La banque mobile de l’opérateur télécoms Orange développée avec Groupama ne sera finalement pas déployée auprès du grand public le 6 juillet, comme prévu initialement, mais à la rentrée 2017. Dans une interview à Paris Match publiée aujourd’hui, le directeur général d’Orange Stéphane Richard explique : « J’ai décidé de prolonger la phase de test. Nous allons prendre le temps nécessaire, car nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir le moindre bug. […] Je suis optimiste. »
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; } The Swiss private bank Mirabaud will continue to invest in asset management. In an interview with Agefi Hebdo on 29 June, Yves Mirabaud, senior managing partner at the group, also states that although the private bank “remains the flagship” with CHF25bn in assets under administration as of the end of 2016, “we will continue to invest in asset management, an activity which we have developed strongly for 10 years.” The director estimates that this activity already has a satisfactory balance between private banking and external clients (CHF3.2bn and CHF4.9bn as of the end of 2016). “It is a very complimentary profession, and more complex to approach due to the fact of the large number of intermiediaries, including consultants,” he adds. Mirabaud also had a “better start” to the year in 2017 than in the previous year (net profits in 2016 up 17% to CHF32m). “But nothing is certain, we remain subject to the volatility of the markets and the level of activity of our clients. We must maintain pressure on costs. Costs related to regulations are constantly rising,” Mirabaud says. The bank also states that it wishes to ensure “organic” growth. “We turn down a lot of business that is not profitable enough. This explains why external growth is not really in our genes.”
Byblos, fonds de pension italien pour les salariés des entreprises graphiques, éditoriales et du papier, va investir 5 millions d’euros dans le Supply Chain Fund, un fonds de financement direct spécialisé dans l’acquisition de créances commerciales directement auprès des petites et moyennes entreprises. Ce fonds est géré par Groupama Asset Management. L’investissement de Byblos intervient à l’issue d’un appel d’offres. Byblos est le premier fonds de pension italien qui investit directement dans le fonds SCF, indique un communiqué.Ainsi, le fonds Supply Chain a recueilli 72 millions d’euros pour des investissements à valoir sur des créances commerciales qui équivalent à une capacité de financement complète potentielle d’environ 288 millions d’euros sur base annuelle en faveur des PME. Le profil d’investissement du fonds est assimilable à un produit obligataire à très court terme, en raison d’une duration moyenne des créances courant de 90 à 120 jours, avec un rendement objectif égal à Euribor +200 points de base nets de frais.
La Financial Conduct Authority (FCA) a publié hier ses propositions finales de réformes destinées au secteur de l’asset management britannique. Un secteur de quelque 6.900 milliards de livres dont environ 1.000 milliards sont gérés pour les particuliers britanniques, 3.000 milliards pour le compte de fonds de pension britanniques et autres investisseurs institutionnels, le reste étant géré pour le compte d’investisseurs étrangers. Ce rapport intervient quelques mois après la publication de travaux intermédiaires qui ont suscité des centaines de commentaires de la part des acteurs concernés, dont la FCA affirme qu’elle a été « très à l’écoute ».L’objectif de la FCA est de modifier certaines pratiques du marché outre-Manche pour renforcer la protection des investisseurs et faire vraiment fonctionner les mécanismes de concurrence entre les sociétés de gestion à un moment où la gestion d’actifs joue un rôle clef dans l’économie. Elle a directement dans son viseur les politiques de prix sur le segment de la clientèle des particuliers. Au vu des commentaires de la FCA, ce dernier segment semble en effet être défavorisé par rapport à celui des investisseurs institutionnels. La FCA explique ainsi avoir réalisé des travaux additionnels sur la tarification des mandats ségrégués qui sont généralement vendus aux grands investisseurs institutionnels. « Ces travaux ont montré que les prix ont tendance à diminuer lorsque la taille du mandat augmente. Or, ces prix plus bas ne semblent pas être appliqués pour des fonds de taille équivalente lorsqu’ils sont destinés à la clientèle de particuliers », s’étonne le rapport.La FCA s’étonne également d’un fort regroupement des prix dans la gestion active pour les fonds retail, alors que les charges liées à la gestion active « sont restées largement stables au cours des 10 dernières années ». Elle assure être « d’accord avec les répondants qui ont dit que, en eux-mêmes, le regroupement des prix et les prix largement stables ne signifient pas nécessairement que les prix sont supérieurs à leur niveau concurrentiel. Cependant, nous avons également constaté des niveaux élevés de rentabilité, avec des marges bénéficiaires moyennes de 36% pour les entreprises de notre échantillon. Les témoignages des entreprises nous ont également suggéré qu’elles ne réduisent généralement pas les prix pour gagner de nouvelles parts de marché. La combinaison de ces facteurs nous amène à penser que la concurrence sur les prix ne fonctionne pas de manière aussi efficace qu’elle pourrait ».Dans ses suggestions pour améliorer la concurrence sur les prix, la FCA soutient ainsi la mise en place d’un «prix unique» regroupant les différents frais que paie l’investisseur. Elle compte également créer un groupe de travail pour « déterminer comment rendre les objectifs des fonds plus utiles, consulter sur la façon dont les indices sont utilisés et comment les performances sont communiquées ». Le régulateur s’est défendu des accusations de favoritisme à l'égard de la gestion passive faites par une partie de l’industrie. Pour lui il s’agit avant tout d’améliorer la transparence pour les investisseurs et la compréhension des prix qui sont associés aux produits. Sur le volet de la protection des investisseurs, la FCA veut renforcer l’obligation faite aux gérants d’agir dans le meilleur intérêt de leurs investisseurs. Elle demande aussi la nomination d’au moins deux administrateurs indépendants aux conseils des sociétés de gestion. Elle se dit aussi prête à introduire des évolutions techniques afin d’améliorer l'équité autour de la gestion des parts de fonds et la façon dont les sociétés de gestion tirent profit des achats et des ventes de parts par les investisseurs. Derniers sujets de préoccupation : les intermédiaires en investissements et plus particulièrement les consultants, très présents sur le segment des institutionnels, et les plates-formes de distribution de fonds, très présentes sur la clientèle retail. Si la FCA en est encore au stade de l’étude sur cette dernière catégorie, elle suggère par contre au Trésor britannique que la supervision des consultants en investissements lui soit directement rattachée. Pour elle, le secteur manque lui aussi cruellement de concurrence en raison d’une forte concentration des acteurs et d’importantes barrières à l’entrée. Elle devrait d’ailleurs soumettre à la rentrée à l’autorité de la concurrence britannique (Competition Markets Authority, CMA) l’examen du secteur des consultants en investissement pour les institutionnels.Enfin, notons que le régulateur appelle le gouvernement britannique à supprimer les obstacles au regroupement des régimes de retraite afin d’améliorer la gouvernance et la transparence de ces derniers. Les regroupements devraient aussi pouvoir leur faire bénéficier d'économies d'échelles au profit des cotisants, estime la FCA.La mise en œuvre de ces réformes se fera étape par étape prévient le régulateur. La FCA va encore consulter sur certains points et surtout examiner l’impact des réformes à venir ou en cours, comme MIF 2 ou Priips, sur ces différents sujets.
À l’occasion de la création de la société de groupe d’assurance mutuelle (Sgam), validée par les assemblées générales de Malakoff Médéric le 27 juin, le groupe de protection sociale et la Mutuelle des Industries Électriques et Gazières (Mutieg) annoncent leur rapprochement par l’affiliation de cette dernière à cette future Sgam. Ces opérations, soumises à l’approbation des autorités de régulation et de contrôle, devraient être effectives au 1er janvier 2018. Dans l’immédiat, Malakoff Médéric et Mutieg créent un pôle mutualiste qui prendra la forme d’une union de groupe de mutualiste (UGM). Dans un communiqué, les deux acteurs soulignent leur complémentarité, tous deux étant déjà présents sur le secteur de l’énergie, Mutieg pour la santé et Malakoff Médéric pour la prévoyance et la retraite complémentaire, et leur objectif de proposer à ce secteur « une offre globale de protection sociale et de services personnalisés ». Pour Malakoff Médéric, ce rapprochement s’inscrit aussi dans la stratégie de partenariat et la volonté de créer un pôle mutualiste fort annoncées par son directeur général Thomas Saunier. Mutieg regroupe plus de 150 entreprises pour 400 000 bénéficiaires. L’UES Mutieg gère également 180 000 bénéficiaires retraités. En 2015, Mutieg avait rejoint l’union groupe mutualiste (UGM) Matmut Santé Prévoyance-Ociane. Précédemment, elle faisait partie du groupe Agrume, une autre union de groupe mutualiste, devenue Agrume Groupe Harmonie.
L’UNMI a gagné en taille avec l’intégration de l’ensemble des salariés de l’unité lorraine mutualiste (ULM Prévoyance) : la fusion, approuvée par l’ACPR fin 2016 avec effet rétroactif au 1er janvier 2016, a fait grimper l’effectif total de l’UNMI de 26 à 44 salariés.
L’assemblée générale de l’UNMI, tenue ce 20 juin à Paris, a également ratifié l’adhésion de deux nouvelles mutuelles : Novamut, basée à Nancy comme ULM Prévoyance, et la MACD (Mutuelle des Auteurs Compositeurs Dramatiques).
Le groupe de sociétés d’assurance mutuelles a réalisé un résultat net avant impôt de 25,6 M€ en 2016. Tous les indicateurs – dommages et vie – sont au vert. Rencontre avec Sylvain Mortera, directeur général d’Aréas Assurances.
Le cabinet de gestion de patrimoine K&P Finance vient d'annoncer le lancement avec Rothschild HDF le fonds Kilimandjaro, un FCP à vocation patrimoniale, visant à répondre aux besoins des investisseurs sensibles au risque qui souhaitent valoriser leur capital à long terme.
Le groupe Apicil publie son rapport annuel 2016 et indique une activité en forte progression, suite à l’acquisition du groupe Gresham et l’entrée en substitution de Miel mutuelle. Ainsi, le chiffre d’affaires du groupe a doublé entre 2011 et 2016, passant de 1,1 milliard d’euros à 2,3 milliards d’euros.
L’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC) et EY publient leur étude annuelle sur la performance nette des acteurs français du capital-investissement à fin 2016.
Dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest 2017, Emmanuelle Calès, responsable des investissements du groupe Klesia, nous expose les différentes actions de l'institution en matière de financement de l'économie locale et de création d'emplois durables. Une politique qui passe par des investissements en private equity de longue date, ainsi que la création de trois fonds.
Adréa Mutuelle a choisi d’investir dans un fonds infrastructure sur les énergies renouvelables, totalement dédié à l’investissement dans les énergies propres. « Il a vocation à investir dans des projets produisant de l’énergie à partir de ressources renouvelables en Europe, comme des parcs d’éoliennes ; des fermes photovoltaïques ou hydrauliques ; des installations de biomasse. Ce fonds bénéficie du label Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC) accordé par le cabinet Ernst and Young », précise Olivier Brenza, directeur administratif et financier, dans une interview pour les Couronnes Instit Invest. Depuis décembre 2016, Adréa Mutuelle a fait évoluer sa charte d’investissement sous l’impulsion de la commission financière et des élus pour que la dimension d’investissement responsable de la mutuelle et plus précisément de la transition énergétique soit clairement identifiée dans la charte. Accompagnée par Forward Finance, Adréa Mutuelle va établir des critères d’investissement sur la transition énergétique. « Progressivement, Adréa Mutuelle va analyser ses placements selon les éléments suivants : l’analyse du risque climat-énergie ; l’empreinte des émissions de gaz à effet de serre (empreinte carbone) ; la mesure de la contribution à la Transition Énergétique et Écologique », indique Olivier Brenza. Allocation d’actifs : 653 millions d’euros à fin 2016 Par ailleurs, Adréa Mutuelle confie la gestion de son portefeuille obligataire à OFI AM et Ecofi Investissements. La gestion d’un OPC obligataire historique est également déléguée, « dans une optique de préservation de la plus-value latente afin de piloter le résultat comptable des exercices à venir », indique Adréa Mutuelle dans son rapport de solvabilité et de situation financière. Les produits de taux constituent le coeur de portefeuille de la mutuelle. Ces produits sont principalement des obligations cotées, mais également des OPC obligataires. S’y ajoutent quelques TSR (Titres Subordonnés Remboursables) et TSDI (Titres Subordonné à Durée Indéterminée) émis par des organismes relevant du code de la mutualité. Une particularité? du portefeuille de la mutuelle est de ne détenir que très peu d’emprunts d’Etat en direct à cause de leur faible rémunération pour les Etats les plus surs. A l’autre extrémité de l’échelle des risques, les titres « high yield » et non notés ne peuvent dépasser 5% de l’encours. Les mandats obligataires sont donc investis sur des titres présentant une notation de qualité et émise par différents secteurs d’activité, ce qui contribue à répartir la prise de risque. Le total de ce poste représente 294 millions d’euros en valeur de marché. Adréa Mutuelle souscrit les supports les plus risqués, comme des actions, par l’intermédiaire de véhicules de placements collectifs (SICAV, OPC, FIA), avec l’aide de Forward Finance. Le portefeuille de placements de la mutuelle comprend 25 OPC dont 3 fonds dédiés. « Une condition préalable à la souscription d’un OPC est la capacité de la société de gestion à fournir un inventaire détaillé du fonds. La grande majorité des fonds composant le portefeuille d’Adréa Mutuelle au 31 décembre 2016 ont été transparisés, soit ligne à ligne, soit par agrégat. Moins de 5% des encours n’ont pas été transparisés. Le traitement des OPC par agrégat représente moins de 20% de la valorisation totale des actifs. Les OPC sont valorisés à leur valeur de marché », précise la mutuelle. Les placements en actions atteignent un total de 127,5 millions d’euros en valeur de marché. Adréa Mutuelle détient un parc immobilier en direct ou par l’intermédiaire de SCI. Il est valorisé à hauteur de 75 millions d’euros. Enfin, la trésorerie et les dépôts représentent 157,6 millions d’euros.
En France, le résultat d’investissement d’Allianz Vie, principalement lié aux mouvements induits dans la répartition du portefeuille d’actifs et à l’évolution des marchés financiers, s’élève à fin 2016 à 2,3 milliards d’euros contre 2,2 milliards un an plus tôt, indique l’assureur dans son rapport de solvabilité. Allianz a amélioré ce résultat de 111 millions d’euros grâce aux plus-values réalisées principalement avec la cession des titres Euler Hermes et la Foncière de Paris (+255 millions d’euros). Mais l’assureur a réduit son résultat à cause de l’augmentation du coût de la couverture sur l’exposition au dollar (-76 millions d’euros) et de la moindre reprise des provisions pour dépréciations durales (-73 millions d’euros). Les actifs financiers d’Allianz Vie représentaient 72,4 milliards d’euros à fin 2016. Ils ont progressé de 3,6 milliards d’euros sur un an. « Cette croissance est le reflet des évolutions des marchés financiers – taux d’intérêt bas très favorables aux placements obligataires - mais aussi à l’absorption d’Arcalis, AVIP et Martin Maurel Vie contribuant à hauteur de 3 milliards d’euros dans les actifs au 1er janvier 2016 », explique l’assureur. Allocations d’actifs financiers d’Allianz Vie à fin 2016
Le courtier français Siaci Saint Honoré a annoncé hier la nomination de Stanislas Chapron en qualité de directeur général, en charge de l’IARDT (Incendie, Accident, Responsabilités, Dommages, Transport) et des opérations internationales du groupe. À ce titre, il rejoint le comité exécutif du Groupe présidé par Pierre Donnersberg.
Les épargnants se posent chaque année cette question. Lorsqu’ils scrutent les tableaux comparatifs des rendements de l’assurance vie en euros, ils trouvent systématiquement en tête de classement les offres de « petits » acteurs mutualistes comme la MIF, Le Conservateur, la Carac… Longtemps confidentiels, ces noms sont devenus au fil des palmarès des références incontournables du marché. Cette position de niche vaut-elle position de force ?
Les fonds souverains ont effectué une transaction sur trois dans le secteur de la technologie au premier trimestre.Ils investissent à long terme pour des transferts d’innovations et diversifier leurs économies.
Vendredi 23 juin 2017, l’assemblée générale de l’Association Européenne des Institutions Paritaires de protection sociale (AEIP), réunie à Berlin au siège de BG Bau (organisation paritaire pour la santé et la sécurité au travail du secteur de la construction en Allemagne), a élu à l’unanimité Michel Dieu comme président pour la mandature 2017/2019. Michel Dieu représente la confédération CGT-Force Ouvrière au Centre Technique des Institutions de Prévoyance (CTIP) dont il a été président.
Les entreprises du CAC40 allouent en moyenne 7% de leur résultat net à leurs régimes postérieurs à l’emploi ou autres avantages à long terme des salariés, selon le baromètre annuel publié par le cabinet Galea & Associés. La nouvelle réglementation sur les FRPS et la fin des régimes « chapeau » à droits aléatoires pourraient toutefois changer la donne.
La gestion de fortune reste, en valeur absolue, dominée par les grandes banques. Mais quels sont les acteurs les plus performants dans un contexte de transparence fiscale et de densité réglementaire accrues ? Si la Bourse est le meilleur indicateur de performance, il s’avère que, sur cinq ans, Vontobel arrive en tête, rapporte L’Agefi suisse. Le titre gagne 353% sur la période, soit bien davantage que Bellevue (+91%), VP Bank (+56%), Julius Baer (+62%), BCV et UBS (+42%). Leurs gains dépassent l’indice SPI des actions suisses (+20%). Ce n’est pas le cas de EFG (+8%), le repreneur de BSI, alors que Credit Suisse perd même 5%. Les instituts non cotés ont connu des fortunes diverses. De nombreux instituts étrangers ont notamment mis un terme à leur présence en Suisse ou ont fusionné celles-ci avec d’autres banques. «Cela démontre les talents qui existent dans notre pays. Il est parfois préférable de se concentrer sur ses points forts plutôt que de concurrencer les établissements locaux», commente Georg Schubiger, directeur du private banking de Vontobel depuis août 2012, lors d’une interview au quotidien suisse. «La croissance organique de la clientèle et de ses revenus, année après année, est le meilleur indicateur de la santé d’un modèle. Une activité est saine si elle croît», juge Georg Schubiger. «La progression doit aussi être qualitative et se fonder sur des évaluations de l’opinion des clients reprises au sein de diverses études indépendantes», ajoute-t-il. En Suisse, les actifs de certaines banques peinent à progresser ou même à se maintenir. Le degré de satisfaction des employés est un troisième facteur de succès important, selon Georg Schubiger. La gestion de fortune est par nature une affaire de relations personnelles, explique-t-il. Si l’employé n’est ni satisfait ni fier de sa banque et de ses produits, la relation avec le client en souffre. «Nous sommes très satisfaits sur chacun des trois critères. En cinq ans, les actifs sous gestion sont passés de 28 à 40 milliards de francs dans leprivate banking. Et à travers nos activités avec les gérants indépendants, de 5 à 9 milliards de francs. Au total, l’argent frais et la hausse des marchés ont permis à Vontobel de passer de 35 à 50 milliards sur un marché stagnant.»
In an interview with Newsmanagers, Patrice Bergé-Vincent, managing director for Europe at ICI Global, shares some of his concerns regarding the publication of an “Opinion” by the European Securities and Markets Authority (ESMA) with respect to entities seeking to relocate from the United Kingdom to the European Union, at the start of Brexit negotiations. The issue of outsourcing, which is also to be the subject of another “Opinion” from the European regulator, also concerns him.
Jimmy Chua, jusque-là responsable du trading des actions asiatiques chez UBS Asset Management à Singapour, va quitter la société de gestion, rapporte Asian Investor. Ce départ intervient quelques mois après l’arrivée à Singapour de Martin David en qualité de responsable du trading pour l’Asie, couvrant à la fois les actions et les obligations. Martin David avait pris ses fonctions en décembre 2016, précise le site d’information asiatique. La date du départ de Jimmy Chua n’a pas été dévoilé.
Le groupe allemand de services aux collectivités a annoncé vendredi qu’il reversera à ses actionnaires plus du tiers du montant de la taxe sur le combustible nucléaire qu’il va récupérer, une décision qui intervient après deux ans de suspension de dividende. Sur les quelque 1,7 milliard d’euros que RWE devrait percevoir, 615 millions d’euros seront consacrés à ce versement. Il distribuera ainsi un dividende spécial d’un euro par action au titre de l’exercice 2017, en sus du dividende normal de 0,50 euro par action prévu.
Lors de l’assemblée générale de la Mutualité française le 22 juin 2017, son président Thierry Beaudet a appelé le mouvement mutualiste à être acteur des prochaines réformes du système de santé voulues par le gouvernement.
Après avoir passé plus de dix ans dans le monde des investisseurs institutionnels, Michel Piermay est passé de l’autre côté de la “barrière” pour fonder l’un des tous premiers cabinet d’actuariat-conseil de France. Il prépare aujourd’hui de façon progressive son départ à la retraite, qui n'est toutefois toujours pas prévue dans un futur proche, mais qui lui permettra peut-être de profiter plus souvent de sa passion pour la musique et pour la dégustation de vin.
Le Fonds de Compensation Commun au Régime Général de pension a revu sa liste d’exclusion, y ajoutant de nombreuses nouvelles entreprises, tandis que d'autres en ont été sorties.
Le cabinet Fixage conseille depuis 1992 les investisseurs institutionnels sur l’intégralité des aspects de la gestion actif-passif et l’intégration des obligations réglementaires. Son président Michel Piermay explique comment s’effectuent ces différents accompagnements et dévoile les nouveaux enjeux auxquels il va devoir répondre cette année.
L’Auxiliaire, assureur spécialiste du BTP, a doublé sa poche immobilière (comprenant l’immobilier d’exploitation) depuis le début de l’année. «Concernant l’allocation d’actifs, Nous avons réalisé un doublement de la poche immobilier à 10% (en vision Solvabilité 2), au lieu de 5% précédemment», indique Jérémie Garrot, directeur général adjoint de L’Auxiliaire, dans une interview pour les Couronnes. Une partie importante des investissements immobiliers correspondent à des fonds immobiliers, classés en tant que fonds d’investissements. Pour cette année, «la poche immobilière doit se stabiliser», ajoute-t-il. Au cours de l’année 2016, L’Auxiliaire s'était déjà renforcé sur les actifs immobiliers notamment via des fonds d’investissement, indique-t-il dans son premier rapport sur la solvabilité et la situation financière (SFCR), à paraître sur son site. Par ailleurs, L’Auxiliaire a réalisé «une diminution drastique des fonds alternatifs et une division par deux du nombre d’OPC (vente des produits non transparisables, concentration des petites lignes du portefeuille)», souligne Jérémie Garrot. Côté obligations (53% des encours soit 411 millions d’euros à fin 2016), L’Auxiliaire note dans son rapport de solvabilité que l’environnement de taux très bas depuis plusieurs années continue de pénaliser les rendements obligataires (coupons reçus en baisse, surcote obligataire en hausse). Les coupons obligataires nets de variations de surcote et décote baissent ainsi de 1,4 million d’euros sur un an à 6,68 millions d’euros à fin 2016. Au total, les produits financiers ont baissé en 2016 à 11,431 millions d’euros contre 18,78 millions d’euros en 2015. L’Auxiliaire a enregistré des moins-values exceptionnelles liées à des opérations de liquidation d’obligations et d’une société non cotée détenue à 100% par la mutuelle. Mais même en excluant ces moins-values exceptionnelles, le niveau des plus-values réalisées reste très en-deçà de ce qui a été constaté par le passé, relève L’Auxiliaire, du fait notamment de performances sur les marchés financiers assez mauvaise. Pour les investissements à venir, «le portefeuille doit tendre globalement vers un gestion plus génératrice de rendement, à coût en SCR identique. A cet effet, des investissements sont prévus sur les fonds de dettes obligataires, et sur les fonds actions à faible coût en SCR. Les achats en direct d’obligations vont diminuer (utilisation plutôt de fonds)», note Jérémie Garrot. L’allocation d’actif prévue pour les 5 prochaines années sera également fonction des résultats des modèles ORSA associés.
Le groupe allemand de services aux collectivités a annoncé aujourd’hui qu’il reversera à ses actionnaires plus du tiers du montant de la taxe sur le combustible nucléaire qu’il va récupérer, une décision qui intervient après deux ans de suspension de dividende. Sur les quelque 1,7 milliard d’euros que RWE devrait percevoir, 615 millions d’euros seront consacrés à ce versement. Il distribuera ainsi un dividende spécial d’un euro par action au titre de l’exercice 2017, en sus du dividende normal de 0,50 euro par action prévu pour cette année.