La création de cette association s’inscrit clairement dans le calendrier de l’Union européenne puisqu’elle intervient au lendemain du Conseil européen qui a examiné les 27 et 28 juin la mise en oeuvre du Pacte sur la croissance et l’emploi décidé voilà un an par les Chefs d’Etat et de Gouvernement, et alors que la Commission européenne analyse actuellement les nombreuses contributions reçues des parties prenantes dans le cadre du Livre vert sur le financement de long terme de l'économie européenne dont la consultation s’est achevée le 25 juin. Association internationale sans but lucratif, l’ELTI sera officiellement inscrite au registre de transparence des institutions européennes et ainsi clairement identifiée comme l’interlocuteur d’influence dans le débat européen sur l’investissement de long terme. En étroite collaboration avec la plateforme globale du Club des Investisseurs de Long Terme (LTIC), l’ELTI développera le même agenda au niveau de l’Union européenne. L’ELTI dont le total des bilans représente 1 500 milliards d’euros, se mobilisera pleinement pour la promotion de l’investissement de long terme, en étroite convergence avec les objectifs et initiatives développés par l’Union européenne pour soutenir la croissance durable et la création d’emplois. Pour ce faire, l’ELTI assurera la représentation des intérêts communs de ses membres auprès des institutions communautaires, l'échange d’expériences et d’informations, le développement de synergies opérationnelles entre ses membres et la promotion de la recherche académique. Tout en respectant leur liberté d’expression distincte, l’ELTI entend également assumer le rôle de porte-parole de ses membres auprès des institutions et organes de l’UE en particulier dans le cadre de la mise en place, dès la prochaine période de programmation financière (2014-2020), d’instruments financiers innovants pour attirer les capitaux vers les projets d’investissement dans l’infrastructure, les PME, l’innovation et l'énergie. L’ELTI a l’ambition de réunir au moins un membre par Etat Membre de l’UE et est ouverte à l’association de toutes les institutions financières de l’UE et des pays candidats assumant des financements à horizon long répondant aux conditions fixées dans ses statuts. Son siège est établi à Bruxelles, 37 Square de Meeûs (Belgique). Les membres fondateurs de l’ELTI (entre parenthèses, le montant des actifs 2012) : Bulgarie : Bulgarian Development Bank «BDB» (0,85 Md€) Croatie : Hrvatska banka za obnovu i razvitak «HBOR» (3,4 Md€) Espagne : Instituto de Crédito Oficial «ICO» (115 Md€) France : Caisse des Dépôts (287 Md€) Grèce : National Bank of Greece «NBG» (140 Md€) Hongrie : MFB Hungarian Development Bank «MFB» (4,7 Md€) Italie : Cassa Depositi e Prestiti «CDP» (305 Md€) Lettonie : Mortgage and Land Bank of Latvia «Mortgage Bank» (0,97 Md€) Malte : Bank of Valletta «BOV» (7 Md€) Pologne : Bank Gospodarstwa Krajowego «BGK» (11,5 Md€) Portugal: Banco BPI («BPI)« (€ 43 bn) République tchèque : Ceskomoravska zarucni a rozvojova banka «CMZRB» (4,4 Md€) Slovénie : Slovenska izvozna in razvojna banka «SID» (4,1 Md€) Suède : Swedish Export Credit Corporation AB Svensk Exportkredit «SEK» (36 Md€) Turquie: Turkije Sinai Kalkinma Bankasi A.S. «TSKB» (4,3 Md€) Institution multilatérale : Banque européenne d’investissement (BEI) (508 Md€)
19 %. Tel est, selon Immostat-IPD, le recul des transactions en un an constaté au 1er semestre 2013 commercialisés sur le marché des bureaux franciliens en l’espace d’un an. La chute concerne à la fois les petites surfaces inférieures à 500 m² (- 21 %) que les grandes surfaces de plus de 10 000 m² (- 48 %), indique un communiqué. La faiblesse des opérations en compte propre et clé en main explique en grande partie cette tendance, qui avait porté le marché des grandes surfaces en 2011 et 2012. À l’inverse, on note une bonne résistance des moyennes surfaces et une augmentation significative du volume commercialisé sur le créneau 5 000 - 10 000 m² (+ 38 %) avec notamment l’extension de BNP Paribas à Pantin sur 7 000 m². Cela étant, le volume global de transactions du 1er semestre reste nettement en deçà de sa moyenne de longue période qui s'établit à 1 111 000 m². De son côté, l’offre à un an a légèrement progressé depuis le début de l’année (+ 2 %) pour atteindre 4,8 millions de m². Ces chiffres sont à mettre en perspective avec la croissance économique prévue en repli (- 0,4 %) ainsi que la dégradation du marché de l’emploi francilien (- 25 000 postes attendus).Sur l’ensemble de l’année 2013, le recul du volume des transactions est attendu autour de 1,8 million de m², ajoute Immostat-IPD. Par ailleurs, en termes de rendements, les actifs core affichent une orientation baissière des taux prime depuis plusieurs trimestres. À l’inverse, pour les actifs dits secondaires, une tension sur les taux est observée, les investisseurs tenant à préserver une prime de risque significative.
Patricia Lavocat Gonnzales succède à Daniel Gaboriau au poste de Directrice générale de la caisse régionale Groupama Nord Est. Patricia Lavocat Gonzales a pris ses nouvelles fonctions à la tête de Groupama Nord Est le 1er juillet. Agée de 51, elle est entrée dans le groupe en 1983 et y a fait toute sa carrière. Après avoir exercé des responsabilités dans le domaine des sinistres, elle a travaillé au rapprochement des trois caisses régionales qui forment maintenant Groupama Grand Est, dont elle était la Directrice générale déléguée depuis 2010. Patricia Lavocat Gonzales est titulaire d’une maîtrise de droit privé et diplômée de la formation supérieure des managers Groupama.
James Dilworth, CEO of Allianz Global Investors Europe, has said in an interview that the firm is not interested in acquisitions. However, it would like to recruit talent, particularly in high yield and emerging market debt. The exec, who does not see ETFs as rivals, also reaffirms the positioning of AllianzGI, which as of the end of March had EUR316bn as an active asset management firm.
P { margin-bottom: 0.08in; } Competition is intensifying on the market for ETFs and other ETPs, the Frankfurter Allgemeine Zeitung reports. Matthieu Mouly, head of institutional distribution at Lyxor, says in an interview that the French promoter is seeking to win market share from db x-trackers and iShares. That is the reason that Lyxor has converted its synthetic ETFs into physical replication products, including all of its European government debt ETFs.But db x-trackers was faster to launch physical replication products itself, offering products in two versions, physical and synthetic.It is useful for Lyxor to react, because since the beginning of the year, assets at iShares and db x-trackers have increased to USD154bn from USD140bn and to USD53bn from USD50.2bn, respectively, while the French operator has fallen to USD40.4bn from USD42.3bn.db x-trackers (Deutsche Bank), for its part, is rationalising its product range, and will liquidate 18 ETFs and 18 ETCs, the latter representing a total of only EUR7m.
Dans une interview donnée à L’Agefi, Bastien Drut, stratégiste chez Amundi note que la tentative d’ancrer les anticipations de taux directeurs très bas pendant «une période prolongée» et le ton plus accommodant que prévu employé par Mario Draghi lors de la conférence de presse indique que les taux européens mettront beaucoup plus de temps à monter que les taux américains.L'écart de taux entre les Etats-Unis et l’Europe va continuer à s'élargir et ce, d’autant que la montée des taux européens, en particulier sur les maturités courtes, n’est pas justifiée, ajoute le stratégiste. «La BCE gardera une politique accommodante pendant plusieurs années», conclut Bastien Drut.
Le 3 juillet dernier, la première organisation de la branche a signé un protocole d’accord, mettant à jour et faisant évoluer le fonds de pension de l’assurance. Pour rappel, ce régime de retraite supplémentaire ne peut plus assurer le minimum garanti (3,5%). Dans ce nouveau texte, les partenaires sociaux envisagent donc de réduire les frais de gestion et de revoir les tables de mortalité. Et surtout, le taux technique servi sera désormais nul. Joint par téléphone, FO indique, en revanche, qu’il ne signera pas ce nouveau texte. Les autres organisations syndicales représentatives (CFE-CGC, CGT, CFTC) ont jusqu’au 12 juillet pour parapher ce protocole d’accord.
Selon les chiffres publiés vendredi par le département du Travail aux Etats-Unis, ce sont 195.000 postes qui ont été créés en juin alors que les économistes anticipaient 165.000 créations. Les chiffres d’avril et mai ont quant à eux été révisés à la hausse, avec un total de 70.000 créations supplémentaires par rapport aux estimations précédentes. Cette amélioration s’inscrit dans la ligne des statistiques livrées en début de semaine par le cabinet ADP qui laissaient entrevoir cette hausse. Elle intervient deux semaines après les déclarations du président de la Fed Ben Bernanke qui a prévenu que le rythme des rachats d’actifs allait commencer à diminuer dans le courant de l’année, peut-être dès septembre. L’embellie a d’ailleurs provoqué une vive tension des taux à 10 ans des Treasuries, qui s'écartaient de 18 points de base à 2,68 % vendredi, entraînant dans leur sillage les taux longs européens.
Le Handelsblatt rapporte que dans une interview la semaine dernière en Suisse, Didier Borowski, le patron de la stratégie et de l’analyse conjoncturelle chez Amundi, a indiqué que le plus gros gestionnaire d’actifs européen, avec près de 1.000 milliards de dollars d’encours, a augmenté sa poche cash au détriment des actions et des obligations à haut rendement parce qu’il s’attend pour l’an prochain à une croissance mondiale plus faible qu’on ne l’escompte généralement. Les fonds diversifiés d’Amundi sont actuellement positionnés à 55 % en cash, car les perspectives économiques dissuadent d’investir dans des actifs plus risqués.Dans un courriel daté du 27 juin et cité par Bloomberg, Alain Pitous, le CIO adjoint d’Amundi, indique que la poche cash des fonds de performance absolue a été doublée le mois dernier à 30 % grâce à la vente d’obligations à haut rendement ainsi que d’actions et obligations des pays émergents.
Dans un environnement contrasté et en pleine mutation, l’année 2012 a été marquée d’abord par la constitution a rythme soutenu du groupe Humanis le 26 janvier 2012. Cela s’est traduit par la naissance d’Humanis Prévoyance issu de la fusion des institutions de prévoyance Aprionis, Novalis Prévoyance, et Vauban Humanis Prévoyance au 1er janvier 2012 et par la création des nouveaux GIE de moyens au 1er janvier 2013. Cette naissance s’est accompagnée de la mise en place du pole mutualiste et de l’accord-cadre IP/Mutuelles, de la création de l’Union de Groupe Mutualiste, de la structuration du Groupement Paritaire de Prévoyance ADEIS et de la reconfiguration stratégique du pole Epargne. L’année 2012 a permis au groupe, malgré le contexte d’une fusion très complexe, d’enregistrer des croissances de : + 2,2 % sur la retraite complémentaire en termes de cotisations, + 6,6 % sur la santé et + 5,9 % sur la prévoyance, pour atteindre un volume d’affaires de 2,8 Mds € à travers les Institutions de prévoyance et les mutuelles, + 35 % en épargne collectée nette (+ 135 M€ pour un total de fonds gérés par le groupe de 13 Mds €). Le groupe Humanis a donc consolidé ses positions de leader, en particulier sur la retraite complémentaire et la santé complémentaire collective. En assurance de personnes, le groupe Humanis a entrepris un travail en profondeur d’identification exhaustive de ses risques, de clarification et d’homogénéisation de ses méthodes et processus et de redressement des comptes du nouvel ensemble fusionné. Cette opération de remise à niveau s’est traduit en 2012 par un résultat net combiné de -103 M€ avec une marge de solvabilité confortable, de 307 %. Le travail engagé se poursuit avec la plus grande énergie en 2013 afin de doter le nouveau groupe des meilleures pratiques en matière de pilotage technique et financier et de contrôle des risques, dans la perspective à la fois de Solvabilité II et de l’entrée en fiscalité des Institutions de Prévoyance La structuration institutionnelle du groupe se poursuit en 2013 avec les projets de fusion suivants, sous réserve des avis des autorités compétentes de Humanis Prévoyance avec la CAPAVES Prévoyance, IP de l'économie sociale, avec la FIRES, et avec la Caisse de Prévoyance du Crédit Lyonnais. Et dans le domaine de l’assurance vie d’Intervie avec Apicil Assurances. D’autre part, le pôle mutualiste du groupe a enregistré le départ de la Mutuelle Familiale et l’arrivée de la Mutuelle de l’Industrie du Pétrole. Enfin le groupe est en cours de concrétisation de deux projets majeurs pour son développement, la fusion de d’InterExpansion et de Fongepar dans le domaine de l'épargne et retraite d’entreprise et son partenariat sur la plate-forme de services santé Itelis. Dans le domaine de la retraite complémentaire AGIRC-ARRCO, le groupe poursuit la fusion de ses IRC qui doit intervenir au plus tard au 1er janvier 2015 et apporte dans le cadre de la plate-forme nationale Alcara une contribution essentielle à la mise en ??uvre de l’Usine Retraite. En termes d’action sociale, le groupe Humanis met en place un grand pôle EMMAH en coopération avec Apicil et Klesia et apporte une contribution essentielle aux objectifs des fédérations Agirc-Arrco. Les grands enjeux 2013 de l’assurance de personnes sont d’abord la poursuite du redressement des comptes puis l’anticipation des enjeux du passage à l’assurance collective complémentaire obligatoire en matière de santé, de maternité et d’accident du travail. Le développement commercial se poursuivra dans l’ensemble des activités -y compris l’outre-mer et l’international- et l’accompagnement en solutions industrielles techniques des grands partenaires privés et publics d’Humanis (CDC, CNP, Crédit Agricole, Etat, Thelem), et la poursuite de la reconfiguration du pôle Epargne avec ses partenaires (Apicil, AXA, CNP). Pour répondre à ces enjeux, Jean-Pierre Menanteau Directeur général et Jean-Paul Lacam, Directeur général délégué ont annoncé une recomposition de l'équipe dirigeante. Sont nommés membres du nouveau comité exécutif : Gilles de Margerie, directeur général adjoint du groupe, qui supervisera les Finances, les Risques, la Gouvernance Institutionnelle et les Affaires Juridiques et le pôle Epargne ; Olivier Mesnard, actuel directeur général adjoint en charge de la Retraite Complémentaire, étendra son rôle à la Supervision : des Systèmes d’information qui seront placés sous l’autorité de Michel Baudy, des opérations et services clients Assurance de Personnes, de l’activité de Gestion pour Compte de Tiers des Ressources ; Virginie Hauswald, actuelle directrice de la Stratégie, de la Veille et des Partenariats, qui étendra son rôle à l’Innovation ; Laurent Huyghe, directeur de l’Action Sociale, sans changement ; Bernard Joseph, qui aura comme mission de créer une direction de la Transformation, de l’Organisation et de la Compétitivité ; Ludovic Lézier, directeur des Ressources Humaines, sans changement ; Karim Natouri, actuel directeur de la Communication, qui a vocation à étendre son rôle à la supervision des enjeux du Développement Durable ; Fabienne Petit, actuelle directrice de l’International, qui étendra son rôle à la supervision du Marketing, de la Relation Clients, de la Vente à Distance, du Commerce Electronique et des produits Santé, Prévoyance et Dépendance Frédéric Rousseau, actuel directeur du Marché des Professionnels et des Particuliers étendra son rôle à la supervision du Marché des Entreprises avec vocation à créer une direction de la Distribution et du Développement IP et Mutuelles Guillaume Ancel, directeur de la Gouvernance Institutionnelle, Bruno Gabellieri, directeur des Relations Extérieures et des Affaires Européennes participeront aux travaux du Comex. Cette équipe dirigeante a pour mission de définir les ajustements précis d’organisation et de : faire vivre un groupe paritaire et mutualiste, ouvert aux partenariats ; tirer tous les bénéfices de la fusion : développer une culture d’entreprise enrichie des meilleures pratiques des univers d’origine ; construire une marque forte et une vraie éminence intellectuelle sur les enjeux de la protection sociale et de la mobilité internationale en France et en Europe offrir des perspectives accrues de carrière et de formation aux salariés du groupe grâce à la mise en place d’une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences en cohérence avec les lignes stratégiques du groupe ; construire de l’excellence industrielle afin d'être un partenaire de haute fiabilité pour nos clients ; bâtir des modèles économiques durables et positionner les performances cibles au niveau des meilleures pratiques. Jean-Pierre Menanteau et Jean-Paul Lacam soulignent le travail déjà accompli : « Nous allons bâtir avec l'énergie de tous un dispositif de pilotage plus efficace et bien d’avantage orienté client, autour de nos magnifiques valeurs Ambition, Engagement et Partage ».
La performance à long terme du capital-investissement français mesurée à fin 2012, s'élève à +8,58%. Sur une base comparable, elle affiche un léger repli de 26 points de base par rapport aux +8,84% à fin 2011. Comme les années précédentes, le capital-investissement surperforme les marchés d’actions cotées sur une période de 10 ans. Sur 10 ans, le TRI (taux de rendement interne) atteint +10,7%, pour un TRI comparable de +4,5% pour le CAC40i, et +6,5% pour le CAC All-Tradable (ex SBF 250). Lire la suite en pièce jointe
La France Mutualiste, Harmonie Mutuelle, la Mnam, la Smar et la Mutuelle Mare-Gaillard crééent une union mutualiste de groupe appelée Groupe Harmonie. Guy Herry, président d’Harmonie Mutuelle, est nommé président. Les rapprochements dans le monde mutualiste se poursuivent et Harmonie Mutuelle en capte une bonne partie. Via la création d’une Union mutualiste de groupe (UMG) baptisée Groupe Harmonie, Harmonie Mutuelle, la France Mutualiste, la Mnam, la Smar et la Mutuelle Mare-Gaillard se rapprochent. Une assemblée générale constitutive se tenait le 4 juillet en ce sens et Guy Herry a été nommé président de l’UMG. La composition repose sur quatre mutuelles santé et une mutuelle épargne retraite qu’est la France Mutualiste, plus à même de proposer des produits différents pour les portefeuilles de ses partenaires. Certaines développent également des produits d’assurance et de prévoyance. Surtout, pour Harmonie Mutuelle, déjà installée à la première place des mutuelles 45 avec 2,1Mds d’euros de cotisations perçues en 2012, cette union apporte une possibilité non dissimulée de conforter cette domination. Groupe Harmonie «a pour objectifs de conforter le groupe au 1er rang des opérateurs santé en France» mais également de «constituer le premier acteur mutualiste d'épargne et de retraite» sans oublier de gagner des places dans le monde la prévoyance avec l’ambition de «se positionner comme l’un des dix premiers intervenants» dans ce domaine. Enfin, dan ce communiqué de constitution, Groupe Harmonie, dont le logo se rapproche des logos d’Harmonie, n’oublie pas l’invitation au rapprochement «avec d’autres mutuelles et institutions de l'économie sociale«. Une Umg qui aspire donc à grandir encore.
Standard & Poor’s a comme prévu relevé la note attachée à la dette souveraine de Chypre de «défaut sélectif» à «CCC+», la perspective étant stable. Cette décision intervient dans la foulée d’un programme d'échange de dette d’un milliard d’euros, destiné à l’aider à remplir l’une des conditions de son programme de renflouement international convenu avec l’UE et le FMI.
Sur-réaction des marchés Le discours de Ben Bernanke du 22 mai a constitué un tournant sur les marchés aux conséquences multiples et mondiales. Le président de la Federal Reserve a en effet annoncé un changement de cap en ne mentionnant plus la possibilité d’en faire plus pour aider l'économie mais plutôt la perspective du retrait progressif de sa politique d’injection de liquidités. Cette annonce, pourtant attendue, a sonné aux oreilles du marché comme la fin de la récréation. Pour faire simple, nous sommes passés d’un environnement porteur en 2013 où la plupart des classes d’actifs étaient dans le vert sur l’année à une nouvelle donne fin juin où elles sont dans le rouge pour beaucoup d’entre elles (à l’exception des actions et du crédit dans certains pays développé). Cela, à l'échelle mondiale, tant sur les obligations que sur les actions et les matières premières, laisse perplexe. Lire la suite en pièce jointe
Cette opération est la plus importante émission en euros sur le risque tempête Europe à ce jour. Swiss Re Capital Markets a placé pour le compte de Groupama SA une nouvelle obligation structurée Green Fields II Capital Limited qui fournit une couverture de 280 millions d’euros contre les tempêtes en France pour une période de risque allant du 2 juillet 2013 au 31 décembre 2016, le collatéral de cette émission étant une obligation structurée dédiée émise par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (notations AAA par S&P, Moody’s et Fitch). « Cette émission démontre à nouveau la capacité du Groupe à saisir les opportunités de marché pour optimiser ses protections de réassurance à des conditions très satisfaisantes » a déclaré Christian Collin, Directeur Général Délégué de Groupama SA. Il a par ailleurs ajouté, « nous nous félicitons du succès, au-delà de nos attentes, de ce 4ème ???cat bond’ qui nous encourage à être régulièrement présents sur ce type de marché. » Cette transaction complète Green Fields Capital Limited émise en décembre 2010 pour un montant de 75 millions d’euros sur une durée de 4 ans. Green Fields II Capital Limited est une entité dédiée de droit irlandais créée en 2013. Le référentiel sinistre est celui de la base Perils, société indépendante de base de données sur les expositions catastrophe en Europe, dont Groupama est l’un des contributeurs et actionnaire. L’analyse de modélisation a été réalisée par RMS en intégrant les données d’exposition de Perils.
La réforme de la gouvernance de la MNRA s’articulait autour de deux axes forts : renforcer l’ancrage local des délégués et la représentativité des instances de la Mutuelle ; accompagner la professionnalisation des élus pour être en phase avec les exigences de Solvabilité II Après avoir été élu par l’Assemblée générale, le nouveau Conseil d’administration de la MNRA s’est réuni le même jour ; ses 14 membres (titulaires) ont renouvelé Serge CROUIN dans sa fonction de Président, pour un mandat de six ans ; le Bureau du Conseil ainsi que le comité technique de gestion et le comité d’audit ont été également élus. Répondant à la même volonté de représentativité que l’Assemblée générale, le Conseil d’Administration est lui aussi rajeuni et féminisé : l'âge moyen est de 53 ans, plus de la moitié des administrateurs ont moins de 55 ans. plus de 20% des membres du Conseil d’administration sont des femmes, un chiffre qui se rapproche de la part que représentent les femmes chefs d’entreprise dans l’artisanat et le commerce de proximité. Avec une composition resserrée et une formation renforcée, le nouveau Conseil d’administration de la MNRA s’inscrit d’ores et déjà dans les règles énoncées par SOLVABILITE II, prêt à affronter les défis auxquels se trouvent confrontés aujourd’hui les organismes d’assurance. Commentant la mise en place de la nouvelle gouvernance, Serge CROUIN a constaté : « Si je devais résumer la transformation clé dont l’Assemblée générale du 28 juin est le symbole, je dirais tout simplement : nous l’avons dit et nous l’avons fait, de façon déterminée, en bon ordre et sans précipitation, mais sans perdre de temps. En seulement 7 mois, nous avons relevé ce challenge de mobiliser de nouveaux délégués pour devenir encore plus représentatifs du monde de l’artisanat et du commerce de proximité avec des instances rajeunies et féminisées. Avec des produits innovants, une expertise reconnue, des instances en phase avec les exigences de Solvabilité II et des résultats 2012 très positifs, les raisons ne manquent pas pour envisager l’avenir de notre Mutuelle avec confiance ». Le Bureau du conseil d’administration de la MNRA est composé comme suit : Président du Conseil d’Administration : Serge CROUIN (Garagiste, Basse Normandie - Haute Normandie) Vice-Président : Jean-Louis MAITRE (Tapissier décorateur, Ile-de-France - DROM COM - Etranger) Trésorier : Annick VERZELLESI (Plâtrerie / peinture, Région Centre) Secrétaire : Marc AVERSENG (Bronzier, Rhône-Alpes)
Les six associations de conseils en investissement financiers (CIF) agréées par l’Autorité des marchés financiers ne sont plus que cinq, puisque l’Association des analystes conseillers en investissements financiers (AACIF) et la Compagnie des conseillers en investissement, finance et transmission d’entreprise (CCIFTE) ont fusionné pour donner naissance à l’Association des conseillers en investissement, finance et transmission d’entreprise (ACIFTE), le 30 juin 2013. 360 professionnels adhérents Elle regroupe désormais plus de 250 entreprises et 360 professionnels, institutionnels et spécialistes du monde de l’entreprise, qui exercent, à titre principal, une activité de conseil en investissements, restructurations de dettes ou encore opérations de haut de bilan et transmissions d’entreprise. « La mission de l’ACIFTE est d’accompagner les dirigeants pour les aider à renforcer la sécurité de leurs opérations en s’appuyant sur un corps professionnel garant des fondamentaux qui conditionnent l’intégrité du marché », explique les deux associations dans un communiqué commun. Mieux se faire entendre De taille identique, avec environ 130 adhérents chacune, les deux associations, créées respectivement en 2006 et 2003, « partagent des valeurs communes en termes de sélectivité des membres, de respect d’un code de bonne conduite et d’adhésion à un code de déontologie ». L’objectif est de permettre « au nouvel ensemble d'être plus visible, plus fort et ainsi de mieux se faire entendre ». C’est Jean-René Griton, précédemment président de l’AACIF, qui prend la tête de la nouvelle association, tandis que Gilles de Courcel, précédemment président de la CCIFTE, en devient le vice-président. Selon Jean-René Griton, « le principal enjeu est de promouvoir l’offre de nos adhérents auprès des entreprises dont les attentes en matière de financement sont criantes. Au-delà des problématiques de commercialisation des produits financiers sur lesquelles l’AMF a beaucoup ??uvré, il existe d’autres sujets sur lesquels les pouvoirs publics doivent se pencher, et qui concernent globalement les différents modes de financement des PME/ETI [Petites et moyennes entreprises/Entreprises de taille intermédiaire].» Les membres de l’ACIFTE deviennent de fait membres de la Société française des analystes financiers (SFAF), association à l’origine de la création de l’AACIF en 2006.
P { margin-bottom: 0.08in; }A:link { } Nikhil Srinivasan, the new chief investment officer at Generali, claims in an interview with the Financial Times that it is time to sell German shares and buy equities in Southern Europe. The man in charge of EUR500bn in assets says that the Dax has peaked and that it is now a better time to look at equities in Southern Europe or France.
P { margin-bottom: 0.08in; } With EUR218bn in assets under management in 2012, Nordea Asset Management is the largest asset management firm in Northern Europe, and 25th in Europe, according to Financial Times Fund Management, based on an interview with CEO Allan Pollack. Last year, its assets increased by 16.5%, the largest growth among its 35 largest rivals. About two thirds of clients at Nordea AM are in the Scandinavian region compared with 80% before the crisis. Virtually all growth since 2008 has been international, Polack confirms.
Depuis 2008, nous avons vécu une succession de crises. La dernière en date est la crise souveraine. Depuis lors, nous avons eu près de 12 mois sans chocs macroéconomiques ou financiers. Bien qu’il soit difficile de dire quand la prochaine crise pourrait exploser, nous pouvons déjà identifier certaines faiblesses résultant de la politique ultra accommandante des banques centrales au cours des dernières années. La baisse des taux directeurs et leur maintien à de bas niveaux depuis 5 ans, associée à des programmes d’assouplissement quantitatif agressifs, a très probablement créé les origines de la prochaine crise. S’il est assez classique de relancer une économie par un environnement de taux faibles afin d’encourager une reprise de l’immobilier, les autorités politiques doivent faire attention car ceci peut facilement se transformer en une bulle immobilière. Ce type de relance a été un succès dans de nombreux pays (Etats-Unis, la Suisse, la Norvège, la Chine, Singapour et Hong Kong pour n’en nommer que quelques-uns) où la croissance actuelle repose principalement sur l’effet de richesse liée à la reprise immobilière. Une deuxième conséquence macroéconomique peut être une poussée de l’inflation lorsque les liquidités créées par les banques centrales irriguent l'économie réelle. Même si ce n’est pas le cas pour l’instant, ce scénario reste d’actualité. Plus les politiques monétaires accommodantes dureront, plus drainer cette manne prendra du temps, ce qui mécaniquement augmente le risque inflationniste. Dans une perspective à plus court terme, la principale conséquence des programmes d’assouplissement quantitatif est une pénurie obligataire, ce qui pourrait créer cette bulle tant redoutée. Les achats de la Fed et la Banque du Japon dépassent d’au moins 100 milliards de dollars le montant émis par leur pays respectifs. Par conséquent, il y aura moins d’obligations disponibles que l’an dernier en dépit de toutes les nouvelles émissions. Parallèlement au «quantitative easing», les récentes règles qui visent à renforcer le bilan des banques, les marchés dérivés et les compagnies d’assurance (Bâle III et les règles de solvabilité) favorisent également cette pénurie d’obligations. Le Congrès US, à titre d’exemple, exige que les opérations privées sur instruments dérivés passent dorénavant par des chambres de compensation. Or ces dernières demandent des garanties pour sécuriser les transactions, obligeant les opérateurs à fournir quelques USD 2 à 10 billions de dollars supplémentaires comme collatéraux. Le réservoir de dette de bonne qualité étant faible, certaines banques relancent l’utilisation des CLO (collateralized loan obligation) pour satisfaire ces nouvelles exigences : les banques créent des portefeuilles de titres de qualité moyenne et les échangent contre un prêt d’obligations admises comme collatéral. Cette man??uvre, appelée «transformation de collatéral», suscite des inquiétudes, d’où un paradoxe évident: les mesures destinées à éviter les risques, les masquent en réalité. JPMorgan estime que les banques centrales et commerciales dans le monde détiennent quelque USD 24 billions d’obligations - soit 55 pour cent de l’univers obligataire capturé par le Global Bond Index Barclays Multiverse. De plus, ces deux types d’acteur ont plus de deux tiers des encours d’obligations publiques. Les compagnies d’assurance sont également concernées. En effet, les nouvelles règles de Solvency II obligent les assureurs à couvrir les demandes de polices d’assurance vie des titres de durée similaire, soit environ 30 ans. Swiss Life a, par exemple, expliqué qu’elle doit mettre de côté des fonds équivalent à environ 7 pour cent de son bilan à moins qu’elle puisse acheter plus d’obligations d'État. Concrètement, cela signifie que l’entreprise aurait besoin d’environ CHF 11,4 milliards d’obligations à long terme, or la dette publique suisse en circulation ayant une échéance de 30 ans ou plus totalise seulement CHF 75,2 milliards. En conclusion, si l’assouplissement quantitatif et les nouvelles législations ont été conçus pour empêcher une autre crise, en réalité, ces dernières ont créer une pénurie de dette qui pourrait bien saper les efforts visant à rendre le système plus sûr. La récente correction sur les marchés serait-elle le début de la prochaine crise financière ?
S'il est un domaine que connaît bien Tim Haywood, c'est celui de la gestion flexible. Le directeur des investissements et responsable de la division obligations du gérant d'actifs GAM est un adepte et un pratiquant de la performance absolue depuis plus de vingt ans.
L’assemblée générale de la Mutuelle Générale, qui s’est tenue mi-juin, a reconduit Patrick Sagon à la présidence de l’institution. Il occupe ce poste depuis 2007. Ingénieur de formation, Patrick Sagon a fait toute sa carrière au sein du groupe France Télécom, partenaire historique de la mutuelle. Administrateur de La Mutuelle Générale depuis 1997, il a également occupé les postes de vice-président (1999 -2001) et trésorier général (2001 - 2007).
Selon nos informations, Sylvie Malécot vient de quitter la Mutuelle des Artisans (MNRA) où elle occupait le poste de Directeur Technique et Financier depuis février 2013. Elle reprend son activité de conseil en investissements financiers, ALM et actuariat, au travers de la société Millenium Actuariat & Conseil. Sylvie Malécot est diplômée de l’ESSEC, titulaire d’une maîtrise de droit des affaires, actuaire qualifiée (CEA) et membre de la SFAF. Elle débute sa carrière professionnelle en 1988 comme gérant obligataire puis responsable de la gestion de taux du groupe AZUR GMF, avant d’occuper le poste de Senior Manager « Financial Services » au sein du cabinet Ernst & Young. En 2006, Sylvie Malécot intègre AGICAM, société de gestion du groupe AG2R la Mondiale pour y exercer les fonctions de Directeur Stratégie, ALM et Crédit. En 2009, elle décide de créer sa propre société de conseil en investissements financiers et actuariat, intervenant auprès d’institutionnels en allocation d’actifs, gestion actif-passif, pilotage des risques financiers et mise en place de Solvabilité II. Elle anime également de manière régulière des sessions de formation, en particulier auprès des administrateurs. Membre du Centre des Professions Financières, Sylvie Malécot y prend en charge le groupe de travail « Veille Réglementaire », au sein du Club des Gérants d’Actifs, présidé par Jean-Pierre Maureau. Sylvie Malécot a en outre été nommée le 28 juin dernier Trésorier de l’association HS2 - Haute Sécurité Santé, fondée par Ghislaine Alajouanine. Troisième pilier du développement durable, la démarche HS2 est une approche d’amélioration continue, pour une intégration plus marquée des développements technologiques au service de la santé et de la personne (e-santé, domotique, télé-médecine, ...)
Robert Gravil est en charge du pilotage de la politique financière, du renforcement de la gestion actif-passif et de la gestion des risques depuis février 2011. Il détaille le fonds Carac financement de l'économie française, lancé courant 2012 avec l'objectif de financer les PME et les PMI françaises. S'il considère cet investissement coûteux en fonds propres, mais néanmoins rentable, Robert Gravil estime également que financer l'économie est le rôle de la Carac.
Dans une interview à la Börsen-Zeitung, Klaus Riester, directeur général d’Union Investment Privatfonds, indique que, durant les quatre premiers mois de l’année, le gestionnaire central des banques populaires allemandes a enregistré des entrées nettes de 1,5 milliard d’euros provenant de particuliers, soit plus que le montant total de 1,1 milliard collecté sur l’ensemble de 2012.
L’environnement plus volatil a favorisé la collecte des fonds obligataires au cours du mois de mai, selon les données Morningstar. Un environnement incertain, une attention centrée sur la performance absolue et une poursuite de la recherche de rendement ont soutenu les flux de fonds au cours du mois de mai, selon les dernières données sur la gestion collective européenne collectées par Morningstar. Au cours du mois de mai, 40 milliards d’euros se sont investis dans des fonds de long-terme, la composition des flux reflétant un optimisme modéré et peu d’appétit pour le risque. Voici les principales conclusions ressortant des statistiques de la collecte européenne compilées par Morningstar : Les fonds d’allocation ont enregistré leur meilleur mois à ce jour, avec une collecte supérieure à 11 milliards d’euros ; La gestion alternative a bénéficié de flux totalisant 2,7 milliards d’euros en mai, portant la collecte depuis le 1er janvier à 14,5 milliards d’euros. Standard Life continue de s’accaparer la part belle de ce total, avec ses fonds domiciliés au Royaume-Uni et plus récemment la version luxembourgeoise de sa franchise GARS. Les fonds obligataires ont attiré 20 milliards d’euros de flux, légèrement en retrait par rapport au mois précédent, mais en ligne avec la tendance observée depuis le début de l’année. Les fonds monétaires ont continué à souffrir, l’exode depuis le 1er janvier sur les fonds court terme se chiffrant à 7,7 milliards d’euros. Franklin Templeton, J.P. Morgan, BlackRock, BNP Paribas, Pioneer et PIMCO ont bénéficié d’une collecte significative en mai, profitant de l’intérêt continu des investisseurs pour les placements obligataires ; les spécialistes des actions, comme UBS et Fidelity, ont connu une période moins prospère Le deuxième fonds en Europe, Templeton Global Total Return, a attiré 2,5 milliards d’euros de collecte courant mai, battant le précédent record enregistré en avril dernier. M&G Optimal Income, un autre gros fonds européen, a signé son deuxième meilleur mois en termes de collecte, avec 1,2 milliard d’euros. Dan Lefkovitz, membre de l'équipe de recherche européenne de Morningstar, observe : « Les problèmes économiques de l’Europe, les menaces sur la croissance économique chinoise et l’incertitude sur l’orientation des politiques monétaires ont clairement pesé sur le sentiment des investisseurs. Les craintes liées à l'économie chinoise ont pénalisé la catégorie Actions chinoises de Morningstar, les actions asiatiques hors Japon et les actions des « BRIC » (Brésil, Russie, Inde, Chine) ayant subi des décollectes. Le sentiment pessimiste a également conduit à des retraits de capitaux sur des catégories de fonds focalisés sur les actions du Royaume-Uni, de l’Europe et de la zone euro. La catégorie Morningstar la plus populaire en mai était celle des obligations ou des actions offrant un rendement, ainsi que les fonds ayant une approche flexible, capables d’investir dans un spectre large de pays, de qualités de crédit et de classes d’actifs. »
Le Conseil d’administration de la MGEFI, qui s’est tenu le 26 juin 2013, a enregistré les démissions de Jacques Conreux, trésorier général et de Liliane Leroy, secrétaire nationale, à compter du 1er juillet 2013. La nouvelle composition du Bureau a été validée par le Conseil d’administration, Serge Brichet conserve la présidence. La composition complète : Vice-Présidents Dominique COMBE Dominique JOSEPH Jean-Luc DAUBAGNAN Claude FERNANDEZ Jean GUESNE Secrétaire Générale Valérie AUDRY-ADARDOUR Trésorière Générale Nathalie ARNOUX Trésorier Didier DEBORD Secrétaires Nationaux Nadine MORINEAU Brigitte TURY Pierre ALIXANT