Mercer, spécialiste du conseil et services en ressources humaines, protection sociale et avantages sociaux, présente les résultats de son étude annuelle consacrée aux engagements sociaux des sociétés du CAC 40. Sur la base des annexes des rapports annuels consolidés de 2013, Mercer dresse un état des lieux comparatif de la comptabilisation des avantages sociaux des grandes entreprises françaises. Et présente l’amélioration de la présentation des informations réglementées suite à l’application de la norme IAS 19 (2011). Comptabilisation des avantages sociaux des entreprises du CAC 40 sur 2013 Les engagements sociaux des entreprises du CAC 40 s'élèvent, selon Mercer, à 217 milliards d’euros en 2013, soit une augmentation de 11 milliards d’euros en un an, avec en parallèle une hausse des actifs de couverture de 30 milliards. Ce regain est principalement dû au changement de la composition du CAC 40, avec notamment le retour d’Alcatel-Lucent, une des sociétés qui portent les engagements et les actifs de couverture les plus élevés au sein du CAC 40 en 2013. Après quatre années consécutives de baisse des taux, la tendance s’est inversée sur l’année 2013 entraînant une baisse des engagements pour l’ensemble des entreprises. Cette baisse des engagements s’est accompagnée d’une bonne performance des marchés financiers en 2013, avec, pour conséquence, une amélioration du niveau de financement des passifs des entreprises. Enfin, malgré une hausse du coût des services rendus en 2013, corrélée à la baisse des taux entre fin 2011 et fin 2012, la charge annuelle moyenne comptabilisée au compte de résultats en 2013 est relativement stable par rapport à celle de 2011. Le niveau de la charge annuelle de 2012 était principalement lié à un événement exceptionnel. « La gestion des engagements de retraite, par nature de long terme, reste un défi pour les entreprises qui doivent toutes désormais comptabiliser leurs engagements nets à leur valeur de marché du fait de la norme IAS19 (2011), et ce dans un environnement de marchés financiers volatiles et de taux d’intérêt historiquement bas. Si la plupart des classes d’actifs ont connu des rendements favorables ces dernières années, il est très difficile de formuler des anticipations pour les mois qui viennent. Il reste certain que l’année 2014 sera à nouveau une année marquée par des évolutions législatives et de nouvelles restructurations au sein du CAC 40. La gouvernance des retraites au sein des entreprises sera plus que jamais un outil indispensable afin d’anticiper les impacts de ces changements », commente Charles-Antoine Roger, Leader Retraite au sein de Mercer. Application de la norme IAS 19 (2011) par les entreprises du CAC 40 Adoptée par l’Union Européenne en 2012 et en vigueur depuis le 1er janvier 2013, la révision de la norme IAS 19 a poussé les entreprises à réévaluer le niveau de détail des informations qu’elles publient sur leurs dispositifs de retraite. En effet, l'étude de Mercer met en exergue une plus grande précision de la part des entreprises en 2013 sur la description des régimes, les politiques de financement, la sensibilité des hypothèses clés et la source des écarts actuariels. Peu d’entreprises du CAC 40 publient cependant des informations détaillées sur les actifs de couverture et sur les risques inhérents aux dispositifs de retraite. Ce dernier point constitue d’ailleurs, pour la majorité des entreprises du CAC 40, un axe d’amélioration de la gouvernance liée aux retraites. Lire la suite : cliquez ici
Après des années de divergence, tous les indices nationaux composant l’Investment Climate Index dans les trois pays étudiés sont de nouveau très largement favorables. Publié par Union Investment, l’Investment Climate Index mesure le climat du marché de l’investissement immobilier européen et repose sur quatre indicateurs équipondérés : la structure du marché, le contexte général, les facteurs de localisation et les attentes. Dans le cadre de cette dernière enquête, l’institut Ipsos a réalisé des interviews en juin et juillet 2014 auprès de 167 sociétés immobilières et investisseurs immobiliers institutionnels en Allemagne, en France et au Royaume-Uni. C’est l’Hexagone qui voit son indice de confiance progresser le plus nettement, avec une hausse de 3,4 points, à 69,3 points, contre 69,9 points (+ 0,2) en Allemagne, tandis que l’indice britannique, en recul (-1,4), affiche 70,9 points. Actuellement, l’afflux de capitaux en Europe « encourage les acteurs du marché à prendre de plus en plus de risques », souligne Union Investment. Les professionnels ont désormais le retour sur investissement en ligne de mire. Pour les 12 prochains mois, 68 % des sondés ont comme objectif principal d’exploiter les opportunités de marché pour rationaliser les portefeuilles, mettre la main sur des actifs phares ou développer les bénéfices. « Avec l’objectif croissant de réduction des risques, les opportunités de ventes sur les marchés à fortes demandes font preuve d’une convoitise bien plus forte qu’au cours de ces dernières années. Parallèlement, les vastes portefeuilles redeviennent également une caractéristique clé du marché », précise Frank Billand, membre du directoire d’Union Investment Real Estate GmbH. Parallèlement, les investisseurs sont conscients des risques potentiels. Dans ce contexte, la gestion des risques (mesure, suivi, gestion et contrôle des différents facteurs de risques) est une priorité pour 56 % des sondés. Les investisseurs ont choisi sur les douze derniers mois une maîtrise plus active des risques sur l’ensemble du portefeuille de biens (56 %). Plus de la moitié des sociétés interrogées ont fait évoluer leurs méthodes de sécurisation des revenus locatifs.
« Nous sommes un institutionnel atypique », prévient Thierry Guérillot, Responsable du développement de l'offre financière de l'Union Financière de France. En tant qu'institutionnel, l'UFF possède environ 100 millions d'euros d'excédents de trésorerie qu'elle place en titres ou en OPCVM monétaires ayant une échéance inférieure ou égale à un an (70% des encours), et en OPCVM de gestion flexible (30%), avec notamment des fonds gérés par Carmignac Gestion, Convictions AM, La Française mais aussi Morgan Stanley et M&G.
Selon nos informations, Stéphane Hasselot aurait été promu directeur général adjoint au sein de la Mutuelle Ociane, la première mutuelle santé du Sud-Ouest depuis plus de 8o ans avec ???plus de 400 000 adhérents. Il occupait le poste de directeur financier de la mutuelle de novembre 2010 à mai 2014. Stépane Hasselot est diplômé de l’Institut Supérieur de Gestion (ISG 1991).
Au moment où le gouvernement de Manuel Valls implosait sur fonds de divergences économiques, Angela Merkel a appelé à plus de coopération économique en Europe. En visite en Espagne, la chancelière allemande a plaidé pour une coopération économique plus étroite dans la zone euro. Sa déclaration intervient alors que l'économie allemande montre de plus en plus de signes de faiblesse.
Comme chaque année à la rentrée, Axa lance son plan d’actionnariat salarié. Le groupe envisage pour 2014 une hausse de capital de 135M d’euros, soit la mise à disposition de 58.951.965 actions du groupe. Les salariés détenaient, au 31 décembre 2013, 7,03% du capital et 9,1% des droits de vote. Comme chaque année, les modalités sont précisés dans des documents qu’Axa tient à disposition des salariés éligibles à l’offre via les directions des ressources humaines. Deux offres existent. L’une est dite «classique», l’autre est «à levier». Dans cette seconde offre, Axa rappelle que l’investissement est garanti. Les souscriptions prennent diverse formes en fonction des pays. Le «Shareplan 2014??? d’Axa permet de souscrire les actions à 80% du prix de référence. Celui-ci sera déterminé par une moyenne arithmétique des cours entre les 26 septembre et le 23 octobre 2014 inclus. L’offre à effet de levier permet un achat à 89,2% de cette valeur. Les dates de réservation des actions vont du 1er septembre au 16 septembre inclus. Les actions porteront jouissance au 1er janvier 2014, et l’augmentation de capital aura lieu le 5 décembre. Enfin, les salariés qui souscrivent s’engagent à conserver les titres pendant 5 ans minimum. Le bilan de la cotation d’Axa sur les 6 derniers mois est mitigé, comme nous en parlions dans un article dédié.
Contrairement à son grand-père, le célèbre mathématicien, Beno Eckmann, ou même à son père qui est physicien, Alain n'est pas né avec la volonté de résoudre des problèmes compréhensibles seulement par une quinzaine de personnes sur la planète.
Selon nos informations, Vincent Garcia a quitté la Société d’Assurance de Consolidation des Retraites de l’Assurance (Sacra) en mai 2014 afin de rejoindre Covéa Finance où il occupe toujours le poste de gérant obligataire. Il remplace Guillaume Truttmann qui a rejoint Quilvest Gestion comme Gérant Obligataire / Analyste Crédit au sein de l'équipe Taux. Vincent Garcia a été recruté en août 2008 par la Sacra en tant qu’analyste fonds de fonds avant d'évoluer vers la gestion obligataire à partir de septembre 2011. Il est diplômé de l’Université Panthéon Assas (Magistère Banque - Finance en 2005) et titulaire du CFA (2013).
« Au cours des six premiers mois de l’année, l'économie mondiale a connu une performance globalement conforme à nos attentes. Sur cette période, la robustesse de l'économie américaine s’est confirmée, a déclaré Michael Sabia, le président et chef de la direction de la Caisse. Dans leur ensemble, les marchés mondiaux ont bien progressé, grâce, entre autres, aux taux d’intérêt faibles. Les actions canadiennes ont pour leur part repris de la vigueur et comblé une partie de leur retard des dernières années avec une performance supérieure à celle des autres marchés. « Notre rendement de 6,7 % est à l’image des marchés des six derniers mois et contribue à notre performance à long terme, celle qui compte pour nous. Notre rendement annualisé de 11,1 % sur quatre ans est légèrement supérieur à celui de son portefeuille de référence et surpasse les besoins de nos déposants. « L’environnement d’investissement va devenir de plus en plus exigeant : la croissance économique à l'échelle mondiale est modeste et fragile, les risques géopolitiques sont élevés et le niveau des taux d’intérêt et, plus largement, la normalisation des politiques monétaires sont autant de défis auxquels nous serons confrontés », a ajouté M. Sabia. Faits saillants des réalisations Au cours du premier semestre, la Caisse a poursuivi sa stratégie qui vise à renforcer son action auprès des PME québécoises de tous les secteurs. Elle a notamment investi dans Groupe Océan, active au sein de l’industrie maritime, Lumenpulse, du secteur des technologies et BFL Canada, du milieu de l’assurance. Elle a par ailleurs engagé 80 M$ dans Novacap, un fonds qui allie expertise et financement et 25 M$ dans Anges Québec, dédié à la croissance d’entreprises novatrices. En février, la Caisse a également lancé Innover. Agir., un forum d’entrepreneurs qui identifie et déploie des actions concrètes pour renforcer l’entrepreneuriat dans toutes les régions du Québec. Auprès des grandes sociétés, la Caisse a notamment pris des participations dans le cadre de financements de la Banque Laurentienne, de TC Transcontinental et de L’Industrielle Alliance. La Caisse a, en outre, investi dans Groupe WSP, le projet de cimenterie de Port-Daniel-Gascons et Stornoway Diamond pour un montant qui totalise plus de 300 M$. Sa filiale immobilière Ivanhoé Cambridge a quant à elle engagé près de 50 M$ pour le redéveloppement du centre commercial Place Ste-Foy à Québec. Sur la période, les nouveaux engagements et investissements de la Caisse ont atteint 835 M$, résultat d’une volonté de maximiser son impact auprès d’un plus grand nombre d’entreprises de toutes les régions du Québec. Cela porte ses nouveaux investissements et engagements auprès des sociétés québécoises à près de 11 G$ sur quatre ans. En infrastructures, la Caisse a fait l’acquisition d’une participation de 25 % dans London Array, le plus grand parc éolien en mer au monde, au large des côtes du Royaume-Uni. Elle a également fait l’acquisition d’une participation de 24,7 % dans Invenergy, un leader nord-américain de l’industrie éolienne. Toujours dans la poursuite de sa stratégie de gestion active sur les marchés boursiers, son portefeuille Actions Qualité mondiale, géré en absolu, a atteint 25 G$ d’actifs sous gestion au 30 juin 2014. À l’international, Ivanhoé Cambridge, a procédé à un repositionnement stratégique de son portefeuille et accentué son empreinte sur certains marchés clés. Elle a investi plus de 250 M$ aux États-Unis, notamment par une prise de participation dans l’immeuble 330 Hudson à Manhattan. Elle a aussi fait l’acquisition, en partenariat, d’immeubles résidentiels à Londres pour un montant de plus de 200 M$ et engagé plus de 120 M$ au Brésil pour le développement d’un nouveau centre commercial et l’expansion de centres commerciaux existants. Faits saillants des rendements Sur quatre ans, la Caisse produit un rendement annuel moyen de 11,1 %, comparativement à 10,9 % pour son portefeuille de référence. Ce rendement équivaut à des résultats de placement nets de 71,5 G$. De ces résultats, plus de la moitié provient de la catégorie Actions qui génère 42,0 G$, dont 10,2 G$ en Placements privés. Les portefeuilles de Revenu fixe et de Placements sensibles à l’inflation génèrent quant à eux respectivement 13,2 G$ et 12,4 G$ de résultats de placement nets. Sur la période de quatre ans, la catégorie Revenu fixe génère un rendement annualisé de 5,6 %, soit 1,0 % au-dessus de son indice. Les portefeuilles de la catégorie Actions produisent pour leur part un rendement de 13,7 %, aligné avec l’indice de référence. Finalement, la catégorie Placements sensibles à l’inflation, qui comprend notamment les portefeuilles Immeubles et Infrastructures, affiche un rendement de 13,3 %, inférieur à celui de son indice. Cet écart est majoritairement attribuable au portefeuille Infrastructures qui est comparé à un indice liquide formé de titres cotés en bourse dont la valeur reflète les marchés haussiers des dernières années. Pour le semestre, le rendement de la Caisse s'établit à 6,7 % et est aligné sur celui de son portefeuille de référence. Sur cette période, la catégorie Actions produit un rendement de 8,8 % et génère des résultats de placement nets de 8,1 G$, dont 1,9 G$ proviennent du portefeuille Placement privés. Avec un rendement de 4,7 %, les portefeuilles de la catégorie Revenu fixe produisent 3,4 G$ de résultats de placement nets. La catégorie Placements sensibles à l’inflation génère pour sa part un rendement de 3,5 % et des résultats de placement nets de 1,1 G$. Au sein de cette catégorie, 2,5 G$ de nouvelles acquisitions ont été enregistrées en infrastructures depuis décembre 2013. Le rendement du portefeuille Infrastructures en subit les impacts puisque la performance de ces nouveaux actifs n’est pas pleinement reflétée au 30 juin 2014. Au 30 juin 2014, l’actif net des déposants a atteint 214,7 G$, en hausse de 14,6 G$ par rapport à son niveau de 200,1 G$ au 31 décembre 2013. Cette croissance est attribuable à des résultats de placement nets de 13,3 G$, auxquels s’ajoutent des dépôts nets de 1,3 G$. Répartition de l’actif Au 30 juin 2014, la catégorie Actions représente 48 % du portefeuille global. Les catégories Revenu fixe et Placements sensibles à l’inflation représentent respectivement 36 % et 16 % du portefeuille. Gestion des risques et stabilité financière Les liquidités du portefeuille global Caisse demeurent robustes et permettent d’assurer le respect des engagements potentiels. Il est à noter qu’au tournant du premier semestre, en juillet 2014, et dans le cadre de ses activités courantes, la Caisse a émis 2,0 G$ US de billets à terme sur le marché américain. Cette émission visait le renouvellement d’un financement existant qui arrivait à échéance en novembre 2014. Par ailleurs, les risques de marché, de crédit, de contrepartie et de liquidité sont restés sensiblement au même niveau qu’au 31 décembre 2013.
Dans le cadre d'une interview réalisée pour les Couronnes Instit Invest 2014, Olivier Arlès dévoile les principaux projets innovants mis en place par la Macif cette année. La mutuelle va notamment réaliser de nouveaux investissements dans le financement de l'économie.
Devenir calife à la place du calife, c’est possible pour les DAF ! Loin de vouloir rester cantonnés à leurs chiffres et autres bilans qui forment leur c??ur de métier, ils sont de plus en plus nombreux à songer à une évolution de carrière qui les pousserait vers la direction générale. Selon une étude réalisée par Robert Half, 89 % des DAF pensent qu’il est désormais possible, et même naturel pour eux, d’occuper à l’avenir des fonctions de direction générale. «???En 15 ans de métier, j’ai pu constater un changement des attentes des DAF concernant leurs perspectives d'évolution de carrière, note Bruno Fadda, directeur du cabinet de recrutement Robert Half. Avant, ils attendaient seulement une évolution verticale, au sein de la direction financière mais, dorénavant, ils n’excluent plus de changer d’horizon???». Et cette envie va de pair avec un contexte managérial qui leur est nettement plus favorable. Les entreprises seraient ainsi plus à même de donner l’occasion aux DAF de sortir de leur pré-carré habituel.???«???Ce constat est surtout vrai pour les PME et les ETI, moins pour les grands groupes???qui ont un schéma organisationnel beaucoup plus segmenté », explique Bruno Fadda. Et pour cause : dans les structures à taille humaine, les DAF ont d’ores et déjà des fonctions qui vont au-delà de la seule responsabilité financière. «???Ils peuvent être amenés à chapeauter d’autres fonctions support comme la SI, la RH et le juridique. Dans les comités de direction, cela leur donne un poids et une exposition non négligeables qui va leur permettre de faire plus facilement leurs preuves???», assure le directeur de Robert Half. Ainsi exposé, le DAF pourra s’associer à la stratégie de l’entreprise, se servir de sa vision transversale pour occuper pleinement son rôle de business partner et acquérir une légitimité auprès des autres membres du Comex qui ne verront qu’une évolution naturelle à son passage au sein de la direction générale. De nouveaux atour Mais il y a plus : la situation économique compliquée de ces cinq dernières années aurait encore accéléré cet opportunisme des directeurs financiers. «???Les DAF ont été obligés de prendre des décisions difficiles de restructuration. Ils ont souvent dû accompagner la direction générale dans la refonte du business model. Une nouvelle fonction qui les a aidés à prendre du poids dans l’entreprise???», affirme Bruno Fadda. D’un simple technicien des comptes, le directeur financier a donc progressivement rejoint le c??ur du réacteur stratégique en s’affichant comme le bras droit de la direction générale. Paré de ses nouveaux atours, le directeur financier a dû nécessairement s’ouvrir à de nouveaux champs de compétences : développer ses capacités de leader, manager ses équipes, sortir du langage du chiffre pour communiquer avec ses nouveaux interlocuteurs, développer son ouverture d’esprit et sa capacité d’adaptation... Autant d'éléments qui sied si bien à un directeur général duquel le DAF peut aujourd’hui légitimement revendiqué le poste.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; } In the period from June 2013 to August 2014, assets under management by Commerzbank as part of its wealth management services have grown by about 5%, to EUR53.5bn, says Gustav Holtkemper, a board member responsible for the Wealth Management division at Commerzbank, in an interview with the Börsen-Zeitung.
Sparinvest renforce son offre de stratégies à horizon avec le lancement d’un fonds obligataire high yield à duration courte, rapporte Citywire Global. Le nouveau fonds, Sparinvest – High Yield Value Bonds Short Duration 2018, a été formellement lancé fin juin. Cette nouvelle offre intervient après le lancement en octobre 2013 d’une stratégie similaire, le Sparinvest – High Yield Value Bonds Short Duration 2017.Le nouveau fonds, qui vise un rendement annuel moyen de 5% au cours des quatre prochaines années, s’intéressera en priorité aux obligations corporate à haut rendement émises par des sociétés peu endettées des pays de l’OCDE. Le fonds peut toutefois s’exposer jusqu'à hauteur de 49% à la dette corporate émergente.Le fonds comptera environ 75 lignes, afin de réduire l’impact des positions sous-performantes. Les sociétés seront sélectionnées selon un processus à 100% bottom-up. La gestion du fonds sera assurée par l’'équipe «Value Bonds», qui comprend des spécialistes tant des dettes tant souveraine que corporate. Le nouveau fonds est enregistré à la vente en Belgique, en Allemagne, au Danemark et au Luxembourg. Son indice de référence est le Citi EMU GB TR index.
Selon nos informations, la Compagnie Financière Jacques Coeur vient de nommer Fabienne Glévarec en tant que Responsable de la clientèle institutionnelle. Elle avait rejoint cette entreprise d’investissement et TPM en septembre 2013 en tant qu’apporteur d’affaires. Fabienne Glévarec a notamment été Directeur Clientèle Institutionnelle de la Financière Atlas de 2000 à 2007 avant de prendre la responsabilité du développement à l’international chez Ecofi Investissements de 2007 à 2011.
A défaut de pouvoir obtenir rapidement de Bruxelles un peu de marge de manoeuvre sur la réduction du déficit, le gouvernement devrait mettre les bouchées doubles pour faire avancer les dossiers potentiellement les plus porteurs de croissance dans les prochains mois. Outre la relance du logement, avec une salve de mesures de simplification attendues à la rentrée (lire ci-dessous) et la très controversée reforme territoriale, dont l’exécutif a fait un symbole de sa volonté de réformer, plusieurs chantiers sont déjà engagés : Impôts Après la réduction d’impôt de 350 euros destinée aux ménages modestes cette année, de nouvelles mesures sont attendues dans le budget 2015, en faveur des foyers défavorisés et des classes moyennes. L’enveloppe prévue est à ce stade de 2 milliards d’euros, mais le gouvernement pourrait décider d’aller plus loin. Il s’est en effet engagé à proposer une mesure de compensation à la suite de la censure par le Conseil constitutionnel de son projet de réduction des cotisations salariales, qui devait lui aussi doper le pouvoir d’achat des ménages de 2 milliards d’euros. Il pourrait proposer d’autres mesures sociales (CSG, prime pour l’emploi...), ou bien opter pour une baisse d’impôt plus importante. Professions réglementées Dans le collimateur du ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, les professions réglementées feront l’objet d’une trentaine de mesures dans la loi sur la croissance et le pouvoir d’achat qu’il a promis pour l’automne. « Au total, nous espérons restituer l'équivalent de 6 milliards d’euros de pouvoir d’achat aux Français », avait affirmé le ministre début juillet. Selon un rapport confidentiel dévoilé par « Les Echos » (nos éditions du 15 juillet), seront ciblés en priorité les notaires, les huissiers, les greffiers de tribunal de commerce, les pharmaciens. Des professions en situation de monopole injustifié, selon Bercy. Celles-ci se sont violemment insurgées contre le rapport, qui les dépeint comme des « rentiers ». Seuils sociaux Le patronat réclame leur suspension, voire leur suppression depuis longtemps. Et le gouvernement songe à l'écouter. François Rebsamen avait évoqué, en mai, la possibilité de suspendre le déclenchement des seuils sociaux pour la représentation du personnel pendant trois ans, suscitant une levée de boucliers des syndicats. Le Premier ministre a été plus prudent en renvoyant la balle vers les partenaires sociaux. Le sujet est tendu. Les patrons aimeraient un assouplissement des règles qui leur imposent d’avoir un représentant du personnel dès 11 salariés, ou encore la création d’un CE dès 50 salariés. Un sujet sur lesquels les syndicats hésitent à bouger. Apprentissage L’Etat veut relancer les embauches d’apprentis. Il a annoncé le déblocage de 200 millions d’euros pour financer une aide de 1.000 euros, conditionnée par la signature d’un accord de branche, attribué à tout employeur qui embauche un premier apprenti. « C’est une incitation forte pour les chefs d’entreprise », avait insisté Manuel Valls, qui, par cette mesure, espère enrayer la chute du nombre d’apprentis (- 8 % en 2013, et - 14 % au premier semestre 2014) et atteindre 500.000 apprentis en 2017. Le gouvernement s’est aussi engagé à embaucher 10.000 apprentis par an dans la fonction publique d’ici à 2016 (contre 700 à présent). Ces annonces ont été bien accueillies à la fois par le patronat et par la CFDT. Investissement Le chef de l’Etat a annoncé, lors de la conférence sociale, la tenue d’assises de l’investissement en automne. Objectif : réorienter l'épargne des Français en direction de l'économie réelle et développer davantage l'épargne salariale. L’Etat cherche aussi à mobiliser les 200 milliards d’euros d’actifs des retraites complémentaires.
« Etudiant, j'étais intéressé par l'économie et l'environnement international, mais aussi par les langues », raconte Jean-Marc Didier, directeur commercial des clients institutionnels et des entreprises chez Fidelity Worldwide Investment à Paris. Dans le cadre de son cursus à l'ESIAE (Ecole Supérieure Internationale d'Administration des Entreprises), il part faire sa troisième année d'étude à Canterbury, en Angleterre.
AXA Investment Managers (AXA IM) annonce la nomination de Christophe Coquema à la tête du Client Group en remplacement de Laurent Seyer, qui a décidé de quitter AXA IM. Julien Fourtou remplacera Christophe Coquema à la tête de MACS & TSF (Multi-Asset Client Solutions & Trading and Securities Financing) et rejoindra le Comité de direction. Andrea Rossi, CEO d’AXA IM a commenté les nominations : « Christophe a une excellente connaissance d’AXA IM, acquise au travers des différentes fonctions qu’il a occupées depuis qu’il a rejoint la société en 2006, en particulier dans la stratégie et le développement de nos activités en tant que responsable des équipes Market and Investment Strategy, et dans les fonctions supports en tant que Chief Operating Officer. Il a joué un rôle clé dans la mise en ??uvre de changements majeurs au sein de ces départements, et a les compétences et l’expérience nécessaire pour continuer à renforcer l’organisation et les processus du Client Group, dont l’objectif est d’accélérer notre croissance auprès de clients tiers et de continuer à renforcer la présence d’AXA IM dans le monde. » Le Client Group a été créé début 2014 afin de renforcer la dynamique de croissance d’AXA IM auprès de la clientèle tiers. Il a pour mission de développer l’offre d’AXA IM selon une approche client segmentée (institutionnels, et retail), tout en assurant la coordination des activités marketing et le suivi de la relation clients. Christophe Coquema, responsable du Client Group, ajoute : « Le Client Group a un rôle central à jouer dans notre ambition de devenir un leader mondial, capable de satisfaire en permanence les besoins de nos clients. Pour cette raison je suis heureux et impatient de prendre ces nouvelles fonctions. J’ai hâte de travailler avec le Client Group afin de promouvoir les compétences variées et innovantes de nos plateformes d’investissement, en élargissant notre empreinte géographique et en continuant à développer une culture d’entreprise axée sur nos clients et le développement de solutions adaptées à leurs besoins ». Julien Fourtou remplace Christophe à la tête de MACS & TSF. Depuis qu’il a rejoint AXA IM en 2000, Julien a occupé diverses fonctions au sein des équipes d’investissement d’AXA IM et a acquis une connaissance approfondie des plateformes d’investissement d’AXA IM. En tant que Chief Operating Officer du département Fixed Income, il a joué un rôle important dans le développement de l’offre obligataire d’AXA IM ces dernières années. Julien rejoint le Comité de direction d’AXA IM. Andrea Rossi conclut : « Je tiens à féliciter Christophe et Julien pour leurs nouvelles fonctions, mais aussi à remercier Laurent Seyer pour son importante contribution au développement d’AXA IM depuis qu’il nous a rejoint en mai 2012. A la tête de MACS, Laurent nous a aidés à développer nos capacités dans l’univers des solutions d’investissement. Puis, plus récemment, en tant que responsable de notre département de Distribution, devenu Client Group début 2014, il a contribué à créer deux équipes chargées de définir la stratégie et l’offre de produits et son contenu pour nos deux segments de clientèle principaux, les institutionnels et le retail. Je lui souhaite le meilleur pour la suite. »
Le Global Financial Markets Association accepte bon nombre des recommandations du Conseil de stabilité financière, notamment un élargissement du fixing
Le marché de l’assurance au Luxembourg avait été frappé par un fort ralentissement en fin d’année 2013 et une faible décroissance sur le premier trimestre 2014 (-0,52% vs 2013). Il s’est bien repris pour la période d’avril à juin, en enregistrant une hausse de 37,6% des primes collectées toutes branches comprises et porte ainsi les comptes pour le semestre. Selon le Commissariat aux assurances du Luxembourg, qui publie les chiffres semestriels du secteur, les primes décollent depuis 3 mois. Ce phénomène s’exprime par une croissance globale des encaissements de 16,19% sur les 6 premiers mois de l’année. Dans le détail, ce sont les versements sur les contrats d’assurance-vie « classique » qui portent cette croissance. En effet, avec un gain de 1,494 milliard d’euros sur les 6 premiers mois, cette activité réalise à elle seule les trois quarts des 1,8 milliard d’euros de primes supplémentaires. En dommage, le ralentissement de l’assurance maritime, à -4,47% sur le semestre n’est pas significatif car seuls les chiffres du 1er trimestre sont disponibles, détaille le communiqué du Commissariat aux assurances. Il est compensé par la reprise des affaires internationales (+3,13%) et du marché local (3,14%), même si ce dernier représente 479 millions d’euros contre 810 millions d’euros pour l’international. Les affaires internationales sont en croissance moins rapide qu’en 2013 en raison d’un effet de comparaison, le gonflement de l’encaissement de 2013 par une prime pluriannuelle très importante et non récurrente, explique le Commissariat aux assurances. En assurance non-vie, la hausse est de 2,04% sur 6 mois, avec 1,49 milliard d’euros encaissés. En assurance-vie, les assureurs luxembourgeois et les filiales étrangères opérant sur le territoire atteignent 11,4 milliard d’euros, soit une hausse par rapport à 2013 de 18,33%. En 2013, 57,2% des primes encaissées au Luxembourg l'étaient pour le compte de contrats d’assurance-vie étrangers. La reprise de ce marché, par exemple, chez le voisin français peut donc avoir une incidence également sur l’activité du Grand Duché.
La ministre française de la Culture dénonce dans une interview au Monde les «pratiques inqualifiables et anticoncurrentielles» du groupe Amazon, en guerre contre Hachette sur le prix des livres numériques aux Etats-Unis. Amazon milite en faveur d’une baisse des prix des «ebooks», qui n’ont, selon lui, pas de frais d'édition papier, de stockage ou de distribution, face à la filiale américaine d’Hachette (groupe Lagardère), qui maintient ses tarifs.
Article de Vincent Puche, Président du cabinet de Conseil en Investissements Financiers Insti7, paru dans le magazine n° 4 des Professions financières et de l'économie.
L’assureur helvétique Swiss Life a publié mercredi 13 août un bénéfice net supérieur aux attentes pour le premier semestre et a annoncé l’acquisition d’un prestataire indépendant en gestion d’actifs immobiliers en Allemagne. Sur les six premiers mois de l’année, le bénéfice net de Swiss Life a atteint 487 millions de francs suisses (401 millions d’euros), en hausse de 3,1% par rapport à la période comparable l’an passé, a indiqué l’assureur zurichois dans un communiqué. Ses primes brutes ont augmenté de 4,2% à 10,8 milliards de francs. En Suisse, son plus gros marché, le volume des primes s’est accru de 12% à 6,6 milliards de francs suisses, porté par ses activités dans la prévoyance professionnelle. En France, son marché de référence hors de ses frontières, les primes ont quant à elle enregistré une progression de 4% à 2,4 milliards. En Allemagne, elles ont toutefois reculé de 8% à 783 millions de francs suisses. Le groupe a par ailleurs indiqué qu’il allait débourser 210 millions pour racheter Corpus Sire, un gestionnaire d’actifs immobiliers, auprès de trois caisses d'épargne allemandes. Cette acquisition nous permet de franchir une étape cruciale dans la gestion d’actifs immobiliers, l’un de nos domaines stratégiques clés, a déclaré Patrick Frost, le nouveau directeur général du groupe Swiss Life. La transaction sera réalisée au cours du second semestre sous réserve de l’approbation des autorités de concurrence. Pour lire l’intégralité du communiqué, cliquez ici.
Si Marie-Carmen Cambon (Mutlog) est de retour à son bureau depuis longtemps, étant partie en vacances fin mai-début juin pour découvrir le Botswana, de son côté, Raphaël Dressler (CCI Finance) prend actuellement de la hauteur en faisant un trek au Ladakh à 5000 mètres d'altitude... Cet été, il vous sera donc plus facile de croiser Vincent Malandain (Thélem Assurances) car, comme chaque année, il a choisi de séjourner dans une villa de la cité phocéenne.
Créée en 2006, Primonial Asset Management, la filiale de gestion du groupe Primonial, est spécialisée dans la multigestion. Celle-ci intègre sept fonds ouverts tous gérés de façon flexible, ainsi que des fonds dédiés pour un total de 850 millions d’euros.