La date du procès relatif à la plainte déposée par le fonds souverain libyen contre la Société Générale a été repoussée au 25 avril 2017 par un juge londonien, rapportait hier soir Reuters. Le dossier, dans lequel la Libyan Investment Authority (LIA) réclame près de 2,1 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros) à la banque française, devait initialement donner lieu à un procès en janvier prochain. Le report décidé hier intervient après une demande d’ajournement des défenseurs de la Société Générale. Lors de l’audience de mercredi, la banque a accepté de fournir une explication à l’utilisation de certains noms de code d’ici au 7 octobre. La LIA affirme que les transactions contestées ont été réalisées via un «mécanisme frauduleux et corrompu ayant conduit au versement de 58,5 millions de dollars à une société enregistrée au Panama dénommée Lenaida. La Société Générale réfute ces allégations et «toute affirmation tendant à mettre en cause la légalité de ces investissements».
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In an interview with Investment Week, Philip Wagstaff, global headd of distribution at Henderson Global Investors (Henderson GI), has announced that the asset management firm continues to be interested in new acquisitions in management. “Acquisitions are part of our DNA. We acquired Gartmore and several small structured and we will certainly make more acquisitions in the next five years,” he tells the British media. Since the beginning of the year, assets at Henderson GI have risen by GBP700m to GBP92.7bn as of 31 March 2016, supported by net subscriptions of GBP90m, largely to European and absolute return strategies, Waagstaff says.
Komatsu a conclu un accord en vue d’acquérir le fabricant américain de matériel d’exploitation minière Joy Global pour 2,9 milliards de dollars (2,63 milliards d’euros), ce qui en fera sa plus importante acquisition et lui permettra de se renforcer sur son activité principale. Komatsu va payer 28,30 dollars par action, une prime de 20% par rapport au cours de clôture de mercredi de sa cible.
Dans une interview accordée à Patrimoine TV, Géraldine Métifeux, associée gérante chez Alter Egale, fait un point sur l'état actuel des marchés financiers un peu moins d'un mois après le Brexit. Elle passe en revue les bonnes surprises et les déceptions de son portefeuille et explique sa stratégie d'allocation.
Selon le classement mondial des assureurs d'Asset Owners Disclosure Project (AODP), la France est le seul pays à avoir quatre assureurs dans le Top 10, notamment AXA, 2ème avec la note BBB (devancé seulement par Aviva, qui reste leader avec la note A). A noter que AXA passe cette année devant Allianz, note B). Les autres français du top 10, non classés l’an dernier, sont Maif (6ème, note CC), Crédit Agricole Assurances (9ème, note CC) et CNP Assurances (10ème, note C). Autre motif de satisfaction, aucun français ne figure dans le groupe des “gros assureurs à la traîne” (“largest laggards”), qui compte notamment 4 Japonais et 2 Américains.
Après avoir détaillé le schéma de gouvernance de l’Agirc-Arrco, dont la commission financière joue un rôle important, Philippe Goubeault, directeur financier de l’institution de retraite, explique comment il aborde la gestion des risques dans le pilotage de ses portefeuilles financiers ainsi que les impacts des taux bas sur ces derniers, à l’occasion du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016.
Le fonds de pension suédois AP4 va investir 3,2 milliards de dollars dans des fonds d’investissement passifs conçus par le fournisseur d’indices MSCI, qui suivront des indices bas carbone, rapporte le Financial Times fund management (FTfm). L’institution, qui gère 35 milliards de dollars, souhaite en effet « décarboniser » son portefeuille d’actions internationales (14,7 milliards de dollars d’encours) d’ici à 2020. Pour ce faire, le fonds de pension va drastiquement réduire ses investissements dans des entreprises polluantes et consommatrices d’énergies fossiles et, à l’inverse, accroître son allocation dans les entreprises ayant de faibles émissions carbones. Cette décision intervient dans un contexte de pression croissante sur les investisseurs institutionnels afin qu’ils protègent leurs portefeuilles contre les risques de réchauffement et de changement climatique.
La Direction Générale et les Organisations Syndicales ont signé au mois de juin trois accords collectifs ; un sur le temps de travail et deux sur les dispositifs d'épargne salariale. Ces accords traduisent l'attachement commun de la direction Générale et des partenaires sociaux à la vision donnée par le plan stratégique de la MACSF.
Définie comme un laboratoire d’innovation dédié aux architectures de consensus décentralisé, LaBChain a pour objectif de mutualiser les démarches d’exploration et d’anticiper collectivement les opportunités et impacts de cette rupture technologique, en priorité dans les métiers de la banque-finance-assurance. Cette initiative soutient également le développement de l’écosystème français dédié à la technologie Blockchain en organisant ses travaux autour de partenariats en mode agile entre grands groupes et start-ups.
Le maire de la ville d’Amsterdam, Eberhard van der Laan, a écrit au fonds de pension néerlandais ABP, dont les encours s’élèvent à 363 milliards de dollars, pour lui demander d’arrêter d’investir dans des sociétés ayant des activités dans les énergies fossiles, rapporte le site IPE.com. « Si ABP n’arrête pas ses investissements dans l’industrie des énergies fossiles, dans un délai raisonnable, les épargnants courront un risque sérieux », écrit le maire d’Amsterdam. Cette démarche s’explique par le fait qu’ABP assure et gère les retraites des employés municipaux aux Pays-Bas. La demande du maire d’Amsterdam intervient alors que la ville a pris la décision de se délester de tout investissement incompatible avec son objectif d’accélérer sa transition vers une « économie circulaire » afin de se prémunir contre les impacts climatiques jugés irréversibles.
La Loi de Transition Energétique (LTE) demande aux investisseurs institutionnels de fournir au plus tard le 30 juin 2017, des informations sur « les modalités de prise en compte dans leur politique d’investissement des critères relatifs au respect d’objectifs sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance et sur les moyens mis en œuvre pour contribuer à la transition énergétique et écologique » et « comment ils exercent les droits de vote attachés aux instruments financiers résultant de ces choix ». .
Au second semestre, les investisseurs institutionnels qui ne se sont pas encore penchés sur l'article 173 de la loi de Transition Energétique et Ecologique, devront se préparer à communiquer notamment sur le risque climatique de leur portefeuille. Dans cette perspective, l’Af2i a publié, ce lundi, son Guide d'aide à sa mise en œuvre, alors qu'au même moment, nos voisins helvétiques avancent dans le même sens à leur façon. En effet, la Fondation Ethos, qui regroupe 222 investisseurs institutionnels suisses, vient de demander la publication obligatoire d’un rapport de développement durable pour les entreprises cotées.
Dans ce contexte, nous avons choisi de vous faire (re)découvrir la façon très différente dont 4 institutions françaises développent leur politique d’investissement responsable et ont d'ores et déjà fait le choix de communiquer sur leurs initiatives.
Selon Le Temps, UBS reste le leader incontesté de la gestion de fortune mondiale au classement 2016 (calculé en dollars) de l’institut de recherche britannique Scorpio, fondé sur l’interview de 75.000 millionnaires, milliardaires et de 12.500 professionnels de la gestion. La banque de Sergio Ermotti subit toutefois une baisse de 1% des actifs sous gestion en 2015, à 1.737,5 milliards de dollars. UBS est suivie de Bank of America Merril Lynch (1.444,8 milliards de dollars d’actifs), qui gagne une place, et Morgan Stanley (1.439,4 milliards), en baisse d’une place sur un an. Credit Suisse est 4éme, suivie de Royal Bank of Canada. BNP Paribas perd une place et se classe 9éme, Credit Agricole 22éme et CIC 25éme.
CNP Assurances et Klesia viennent d'annoncer la signature d'un protocole d'accord sur la distribution. Les explications de Catherine Abiven, directeur général délégué du groupe de protection sociale, et de Magaly Siméon, membre du Comex en charge de la protection sociale et des services au sein de la compagnie, sur les enjeux et les caractéristiques de cet accord
Les assemblées générales des groupes Harmonie et Istya, de la MGEN et d’Harmonie Mutuelle ont validé la gouvernance, l’organisation et les orientations stratégiques du futur groupe.
La loi Eckert prévoit le transfert vers la CDC des sommes non réclamées depuis plus de dix ans. Banques et assurances s’attellent à une remise à plat des bases clients.
L’étude annuelle de l’ACPR sur les taux de rendement des contrats d’assurance vie révèle un taux moyen de 2,27% en 2015 sur le fonds euros. Un taux jugé toujours trop élevé par rapport au contexte de taux bas.
JPMorgan a annoncé mardi son intention d’augmenter le salaire minimum de 18.000 de ses salariés aux Etats-Unis sur trois ans, une décision qui intervient après des pressions politiques. La banque américaine portera ainsi son salaire minimum, actuellement fixé à 10,15 dollars (9,18 euros) de l’heure, entre 12 et 16,50 dollars de l’heure selon les endroits et la situation des marchés locaux, a précisé son directeur général, Jamie Dimon, dans une tribune publiée par le New York Times.
La norme IFRS 9 traite de la comptabilisation des instruments financiers. Elle a été publiée le 24 juillet 2014 et, sous réserve de son adoption par l’Union européenne, devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2018. Elle remplacera la norme IAS39 «Instruments financiers : comptabilisation et évaluation ». Ce sujet est stratégique non seulement pour les entités publiques ou privées soumises aux IFRS, qui ont une
activité importante de gestion d’actifs, à vocation de placement ou d’investissement à long terme, mais également pour l’industrie de la gestion et pour l’évolution des marchés financiers.
Ils ont abaissé le seuil minimum d'approbation de l'offre par les actionnaires de Deutsche Börse pour être certains d'obtenir leur aval, repoussé au 26 juillet.
Le référendum sur la réforme constitutionnelle en Italie aura lieu le 30 octobre ou le 6 novembre, a indiqué lundi Matteo Renzi. Dans une interview à la chaîne Corriere TV à Milan, le président du Conseil italien a précisé qu’il reviendrait la Cour de cassation de fixer la date de la consultation. Le texte est l’une des principales promesses électorales du président du Conseil italien. Il propose notamment de limiter les pouvoirs législatifs du Sénat et de lui retirer celui de renverser le gouvernement.
Champion des unités de compte avec un taux de 69 % dans la collecte nette, Neuflize vie multiplie les actions pour freiner la collecte en euros. Les futurs pouvoirs du Haut conseil de la stabilité financière – possibilité de blocage des rachats, avances et arbitrages – en deviennent même un argument commercial.