En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Cette offre complète la gamme de cyberassurance de Pacifica et peut s’ajouter à certaines initiatives locales, comme celle développée par la caisse Alpes Provence.
La filiale de Renault dédiée à la location longue durée reprend deux divisions du groupe MeinAuto – une marketplace digitale multimarque qui gère une flotte de 50.000 véhicules.
Après seize ans d’existence, la plateforme de paiements pour les marketplaces voit son modèle validé et anticipe un résultat net de 3 millions d’euros pour 2023.
L’éditeur a signé un partenariat avec Qualtik, fournisseur d’outils de «stress test» pour les prêts commerciaux aux Etats-Unis, afin de faciliter l’analyse de risque de crédit et ainsi améliorer leur pilotage.
L’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement constate un recul généralisé de la fraude, sauf sur le virement, qui fait l’objet d’une vigilance nouvelle.
Juniper Research estime que les transactions par portefeuilles électroniques atteindront les 16.000 milliards de dollars en 2028, tirées par les services associés.
Le montant de la titrisation pourra aller jusqu’à 500 millions d’euros et permettra à la fintech de poursuivre son développement tout en libérant ses fonds propres.
Pour la néobanque allemande, cette évolution est le meilleur moyen de séduire de nouveaux clients et d’attirer davantage les dépôts, tout en évitant la discrimination à l’IBAN.