Pour la sixième année, PwC propose son Pocket Guide OPCI, complété pour la première fois d’un guide dédié aux SCPI. L’OPCI consolide sa place au sein de la gamme des produits d’investissement immobilier en France: les actifs sous gestion OPCI ont continué à croître, représentant plus de 30 milliards d’euros à ce jour, contre 23 milliards d’euros fin 2011. Dans un marché toujours incertain, les OPCI sont parvenus à s’imposer en matière d’investissement immobilier en France. A ce jour, plus de 220 OPCI ont été créés, gérés par plus de 30 sociétés de gestion. L’année 2012 a vu une croissance forte des véhicules OPCI «Grand Public» (ouverts à tous types de souscripteurs), passant en un an de 220 millions d’euros (31 décembre 2011) à 877 millions d’euros grâce, en particulier, au développement observé sur deux OPCI qui représentent à eux seuls près de 70% des encours sous gestion.Selon Baptiste Deschryver, associé PwC, spécialiste en produits d’investissement immobilier, «la dynamique de croissance des OPCI est confirmée. A ce jour, l’AMF a agréé 31 OPCI depuis le 1er janvier 2013 contre 18 sur la même période en 2012. La mise en conformité avec la Directive AIFM représente un challenge pour les sociétés de gestion (processus d’agrément auprès du régulateur), mais présente également une opportunité très forte de développement pour un produit régulé qui a déjà fait ses ses preuves";Quant à la SCPI (Société Civile de Placement Immobilier), elle se distingue dans un contexte d’incertitude des épargnants sur les placements longs. Les SCPI ont connu des niveaux de collecte record en 2012 (2,7 milliards d’euros), et ont profité de la mise en œuvre de la Directive AIFM, entrée en vigueur le 22 juillet dernier, pour se moderniser.
Les actifs sous gestion d’Eaton Vance s'établissaient à fin octobre à 280,7 milliards de dollars, en progression de 41% par rapport à leur niveau du 31 octobre 2012 (199,5 milliards de dollars) et de 4% par rapport à fin juillet 2013 (268,8 milliards de dollars), selon les chiffres communiqués par la société à l’occasion de la publication de ses résultats du quatrième trimestre de l’exercice 2012-2013.La progression de plus de 40% d’une année sur l’autre reflète l’acquisition en décembre 2012 de 34,8 milliards de dollars d’actifs gérés dans le cadre du rachat de Clifton Group Investment Management par la filiale Parametric Portfolio Associates, une collecte nette de 24,7 milliards de dollars et un effet marché positif de 21,7 milliards de dollars.Par rapport à fin juillet 2013, la hausse des encours de 4% reflète une collecte nette de 3,9 milliards de dollars et une appréciation de marché de 8 milliards de dollars.Le résultat net du groupe s’est élevé à 72,13 millions de dollars pour le trimestre à fin octobre contre 74,44 millions de dollars un an plus tôt.
AEW Europe, un des leaders européens du conseil en investissement immobilier pour compte de tiers, a annoncé le 26 novembre la nomination de Raphaël Brault en tant que head of separate accounts and funds. Raphaël Brault sera basé à Paris et rattaché à Rob Wilkinson, Chief Investment Officer. Il siègera également au comité exécutif et au comité d’investissement de la société. Dans son nouveau poste, il sera responsable de la stratégie d’investissement, de la supervision des comptes institutionnels et des fonds gérés depuis Paris.Jean Lavieille, Deputy Chief Investment Officer, a souhaité faire valoir ses droits à la retraite courant 2014, mais continuera d’intervenir au sein de la société en tant que consultant et membre du Comité d’Investissement. Jean travaillera en étroite collaboration avec Raphaël Brault sur les fonds gérés de Paris afin d’assurer une transition la plus fluide possible.Avant de rejoindre AEW Europe, Raphaël Brault travaillait chez Acofi-Alms où il a mis en place une plateforme de fonds de dette. Précédemment, il a travaillé 12 ans à Paris au sein du groupe Morgan Stanley.
Deux sociétés d’investissement basées à Chicago viennent de conclure un partenariat pour développer leurs activités, notamment au travers de nouveaux produits développés en commun. Nuveen Asset Management et Incapital sont ainsi en train de mettre en place un unit investment trust avec l’aide du stratégiste Bob Doll, qui a quitté BlackRock l’an dernier, rapporte Investment News.Le nouveau véhicule devrait faire ses débuts début 2014. Les unit trusts, qui se rapprochent des mutual funds mais sont des fonds fermés, semblent gagner en popularité outre-Atlantique ces derniers temps. Ils totalisaient 72 milliards de dollars en 2012 contre 60 milliards de dollars un an plus tôt, selon des statistiques de l’association américaine des gestionnaires d’actifs (ICI).Les actifs sous gestion de Nuveen s'élevaient à 118 milliards de dollars à fin septembre. Incapital est une boutique d’investissement spécialisée dans l’obligataire et les produits de dette complexes.
La société de gestion VAM Funds, basée au Luxembourg, a annoncé le lancement d’un nouveau fonds de performance absolue, le VAM Americas All Cap Fund. VAM Funds a lancé il y a quelques jours une autre stratégie de performance absolue (Newsmanagers du 15 novembre). Le nouveau fonds, dédié aux actions américaines, sera géré par Eduardi Tomacelli, responsable actions chez Newscape Capital Group. Le portefeuille comprendra entre 30 et 60 lignes, avec un maximum de 6% par ligne et une concentration sectorielle jusqu'à 30% au maximum. Les valeurs de croissance mid-cap devraient représenter de 50% à 90% du portefeuille, avec une exposition comprise entre 10% et 15% pour les petites capitalisations.
La société de gestion italienne indépendante Azimut s’est associée à Antares Private Equity pour lancer un fonds « mini-bond » investi dans les émissions obligataires de petites et moyennes valeurs italiennes, rapporte Investment Europe. Domicilié en Italie, le fonds sera réservé aux investisseurs qualifiés et sera fermé. Il sera développé au sein d’Azimut et géré par Antares. Il cible un encours de 200 millions d’euros.
Spécialiste produits ISR chez HSBC Global Asset Management (France), Paul de Marcellus a été élu président de l’Association « Finance Durable et Investissement Responsable » (FDIR), qui finance et pilote les travaux de la Chaire FDIR (http://www.idei.fr/fdir).Créée au printemps 2007, sous l’impulsion de l’Association Française de la Gestion Financière (AFG), et financée par neuf sociétés de gestion et deux autres institutions financières, cette chaire cherche à objectiver des arguments montrant qu’un développement de la finance durable et de l’investissement responsable est aujourd’hui non seulement nécessaire, mais surtout possible. Ce développement devrait contribuer à créer les conditions d’une croissance durable, répondant aux besoins des générations actuelles sans compromettre ceux des générations futures. Pour cela, de nouvelles méthodologies de recherche sont nécessaires afin de mieux identifier, mesurer, puis intégrer dans les analyses les critères extra-financiers à la base de la création de valeur dans les entreprises.Depuis sa création, cette chaire a pour objet principal de contribuer à faire émerger de nouveaux modèles de valorisation qui tiennent compte des conséquences environnementale, sociale et de gouvernance (critères ESG) des actions des entreprises dans le long terme. Première dans son genre au niveau mondial, la chaire FDIR est co-dirigée par Patricia Crifo (Département d’économie de l’Ecole Polytechnique) et Sébastien Pouget (Toulouse School of Economics), et s’appuie sur les compétences d’équipes de chercheurs hautement qualifiés et jouissant d’une réputation internationale.
Depuis le début de l’année, le bureau de Paris de BNY Mellon Asset Management a enregistré des souscriptions nettes de 650 millions de dollars, contre 500 millions pour la période correspondante de 2012, a indiqué à Newsmanagers Anne-Laure Frischlander, directeur général.L’encours se situe presque à 4 milliards de dollars contre 3 milliards il y a un an.La collecte a été plus diversifiée que par le passé. Elle s’est appuyée aussi bien sur les produits de dette émergente de Standish que sur les fonds de performance absolue d’Insight (market neutral, long/short equity, obligations absolute return, dette émergente absolute return) et sur deux fonds de Newton, le Global Real Return et le fonds actions asiatiques.Au début de l’an prochain, BNY Mellon compte lancer en Europe une version coordonnée de sa stratégie actions toutes capitalisations américaines («US All Cap Opportunistic Equity»).
DBS, ABN Amro et Credit Suisse ont remis une offre finale pour la reprise de Société Générale Private Banking Asia, rapporte L’Agefi qui cite des informations de Bloomberg et de Reuters. Aucun des trois repreneurs potentiels n’a fait de commentaires. Les propositions des finalistes valoriseraient l’enseigne de la Société Générale (13 milliards de dollars d’encours) entre 300 et 400 millions de dollars (221 à 295 millions d’euros), dans le bas de la fourchette de 300 à 600 millions. La liste des candidats à la reprise de la banque privée pourrait s’allonger. UBS et Royal Bank of Scotland figuraient aussi parmi les prétendants mais leurs intentions ne sont pas connues, note le quotidien.
Denis Morin, directeur de cabinet de la ministre des Affaires sociales, est nommé directeur du Budget, a annoncé mercredi la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem. Il remplacera Julien Dubertret, nommé quand Nicolas Sarkozy était président.
Après une absence longue de 12 ans, la Grèce retrouve aujourd’hui l’indice actions MSCI Marchés Emergents. Le pays avait intégré l’univers des pays développés en 2001, juste après son entrée dans la zone euro. Pourtant, les investisseurs restent sceptiques quant à la pérennité de la hausse de 27% des actions grecques depuis le début de l’année, qui cotent à 16,5 fois leurs résultats anticipés sur les douze prochains mois. La part de la Grèce dans l’indice MSCI Marchés Emergents est en outre très faible, à seulement 0,3%.
La croissance du PIB britannique a été confirmée à 0,8% en deuxième estimation pour le troisième trimestre, et à 1,5% sur un an. La décomposition de la statistique montre une forte contribution de la consommation et de la variation des stocks (0,9 point), alors que le commerce extérieur a eu une contribution négative.
Le gouvernement espagnol approuvera vendredi un décret permettant aux banques de convertir de 25 à 30 milliards d’euros d’actifs d’impôt différé en crédits d’impôt, a déclaré mardi le ministre de l’Economie Luis de Guindos. Ces crédits d’impôt, garantis par l’Etat, compteront comme fonds propres suivant les normes de Bâle 3, à la différence des actifs d’impôt différé.
Parmi les cinq candidats à la reprise de Société Générale Private Banking Asia, DBS et ABN Amro ont remis une offre finale selon Bloomberg, ainsi que Credit Suisse, ajoute Reuters. Aucun des trois repreneurs potentiels n’a fait de commentaires mais la banque singapourienne DBS n’a pas caché son fort appétit pour des opérations de croissance externe sur son marché régional, tandis qu’ABN Amro, groupe néerlandais nationalisé, a déclaré en mars vouloir étendre ses activités internationales, y compris en banque privée. Les propositions des finalistes valoriseraient l’enseigne de la Société Générale (13 milliards de dollars d’encours) entre 300 et 400 millions de dollars (221 à 295 millions d’euros), dans le bas de la fourchette de 300 à 600 millions évoquée précédemment. UBS et Royal Bank of Scotland figuraient aussi parmi les prétendants mais leurs intentions ne sont pas connues, rappelle Reuters.
Les prix des maisons individuelles aux Etats-Unis ont poursuivi leur remontée en septembre, avec une progression sur un an qui a été la plus forte depuis février 2006. L’indice S&P/Case Shiller publié mardi et qui mesure les prix de l’immobilier dans les 20 plus grande métropoles américaines a augmenté de 1,0% sur un mois en données corrigées des variations saisonnières, après une hausse de 0,9% en août, dépassant le consensus qui était de +0,8%.
Le parlement portugais a adopté mardi le projet de budget 2014, le dernier élaboré sous la contrainte du plan d’aide de l’Union européenne et du FMI, qui prévoit de ramener le déficit de 5,5% cette année à 4% du PIB l’an prochain. Mais l’opposition s’apprête à contester des éléments clés du texte devant la Cour constitutionnelle, qui pourrait remettre en cause certaines mesures d’austérité comme elle l’a déjà fait ces derniers mois.
Le gouvernement a demandé à l’institution de réfléchir sur le sujet d’ici à un an avant de lui accorder plus de pouvoirs dans ce domaine. Il ne s’oppose pas à un ratio plus élevé que celui prévu, à 3%, par le Comité de Bâle. Le gouverneur Mark Carney est très favorable à ce ratio.
Annoncé en avril 2012, sous mandat Sarkozy, le fonds de soutien à l’industrie ferroviaire française est sur les rails. «Croissance rail» est géré par Bpifrance et doté de 40 millions d’euros destinés à être investis dans une dizaine de PME. 14 millions d’euros ont été apportés par Alstom, 10 millions par Bpifrance, 7 millions par la SNCF, 6 millions par Bombardier et 3 millions par la RATP. Le chiffre d’affaires de l’industrie ferroviaire est estimé à 4,1 milliards d’euros en France, ce qui la place au 3e rang mondial.
Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a nommé Thierry Philipponnat, secrétaire général de Finance Watch, au collège de l’Autorité des marchés financiers. Ancien responsable d’Amnesty International et ancien trader, il intègre un collège de seize membres pour un mandat de cinq ans (renouvelable une fois).
Les députés ont adopté mardi en nouvelle lecture, par 291 voix contre 243, le projet de loi réformant les retraites. Le Sénat procédera vers la mi-décembre à la nouvelle lecture de ce projet de loi et devrait, en toute logique, le rejeter comme ce fut le cas en première lecture. L’Assemblée, qui constitutionnellement a le dernier mot, devrait procéder le 18 décembre à la lecture définitive de cette réforme.
Créée au printemps 2007, sous l’impulsion de l’Association Française de la Gestion Financière (AFG), et financée par neuf sociétés de gestion et deux autres institutions financières, cette Chaire cherche à objectiver des arguments montrant qu’un développement de la finance durable et de l’investissement responsable est aujourd’hui non seulement nécessaire, mais surtout possible. Ce développement devrait contribuer à créer les conditions d’une croissance durable, répondant aux besoins des générations actuelles sans compromettre ceux des générations futures. Pour cela, de nouvelles méthodologies de recherche sont nécessaires afin de mieux identifier, mesurer, puis intégrer dans les analyses les critères extra-financiers à la base de la création de valeur dans les entreprises. Depuis sa création, cette Chaire a pour objet principal de contribuer à faire émerger de nouveaux modèles de valorisation qui tiennent compte des conséquences environnementale, sociale et de gouvernance (critères ESG) des actions des entreprises dans le long terme. Première dans son genre au niveau mondial, la Chaire FDIR est co-dirigée par Patricia CRIFO (Département d'économie de l’Ecole Polytechnique) et Sébastien POUGET (Toulouse School of Economics), et s’appuie sur les compétences d'équipes de chercheurs hautement qualifiés et jouissant d’une réputation internationale. Paul de MARCELLUS a chaleureusement remercié le président sortant, Francis AILHAUD, pour le travail accompli ces quatre dernières années. Il se réjouit de « la collaboration fructueuse entre chercheurs et professionnels de la gestion d’actifs et de la finance depuis la création de cette Chaire », et ce d’autant plus que « les travaux réalisés contribuent au rayonnement international de la Place de Paris, car l’investissement responsable constitue désormais un domaine de compétence et de différenciation de la gestion française par rapport à ses concurrents ». Pour piloter ses travaux, la Chaire est dotée d’un Comité d’orientation, présidé par Claude JOUVEN (ancien président de la Fondation HEC), largement ouvert à des chercheurs de renommée internationale, dont Rob BAUER (University of Maastricht), Marcel BOYER (Université de Montréal), Jean-Pascal GOND (City University of London) et Henri TULKENS (Université Catholique de Louvain). Autres éléments d’information Sponsors/financeurs de la Chaire FDIR : Allianz Global Investors France - Amundi Asset Management Caisse des dépôts - Dexia Asset Management Ecofi Investissements - Edmond de Rothschild Asset management Fonds de Réserve pour les Retraites - Groupama Asset Management HSBC Global Asset Management (France) - La Banque Postale Asset Management La Française Asset Management Pour l’Ecole Polytechnique, la chaire FDIR, d’enseignement et de recherche, participe à une politique volontariste de rapprochement avec le monde industriel. Avec la chaire Développement Durable (EDF), la Fondation du Risque et le Labex ECODEC, la chaire FDIR consacre l’engagement scientifique de l’Ecole dans les domaines de la finance et de l'économie d’entreprise ainsi que du développement durable. L’IDEI (Institut D’Economie Industrielle) est un centre de recherche partenariale adossé à Toulouse School of Economics, TSE, qui est devenu, depuis plusieurs années, un pôle d’excellence en sciences économiques, classé parmi les dix meilleurs départements universitaires en économie dans le monde. Créé en 1990 par Jean-Jacques Laffont, l’IDEI associe des chercheurs de TSE avec des entreprises ou institutions françaises et étrangères telles que la Banque de France, la Fondation du Risque, Fédération Bancaire Française, Microsoft ou l’Institut Europlace de Finance. La Chaire FDIR s’insère parfaitement dans la dynamique de collaboration entre chercheurs de TSE et professionnels avec pour objectif le développement de la recherche dans un domaine, la finance du développement durable, porteur tant sur le plan scientifique que sur le plan sociétal.
Etienne Stofer, directeur de la Caisse de retraite du personnel navigant professionnel de l’aéronautique civile (CRPN) dans Option Finance : La mise en place de nouveaux indicateurs de pilotage va certainement conduire à une révision de notre allocation stratégique d’actifs après 2014. Cette allocation stratégique fait l’objet d’une révision périodique. Il est vrai qu’au cours de la dernière décennie, celle-ci a peu changé. Autour de cette allocation centrale, le conseil d’administration laisse des marges de man??uvres assez importantes pour faire varier l’allocation tactique. Par exemple, nous pouvons détenir de 25 à 35 % d’actions. Dans les faits nous nous situons au maximum dans le milieu haut de cette fourchette. Depuis le deuxième semestre 2009, nous sommes assez régulièrement surpondérés en actions qui représentent aujourd’hui 32 % de notre allocation. Dès que nous dépassons ce palier, nous prenons nos bénéfices sur les actions les plus performantes pour conserver un même niveau d’exposition. Nous gérons une petite partie de notre portefeuille d’actions européennes en direct afin de conserver une vision et une expertise sur ces marchés. Nous pouvons ainsi mieux appréhender et apprécier les politiques menées par nos différents gérants externes. Nous déléguons le reste de notre gestion actions. Concernant le monétaire, nous l’investissons en parts de fonds et en comptes sur livret ou à terme dont les conditions sont actuellement favorables. Nous sommes aujourd’hui sous-pondérés en obligations et surpondérés en monétaire. En ce qui concerne la poche obligataire, nous l’avons renforcée sur le crédit avec des maturités courtes (un à six ans) ces dernières années. Nous sommes très présents sur les obligations corporate notées BBB et très peu présents sur le high yield. Nous détenons des titres souverains de la zone euro des pays les mieux notés (Allemagne, Pays-Bas, Autriche, Union Européenne et France), en sus de quelques positions sur l’Italie.
Le parlement portugais a adopté mardi le projet de budget 2014, le dernier élaboré sous la contrainte du plan d’aide de l’Union européenne et du FMI, qui prévoit de ramener le déficit de 5,5% cette année à 4% du PIB l’an prochain. Mais l’opposition s’apprête à contester des éléments clés du texte devant la Cour constitutionnelle, qui pourrait remettre en cause certaines mesures d’austérité comme elle l’a déjà fait ces derniers mois.