Schroder Property on 4 April announced the appointment of Nick Scott as head of retail and asset management transactions at Schroder Exempt Property Unit Trust. Scott had previously worked at NewRiver Retail. Assets under management at Schroders in real estate totalled over EUR11bn as of the end of December 2010.
According to the latest quarterly bulletin from the CNMV, aggregate profits at Spanish fund management firms, which fell by 50% in 2009, rose 24.5% in 2010, to a total of EUR294m, although the number of firms showing a loss as of 31 December rose by 34 compared with 31 December 2009, and total assets contracted by 13%, to EUR178bn.
BNY Mellon has appointed several heads for its Derivatives360Sm product range, which aims to help investors to execute and manage their currency trades. Jonathan Wowler has been appointed as business manager for the European, Middle East and Africa region, as well as for Asia Pacific. Chris Coleman will serve in the same role for the North America and Latin America regions. Laure Scala becomes chief administrative officer.
Saxo Bank A/S has announced that it has acquired nearly 5.13 million shares in the financial portal Euroinvestor.com from JCA Holding ApS and Soeren Almine Holding ApS, for DEK15 per share. Saxo Bank now owns 69% of Euroinvestor.com, and is planning to submit an offer to minority shareholders to buy their shares at the same conditions within the next four weeks.Euroinvestor.com will continue to be traded on the Nasdaq OMX stock exchange in Copenhagen.
As we announced in November last year, Petercam is launching a sub-fund focused on the mining and minerals sector, entitled Petercam Equities Metals & Mining. The fund is an addition to the product range from the Belgian asset management firm dedicated to the theme of commodities, which already includes Petercam Equities Energy and Petercam Equities Agrivalue. The range will be known as EMMA. The new sub-fund of the Belgian Petercam B Fund Sicav will invest in equities from companies worldwide which are directly or indirectly active in the value chain for metal mining in the broader sense, as well as in related sectors. This will include businesses which are active in the operation of mines, and the production and sale of finished products; the metals in question include precious metals such as gold, silver and platinum, and industrial metals such as copper and aluminium, and other industrial minerals such as carbon and potassium. Businesses which are active in recycling of metals, and makers of machines and tools, as well as transporters and services to the mining and metallurgical industries may also be included in the portfolio. However, the Petercam Equities Metals & Mining fund may not invest directly in metals, nor in futures or derivatives based on these metals. Petercam Equities Metals & Mining will be actively managed, with the same philosophy as the other two sub-funds of the commodities range. The portfolio will be concentrated on 50 to 100 positions, with a focus on small and midcaps, although there is no restriction in terms of cap size. Petercam Equities Metals & Mining will be managed by Alexandre Weinberg, a licensed CFA analyst, who from 2006 to mid-2010 was active as a sell-side analyst at Petercam, in the EMMA team. The co-manager will be Guy Lerminiaux, CIO Equities and deputy director of Petercam.
According to the white-label fund management firm Minerva Investments, the principality of Liechtenstein will complete its transposition of the UCITS IV directive into local law by this summer. A bill presented to Parliament will permit the launch of all types of products laid out by the European directive in Liechtenstein, and will reduce time to market to only 10 days.The version of the bill presented to the legislative body allows fund promoters to abstain from holding general shareholders’ meetings for Sicav funds.In addition, local Sicavs and investment funds are already exempt from withholding tax on all capital gains.
La banque centrale devrait annoncer demain un relèvement de son refi qui signalera l’ouverture d’un cycle haussier. Si les derniers indicateurs peuvent l’expliquer, ce changement de ton risque cependant de pénaliser davantage encore les pays les plus fragiles de la zone euro.
L’indice ISM des services aux Etats-Unis s’est replié nettement plus que prévu en mars, tout comme sa composante d’activité. L’indice ISM est ressorti à 57,3 en mars, après 59,7 en février. Les analystes attendaient en moyenne un recul modéré à 59,5, contre 59,5 en février. La composante de l’activité tertiaire passe quant à elle de 66,9 en février à 59,7 en mars, contre un consensus de 65,5.
La Commission européenne a annoncé qu’elle autorisait le projet de restructuration de la banque néerlandaise ABN Amro, à la condition qu’il n’y ait aucune acquisition et qu’elle réalise certains objectifs de marge dans la banque privée. L’Etat néerlandais avait nationalisé ABN Amro et Fortis Bank Nederland en 2008 après l'échec spectaculaire d’une OPA sur ABN Amro montée par Royal Bank of Scotland, Fortis et Santander.
Le gendarme des marchés américains a publié hier une proposition de réglementation visant à freiner la volatilité. Les ordres devraient être placés au sein d’une certaine fourchette autour des prix récents. La nouvelle règle remplacerait les «coupe-circuits» actuellement en vigueur.
L’agence a abaissé d’un cran la notation obligataire du Portugal, estimant que le nouveau gouvernement au pouvoir devra demander une aide financière d’urgence à l’Union européenne. Moody’s a ramené la note souveraine portugaise à long terme à Baa1, contre A3 auparavant, et a maintenu une perspective négative. «Moody’s estime que les coûts de financement actuels atteignent des niveaux insoutenables, même à court terme», précise le communiqué.
L’opérateur boursier américain Nasdaq OMX a annoncé le rééquilibrage de son indice Nasdaq 100 en réduisant la pondération d’Apple. Une fois ce rééquilibrage effectué, la pondération d’Apple représentera 12,33% de l’indice contre 20,49% actuellement, précise le Nasdaq dans un document publié sur son site internet.
La banque centrale chinoise a relevé ses taux d’intérêt pour la deuxième fois de l’année dans le but de combattre l’inflation qui se situe à un niveau proche du taux de 5,1% touché en novembre et qui était un plus haut de 28 mois. Le taux de dépôt à un an sera relevé de 25 points de base à 3,25%. Le taux des prêts à un an sera augmenté de 25 points de base également à 6,31%.
Le groupe de vins et spiritueux Pernod Ricard a réalisé avec succès l'émission d’une obligation d’un montant de 1 milliard de dollars, sous la forme d’un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels. L’obligation, à échéance au 7 avril 2021, présente un coupon de 5,75%, a précisé Pernod, en ajoutant que le carnet d’ordres avait atteint «plus de 6 milliards de dollars». Il s’agit de la première émission obligataire libellée en dollars pour le groupe.
L’agence de notation Moody’s a abaissé d’un cran la notation obligataire du Portugal, estimant que le nouveau gouvernement au pouvoir devra demander une aide financière d’urgence à l’Union européenne. Moody’s a ramené la note souveraine portugaise à long terme à Baa1, contre A3 auparavant, et a maintenu une perspective négative. «Moody’s estime que les coûts de financement actuels atteignent des niveaux insoutenables, même à court terme», apprend-on dans un communiqué.
La croissance dans le secteur des services de la zone euro a accéléré à un rythme plus rapide que prévu en mars, mais les chiffres reflètent les différences persistantes entre les pays membres. L’indice PMI des services définitif est ressorti à 57,2 contre 56,8 en février. Il est supérieur à l’estimation flash de 56,9. Il s’agit de son plus haut niveau depuis août 2007.
La Banque centrale australienne a maintenu son taux directeur à 4,75%, comme l’attendaient les experts, la prudence des consommateurs et la vigueur du dollar australien permettant de contenir l’inflation alors que le pays bénéficie du boom minier et d’exportations vigoureuses.
«La croissance du premier trimestre sera sans doute plus élevée que prévu», écrit l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans ses prévisions intérimaires pour les Etats-Unis, l’Allemagne, la France, l’Italie, le Royaume-Uni et le Canada. L’OCDE anticipe une croissance moyenne de 3,2% au cours des trois premiers mois de l’année sur une base annualisée dans les pays du G7. Pour le deuxième trimestre, elle table sur 2,9%. Ces estimations excluent le Japon, dont l'économie va ressentir les effets des conséquences du séisme. L’OCDE estime que si la reprise commence à prendre son autonomie, les banques centrales de certains de ses membres sont sous la menace d’un «désancrage» de l’inflation. «Nous percevons des anticipations inflationnistes qui se faufilent un peu partout. Je dirais en Europe, aux Etats-Unis et au Royaume Uni», a déclaré Pier Carlo Padoan, chef économiste de l’OCDE.» En février, l’inflation dans la zone euro est ressortie à 2,6%, davantage que l’objectif de la BCE, qui souhaite une inflation légèrement inférieure à 2,0%.
La collecte dans les fonds d’actions émergentes s’est redressée à la fin du premier trimestre 2011 mais ce sont les fonds des marchés développés qui ont remporté la mise sur l’ensemble du trimestre. Selon les dernières statistiques communiquées par EPFR Global, les fonds dédiés aux actions émergentes ont certes enregistré une collecte nette de 2,6 milliards de dollars durant la semaine au 30 mars mais, sur l’ensemble du trimestre, ils accusent une décollecte nette de près de 24,5 milliards de dollars.Les fonds dédiés aux actions des pays développés ont en revanche enregistré leur meilleur début d’année depuis le premier trimestre 2006, avec une collecte nette de presque 57 milliards de dollars sur les trois premiers mois de l’année 2011 contre seulement 1,8 milliard au premier trimestre 2010. Les actions américaines se taillent la part du lion avec une collecte de 31,88 milliards de dollars.Sur l’ensemble du trimestre, les fonds obligataires ont drainé 25,55 milliards de dollars contre 140,8 milliards au premier trimestre 2010. Les fonds obligataires européens ont subi une décollecte de 8,67 milliards de dollars mais les fonds de haut rendement ont finalement attiré 15,54 milliards de dollars sur l’ensemble du trimestre. Selon EPFR Global, les fonds d’obligations européennes et les fonds d’obligations municipales américaines pourraient enregistrer des décollectes record cette année.A noter enfin que les fonds sectoriels ont drainé une collecte nette de 25,8 milliards de dollars au premier trimestre 2011, soit plus de la moitié du montant total observé l’an dernier. Les fonds de matières premières ont ainsi attiré 9,6 milliards de dollars au premier trimestre et les fonds énergétiques 10,9 milliards de dollars.
La société Raymond James Financial, Inc a annoncé vendredi 1er avril qu’elle a finalisé l’acquisition de Barnes Hoefer Howe & Arnett, Inc, concrétisant ainsi un accord de fusion annoncé le 29 décembre dernier. L’acquisition de Howe Barnes permet à Raymond James Financial, Inc d’accroitre sa présence sur le marché des capitaux aux cotés d’institutions financières, en particulier des banques locales et régionales et des caisses d'épargne, comprenant notamment les activités de recherche actions, de vente, de négociation, etc. Raymond James Financial récupère également en gestion privée plus de 5000 clients représentant plus de 1,7 milliard de dollars d’actifs sous gestion.
Selon le Financial Times, l’ancien directeur général de BP, Tony Hayward, prépare un fonds dédié au secteur de l’énergie. Il aurait à ce titre discuté avec Nat Rothschild. Ces négociations restent à un stade précoce et la création d’un fonds n’est qu’une option parmi d’autres, souligne le FT, citant des personnes proches du dossier.D’après The Wall Street Journal, c’est le patron britannique de la banque d’investissement de Goldman Sachs Group, Julian Metherell, qui devrait rejoindre une nouvelle société d’investissement fondée par Tony Hayward. Le FT cite également ce nom.
Au 28 février 2011, le patrimoine global net des organismes de placement collectif et des fonds d’investissement spécialisés s’est élevé à 2.208,198 milliards d’euros contre 2.184,027 milliards au 31 janvier 2011, soit une augmentation de 1,11% sur un mois, selon les statistiques communiquées par la Commission de surveillance du secteur financier du Luxembourg (CSSF) . Considéré sur la période des douze derniers mois écoulés, le volume des actifs nets est en augmentation de 16,35%. L’industrie des OPC luxembourgeois a enregistré au mois de janvier une variation positive se chiffrant à 24,171 milliards d’euros. Cette augmentation résulte de la combinaison de l’impact favorable des marchés financiers à concurrence de 8,548 milliards d’euros (+0,39%) et d’émissions nettes positives à concurrence de 15,623 milliards d’euros (+0,72%).
Après une légère perte de 9 millions d’euros (11 millions publiés il y a un an) pour 2009, le groupe Robeco a réalisé l’an dernier un «bénéfice à trois chiffres en millions d’euros» et proche de la norme antérieure (à titre indicatif, pour 2008, il était ressorti à 171 millions d’euros), a indiqué, à Paris, le 4 avril, Roderick Munsters, son CEO.En attendant, l’encours, qui était de 134,9 milliards d’euros fin 2009 est ressorti à 150 milliards fin décembre «et environ 155 milliards à fin mars 2011", a précisé le responsable à Newsmanagers.En fait, Robeco a subi l’an dernier des sorties nettes de produits à très faible marge qui n’ont pas été compensées par les souscriptions nettes des fonds ou mandats davantage margés, alors que 2009 s'était soldé par des souscriptions nettes record de 7,5 milliards d’euros. Les sorties de 2010 s’expliquent par la réaffectation à Lombard Odier d’un mandat par un fonds de pension néerlandais et par la réinternalisation de 2 milliards de trésorerie par Rabobank, la maison-mère de Robeco.La marge d’exploitation se situe désormais légèrement en-dessous des 20 % et l’objectif consiste à atteindre les 30 % pour 2014. Les résultats de 2010 seront publiés le 27 avril.Pour redresser les comptes, Roderick Munsters et son équipe ont réduit les coûts, avec la fermeture de bureaux en Autriche en Italie, en Scandinavie, au Royaume-Uni et à Singapour, en rationalisant l’informatique, en fusionnant SAM et Robeco Suisse et en regroupant les divisions retail et institutionnels de Rotterdam.D’autre part, les recettes ont augmenté aussi parce que Robeco est parvenu "à convaincre une petite dizaine de très gros clients qu’ils pouvaient accepter une hausse des commissions de gestion, puisque la performance et le service sont meilleurs que ceux des produits concurrents», indique le CEO.La stratégie 2010-2014Pour la période 2014, Robeco s’est fixé comme objectif de concentrer ses efforts pour offrir aux clientèles institutionnelle et retail, aux Pays-Bas, dans un nombre restreint de pays d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et aux Etats-Unis une gamme responsable, compacte, orientée sur les besoins de la clientèle et compétitive. Il s’agit de stratégies actives ainsi que de solutions pour les retraites et l’investissement.Sur le plan géographique, le gestionnaire néerlandais privilégie, la France, la Suisse, l’Allemagne et l’Espagne tant pour l’institutionnel que pour la distribution, et la Scandinavie pour l’institutionnel. En Asie, la Chine continentale (où la société bénéficie d’un contingent QFII de 175 millions de dollars), Hong-Kong et l’Inde sont des cibles tant pour l’institutionnel que le «wholesale», tandis que pour l’institutionnel seul, Robeco se focalise aussi sur Taïwan, le Japon, la Corée et le Moyen-Orient. Enfin aux Amériques, Robeco sert les institutionnels et le wholesale (subadvisory) ainsi que certains pays latino-américains. Ces derniers au travers de Madrid, sont le Pérou, le Chili et la Colombie. A noter, précise Roderick Munsters, que Robeco «est sur le point d’annoncer le recrutement d’un nouveau CEO à Hong-Kong, pour remplacer l’actuelle qui part à la retraite. Au total, nous avons 22 personnes à Hong-Kong et environ 50 en Asie». D’autre part, le groupe devrait proposer d’ici à cet été un fonds obligataire marchés émergents (Chine et Inde), qui manque pour l’instant à sa gamme.Robeco propose des produits actions, obligataires et alternatifs en se concentrant sur cinq thèmes : l’investissement responsable, les produits anti-inflation, les fonds alimentation et agriculture, les solutions pour les retraites et les produits quantitatifs (10 milliards d’euros). Les trois boutiques alternatives sont Harbor Capital Adivsors (environ 6 milliards de dollars), spécialiste des plans 401 (k), Transtrend, (10 milliards de dollars), qui gère des «managed futures» avec des stratégies diversifiées en performance absolue aux Pays-Bas, et enfin Canara Robeco, une coentreprise avec Canara (Bombay), avec 3 milliards de dollars en actions, obligations et monétaire en Inde. Focalisation sur l’investissement responsable"Actuellement nos encours gérés à Rotterdam en tenant compte de critères ESG représentent 64% environ des encours totaux, soit près de 90 milliards d’euros, ce à quoi il faut ajouter les 7 milliards d’euros sous gestion ou sous conseil de notre filiale suisse SAM gérés intégralement en investissement durable», indique Roderick Munsters, précisant que l’objectif est de monter à 100 % également pour les encours de Rotterdam. Le développement durable est en fait une préoccupation centrale du groupe Robeco, qui a intégré les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) en 2010 dans l’ensemble de ces processus d’investissement. Le gestionnaire a d’ailleurs signé les Principes de l’investissement responsable des Nations-Unies (UN-PRI) en 2006 et «bien que nous n’ayons pas de notation ISR, nous soumettons nos fonds à l’analyse de SustainAnalytics», précise le CEO. Et, pour valider la gestion durable de ses produits, Robeco peut désormais s’appuyer sur un historique de 10 ans, avec les questionnaires annuels que SAM envoie aux entreprises et qui permet au groupe de faire de «l’engagement».