La Tribune de l’Assurance a interviewé Olivier Mariée, directeur de la distribution épargne et Wealth Management d’Axa France, et Hubert Rodarie, directeur général délégué du groupe SMA, sur leur point de vue sur les grands enjeux du moment dans le milieu assurantiel.
Eurazeo investit 20 millions d’euros dans le site Internet Farfetch. La place de marché de produits de luxe et de beauté lève au total 110 millions de dollars (96 millions d’euros) pour son nouveau tour de table qui réunit aussi IDG Capital Partners, Temasek et Vitruvian Partners. Eurazeo intervient dans l’opération via Eurazeo Croissance, sa division dédiée aux nouvelles technologies, par ailleurs actionnaire de Vestiaire Collective, Prêt d’Union et PeopleDoc.
L’année 2015 consacre une montée en puissance inédite des souscriptions en unités de compte, ces supports diversifiés ayant absorbé l’an passé plus de la moitié de la collecte nette. Confrontés à un environnement de taux bas qui rebat durablement les cartes de leur modèle de gestion, les assureurs veulent transformer l’essai. Mais le contexte boursier du moment ne leur facilité pas la tâche.
Un guichet unique pour les fintech. Dès le mois de juin, les start-up de la finance vont pouvoir s’adresser à un «?pôle commun?» dédié, mis en place par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (qui chapeaute les banques et les assurances et est rattachée à la Banque de France) et par l’Autorité des marchés financiers. En parallèle, un forum consultatif sera installé pour faire dialoguer les superviseurs et les fintech.
La baisse des flux issus des revenus du pétrole ne changera pas la stratégie d’investissement du fonds norvégien, ni son besoin de diversification, affirme Trond Frande, directeur général adjoint du Norges Bank Investment Management (NBIM), qui gère le Government Pension Fund Global (GPFG), dans une interview à IPE. Le gouvernement norvégien a retiré de l’argent du fonds pour la première fois au premier trimestre de cette année, sortant 25 milliards de couronnes.
Eurazeo annonce un investissement de 20 millions d’euros dans le site Internet Farfetch. La place de marché de produits de luxe et de beauté lève au total 110 millions de dollars (96 millions d’euros) pour son nouveau tour de table qui réunit aussi IDG Capital Partners, Temasek et Vitruvian Partners.
Le président de la Réserve fédérale de San Francisco, John Williams, a déclaré qu’il apporterait sous conditions son soutien à une hausse de taux en juin. Si l’inflation continue a augmenter vers l’objectif de 2% de la Fed, que la croissance économique repart vers le rythme de 2% visé sur l’année et que les créations d’emplois restent soutenues, «il serait approprié» de relever les taux en juin, a-t-il déclaré mardi dans une interview sur Bloomberg Radio.
Avec plus de 2 milliards d’euros d’encours, ACG Capital compte parmi les premières sociétés de gestion de private equity en France. La structure dispose d’une base d’investisseurs, essentiellement institutionnelle, qui compte environ 90 noms parmi les acteurs de référence.
Lors d'une interview accordée au Cercle LAB, Jean-Pierre Menanteau, directeur général du Groupe Humanis, revient sur les valeurs des groupes de protections sociales, ainsi que sur leurs actions à long terme et leurs politiques socialement responsables.
Si la mutuelle d'épargne Carac continue de voir le nombre de ses adhérents progresser, elle enregistre en revanche une baisse significative de son résultat net en 2015.
A l'occasion d'une conférence de presse qui s'est déroulée mardi 3 mai, AG2R La Mondiale a annoncé un résultat net 2015 en progression de 5,7%, soit 299 millions d'euros. La collecte brut globale s'élève quant à elle à près de 27,8 milliards d'euros (+47,8%) et un ratio de solvabilité à 285%.
Sham a réalisé de nombreux arbitrages sur son portefeuille financier depuis le début de l’année. Romain Durand, responsable des investissements, nous explique pourquoi l’assureur de la responsabilité civile médicale en France a augmenté les poches immobilier et monétaire, au détriment de celle consacrée aux taux, sans oublier d’évoquer son positionnement dans le financement de l’économie française.
Quatre organisations représentant plusieurs centaines de fonds d’investissement dans le monde ont demandé aux producteurs d'électricité de mieux se préparer à la transition énergétique. Les investisseurs institutionnels sont inquiets de voir que certaines entreprises ne sont pas suffisamment préparées à la transition vers une économie bas carbone, indiquent dans un document commun IIGCC, qui rassemble des fonds européens, INCR en Amérique du Nord, AIGCC en Asie et IGCC en Australie et Nouvelle-Zélande. La plupart des grands fonds, banques et assureurs y sont représentés, comme les américains BlackRock et KKR, le britannique Aviva, le suisse UBS ou encore le français Axa. Ces quatre organisations, qui affirment gérer plus de 20.000 milliards d’actifs, ont ainsi publié un guide pour exposer les menaces qui pèsent sur les producteurs d'électricité et les attentes des investisseurs sur la manière dont ces entreprises doivent agir pour adapter leurs stratégies à la trajectoire des 2°C. L’objectif est de stimuler et faciliter une discussion pertinente sur les risques et les opportunités liées au changement climatique et sur les stratégies appropriées, dans le but de limiter les risques de long terme qu’ils représentent pour les investisseurs.Les risques ne sont pas théoriques, ils sont aujourd’hui une réalité pour les groupes producteurs d'électricité et leurs investisseurs sur tous les marchés, a insisté Emma Heard, présidente de IGCC Australie et Nouvelle-Zélande, citée dans un communiqué. Cet appel intervient une semaine après que 175 pays ont signé l’accord de Paris sur le climat à l’ONU à New York, négocié en décembre dernier dans la capitale française.
Avec 9,3 % de part de marché à fin 2015, les fonds de droit français se classent désormais en troisième position, loin derrière le Luxembourg (36,1 %) et l’Irlande (17,7 %). En se positionnant comme des HUB dédiés à l’exportation, ces deux pays sont en effet devenus incontournables pour les sociétés de gestion françaises à la recherche de relais de croissance à l’étranger. Après les fonds, les sociétés de gestion pourraient bien suivre le même mouvement de délocalisation. Pour enrayer ce nouveau phénomène, la place de Paris cherche à se doter d’outils à même de favoriser l’exportation de fonds et d’attirer des capitaux étrangers.
Dans le cadre d’une consultation lancée le 20 avril dernier, l’Autorité de contrôle européenne des assurances et des pensions professionnelles (Eiopa) préconise un abaissement de l’« ultimate forward rate » (UFR ou taux ultime) qui s’applique aux engagements à long terme des assureurs. Une mesure qui pourrait avoir des répercussions sur les provisions techniques et les ratios de solvabilité des compagnies.
Alors que la MACSF poursuit le développement de son plan stratégique, elle réalise un résultat historique à 207,8 millions d'euros en 2015 contre 127,9 millions d'euros en 2014.
Si la collecte des acteurs du marché de l’épargne retraite a légèrement progressé en 2015, c’est en partie grâce aux bons résultats obtenus sur le Perp, devenu en quelques années un produit de défiscalisation. En revanche, les contrats Madelin et les contrats d’épargne retraite d’entreprise semblent plafonner.
Alors que le projet de loi Sapin 2 relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique comporte de nombreuses dispositions relatives à l’assurance, Bercy précise ses intentions avant la tenue des débats parlementaires. L’occasion, pour L’Argus, de faire un point avec le régulateur sur les sujets qui font l’actualité du secteur?: création d’un fonds de retraite professionnelle supplémentaire, décollage de l’eurocroissance, instauration de la résolution en assurance, rémunération de l’assurance vie, premier bilan de la loi Hamon… Sans oublier les chantiers européens en cours et à venir autour de Solvabilité 2 et de la Directive sur la distribution d’assurance (DDA). Le point avec Thomas Groh, sous-directeur des assurances à la direction générale du Trésor.
La société de gestion coréenne Samsung Asset Management vient de lancer son troisième ETF à Hong Kong, rapporte Asia Asset Management. Le Samsung S&P GSCI Crude Oil ER Futures ETF est le premier ETF qui suite le pétrole brut à Hong Kong. Il doit être coté sur la Bourse de Hong Kong le 29 avril. Cela intervient 10 mois après le lancement des premiers ETF sur le territoire par Samsung.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Italian asset management specialist Azimut Holding group has approved permission from the Bank of Italy to spin off, creating Azimut Consulenza SIM as part of Azimut Capital Management SGR. The clearance to convert CGM Italia SIM into an asset management firm is no longer granted. The move follows a decision by the board of directors at Azimut Holding to reshuffle, and to convert to investment company status, rather than asset management firm (SGR). The reorganization will allow Azimut no longer to be subject to CRD IV legislation, and thus to be on a footing with other international players. In an interview with Milano Finanza, the chairman and CEO of Azimut announced that he would be moving abroad if he did not obtain the conversion to SGR.
La Macif parachève son plan stratégique moyen terme, entamé en 2013. Fort d'un ratio combiné de 99,2 % sur son coeur de métier IARD, d'un chiffre d'affaires global de 6,1 Md€ (+3,4%) et d'un résultat net de 205 M€ (+12%), la mutuelle a retrouvé sa santé financière.
Annoncé en novembre 2015 par Emmanuel Macron, le « fonds de pension à la française » apparaît dans le projet de loi relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique («Loi Sapin II»), adopté en Conseil des Ministres le 30 mars 2016.
Dans une interview au Financial Times, Norihiro Takahashi, le responsable du Government Pension Investment Fund, a déclaré que le fonds de pension japonais conserverait son exposition au risque de change, même s’il se réserve la possibilité de réaliser quelques couvertures pour réduire la volatilité. Cela va apaiser les inquiétudes des investisseurs qui craignaient qu’une intervention du GPIF ne conduise à une nouvelle hausse du yen. Cela pourrait aussi aller à contre-courant de l’un des objectifs de la réforme du fonds mise en œuvre par le premier ministre Shinzo Abe, qui a réduit l’exposition du fonds aux obligations gouvernementales japonaises et renforcé les actions étrangères.
La Banque du Japon (BoJ) a laissé sa politique monétaire inchangée, prenant de court nombre d’investisseurs, qui avaient anticipé de nouvelles mesures d’assouplissement au vu de différents facteurs menaçant de faire dérailler une reprise économique fragile. Le statu quo intervient après la publication d’un recul des prix à la consommation en mars au Japon le plus marqué depuis trois ans et d’une baisse des dépenses des ménages la plus prononcée en un an.