La comptabilité de la gestion financière des institutionnels peut être organisée de multiples façons, selon la taille de l'investisseur, sa philosophie, l'importance qu'il accorde à cet aspect du métier. L'éditeur de logiciels SimCorp est en mesure d'intervenir quel que soit le choix de son client. Bernard Fripiat, Vice-Président Market Support de SimCorp Western Europe, évoque l'avenir du marché de l'externalisation, et met l'accent sur les points essentiels à ses yeux : tenue de position centralisée cross actifs, suivi et adaptation réglementaire.
A l'occasion du lancement du livre blanc pour une économie sociale et solidaire(ESS), qui s'est déroulé ce lundi au Conseil économique, social et environnemental, Pierre Valentin, directeur général délégué du Crédit Coopératif, a proposé des pistes de réflexions lors de la table-ronde Pour une finance au service de l'ESS. Un axe majeur : la rénovation du titre associatif.
Descriptif / Missions du poste Au sein du département Consolidation IFRS (15 collaborateurs), vous aurez en charge les missions suivantes : Etablir les reportings OPCVM en normes IFRS mensuels et trimestriels des placements d’assurance, Mener des analyses sur les comptes consolidés, Participer à la définition et au suivi des différents contrôles dans un environnement règlementaire ; obligations ICOFR, Solvency II, Bâle II, et du contrôle interne (formaliser les contrôles et spécifier les justifications), Vous développez les outils et procédures afin de garantir l’amélioration et la fiabilité de nos processus de reporting, de contrôle interne et d'évolution de notre système d’information financier. Vous serez également amené(e) à participer à des projets transverses, notamment dans le cadre du déploiement de l’outil SAP. Dans un environnement en pleine mutation, vous devez faire preuve de dynamisme et d’esprit d'équipe. Profil / Compétences De formation Bac+5, Ecole de commerce option finance & comptabilité ou d’une formation supérieure comptable (CCA, DSCG...) vous justifiez d’une expérience confirmée de 3/4 ans en cabinet d’audit OPCVM, ou en entreprise dans le secteur de l’assurance. La connaissance des normes IFRS serait un plus. Esprit d'équipe, adaptabilité, curiosité sont des qualités nécessaires à la réussite dans ce poste. La maîtrise de l’anglais professionnel est impérative. Référence AZFR-2252462-2 Allianz - Région Ile de France - Paris Pour postuler : cliquez ici
P { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with the Börsen-Zeitung, Vincent Strauss, chairman of Comgest, expresses a wish that the asset management firm he leads be considered a luxury brand, and that it be likened to a Hermes. Portfolios include only a few pearls, with strong brands or patents.Germany and Austria are the largest foreign market for Comgest, whose assets have increased from EUR15.7bn at the end of March 2012 to EUR16.3bn one year later.
Julien Tizot, responsable de la gestion alternative chez Agicam (groupe AG2R La Mondiale) dans un article publié par l’Agefi Hebdo : « La gestion alternative nous permet d’améliorer le couple rendement / risque de nos portefeuilles et leur diversification au travers d’instruments et de stratégies décorrélées des classes d’actifs traditionnelles. Autre avantage : ces gérants nous apportent des données macro et microéconomiques ou sur les flux de marchés que nous pouvons utiliser dans nos autres stratégies plus traditionnelles. Aujourd’hui, l’alternatif représente 300 millions d’euros de nos portefeuilles assurantiels et retraite, moins de 1 % de nos actifs. Nous investissons au travers de deux fonds de fonds diversifiés sous format UCITS, que nous gérons directement. Et au travers de deux autres fonds de fonds, dont la gestion est déléguée sur des stratégies plus complexes. Ces fonds sont sous format ARIA 3, donc dans le spectre de la directive AIFM. La directive AIFM répond aux demandes exprimées par les investisseurs finaux en termes de transparence, reporting ou de sécurité et par les gérants en termes de politique d’investissement. Jusqu'à présent, pour être dans un cadre régulé, il fallait investir dans des fonds UCITS. Problème : si cette enveloppe offre une certaine sécurité, beaucoup de stratégies, notamment les moins liquides, ne sont pas transposables et ne répondent pas non plus à certaines attentes d’investisseurs institutionnels. Avec AIFM, nous disposons désormais d’un cadre réglementaire aussi sécurisé, voire mieux, que les UCITS, notamment en ce qui concerne les obligations du dépositaire, et d’un dispositif permettant aux gestionnaires alternatifs d’exprimer pleinement leurs convictions et leurs stratégies. Cela devrait être positif pour une industrie parfois décriée mais qui offre de réels avantages en termes de performance, préservation du capital ou d réduction de la volatilité. Seule question : quels gérants joueront le jeu et demanderont des agréments AIFM ? »
Dans un communiqué publié le 26 juillet, JPMorgan Chase annonce qu’après une étude interne il a été décidé d’explorer les options stratégiques qui s’offrent pour son pôle d’actifs matières premières et les activités de négoce physique y afférentes. Cela peut passer par une vente, un essaimage ou un partenariat stratégique, comme ce pourrait être le cas pour Goldman Sachs et Morgan Stanley, qui ont également mis leurs activités correspondantes sur la liste des désinvestissements.L’annonce intervient alors que JPMorgan a été accusé par la Commission de régulation de l’énergie (FERC) d’avoir manipulé le marché de l’énergie en Californie et dans le Midwest. Une composition administrative sur la base de 410 millions de dollars serait d’ailleurs actuellement en négociation pour ce dossier, d’après The Wall Street Journal du 27 juillet.
Activité de CNP Assurances au 1er semestre 2013 En normes IFRS et à change courant, le chiffre d’affaires s'établit à 14,0 Md€, en hausse de 5,6 %. La collecte nette* du Groupe est positive et atteint 624 M€ sur le 1er semestre 2013. Le chiffre d’affaires IFRS en France s’inscrit en retrait de 3,8 %, baisse concentrée sur le segment épargne euro, dont la collecte nette* est de ce fait négative (- 1 064 M€) sur le semestre. Confirmant la tendance observée au 1er trimestre, l’activité UC est en progression de 15,6 %, portée notamment par La Banque Postale. La collecte nette* en UC est de ce fait positive (+ 186 M€). L’activité prévoyance/protection (prévoyance, santé et assurance emprunteur) progresse de 2,2 %, portée notamment par le réseau des Caisses d’Epargne et par l’assurance emprunteur. La croissance de l’activité en Amérique latine atteint + 22,0 % (+ 32,2 % à change constant) à 1,6 Md€ grâce à la bonne dynamique des activités retraite et assurance emprunteur au Brésil. L’activité UC est en hausse de 50,5 % par rapport au 1er semestre 2012 sur la zone. En Europe hors France, le chiffre d’affaires prend en compte la conclusion d’un contrat de retraite collective pour 420 M€. Hors ce nouveau contrat, le chiffre d’affaires Europe hors France augmente de 37,8 %, en raison de la reprise de l’activité en Italie après un 1er semestre 2012 historiquement faible et de la progression de l’activité UC sur l’ensemble de la zone (+ 64,2 %). Le taux de marge sur affaires nouvelles passe de 11,6 % en 2012 à 15,8 % sur le 1er semestre 2013, notamment en raison de l’amélioration sensible du mix produits en France. Cette amélioration, combinée à la croissance des volumes en Amérique latine, explique la forte croissance de la valeur annualisée des affaires nouvelles (+ 51 %) par rapport à 2012. Dans ce contexte, les encours moyens poursuivent leur progression pour atteindre 296,9 Md€ (+ 2,3 %). Résultat du 1er semestre 2013 Les revenus augmentent de 3,5 % à 1 596 M€ sur le 1er semestre 2013. Le produit net d’assurance (PNA) s'établit à 1 178 M€ sur le 1er semestre 2013, en progression de 2,9 % par rapport à la même période de 2012. En France, la progression de 2,4 % s’explique par l’'amélioration du mix produits et la hausse des encours. En Amérique latine, la croissance du PNA de 12,6 % (+ 22,0 % à change constant) continue de suivre la dynamique de l’activité à haut niveau de marge. Le PNA Europe hors France est en retrait de 27,6 %, pénalisé notamment par la baisse des encours et de l’activité assurance emprunteur en Europe du Sud. Les revenus du compte propre augmentent de 5,2 % à 419 M€. La maîtrise des coûts se confirme. Ils s'élèvent à 445 M€ (+ 0,8 %), stables sur la France et en hausse de 3 % en Amérique latine (+ 12 % à change constant), en lien avec le développement commercial de la filiale brésilienne. Le coefficient d’exploitation (coûts/PNA) du Groupe s’améliore sur la période (37,8 % vs 38,6 %). Le RBE Groupe progresse de 4,6 % à 1 152 M€ sous l’impulsion de l’Amérique latine (+ 15,3 %), et dans une moindre mesure de la France (+ 2,0 %). L’Europe hors France est en forte diminution (- 41,4 %). La politique d’investissement reste caractérisée par une gestion prudente et par des choix innovants dans un environnement de taux d’intérêt bas : participation au FSP (Fonds stratégique de participation) et au fonds obligations PME-ETI, financement d’infrastructures. Les éléments financiers et exceptionnels s'établissent à 54 M€ et intègrent la dépréciation de 50 M€ de la valeur de la filiale à Chypre, déjà provisionnée sur le 1er trimestre 2013. Le RNPG ressort à 583 M€ en hausse de 7,9 %. Les capitaux propres (hors intérêts minoritaires) ont augmenté de 258 M€ à 14 405 M€ sur le 1er semestre 2013 soit une hausse de 1,8 %. La valeur de la MCEV® est en hausse de 6,8 % au 30 juin 2013 à 14 734 M€ soit 21,5 €/action. Cette progression est liée à la fois à la hausse de la valeur d’In-Force (VIF) de 17 % et à celle de l’actif net réévalué (ANR) de 4 %. Le taux de couverture Solvabilité 1 s'élève à 266 % ; hors plus-values latentes, il est stable à 116 %.
Le gestionnaire alternatif SAC Capital Advisors fait désormais l’objet d’une plainte au pénal, le Parquet lui reprochant d’avoir été dans l’affaire des délits d’initiés comme un aimant qui attire les tricheurs du marché («a magnet for market cheaters»), rapporte The Wall Street Journal. Dans la plainte au civil qui a été déposée parallèlement, le gouvernement indique que son objectif est de récupérer la totalité des actifs de la société (ceux de Steve A. Cohen et des salariés de SAC), qu’il estime à 10 milliards de dollars sur les 14 milliards d’encours totaux, selon les proches du dossier.Cette démarche audacieuse intervient alors que le Parquet a établi qu’il ne dispose pas de preuves suffisantes pour mettre en cause personnellement Steve A. Cohen, le fondateur et CEO de SAC.L’U.S. Attorney Preet Bharara a precisé que l’Etat ne gèle aucun avoir et a refusé de commenter le montant que les autorités cherchent à récupérer.
Entre l’avant-projet dévoilé en mai dernier et la première mouture dévoilée en Conseil des ministres, les lignes n’ont pas bougé. Pour la première fois, un texte de loi définit les contours de l'économie sociale et solidaire et de ses acteurs : mutuelles, coopératives et associations. « L’ESS a été trop souvent maltraitée, ignorée, caricaturée depuis des années par les pouvoirs publics », a souligné Benoît Hamon au cours d’une visite dans une société coopérative et participative (Scop) parisienne. Et d’ajouter : « Qui peut désormais faire l’impasse d’un secteur qui pèse aujourd’hui 10% du PIB de la France et 10% des emplois ? [ndlr : 2,35 millions de salariés] » Une reconnaissance de fait Sur ce point, le texte, qui devrait être soumis au Sénat en octobre prochain, structure l’ESS autour de trois principes généraux : un but social autre que le seul partage des bénéfices, une lucrativité encadrée, une gouvernance démocratique. En conséquence de quoi, la future loi adoptera une approche dite inclusive pour reconnaître les acteurs historiques, afin de tenir compte de cette « réalité en mouvement ». Concrètement, aucune procédure particulière ne sera requise par la coopérative, la mutuelle ou l’association pour obtenir le précieux qualificatif « d’entreprise sociale et solidaire ». La création des certificats mutualistes Au-delà d’une définition légale des bornes de l’ESS, cette reconnaissance est censée donner accès aux acteurs à des financements dont elles manquent parfois cruellement. Parmi ces outils, la possibilité pour les mutuelles (de santé, d’assurance ou société d’assurance mutuelle) de recourir aux certificats mutualistes, ces titres perpétuels à mi-chemin entre actions et obligations destinés à renforcer leurs capitaux. « Ils permettront aux mutuelles de pouvoir lever des fonds propres indispensables à la réalisation d’investissements sans que cela ne compromette le principe de la gouvernance démocratique », a précisé le ministre chargé de l'économie sociale et solidaire. Dans la version actuelle du texte, ces certificats mutualistes ou paritaires « élaborés en concertation étroite avec le Gema, la FNMF et des mutuelles comme Groupama », ne donneront lieu ni à un droit de vote ni à un droit sur l’actif de l’organisme mutualiste. La rémunération variable sera décidée par l’assemblée générale et plafonnée pour les titulaires de ces titres. Quant à leur souscription, elle se limitera aux sociétaires, adhérents ou clients de l'émetteur. La coassurance facilitée en santé collective Alors que la généralisation de la complémentaire santé issue de l’ANI pourrait inciter à un recours plus large à la coassurance - partage d’un même risque entre plusieurs sociétés d’assurances -, le texte de loi prévoit d’en faciliter l’accès. Les acteurs de tous statuts (institution de prévoyance, mutuelle santé 45, mutuelles d’assurances...) pourront désormais se regrouper dans le cadre des contrats collectifs de complémentaire santé. D’autant que la part de ces contrats collectifs dans le marché de l’assurance complémentaire santé, évaluée à 40% sur un total de 32 Md€ en 2012, devrait s’accroître dans les deux ans à venir. Une nouvelle union mutualiste Autre disposition phare du projet de loi pour les mutuelles, la création, au plan juridique et institutionnel, d’une nouvelle union mutualiste destinée à permettre une meilleure structuration des activités sanitaires (centre de soins), sociales (centre d’accueil pour personnes handicapées, crèches...) et culturelles relevant du livre III du code de la mutualité. Benoît Hamon estime d’ailleurs qu’une « dizaine d’unions au minimum pourraient être envisagées avec cette forme juridique. »
Roubesh Adaya Le cabinet de conseil en services financiers bfinance annonce l’arrivée de Roubesh Adaya, spécialiste des marchés obligataires, au sein de son équipe de recherche en gestion d’actifs située à Londres. En qualité de senior associate, Roubesh Adaya sera responsable de l’analyse des supports d’investissement obligataires cotés. Après un début de carrière chez ABN AMRO Asset Management, puis Fortis Investment, où il couvrait en qualité d’associate une gamme étendue d’actifs obligataires, Roubesh Adaya a travaillé trois ans chez Fisher Frances Trees & Watts, en tant que spécialiste des investissements en produits de taux globaux. Il y a développé une expertise sur une large gamme de placements, au-delà des emprunts obligataires classiques, notamment les investissements en stratégie de performance absolue, en titres indexés sur l’inflation ou encore en investissements sur indices optimisés (smart beta). Juste avant de rejoindre bfinance, Roubesh Adaya était en charge des investissements obligataires de la zone Euro au sein du département taux de BNP Paribas Asset Management. Roubesh est titulaire d’un Bachelor of Science (Comptabilité & Finance)de la Warwick Business School (Royaume-Uni).
Marie Grison, 42 ans, rejoindra le 2 septembre prochain CNP Assurances en qualité de directrice des risques groupe, et membre du comité exécutif. Elle rapportera au directeur général, Frédéric Lavenir. Marie Grison était depuis 2010 responsable du département des risques consolidés de Natixis, après avoir exercé différentes responsabilités à partir de 2006 au sein de la direction des risques de la banque. Diplômée de HEC, elle a débuté sa carrière à l’Inspection générale du Crédit Lyonnais, avant de poursuivre dans le domaine des marchés de capitaux, en front office et en risk management.
Le débat actuel sur les retraites apparaît aux agents de la Fonction Publique comme incomplet et injuste. Les fonctionnaires ne sont pas des privilégiés.
Suite à l’annonce, le 10 juillet dernier, du lancement par la Commission européenne d’une étude d’impact sur l’opportunité d’un statut de mutuelle européenne, la Mutualité française (FNMF) se mobilise pour l’adoption d’un projet de loi en ce sens avant mai 2014. Soit juste avant les prochaines échéances électorales. Enthousiaste et prudente à la fois. La FNMF poursuit ses efforts en faveur de la reconnaissance du statut de mutuelle européenne après le pas en avant de l’exécutif européen le 10 juillet dernier. Et pour cause : Diego Canga Fano, le chef de cabinet du vice-président de la Commission européenne Antonio Tajani a annoncé le lancement d’une étude d’impact sur la question, ultime étape avant la rédaction d’un texte de loi. Concrètement, cette étape technique obligatoire doit permettre de limiter ou de compenser les effets négatifs d’une décision. Lire la suite : cliquez ici
Novethic, centre de recherche spécialiste de l’investissement responsable et de la RSE, publie une version actualisée de son panorama des agences de notation extra-financière. Nouveaux acteurs, nouveaux services proposés...Le paysage de la notation sociale et environnementale évolue rapidement. Novethic fait le point en catégorisant les agences analysées : locales ou internationales, généralistes ou spécialisées, etc. Le panorama permet également une comparaison des méthodologies employées, des types de services offerts ou encore des univers d’investissement couverts par ces fournisseurs d’informations qui s’adressent aux investisseurs. La notation à la demande des entreprises n’est pas intégrée au guide. Cliquer ici pour télécharger le panorama complet
« Cette année, je vais continuer à travailler sur Solvabilité II et plus particulièrement sur les piliers II et III. », déclare Mireille Bonnal qui pilote ce projet au sein de la Mutuelle des Motards. Mais, bien entendu, ce n'est pas la seule responsabilité de la Responsable Finances. Elle effectue aussi le suivi de la gestion d'actifs. « Je travaille essentiellement avec OFI Mandats pour la gestion de notre portefeuille, précise-t-elle.
Le résultat net se monte à 36M d’euros pour un CA à 2.9Mds d’euros. Après un an et demi d’existence, le groupe Istya (MGEN, MNT, MGET, MCDEF, MAEE et MGEFI) vient de présenter ses résultats 2012. Le chiffre d’affaires s'élève à 2,9Mds d’euros, alors que le résultat net est à 36M d’euros, soit 1,26% du CA. Un petit résultat qui est, à en croire le communiqué de presse du groupe, conforme aux attentes. Istya annonce couvrir 5,1 millions de personnes dont 613.387 assurés sociaux et 4,5 millions de mutualistes. Le premier groupe mutualiste français a encaissé 2,624M d’euros de cotisations. Le groupe MGEN a généré un CA de 2040M d’euros, MNT 594M d’euros, MGET 158M d’euros, MCDEF 80M d’euros et MAEE 19M d’euros. MGEFI ayant rejoint Istya au 1er janvier 2013, ses résultats 2012 n’ont pas été intégrés à ceux du groupe. Le premier exercice a été consacré à la mise en oeuvre des premières synergies entre mutuelles. Les mutuelles affiliées ont harmonisé leurs méthodes comptables afin de pouvoir produire des comptes combinés. Un pôle actuariat Groupe commun a été constitué pour piloter et gérer les risques de manière centralisée, notamment dans la perspective de Solvabilité II et pour soutenir le développement dans des secteurs tels que l’assurance collective. Les premières coopérations en matière d’achats ont également été menées. Les mutuelles affiliées ont su s’accorder pleinement sur leur projet politique et économique commun, leur mode de coopération et l’ampleur des rapprochements opérationnels. Sur cette base, deux mutuelles ont souhaité rejoindre le Groupe : la MCDef (depuis le 1er janvier 2012) et la MGEFI (depuis le 1er janvier 2013). La MNH a, en revanche, préféré en sortir fin 2012. Le groupe Istya s’appuie sur un modèle économique solide et la cohésion de sa gouvernance, qui garantissent la pérennité de l’union et la qualité des relations entre mutuelles affiliées. L’année 2013 voit l’arrivée des premières réalisations significatives. Depuis le début de l’année, le Groupe apparaît en tant que marque auprès du grand public au travers des réseaux de soins conventionnés « Optistya » (optique) et « Audistya » (audioprothèse). Ces deux réseaux, construits par le groupe MGEN, ont été ouverts le 1er janvier 2013 aux adhérents des autres mutuelles.
P { margin-bottom: 0.08in; }A:link { } In an interview with Handelszeitung, Martin Gut, country manager for Switzerland, has announced that BlackRock may soon offer its own financial products on the Swiss market, where it presently has only a firm dedicated purely to distribution. Efforts to create a locally-registered asset management firm may commence in the near future.Currently, BlackRock manages a sum in the low hundreds of millions of francs in Switzerland, where it has about 75 employees, 60 of them in Zurich.
Dans une interview au Handelszeitung, Martin Gut, country manager pour la Suisse, indique que BlackRock pourrait bientôt proposer ses propres produits financiers sur le marché helvétique, où il n’a pour l’instant qu’une société purement dédiée à la distribution. Les travaux en vue de la création d’une société de gestion de droit local pourraient commencer dans un proche avenir.Actuellement, BlackRock gère un faible montant à trois chiffres en milliards de francs en Suisse, où il emploie environ 75 personnes, dont 60 à Zurich.
Le successeur de Karel Van Hulle porte un nouveau regard sur les dossiers concernant l’assurance et les retraites professionnelles à Bruxelles. Dans ce dédale de bureaux et de drapeaux étoilés qu’est la Commission européenne, on peut craindre d'être confronté à l’ennui qui règne dans certaines administrations. Pourtant, il n’en est rien et Klaus Wiedner, le nouveau Monsieur Assurance, est plutôt au coeur d’une véritable effervescence. Il se rend d’un bureau à l’autre, d’un mathématicien à un diplomate, prend l’avis des uns, écoute l’analyse des autres. La décontraction est réelle chez ce gros travailleur, qui essaie « de ne pas revenir au bureau le week-end », tout en emmenant ses dossiers dans sa maison, à quelques kilomètres, au vert. L’??il neuf du généraliste Du reste, son emploi du temps est bien chargé. Prenant la suite de Karel Van Hulle, il a été nommé en mars 2013 comme chef d’unité à la direction générale du Marché intérieur et des Services. Il est maintenant chargé de l’assurance et des pensions. Avec deux gros dossiers au programme : Solvabilité 2 et les retraites professionnelles financées ou cofinancées par l’employeur. Le premier mobilise d’autant plus les différents acteurs que les élections européennes approchent. « L’idéal serait de boucler le dossier bientôt, sinon, qui sait ce qu’il en resterait à l’avenir ? Rien n’est prévisible. Et puis, il y a aussi une question de crédibilité vis-à-vis de l’international. Comment diffuser ce modèle si nous-même ne l’appliquons pas encore ? », prévient Klaus Wiedner. D’ailleurs, le dossier serait classé dans les priorités de la présidence lituanienne. Et l'étude de l’Eiopa publiée fin juin semble constituer une nouvelle base pour avancer. Pour aborder la question Solvabilité 2, Klaus Wiedner estime que son parcours juridique est un atout. Et sur un dossier qui dure depuis plusieurs années, son oeil neuf aussi. « J’essaie d’avoir un regard nouveau. J’aborde le dossier du point de vue d’un généraliste et non d’un spécialiste, avec beaucoup de pragmatisme. » Une façon de dire que sa nomination est une rupture dans ce long processus qu’est Solvabilité 2, une façon aussi de le relancer. À son précédent poste, il a animé la réforme générale des règles européennes sur les marchés publics. Face à lui, des acteurs très divers, comme des ONG, des entreprises, des pouvoirs publics. « Cette fois, c’est une question de régulation, qui mêle industrie et superviseur », précise-t-il. En contact régulier avec un secteur financier très puissant, il aime dénouer les situations complexes, inévitables, pour mener à la solution. L’harmonie du compromis Profondément Européen, il avoue ne pas penser « en Autrichien », mais bel et bien pour l’harmonie des États membres. Et même s’il est fan de ses montagnes, on le croit volontiers artisan du compromis à vingt-sept. D’autant qu’il maîtrise le français aussi bien que l’anglais et l’italien. Un virus qu’il a transmis à son fils de six ans, devenu trilingue depuis qu’il est inscrit à l'école anglaise. À Bruxelles depuis vingt ans, Klaus Wiedner voit son travail actuel comme un chemin entre la technique et la politique, qui doit finalement permettre d’engager le débat. « Mon rôle est celui d’un faciliteur », afin que l’Europe vienne apporter « une réelle plus-value par rapport aux initiatives nationales ». Il trouve à la Commission européenne un environnement stimulant. « Chaque jour, je découvre des choses », s’amuse-t-il. On ne semble définitivement pas s’ennuyer sous les drapeaux européens. Lire la suite : cliquez ici
Réorganisation, obsolescence du logiciel utilisé, fusion... nombreux sont les événements qui peuvent inciter un institutionnel à externaliser la comptabilité de sa gestion financière. Lentement mais sûrement, les prestataires de services spécialisés se développent. Philippe Bigeard, responsable commercial de la clientèle institutionnelle française de CACEIS, nous a fait part de sa vision de l'évolution du marché, et des avantages qu'il voit à l'externalisation.
Pierre Moscovici a annoncé le 10 juillet dernier que les compagnies d’assurance pourront prêter jusqu'à 5% de leurs bilans aux entreprises, sous forme de crédits à moyen terme d’une durée de 5 à 7 ans. Cela pourrait canaliser environ 90 milliards d’euros vers les PME et les ETI. Alors que la récession ne finit pas de détruire des emplois et d’exacerber les problèmes de mal logement, Finansol propose de renforcer l’ambition du dispositif annoncé par le Ministre de l’Economie en consacrant, dans la loi, le principe du financement par les compagnies d’assurances des entreprises solidaires. Les investisseurs institutionnels ont un rôle majeur à jouer dans le développement des activités économiques à forte utilité sociale exercées sur les territoires en faveur des personnes en situation de précarité. Finansol se félicite de cette évolution du code des assurances qui fait écho au récent lancement du premier contrat d’assurance-vie d’investissement solidaire proposé par un grand groupe de bancassurance. « Aujourd’hui ce sont les assureurs qui ont la possibilité de participer au développement des entreprises solidaires qui se distinguent par l’intérêt collectif de leurs activités. Cet élan national en faveur des PME est une occasion unique de favoriser une économie au service des territoires et de la cohésion sociale », précise Frédéric Tiberghien, président de Finansol.
A l’occasion de son assemblée générale qui s’est tenue du 8 au 10 juillet à La Rochelle, les 500 délégués réunis ont approuvé une évolution du pilotage du groupe MGEN ainsi que la création de fonctions de vice-présidents. Ces derniers officieront en lien direct avec le comité de direction afin de renforcer les liens entre les structures militantes et salariées. Ont ainsi été élu (ou réélu) au conseil d’administration : Thierry Beaudet, président du groupe MGEN. Roland Berthilier, vice-président Fabrice Henry, vice-président délégué au mouvement, à la vie mutualiste et au modèle mutualiste Alain Hernandez, vice-président délégué au développement de l’offre Assurance-maladie et mutualiste Eric Chenu, vice-président délégué au développement de l’offre sanitaire, médico-sociale et sociale.
Confrontés à la persistance de faibles taux d’intérêt et à de nouvelles contraintes réglementaires, les assureurs européens vont être enclins à faire évoluer leur allocation d’actifs au profit de nouvelles classes moins liquides, comme les prêts d’entreprises privées ou l’immobilier, avance Moody’s dans une nouvelle étude. D’ici 12 à 18 mois, si la structure de Solvabilité 2 reste à l’identique, près du quart de l’allocation pourrait ainsi être composé d’immobilier et de prêts directs ou hypothécaires, contre moins de 10% aujourd’hui. Moody’s précise qu’une telle évolution serait alors sans conséquence sur les notations, les assureurs européens disposant d’importants réservoirs d’actifs liquides. Lire la suite : cliquez ici