En plein bras de fer sur les moyens dévolus à la prochaine convention d’objectifs et de gestion (COG) de l’Ircantec, l’Igas a publié, le 30 novembre, un rapport sur les coûts facturés par la CDC.
Éric Lombard, directeur général de la Caisse des Dépôts, a procédé à la nomination d’Olivier Sichel en tant que directeur général adjoint de la Caisse des Dépôts. Il sera membre des comités de direction de l’Etablissement public et du Groupe.
CNP Assurances et Malakoff Médéric ont signé un accord d’une durée de cinq ans pour développer l’assurance santé, la prévoyance et l’épargne patrimoniale auprès de leur clientèle respective de Travailleurs Non-Salariés (TNS), cadres dirigeants et particuliers.
L’Eiopa a lancé sa deuxième phase de consultation pour la révision de Solvabilité II dans le cadre de la clause de revoyure. Pour l’heure, les propositions de l’institution vont à contre-courant des attentes de nombre d’assureurs.
Instit Invest a tenté de résoudre cette problématique à l’occasion de la 4e JNI dans un panel composé d’Emmanuel Monet, responsable vente France, Monaco et Luxembourg chez Amundi ETF Indexing et smart beta, Ray Uy, directeur de la recherche macroéconomique et de la gestion des devises d'Invesco Fixed Income, Emmanuel Brutin, responsable de la gestion des portefeuilles assurés chez CNP Assurances et Pierrick Louis, gérant de portefeuilles assurances chez Crédit Agricole Assurances.
La création du département "Portfolio Solutions" à Londres a pour objectif d’optimiser le support fourni aux clients institutionnels en matière de suivi, de construction de portefeuille, de réduction des coûts et d’analyse des risques.
Selon la Caisse d'Amortissement de la Dette Sociale (Cades), en charge de financer et d'amortir la dette sociale en France, 39,5 milliards d'euros de dette sociale a été amorti depuis 1996, dont 14,8 milliards d'euros en 2017. Un amortissement de 15,2 milliards d'euros est par ailleurs prévu en 2018.
PwC a publié en partenariat avec l’Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises (Orse), la 1ère édition de son étude sur l’intégration des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) dans les financements, les investissements et les services aux TPE-PME.
Le sursis n’aura pas duré longtemps pour le régime étudiant de sécurité sociale (RESS). Depuis l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, la suppression de ce régime controversé, cloué au pilori depuis des années par une succession de rapports officiels, était attendue. Le gouvernement devait surtout trouver le véhicule législatif adapté : c’est chose faite avec le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants, dont l’examen commence ce mardi 12 décembre à l’Assemblée nationale. Le gouvernement ayant engagé la procédure accélérée, il n’y aura pas, sur ce texte, de navette parlementaire. Si l’ordre du jour est tenu, l’article 3 de ce projet de loi, qui prévoit la suppression du régime étudiant de sécurité sociale, devrait être discuté dans l’hémicycle du Palais Bourbon mercredi 13 décembre dans l’après-midi. Le dispositif retenu par le texte vise à supprimer purement et simplement, au niveau législatif, le dispositif de gestion déléguée accordée aux mutuelles étudiantes et à en réattribuer la charge aux organismes d’assurance maladie. Cette suppression devrait se dérouler en deux temps. Au 1er septembre 2018, les jeunes qui commencent leurs études resteront au régime qui gérait précédemment leur couverture maladie obligatoire. Quant aux étudiants déjà rattachés à une mutuelle étudiante pour leur régime obligatoire, ils conserveront cette affiliation pendant l’année universitaire 2018-2019. S’ils sont toujours étudiants au 1er septembre 2019, ils seront alors rattachés aux caisses du régime général. L’exemple de La Mutuelle des étudiants (LMDE) n’aura pas fait école. Pour sortir de graves difficultés et éviter la faillite, la première mutuelle étudiante française avait mis en place, en 2015, un partenariat avec l’assurance maladie (Cnamts) selon un schéma d’infogérance – la LMDE faisant essentiellement office de guichet et assurant également des missions de prévention. Le législateur a en effet estimé qu’un tel schéma n’est « pas de nature à atteindre les mêmes résultats puisqu’il maintiendrait un système dédié dupliquant des coûts de gestion et obligeant les étudiants à de nombreuses démarches, par ailleurs inutiles, tout au long de leurs études », comme l’explique l’étude d’impact du projet de loi. La suppression du RESS n’est pas justifiée par des facteurs économiques. D’un côté, la fin de la délégation de gestion engendrera une économie sur les remises de gestion versées aux mutuelles au titre de la gestion du régime obligatoire. D’un autre côté, le gouvernement souhaite supprimer dès la rentrée 2018, la cotisation forfaitaire d’assurance maladie dont le montant s’élève à 217 € pour l’année universitaire 2017-2018. Tant et si bien qu’à l’horizon 2021, la suppression du RESS aura un coût pour les finances publiques de 170 M€. La suppression du RESS est un coup dur pour les mutuelles étudiantes, même si leurs effectifs consacrés à la gestion de l’assurance maladie obligatoire doivent être repris par le régime général, et que le projet de loi prévoit « la possibilité d’une indemnisation du préjudice éventuellement subi par les mutuelles d’étudiants «du fait de la responsabilité des lois», notamment en lien avec des investissements non amortis ou des baux ou contrats en cours ». Romain Boix, président de la LMDE, parle d’un « changement de nature complet » pour la mutuelle, qui « met en danger les actions de prévention qu’elle mène et qui sont financées par les remises de gestion ». Ces actions apparaissent d’autant plus fragilisées que le gouvernement veut lui aussi développer des actions de prévention santé spécifiques aux jeunes… Cette réforme pose aussi la question de l’accès des mutuelles étudiantes aux universités. Romain Boix estime qu’il s’agit d’un « autre débat ». « Nous considérons que nous avons vocation à rester partenaires des établissements et un interlocuteur privilégie des étudiants ». Les mutuelles étudiantes ont actuellement des échanges réguliers sur ce sujet avec la ministre de l’Enseignement supérieur, mais n’ont obtenu à l’heure qu’il est aucune garantie. Le président de la LMDE rappelle que certaines universités n’accueillent pas systématiquement les mutuelles étudiantes, tandis que d’autres ouvrent aussi leurs portes à des banques ou à des organismes d’assurance concurrents, de toutes familles. Quelle que soit l’issue de ces discussions, il n’en reste pas moins que les mutuelles étudiantes deviendront des complémentaires santé presque comme les autres, avec les caractéristiques d’une mutuelle d’une petite ou moyenne taille – la LMDE, la plus grande, compte actuellement, 850 000 affiliés au titre du régime obligatoire et 100 000 au titre du régime complémentaire.
Ronan Le Joubioux prend officiellement la direction générale de CCMO Mutuelle, deux mois et demi après le licenciement de son prédécesseur, Christian Germain. La présidente de CCMO Mutuelle, Marie-Catherine Lallemand a nommé Ronan Le Joubioux au poste de directeur général. Celui qui était directeur général adjoint de la mutuelle picarde depuis mai 2017, avait été nommé directeur opérationnel en septembre dernier, suite au licenciement de Christian Germain pour faute grave. La procédure de licenciement étant désormais terminée, Ronan Le Joubioux a été nommé officiellement directeur général. « Notre secteur d’activite? est en cours de mutation. Nous devons nous interroger sur notre mode?le et sur notre ro?le pour en proposer une de?clinaison conforme a? nos convictions, a? nos valeurs. C’est dans ce cadre que nous menons une re?flexion autour de diffe?rents axes afin de pre?senter un plan strate?gique a? 5 ans de?but 2018 », a déclaré Ronan Le Joubioux. Avocat de formation, Ronan Le Joubioux a débuté sa carrière au sein du Cabinet Landwell & Associés. Parallèlement, il a enseigné à l’Université Panthéon-Assas puis à Paris-Dauphine. Il rejoint, comme conseiller, le cabinet de Roselyne Bachelot-Narquin au ministère de la santé au sein duquel il a été en charge des affaires juridiques et de la santé publique. Il occupe ensuite des fonctions similaires au ministère de la solidarité et de la cohésion sociale avant de devenir Directeur général de la Mutuelle Civile de la Défense.
FFP, holding de la famille Peugeot, est partie pour connaître en 2017 une année record en termes d’investissements et compte poursuivre l’an prochain sa stratégie de diversification en dehors de l’automobile, a dit à Reuters son PDG Robert Peugeot.Autrefois actionnaire de contrôle de PSA, FFP et son propre actionnaire majoritaire Etablissements Peugeot Frères (EPF) ne détiennent plus aujourd’hui que 12% environ du capital du constructeur. Et PSA ne représente désormais qu’un tiers de l’actif net d’un peu plus de quatre milliards d’euros de FFP.Sous la houlette de Robert Peugeot, la holding familiale a multiplié les investissements dans des secteurs et des géographies variés : Orpea (maisons de retraite), Seb (petit électroménager), Zodiac Aerospace et Lisi (aéronautique), Spie (ingénierie électrique), Eren (énergies renouvelables), jusqu’au café et au vin en passant par le commerce en Asie du Sud-Est ou les croisières fluviales de luxe pour touristes américains."Nous avons cherché progressivement des investissements aussi décorrélés que possible de l’automobile mais nos différentes participations entre elles également sont décorrélées», a déclaré Robert Peugeot lors d’une interview. «Notre logique est une logique de croissance de notre actif net à long terme.» L’année qui s’achève a déjà été marquée par un nombre record d’opérations - une trentaine, avec un dernier investissement en date dans un distributeur américain de médicaments pour les hôpitaux - contre une vingtaine en 2016, et par un montant d’investissements d’environ 400 millions d’euros, un record également. FFP procède par prise de participation minoritaire dans des sociétés dotées en général d’un actionnariat familial ou par co-investissement avec ses fonds de private equity. Les participations cotées étant désormais majoritaires dans son portefeuille, la holding pourrait tourner l’an prochain son attention davantage vers le non-coté, comme le groupe d’ingénierie Fives dont elle a regardé le dossier mais sans finalement se porter candidate. «On pourrait être amené peut-être à faire davantage l’année prochaine (...) d’investissements dans le non-coté en partenariat avec d’autres investisseurs (...), où l’on prend à plusieurs le contrôle d’un nouvel actif pour accompagner son développement dans le temps», a indiqué de son côté Sébastien Coquard, directeur des investissements de FFP.
FFP, the holding company for the Peugeot family, is on course for a record year in 2017 in terms of investments, and is planning to continue its strategy next year of diversification out of automotive, its chairman and CEO, Robert Peugeot, has told Reuters. FFP and its own majority shareholder, Etablissements Peugeot Frères (EPF), one the controlling shareholder in PSA, now only holds about 12% of capital in the manufacturer. And PSA now represents only one third of the net asset value of slightly over EUR4bn at FFP. Led by Robert Peugeot, the family holding company has multiplied its investments in various sectors and regions: Orpea (retirement homes), Seb (small household electrical goods), Zodiac Aerospace and Lisi (aeronautics), Spie (electrical engineering), Eren (renewable energies), as well as coffee, wines, and commerce in South-East Asia, with luxury river cruises for American tourists. “We have gradually sought out investments which are as decorrelated as possible from the automotive industry, but our various stakes between them are also decorrelated from each other,” says Peugeot in an interview. “Our logic is a logic of growing our long-term assets.” The current year will have been marked by a record number of operations, with about 30, most recently in a US distributor of medications to hospitals, up from 20 operations in 2016, and by a level of investment of about EUR400m, also a record. FFP is acquiring majority stakes in companies that generally have family ownership, or operates in joint investment with private equity funds. As publicly-traded stakes now represent a majority of the portfolio, the holding company may next year turn its attention more to private investments, such as the engineering group Fives, which it considered but did not submit a bid. “Next year, we may do more … private investment in partnership with other investors … where we take control of a new asset to assist in its development over time,” says Sébastien Coquard, chief investment officer at FFP.
Mercer, spécialisé dans le conseil en ressources humaines, en santé prévoyance, en retraite et en investissements, a annoncé ce mercredi 13 décembre que le montant total de ses actifs en gestion fiduciaire atteignait 213 milliards de dollars.
La Fondation MAIF utilise depuis quelques années une structure DARM, ce qui lui permet d'adapter dynamiquement l’allocation du portefeuille aux conditions de marché et au budget de risque. Le trésorier de l'institution, Alain Isambert, nous apprend par ailleurs que la fondation la part belle à l'innovation, puisqu'elle a soutenu le développement d’un indicateur avancé pour le risque actions en 2016. Un entretien réalisé dans le cadre des Couronnes Instit Invest 2017.
A l’occasion de son assemblée générale du 7 décembre dernier, la Société de Groupe d’Assurance Mutuelle (SGAM) Viana a changé de dénomination sociale et de statuts.
GSO Capital Partners, la plateforme d’investissement crédit de Blackstone, a annoncé, ce 11 décembre, le lancement d’une nouvelle activité de prêts directs (« direct lending ») entièrement intégrée et gérée en interne. Cette nouvelle offre « combine les expertises de la société en matière d’origination et d’investissement avec ses canaux de distribution dédiés aux institutionnels et aux particuliers », indique Blackstone dans un communiqué. Jusque-là, cette offre de prêts directs était proposée en partenariat avec FS Investment, une société de gestion d’actifs alternatifs américaine, qui agissait en qualité de conseiller (« sub-advisor ») en investissement. « Etant donné l’évolution de la société, aller de l’avant de manière indépendante pour contrôler notre propre destin dans ce domaine était la bonne décision à prendre pour notre activité », a expliqué Bennett Goodman, cofondateur de GSO Capital Partners et « senior managing director » chez Blackstone, cité dans un communiqué.En conséquence, GSO Capital Partners a annoncé mettre un terme à sa relation avec les fonds de FS Investments à compter du 9 avril 2018. Dans l’intervalle, GSO Capital Partners continuera de fournir des services d’investissement aux fonds de FS Investments afin de permettre une transition en douceur. En contrepartie de ces services et du partenariat de longue date, GSO Capital Partners recevra un paiement de 640 millions de dollars de la part de FS Investments, dont la totalité sera versée en 2018. Ce montant représente environ trois années de revenus issus des fonds FS Investments. GSO Capital Partners envisage de débuter son activité de prêts directs dès 2018.Cette annonce intervient alors que FS Investments a dévoilé, ce 11 décembre, la signature d’un partenariat avec KKR afin de créer « la plus grande plateforme d’investissement et de prêts aux entreprises, avec 18 milliards de dollars d’actifs sous gestion cumulés », selon un communiqué. « Avec l’évolution du marché, nous avons estimé qu’il était nécessaire de faire évoluer notre approche de l’activité et nous pensons que le partenariat avec KKR apporte un effet de taille, une infrastructure et une expertise en crédit nécessaires pour réussir en tant qu’investisseur sur les marchés du crédit et de la dette privée », explique Michael Forman, président et directeur des investissements de FS Investments. En vertu de l’accord ainsi conclu, FS Investments apportera des services de conseils en investissement à cette nouvelle plateforme, baptisée BDC (« Business Development Company »). Pour sa part, KKR fournira d’autres types de services, notamment en matière d’origination et de « sourcing » des opérations.
Lors de la Journée Nationale des Investisseurs du 30 novembre, le panel radio intitulé « Le financement des infrastructures publiques par la sphère privée au service de l'intérêt général et du bien commun : mythe ou réalité ? Quels sont les partenariats les plus efficaces ? », a réuni Charles Dupont, responsable des investissements Infrastructures et président de Schroders Aida, Karen Azoulay, responsable de la dette d’infrastructure de BNP Paribas Asset Management, Bernard Descreux, directeur de la division Gestion d'Actifs cotés chez EDF, Pierre Aubouin, directeur du département Infrastructures et Transport de la Caisse des Dépôts et Nicolas J. Firzli, directeur général de World Pensions Council.
Christian Piller, premier vice-président d’Intériale a informé ce matin le conseil d’administration de la Mutualité Fonction Publique de la décision de la mutuelle de quitter la fédération, dont il qualifie la stratégie de "mortifère".
Didier Le Menstrel, chairman and CEO of La Financière de l’Echiquier, talks with NewsManagers about the genesis and reasons for the merger with Primonial, a few days after the announcement of the operation. The merger will involve a 40% stake in La Financière de l’Echiquier being acquired by Primonial, while La Financière de l’Echiquier will acquire the asset management activities of Primonial.
Près de cent groupes français, parmi lesquels PSA, Areva, Orange ou Vinci, se sont engagés lundi à participer à la lutte contre le changement climatique qui, selon eux, relève d’un « choix de bon sens » servant leurs propres intérêts. Cette annonce intervient la veille d’un sommet international organisé à l’initiative de la France pour tenter de relancer la lutte contre le réchauffement climatique, qui a marqué le pas depuis l’accord de Paris de décembre 2015. Les signataires représentent 1.500 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 6 millions d’emplois directs. Ils rejoignent une initiative lancée il y a deux ans par 39 groupes français.
Claudia Calich, gérante du fonds M&G Emerging Markets Bond Fund, analyse les perspectives des marchés obligataires émergents et l’approche de gestion flexible lui permettant d’investir dans ce type d’actifs.
La Macif et Aesio doivent s'unir à l'horizon 2020. Ce nouveau groupe prudentiel totalisera plus de 8 millions d'assurés et de clients, de l'assurance auto à la banque, en passant par la santé-prévoyance et l'épargne.
Au cours des neuf premiers mois de l’année 2017, les cotisations des Plans d’Epargne Retraite Entreprises sont en hausse de 2,1 % et atteignent 1 870 millions d’euros, dont 60 millions d’euros de versements volontaires (-3,2%).
Eiffel Investment Group, gérant d’actifs spécialiste du financement en dette et en fonds propres des entreprises, a annoncé ce 7 décembre que son fonds Eiffel Energy Transition vient d’atteindre l’objectif initial de 200 millions d’euros d’engagements. Après 8 mois d’activité, Eiffel Energy Transition a déployé 100 millions d’euros dans 272 projets dans les énergies renouvelables.Le fonds Eiffel Energy Transition intervient sous forme de prêts à court-terme permettant de passer la phase délicate de construction d’un projet avant que les financements de long-terme ne prennent le relais. «Il permet ainsi aux développeurs d’énergies renouvelables (solaire, éolien, biogaz, biomasse, ...) et aux opérateurs d’efficacité énergétique (rénovation thermique des bâtiments, éclairage basse consommation, ...) d’accélérer leur croissance en allouant leurs fonds propres vers davantage de projets», assure le communiqué. Eiffel précise que «les besoins de la filière sont considérables : plus de 200 millions d’euros de besoins de financements additionnels ont d’ores et déjà été exprimés par une vingtaine de développeurs partenaires d’Eiffel Investment Group, garantissant la poursuite du déploiement rapide du fonds».
A l’occasion d’un panel TV organisé dans le cadre de la Journée Nationale des Investisseurs le 30 novembre 2017, Dan Copin, head of equity finance chez Caceis, Thomas Van Cauwelaert, vice-président sales & marketing de SimCorp Europe du Sud, François Bonnin, président de la commission technique finance de l’Institut des Actuaires et directeur de KPMG France et Jean-François Pellé, président du directoire de Prepar Vie, se sont penchés sur la question de l’impact des taux bas et de l’inflation réglementaire sur le pilotage des risques et la recherche de rendement additionnel.
Cette question a fait l’objet d’un débat lors de la 4e édition de la Journée Nationale des Investisseurs qui a réuni Olivier Cassé, gérant actions chez Generali Investments, Ghislaine Alajouanine, présidente du Haut Conseil français de la Télésanté, Arnaud Geslin, directeur général adjoint, en charge des finances, de la technique et des risques de Klesia, Paul-Laurent Ferreri, directeur de Fixage Actuariat.
Les économies réalisées depuis deux ans et celles qui s'annoncent permettront à la région d'investir 1,9 milliard d'euros en 2018, malgré des recettes en baisse.