Les fonds propres ont stagné au 31 mars 2016 à 6,358 Md€ tandis que les actifs affichent un rendement de 3,3%, en recul de 0,2 point. En tenant compte des fonds déposés chez les cédantes, le taux de rendement net des placements atteint 2,6%. Dans le contexte économique actuel, marqué par un environnement durable de taux bas et la volatilité des marchés, le réassureur a maintenu la gestion prudente de son portefeuille. Les liquidités ont augmenté pour s'élever à 14% du total des actifs contre 5% au premier trimestre 2015. Sur la période, le groupe a réduit l’exposition aux risques du portefeuille d’investissement, notamment ceux liés aux secteurs financier, énergétique, métallurgique et minier.
« Nous sommes en train de travailler pour identifier un nouvel administrateur délégué avant l’été », a déclaré Pietro Giuliani, président et administrateur délégué d’Azimut, dans une interview à Milano Finanza. « Son profil sera celui d’un homme de la gestion d’actifs, avec des compétences sur l’étranger et directes ou indirectes sur le numérique », précise-t-il. Pietro Giuliani mettra donc fin au cumul des mandats de président et administrateur délégué afin de répondre à « une demande spécifique de la Banque d’Italie ».
La boutique de gestion italienne Finlabo SIM a lancé le fonds Finlabo Dynamic Allocation en partenariat avec Patrimony1873, société suisse appartenant au groupe BSI, rapporte Funds People Italia. Le nouveau fonds vise à fournir un rendement absolu de l’ordre de 4-5 % par an en investissant dans diverses classes d’actifs. L’univers d’investissement principal sera constitué des marchés actions et obligataires. Mais dans une moindre mesure, le fonds pourra être investi dans des titres liés aux matières premières et à l’immobilier avec une approche opportuniste et flexible. Le lancement du fonds intervient à une période de forte croissance pour Finlabo, qui affiche un encours de 250 millions d’euros environ. La société souhaite désormais se développer à l’international et est en train de signer des accords pour distribuer le fonds Finlabo Dynamic Equity en Espagne, au Royaume-Uni et en France. Le fonds devrait en outre être coté à la Bourse de Milan.
Les études de rémunérations sont unanimes: en 2016, le salaire des DAF, au mieux, stagnera. Pourtant, certaines structures semblent conserver un certain dynamisme en matière de politique salariale. Si le DAF figurait, en 2012, parmi les "jobs en or" selon le cabinet Robert Half, ce n'était plus le cas en 2013 ni en 2014. Mauvaise nouvelle: la tendance s'est confirmée en 2015, et les prévisions de rémunération pour 2016 s'orientent à la baisse.
En amont de sa participation au panel de la Journée Nationale des Investisseurs intitulé "Le non coté est-il désormais incontournable dans l'allocation d'un investisseur institutionnel ?", Antoine Dréan, fondateur et président de Palico, a détaillé les principaux axes d'évolution de ce marché et notamment la façon dont Internet change la donne.
A l’issue des rencontres «Face aux Experts» réalisées lors des Clubs Dates Invest, le 7 avril dernier au XXII à Paris, Michèle Saint-Marc, membre du conseil d’administration de l’AFER, et Jean-Marc Pont, Investment Specialist chez Generali Investments, ont échangé sur les problématiques et les solutions de la silver economie.
Dans une interview au Financial Times, le directeur général de Julius Baer, Boris Collardi, a confié qu’il prévoyait de recruter au moins 50 chargés de relations supplémentaires en Asie, rapporte le Financial Times. En 2006, la banque n’avait aucune présence en Asie. Aujourd’hui, elle aligne 1.200 personnes dans la région. L’Asie représente 20-25 % des encours mondiaux de Julius Baer.
L’Arabie saoudite se propose de vendre en Bourse moins de 5% du géant pétrolier Aramco et de se doter d’un fonds souverain de 2.000 milliards de dollars (1.777 milliards d’euros), le plus important au monde, dans le cadre d’un vaste plan de réformes annoncé le 25 avril, rapporte l’AFP. Ces annonces ont été faites par le vice-prince héritier Mohammed ben Salmane dans une interview à la chaîne de télévision Al-Arabiya diffusée peu après l’adoption de ce plan par le Conseil des ministres présidé par son père, le roi Salmane. Elles confirment des déclarations récentes à l’agence Bloomberg (Newsmanagers du 4 avril 2016).Le jeune prince Mohammed, l’initiateur du plan de réformes baptisé Vision saoudienne à l’horizon 2030, a défendu l’ouverture d’Aramco au capital local et étranger qui, selon lui, va assurer la transparence dans la gestion de ce géant pétrolier. Le plan est destiné à diversifier l'économie du royaume saoudien, qui dépend largement du pétrole au moment où les prix du brut sont en chute libre depuis environ deux ans
L'immobilier représente, en moyenne, près de 7% du portefeuille des mutuelles et des établissements présents en retraite, d'après la nouvelle édition du Guide Instit Invest des investisseurs institutionnels. Nous vous proposons de (re)découvrir 4 institutions qui comptent renforcer leur exposition à cette classe d'actifs en vogue. La CAVEC va privilégier les immeubles de bureau. « Nous comptons aller jusqu’à 250, voire 300 millions d’euros d’investissement », indique Behdad Sabet, le directeur. De son côté, Prévifrance détient actuellement une poche immobilier dont l’encours s’élève à 35 millions d’euros. « Nous aurons sans doute un retraitement sur l’immobilier d’exploitation, qui n’est pas destiné à être cédé », développe Henry Mathon, son directeur général. Dans le cadre de la mise en place d'une poche dynamique, Alptis envisage un renforcement de ses investissements dans les SCPI. « L’immobilier présente un aspect long terme que nous privilégions », affirme Pascal Borocco, le directeur financier. Enfin, Adréa Mutuelle est en train de réfléchir à une rationalisation de ses actifs immobiliers. Bonne lecture !
Avec un encours total de 2 187 Md€, les placements financiers des assureurs français progressent de 28 Md€. La progression est de 25,4 Md€ pour les sociétés d’assurances vie et mixte.
L’action EDF accuse la plus forte baisse du SBF 120 lundi matin, des analystes soulignant l’effet fortement dilutif du plan de soutien financier de l'électricien public par l’Etat français, qui ne règle pas pour autant les difficultés industrielles de l’entreprise. Vers 12h30, le titre EDF chutait de 7,31% à 11,34 euros pendant que l’indice perdait 0,50%.
Indefi publie sa nouvelle étude «Les placements de trésorerie à l'ère des taux négatifs». Points clés : 40 investisseurs institutionnels et grandes entreprises : Analyse de la structure des placements de trésorerie et des dynamiques Plus de 109 Mds € d’encours de trésorerie sous gestion. Stratégies différenciées des investisseurs face à la baisse des taux : stratification de la poche de trésorerie, produits bancaires vs produits de gestion, recherche de produits de diversification Analyse des attentes des investisseurs. Enseignements pour les sociétés de gestion : offre produits (reengineering et innovations) et accompagnement des investisseurs dans leur démarche de diversification et de sortie du cash equivalent. 40 % des sondés ont désormais recours à des produits de gestion, 40 % à des produits bancaires et le solde en titres vifs. Mais derrière ce tableau d’ensemble, des évolutions marquées sont à relever. « Sur les huit dernières années, la part des OPCVM est assez stable », a noté Richard Bruyère. En revanche, pour les actifs hors OPCVM, a poursuivi Richard Bruyère, des changements sont intervenus. Depuis 2007/2008, la part des titres vifs a fondu et les placements bancaires ont sensiblement progressé. » La tendance est également au désengagement des produits de court terme (monétaires...). De 75 % en 2008, ces derniers ne représentent désormais que moins de 25 %. « Et ce phénomène a touché l’ensemble des investisseurs », a insisté le responsable, en relevant un déport des investissements vers l’obligataire court terme, surtout du côté institutionnels. Richard Bruyère a également recensé quelques solutions plus «sophistiquées» telles que des fonds de repo tandis que les assureurs ont plutôt tendance à réduire à minima leur poche de trésorerie, a-t-il relevé. Pour quel autre investissement ? Si tous ont conscience qu’un produit de substitution est difficile à fabriquer, voire à imaginer, quelques-uns se sont portés vers des produits alternatifs, comme des fonds de performance absolue aux rendements et à la volatilité globalement stables. Enfin, à la question de savoir si le risque s’est accru dans la poche gestion de trésorerie, Richard Bruyère a répondu par l’affirmative dès lors que l’on prend en compte l'évolution vers des produits obligataires, avec l’apparition de risque de crédit, risque de duration, voire pour les plus grands établissements, risque de devises. Quant à ceux qui ne font pas d’OPCVM, il y a un risque de concentration du risque de contrepartie.» En cela, la volonté de la BCE de ne plus fabriquer du rendement sans risque est respectée», a conclu Richard Bruyère... Télécharger le résumé
Faciliter la transformation de contrats d’assurance vie mono-support de groupe vers des multi-supports en simplifiant le dispositif « Fourgous » : c’est le sens de la proposition soutenue par la MACSF et adoptée par la commission des assurances de personnes de l’AFA.
Dans le cadre d'une interview accordée à Distrib Invest, Dominique Villeroy de Galhau, directeur général de la Financière Tiepolo, est revenu sur la philosophie de gestion de la société de gestion parisienne. Une philosophie mettant en avant les petites sociétés de gestions.
EuropaCorp a poursuivi jeudi la réorganisation de son état-major avec la nomination d’un nouveau directeur général délégué, une promotion qui intervient deux mois après le départ de Christophe Lambert de la tête de la société de production créée par le réalisateur Luc Besson. Edouard de Vésinne, co-président avec de la filiale EuropaCorp Television, travaillera sous les ordres de Marc Shmuger, nommé directeur général après le départ de Christophe Lambert.
Julien Dorieux, directeur des investissements du groupe Klesia dans une interview parue dans NewsManagers : NM : Quelle est la stratégie poursuivie sur l’immobilier ? J.D. : Nous avons un programme de cessions immobilières assez important, sachant que l’immobilier représente 700 millions d’euros sur l’ensemble de nos encours totaux. Sur ces 700 millions d’euros, 75% sont en retraite complémentaire et 25% en assurances de personnes. En assurances de personnes, il s’agit surtout d’immobilier d’exploitation. En retraite complémentaire, nous avons essentiellement du patrimoine social pour lequel l’objectif est plutôt de vendre. Il y a deux sujets. D’abord, le patrimoine immobilier, qui est dans le giron de l’activité de retraite complémentaire, est aujourd’hui concerné par cette stratégie de désinvestissement. Ensuite, côté assurances de personnes, l’immobilier est clairement considéré comme une poche de diversification mais aussi dans une logique patrimoniale. Dans ce cadre, la poche immobilière des assureurs du groupe est aujourd’hui quasi exclusivement constituée d’immeubles d’exploitation. Entre les opérations d’acquisitions et les cessions que nous menons actuellement, l’allocation immobilière en assurances de personnes sera de l’ordre de 15%. Mais au regard du coût de cette classe d’actifs sous Solvabilité 2, nous ne souhaitons pas aujourd’hui aller au-delà. Nous regardons l’immobilier « papier » mais à ce stade nous ne nous sommes pas encore positionnés.
Le groupe MGEN-Istya-Harmonie, nom (temporaire) du futur groupe mutualiste de protection sociale, devrait être officiellement créé au cours de l’automne 2016. Sa structure est, de son côté, désormais connue. Les détails.
Dans le cadre des échanges d’informations obligatoires entre investisseurs professionnels et sociétés de gestion, et afin de faciliter la fluidité des éventuelles mises à jour, l’AFG, l’AF2i et l’AFTE ont établi un modèle unique de formulaire KYC (« Know Your Customer ») à l’usage des investisseurs institutionnels et des corporates répondant aux obligations réglementaires standard. Partie 1. Les informations collectées répondent aux réglementations relatives à : la Lutte contre le Blanchiment des Capitaux et le Financement du Terrorisme FATCA Partie 2. Dans le cas où la société de gestion fournit un conseil en investissement à l’investisseur, les informations collectées répondent à : la Directive MIF, notamment la connaissance du client en termes d’objectifs d’investissement et d’adéquation de l’offre (RG AMF art. 314-43 et suivants) Ces informations doivent être fournies par les investisseurs aux sociétés de gestion au moment de leur entrée en relation. Elles doivent être mises à jour à fréquence régulière, ainsi qu’à l’occasion d’un changement significatif chez l’investisseur entrainant la modification d’une des données ou, enfin, lorsque les parties l’estiment nécessaire (par exemple, lors de l’offre d’un nouveau produit non couvert dans le questionnaire. Découvrez un mode?le de KYC Professionnel
A l’issue des rencontres «Face aux Experts» réalisées lors des Clubs Dates Invest, le 7 avril dernier au XXII à Paris, Vincent Durel, gérant actions européennes chez Fidelity International, et Caroline Le Meaux, responsable de la gestion déléguée au sein de la direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts, ont échangé sur la méthodologie de calcul de l’empreinte carbone mais également sur le marché des actions de qualité.
Pierre-Maxime Duminil, directeur général de la CAVAMAC, a précisé à Instit Invest l'organisation et le suivi de la gestion déléguée au sein de l'institution en indiquant notamment qu'à terme, la mise en place d'un dépositaire unique pouvait être judicieuse.
La concurrence s’intensifie sur le marché scandinave de la gestion d’actifs : de plus en plus de sociétés de gestion étrangères arrivent sur ce marché, tandis que les acteurs locaux grandissent et renforcent leurs compétences, observe Morten Simonsen, responsable Europe du Nord de Pioneer Investments, dans une interview à Realtid.se. « Si je devais décrire le marché nordique, je dirais qu’il y a de moins de moins de clients à démarcher mais de plus en plus de concurrents. L’accès aux clients est beaucoup plus difficile de nos jours et si vous n’avez pas de relation sur ce marché, il est impossible de percer », poursuit-il. Pour lui, les besoins des clients évoluent et ces derniers privilégient les solutions sur mesure. Dans la sphère institutionnelle, il convient de développer des solutions spéciales basées sur un budget de risque, un niveau de risque ou rendement. Le nouveau commercial pour les marchés nordiques de Macquarie Investment Management, David Derger, partage cet avis. « Nous avons plusieurs clients dans la région nordique et nous avons constaté beaucoup d’intérêt pour nos stratégies actions asiatiques. Mais une partie de mon travail est aussi d’introduire de nouvelles stratégies, lorsqu’elles sont adaptées ». L’une des autres difficultés pour les sociétés de gestion étrangères est que les institutionnels ont tendance à internaliser leur gestion, selon Morten Simonsen. Cette tendance s’observe au Danemark et surtout en Suède.
Ardian a annoncé mardi la clôture de son septième fonds secondaire qui, avec des engagements de 10,8 milliards de dollars (9,5 milliards d’euros), devient le plus important véhicule de l’histoire de sa catégorie. Outre ce fonds, l’activité fonds de fonds d’Ardian a également collecté 3,2 milliards de dollars d’engagements pour investir en primaire dans de nouveaux véhicules de private equity.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé, le 15 avril, qu’Andreas Beroutsos a pris la décision de quitter ses fonctions de premier vice-président en charge des placements privés et infrastructures. L’intéressé a expliqué sa décision par sa volonté de passer davantage de temps auprès de sa famille. Andreas Beroutsos demeurera à la Caisse encore quelques mois pour assurer une transition ordonnée et continuera de représenter la Caisse au sein de certains conseils d’administration.
L’immobilier commercial en France est surévalué de 15% à 20%, voire jusqu'à 30% pour le marché des bureaux à Paris, a averti vendredi le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), un organisme lié à Bercy qui veille à la stabilité du système financier. «L’immobilier commercial français dans son ensemble pourrait présenter une surévaluation, dans une fourchette de 15%-20%, avec des chiffres proches de 30% pour certains segments tels que les bureaux parisiens», a estimé l’organisme, qui regroupe notamment le ministère des Finances et la Banque de France, dans une note sur le secteur. Ce secteur, qui désigne le parc immobilier détenu par des investisseurs, fait l’objet d’"une présence importante d’investisseurs étrangers sur le marché français, qui contribuent au fort dynamisme de la demande soutenant un niveau de prix élevé et conduisant à une érosion graduelle de la rentabilité locative», constate le HCSF. «Ce cycle haussier paraît à ce stade principalement soutenu par des investisseurs à la recherche d’actifs de qualité. A l’heure actuelle, les indicateurs ne montrent pas d’emballement de la construction», tempère-t-il. «Cependant, certains éléments appellent à la vigilance», alerte l’organisme, qui cite «la dégradation de la rentabilité locative», qui pourrait mettre fin au niveau élevé de la demande, aujourd’hui «soutenue par un contexte de hausse des prix d’actifs et des perspectives de plus-value de cession». Par ailleurs, «le niveau de prix élevé sur le segment de l’immobilier de bureau en Ile-de-France (...) doit parallèlement être surveillé avec attention, du fait de la place prépondérante de certains investisseurs (notamment les assureurs) sur ce segment, et des potentiels effets d’entraînement qu’il pourrait engendrer en cas de retournement». Enfin, «le taux de vacance élevé des bureaux franciliens observé sur les dernières années alerte sur (...) (le) développement d’une offre éloignée de la demande sur certains segments de marché (obsolescence rapide du parc, mutation de la demande en matière de qualité de bien et de localisation)». «Il convient par conséquent que les acteurs détenteurs et acquéreurs mènent une évaluation prudente de la valorisation de ces actifs et s’assurent de leur capacité à faire face à des tensions sur les prix ou la liquidité de ces biens en cas de retournement du cycle», conclut-t-il. Créé en 2013, le HCSF a pour mission d’"analyser, surveiller et maîtriser le risque systémique, c’est-à-dire le risque que se produise un dysfonctionnement du système financier dans son ensemble». Présidé par le ministre des Finances, Michel Sapin, il rassemble notamment le gouverneur de la Banque de France et le président de l’Autorité des marchés financiers.
« Dans ma promo, je fus la seule à vouloir absolument rejoindre un cabinet indépendant », se souvient Pascale Baussant, fondatrice du cabinet de conseil en gestion de patrimoine qui porte son nom. Diplômée, en 1996, de la deuxième promotion du Mastère Spécialisé en gestion de patrimoine de l’ESCP en complément de sa formation à l’ESC Marseille (ex-Kedge), cette passionnée de l’entrepreneuriat n’a depuis cessé de promouvoir la profession, sur le terrain associatif comme dans les médias. Jusqu’à prendre goût au journalisme.
Le fonds norvégien (860 milliards de dollars) n’investira plus dans 52 entreprises qui sont trop dépendantes du charbon, rapporte le Financial Times. Parmi ces sociétés figurent le Drax au Royaume-Uni, AES, Dynegy et First Energy aux Etats-Unis, Reliance Power et Tata Group en Inde et quelques groupes chinois. Cette décision intervient quatre mois après l’accord sur la COP 21 à Paris. Il est d’autant plus important que le fonds norvégien tire son financement des revenus du pétrole.
La France mènera à son terme le projet de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point, en Grande-Bretagne, a assuré le ministre français de l’Economie, Emmanuel Macron, dans une interview à la BBC diffusée dimanche. « Maintenant, nous devons finaliser le travail, et notamment le travail technique et industriel, en étroite collaboration avec EDF, avec le gouvernement britannique, pour être en situation de signer dans la semaine à venir ou plus tard », a-t-il ajouté. Le ministre avait déclaré mercredi aux syndicats d’EDF, qui jugent ce projet trop coûteux et aléatoire, que sa décision n'était pas prise sur ce chantier controversé.