blâmes et avertissements. La commission n’en dit pas plus sur les acteurs concernés par l’interdiction d’activité. Elle indique seulement que les sanctions pécuniaires infligées s'échelonnent de 10.000 à 500.000 euros. Il faut noter par ailleurs que ces amendes ne sont pas fixées en fonction «du critère des bénéfices procurés par le manquement, (...) qui est classiquement prédominant dans le droit des ententes ou les abus de position dominantes ou la répression des abus de marché». Mais elles dépendent plus simplement du «risque que le manquement a fait courir à l'établissement lui-même ou au système financier». Les préjudices subis par les clients ne retient donc pas aujourd’hui l’attention du gendarme de l’assurance qui indique timidement «qu’il n’est pas exclu (...) que ce critère des gains procurés soit utilisé davantage à l’avenir». Deux courtiers sur le grill La commission de sanction a également engagé neuf nouvelles procédures disciplinaires en 2012. Deux dossiers concernent des sociétés de courtage en assurance. «Cette dernière procédure vise également les deux cogérants au titre de leur responsabilité personnelle», note l’ACP dans son rapport. «L’une (des sociétés de courtage, ndlr) avait une activité très modeste», ajoute-t-elle. Distillant les indices, l’ACP écrit que les saisines visent «des manquements aux conditions d’exercice (obligation d’immatriculation à l’Orias et souscription d’une garantie professionnelle) ainsi que sur des manquements aux règles relatives à l’information des clients et au devoir de conseil». Mais globalement, la grande majorité du monde du courtage passe sous le radar de l’Autorité car les intermédiaires ne font pas l’objet d’un contrôle permanent du gendarme compte tenu de leur trop grand nombre. Les liaisons dangereuses courtiers-fournisseurs Mais les brigades de contrôle ont décidé cette année de pointer leur viseur sur certaines de leurs pratiques commerciales. Comme celles de mutuelles et d’assureurs qui ont poussé leur développement grâce au recours intense du courtage. «Cela a entraîné une insuffisante maîtrise de la souscription mais aussi des problèmes dans la délégation de gestion de sinistres», a relevé Jean-Philippe Thierry, vice-président de l’ACP, lors de la conférence de presse. «Plusieurs organismes avaient mal défini les contrats qu’ils vendent par ce biais et n’avaient pas accordé assez d’attention à la tarification et à la sinistralité. La délégation de gestion de sinistres ne les exonère pas de leurs responsabilités vis-à-vis des assurés», écrivent précisément les rapporteurs. Au bout de la chaîne, ce sont évidemment les clients qui paient les pots cassés et qui se retrouvent perdus entre les interlocuteurs. L’ACP insiste sur le nécessaire devoir d’information des clients lorsqu’ils souhaitent régler des différends avec les courtiers, une information «qui n’est pas toujours respectée». L’Autorité relève également que le client n’est pas suffisamment informé «des liens de l’intermédiaire avec ses fournisseurs et ses obligations, ou non, d’exclusivité», soit le degré d’indépendance du courtier avec ses fournisseurs. Enfin, on apprend au détour d’une phrase que lors des missions de contrôles de l’ACP, «certains intermédiaires ne pouvaient pas toujours justifier de la capacité professionnelle de l’ensemble de leur salariés». Pourtant, il semble évident que tout le monde préfère aller chez un dentiste qui soit dentiste.
Didier Legrand, 49 ans, directeur général adjoint, directeur de la souscription, est nommé à compter du 3 juin, en qualité de directeur général par intérim de MutRé, le pôle réassurance de la Mutualité française. Il succède à Pierre-Alain de Malleray nommé directeur général du groupe Santiane. Didier Legrand est titulaire d’une maîtrise de mathématiques et applications fondamentales de l’Université du Mans, diplômé de l’Institut des statistiques de Paris (Isup) et membre certifié de l’Institut des Actuaires. Il débute sa carrière professionnelle en 1988 au sein du groupe MMA où il occupe diverses fonctions dans les directions techniques en assurance vie avant d'être nommé responsable technique des assurances collectives. C’est en 2000 qu’il rejoint MutRé en tant que directeur technique et financier avant d'être promu en 2007 au poste de directeur général adjoint et se voit confier également en 2012 la fonction de directeur souscription.
P { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with Agefi Hebdo on Thursday, Thibaud Sybillin, responsible for the selection of asset management firms for the French public employees’ pension fund Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP), explains that between the launch of a request for proposals and the selection of managers, under the procedural rules set out in the Code on government procurement, about nine months are needed to select a manager. “So,” he explains, “we announced the names of asset management firms selected for the multi-asset class fund of funds on 28 March, from a request for proposals that was launched in July 2012.” In the event, Amundi was the winner of an initial mandate of EUR150m, and BNP Paribas and Neuflize OBC Investissements are the supplementary managers, Sybillin says.
Dans une interview donné dans l’Agefi Hebdo de ce jeudi, Thibaud Sybillin, chargé de la séléction des sociétés de gestion de l’Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (Erafp) explique qu’entre le lancement d’un appel d’offres et la sélection des gérants, il faut, compte tenu des règles de procédures définies dans le Code des marchés publics, environ neuf mois pour procéder à la sélection d’un gérant. «Ainsi», explique-t-il, «nous avons annoncé le 28 mars le nom des sociétés de gestion retenues pour le fonds de fonds multi-actifs, dont l’appel d’offres avait été lancé en juillet 2012". En l’occurence, Amundi gérera ce mandat d’un montant initial de 150 millions d’euros et BNP Paribas AM et Neuflize OBC Investissements en seront les gérants suppléants, indique Thibaud Sybillin.
Conformément au protocole d’accord conclu le 7 mars 2013, SCOR a acquis ce jour une participation de 59,9 % au capital de MRM, société foncière cotée soumise au régime des sociétés d’investissements immobiliers cotées (SIIC), dans le cadre d’une augmentation de capital en numéraire. L’opération s’est accompagnée d’une restructuration de la dette bancaire et obligataire du groupe MRM qui permet à SCOR d’investir dans une société au bilan assaini et à la situation de trésorerie rétablie. Compte tenu du taux de conversion de 100 % des obligations émises par le groupe MRM en actions MRM, le montant de l’investissement de SCOR s'élève à EUR 53,3 millions. François de Varenne, Président du directoire de SCOR Global Investments, est nommé Président du conseil d’administration de MRM. Les équipes de MRM sont sous la responsabilité de Jacques Blanchard, Directeur général. François de Varenne, Président du directoire de SCOR Global Investments, déclare : « SCOR se réjouit de la réussite de l’opération de recapitalisation menée par MRM. L’expertise immobilière de SCOR va permettre d’accompagner le management de MRM dans la mise en oeuvre d’une nouvelle stratégie centrée sur son portefeuille de commerces ». MRM est une société d’investissement immobilier cotée dont le portefeuille d’actifs, d’une valeur de EUR 269 millions (hors droits) à fin décembre 2012, est composé de commerces (57 %) et de bureaux (43 %). Depuis le 29 mai 2013, MRM a pour actionnaire principal la société SCOR SE qui détient 59,9 % du capital. MRM et ses filiales ont conclu le même jour un nouveau contrat de gestion de leurs actifs immobiliers avec CBRE Global Investors. MRM est cotée sur le compartiment C de NYSE Euronext Paris. Elle a opté pour le régime SIIC au 1er janvier 2008.
Selon nos informations, Nathalie Chapelle vient d’immatriculer en mai 2013, une société de conseil en assurance dénommée Stellas Conseil. Nathalie Chapelle a occupé le poste de Directeur Technique et Financier au Conservateur jusqu'à fin 2012. Elle a 15 ans d’expérience en Assurance-Vie, en Front Office Assurance chez BNP Assurances, en Allocation d’Actif chez Sogecap, en Direction Technique et Financière au Conservateur et 12 ans d’expérience managériale. Directeur Technique et Financier, Le Conservateur Février 2010 - Décembre 2012 : Encadrement de 25 personnes dans 5 Sous-Directions Pilotage de la solvabilité du groupe suivant les normes S1 et S2 Pilotage du Front Office Assurance (5 Md€) Mise en place d’une Sous-Direction Middle Office et contrôle Financier Participation aux piliers 2 et 3 de Solvabilité 2 Pilotage de la gestion financière Développements ALM, Solvabilité 2 pilier 1, allocation d’actifs Pilotage des résultats et de la rentabilité de la Mutuelle et des Tontines Développement d’outils de suivi et de contrôle (reportings actifs, méthodologies de définition de limites de risques, trésorerie prévisionnelle) Responsable Contrôle Permanent et Risques, de l’allocation de l’actif Euros (48 Md€), Sogecap janvier 2000 - décembre 2009 : Encadrement de 5 personnes Surveillance Permanente des risques opérationnels Cartographie des processus et des risques Responsable allocation d’actifs Définition avec l’ALM de l’Allocation d’actif et des couvertures d’actif Définition du timing d’investissement Pilotage de l'équipe de gestion obligataire dédiée chez SGAM ( 4 personnes) en charge du picking Sélection de fonds (actions, taux, private Equity, immobilier, alternatif) et d’actifs spécifiques (produits structurés) Suivi et analyse des performances / risques Gestion Financière, Natio-Vie (Groupe BNP) janvier 1997 - décembre 1999 De janvier à décembre 1999 : gestions actions, convertibles, dérivés actions, au sein de BNP Gestions De janvier à décembre 1998 : gestion directe taux, actions, monétaires chez Natio-Vie De janvier à décembre 1997 : Actuaire Financier à la gestion actif / passif Formation Institut des Actuaires Français, Actuaire (1994 - 1995) Ecole nationale de la Statistique et de l’Administration économique Finance (1991 - 1994) Société Financière des Analystes Financiers Analyste (SFAF)
La crise et la baisse des taux rendent aujourd'hui difficile de trouver du rendement « sans risque ». Les investisseurs ont un besoin d'expertise croissant sur les classes d'actifs périphériques, sur le non coté, en matière de diversification internationale...
Les équipes parisiennes de bpifrance s’installent sur 10 500 m² au 6/8 boulevard Hausmann à Paris 9e. L’immeuble, propriété des Docks Lyonnais, est un centre d’affaires de 25 000 m². Ces bureaux regrouperont les équipes métiers jusqu’alors implantées en trois immeubles répartis entre les 9e et 7e arrondissements. Cette location permettra une économie de 1,5 M€ par an sur 5 ans précise un communiqué de bpifrance. Les travaux d’aménagement, d’un montant de 2,1 M€, sont pris en charge par le bailleur. Dans cette transaction, le bailleur et le preneur étaient conseillés par le département grands comptes de Jones Lang LaSalle. Fairway était le conseil juridique de Docks Lyonnais et BG2V celui de bpifrance.
Interrogés à l’occasion d’un sondage mensuel, 93,8% des lecteurs de www.institinvest.com considèrent que les investisseurs institutionnels français doivent faire preuve de plus de transparence dans leur communication financière. Un recueil des commentaires les plus pertinents : Les épargnants, les cotisants bénéficiaires, les assurés ont tous le droit de savoir où va et à quoi sert leur argent. Il y a un mur à faire tomber, un plafond (qui n’est pas de verre) à désagréger. Reconstruire la confiance sans laquelle il n’est pas de finance durable passe par la transparence des stratégies de placement, du contenu des portefeuilles, de l’usage des droits de vote (pour les poches actions), etc. C’est un formidable défi à relever. Les professionnels de la finance qui craignent de sortir de l’ombre ont tout à gagner dans cette perspective d’un dialogue nouveau avec celles et ceux qui leur confient leur épargne. Un investisseur institutionnel Cette réflexion est particulièrement prégnante dans la communication financière à l’usage des assurés, par nature non professionnels. Les choses ont beaucoup évolué ces dernières années chez les asset managers : les assureurs vie ont du chemin à faire. Concernant les informations vis à vis de la communauté financière, beaucoup de choses ont été faites, qui se compléteront avec le Pilier III de Solvabilité II Un autre investisseur institutionnel La contrainte qui s’impose aux sociétés de gestion et à leurs réseaux de distribution en matière d’information vis-à-vis de leurs clients non professionnels devrait se transmettre aux assureurs vie et retraite pour les contrats épargne et prévoyance de leurs cotisants. En matière de communication institutionnelle, une diffusion plus large du rapport de solvabilité serait une évolution importante (qui deviendra obligation avec le Pilier 3 de Solvabilité II) Un consultant Pas toujours simple en France de connaître les stratégies d’allocation contrairement à d’autres pays. Une certaine transparence existe déjà, même si elle est très inégale. En revanche nos voisins Européens sont réputés être plus transparents. Une société de gestion Une transparence serait bénéfique à la fois en termes de résultats mais surtout sur les objectifs qu’ils se fixent. Cette transparence sur leurs objectifs permettraient un dialogue plus enrichissant entre leurs prestataires de gestion et eux. Aujourd’hui, ces objectifs ne sont pas toujours très clairs. Dans d’autres pays ou sur des régimes particuliers comme les passifs sociaux, ces objectifs peuvent illustrés par un taux de financement cible à un horizon donné. Aujourd’hui, parmi les investisseurs qui ne disposent pas d’un passif défini notamment dans le domaine de la retraite complémentaire, peu d’investisseurs annoncent leurs réels objectifs. Des objectifs clairs et affichés permettraient une responsabilisation des gérants financiers et un réel alignement d’intérêts. Une autre société de gestion
Au fil des années, l'Union Mutualiste Retraite en est venue à déléguer l'essentiel de sa gestion financière. Philippe Rey, son directeur des investissements nous explique les raisons de ce choix. La délégation s'accompagne toujours d'une implication quotidienne forte de l'UMR dans les décisions de chaque maison de gestion.
Dans le cadre de sa stratégie globale de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE), BNP Paribas Cardif poursuit sa démarche de progrès en matière d’investissement responsable pour le compte de ses clients. Dès septembre 2007, BNP Paribas Cardif faisait procéder à l’analyse de son fonds en euros par Vigeo au regard des six domaines extra-financiers suivants : environnement, ressources humaines, droits humains, gouvernance d’entreprise, engagement sociétal et comportement sur les marchés. En 2008, l’engagement a été pris d’intégrer ces critères aux décisions d’investissements. « Fidèle à sa logique Best in class pour les parties en actions et obligations d’entreprises de son fonds en euros, à perspectives de rendement équivalentes, BNP Paribas Cardif continue de privilégier à l’investissement les sociétés les mieux notées par les agences de notation extra-financière. Pour les obligations d’Etat, nous favorisons les pays qui ont ratifié les principaux traités internationaux, garantissant notamment le respect des droits humains et du droit du travail. L’investissement responsable permet de garantir une complémentarité entre investissement de long terme et développement durable, sans impacter la performance financière des assurés », précise Olivier Héreil, responsable des Gestions d’Actifs chez BNP Paribas Cardif. A fin 2012, 40% du fonds en euros de la compagnie, soit plus de 35 milliards d’euros, répondent aux critères de l’investissement responsable. BNP Paribas Cardif gère en direct 88 milliards d’euros d’actifs. Ainsi, l’entreprise dispose d’un important levier pour exercer sa responsabilité sociétale et faire bénéficier de sa politique d’investissement responsable près d'1,7 million de clients au travers de son fonds en euros. Dès 2008, 86% des clients de BNP Paribas Cardif validaient la démarche de l’entreprise d’augmenter la part en investissements responsables de son fonds en euros, tout en conservant la performance financière des contrats. Pour les clients qui souhaitent aller plus loin dans leurs investissements en matière de critères ESG, BNP Paribas Cardif a également créé trois unités de compte thématiques dans les domaines de l’eau, des énergies renouvelables et de l’insertion sociale. Aujourd’hui, sur l’encours global en unités de compte proposées dans les contrats d’assurance vie, 554 millions d’euros sont gérés selon les critères de l’investissement responsable. Enfin, en 2012, BNP Paribas Cardif a initié le déploiement à l’international de sa démarche d’investisseur responsable en appliquant les mêmes critères à la gestion des actifs de sa filiale néerlandaise. « Notre démarche de progrès en matière d’investissement responsable est volontariste et s’inscrit sur le long terme. La notation du fonds en euros par Vigeo, point de départ de notre action en la matière, a permis d’intégrer durablement les critères ESG dans la politique d’investissements de BNP Paribas Cardif. L’ambition de la compagnie est d’associer ces critères à l’ensemble de ses décisions d’investissements, dans la perspective d’obtenir un fonds en euros intégrant systématiquement les critères ESG, tout en poursuivant l’objectif permanent d’amélioration de la performance financière de l’entreprise, dans l’intérêt de nos clients », indique Marc Tentillier, responsable Développement Durable chez BNP Paribas Cardif. La démarche de BNP Paribas Cardif s’inscrit dans la volonté du groupe BNP Paribas de proposer à ses clients des produits et services responsables et notamment, en matière de produits d'épargne, d’intégrer des critères ESG à l’ensemble de ses gestions collectives.