P { margin-bottom: 0.08in; } Danske Invest has appoined a replacement for equity manager John William Olsen, who has decided to leave the firm, Citywire reports. Max Jul Pedersen will succeed him on the six funds he had previously managed: Danske Invest Engros Aktier, Danske Invest Global Plus, Danske Invest Global Stockpicking, Danske Invest Global Stockpicking A, Danske Invest Global Stockpicking 2, Danske Invest Engros Global.
Avec le lancement récent du Cheyne European Mid Cap Equity Fund, les cinq fonds à compartiments Ucits de Cheyne Capital ont atteint les 575 millions de dollars d’actifs, alors qu’ils s’élevaient à 30 millions de dollars il y a deux ans, a indiqué mardi le spécialiste de la gestion alternative. Le hedge fund gère au total 6,5 milliards de dollars d’encours.
Lazard Asset Management a recruté des gérants d’ING Investment Management au Moyen-Orient, une région où la société compte accroître sa présence. Farah Foustok, ancien directeur général d’ING IM dans la zone, rejoint Lazard comme managing director au bureau de Dubai, selon un communiqué. Quatre autres spécialistes de la gestion actions l’accompagnent.
Les encours sous gestion (mandats et organismes communs de placement) ont atteint 3.023 milliards d’euros en 2013, selon les chiffres publiés ce matin par l’Association française de la gestion financière (AFG). S’il s’agit d’un montant record, il ne réjouit pas pour autant les responsables de l’association. Ces derniers regrettent la faiblesse de la progression des encours (seulement 3,1% par rapport à 2012), malgré la forte hausse des marchés actions en 2013. «La collecte a été globalement décevante», conclut l’AFG, qui souligne que le marché a été porté par la croissance des mandats et fonds étrangers gérés en France (+5,2%), alors que les fonds de droit français ont stagné (+1,2%). Cette perte de compétitivité de ces véhicules, depuis 5 années consécutives, inquiète l’association.
La croissance du secteur manufacturier américain a fortement ralenti en janvier, tombant à son plus bas niveau en huit mois. L’indice ISM est ressorti à 51,3, un chiffre nettement inférieur à son niveau de décembre (56,5) comme aux attentes des économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur 56,0. La composante des commandes nouvelles a chuté à 51,2 contre 64,4 en décembre, le plus fort décrochage mensuel en 33 ans.
BNP Paribas Securities Services a annoncé le développement de son activité de banque dépositaire sur le marché suisse. BPSS est l’une des premières banques dépositaires d’Europe avec près de 900 milliards d’euros d’actifs en dépôt.
La Française et Forum Partners concrétisent leur joint-venture en acquérant l’activité de gestion de Cushman & Wakefield. Une opération qui leur permet de gagner plusieurs années dans leur projet d’alliance. Cushman & Wakefield Investors gère 1,2 milliard de dollars d’actifs.
Les finances publiques italiennes ont bien démarré l’année 2014 avec un excédent budgétaire de 800 millions d’euros le mois dernier, contre un déficit de 2,4 milliards en janvier 2013, selon les chiffres publiés hier soir par le Trésor. Celui-ci explique ce solde par un report exceptionnel à janvier, au lieu de l’habituelle fin d’année, de la date limite de dépôt des déclarations de revenus. Mais il ajoute que les recettes tirées de la TVA ont été fortes.
L’ancien président de la Fed, fraichement remplacé à la tête de la banque centrale par Janet Yellen, va rejoindre le «think tank» Brookings Institution en tant que «membre émérite». Il participera à la recherche économique de la société, et notamment à celles concernant la politique budgétaire et monétaire. «Je suis très heureux de m’engager dans cette communauté brillante, par la recherche et l'écriture», a déclaré Ben Bernanke, cité dans le communiqué de l’institution.
Olivier Grolleau, responsable de la gestion diversifiée à la CRPN, à la rédaction de www.institinvest.com : Notre allocation stratégique cible 5% de gestion diversifiée. Nous sommes actuellement en-dessous (3,3%) mais pas par choix. Nous montons en effet en puissance progressivement en investissant régulièrement (en private equity notamment). Cette poche comprend d’une part, un pôle d’OPCVM aux normes UCITS contenant des fonds flexibles et des fonds de rendement absolu, et d’autre part, du non coté c’est-à-dire du private equity et des infrastructures. Idéalement, je pense qu’il serait pertinent d’avoir 3% de non coté et 2% d’OPCVM diversifiés. Nos investissements dans le private equity jouent un rôle de plus en plus important d’amortisseur par rapport à la volatilité des marchés financiers. Sur le long terme, ils dégagent généralement une performance supérieure à celle des marchés financiers avec une volatilité plus faible et offrent ainsi un couple rendement/risque meilleur que celui des marchés actions. De plus, si autrefois les acteurs en private equity avaient tendance à utiliser tous les moyens pour dégager de la rentabilité, aujourd’hui ils ne sont plus dans cette logique extrême et jouent beaucoup plus un rôle d’accompagnateur du management dans le développement ou la transmission de l’entreprise. Ce positionnement est efficace et nous offre, en plus de notre mission morale de financement de l'économie, un retour sur investissement très intéressant.
En contrepartie d’une baisse effective du taux d’imposition sur les sociétés, la coalition gouvernementale envisage de restreindre les possibilités de report déficitaire, en réduisant la durée maximale de 9 ans actuellement en vigueur. Tokyo songe aussi à diminuer le niveau d’exemption de la taxe sur les dividendes provenant de filiales.
La croissance du secteur manufacturier américain a fortement ralenti en janvier, tombant à son plus bas niveau en huit mois. L’indice ISM est ressorti à 51,3, un chiffre nettement inférieur à son niveau de décembre (56,5) comme aux attentes des économistes interrogés par Reuters, qui le donnaient en moyenne à 56,0. La composante des commandes nouvelles a chuté le mois dernier à 51,2 contre 64,4 en décembre, le plus fort décrochage mensuel en 33 ans.
La Française et le britannique Forum Partners annoncent l’acquisition Cushman & Wakefield Investors (CWI), l’activité de gestion d’actifs du courtier en immobilier. Ils contrôlent respectivement 66,6% et 33,3% de la cible. Rebaptisé La Française Forum (LFF) Real Estate Partners, la société constituera le joint-venture que les deux protagonistes entendaient créer, suite à leur rapprochement entamé en septembre 2013: à cette occasion, La Française avait pris une participation de 25% dans Forum Partners, à travers une augmentation de capital. L’opération permet aux deux partenaires de gagner trois ans sur leur projet de coopération. CWI gère 1,2 milliard de dollars dans l’immobilier commercial pour le compte d’investisseurs européens et asiatiques.
Les actifs sous gestion de Julius Baer ont progressé l’an dernier de 65 milliards de francs suisses, ou 34%, pour s'établir à 254 milliards de francs suisses, selon un communiqué publié le 3 février. Cette augmentation de 34% est due pour une bonne part à l’intégration de 53 milliards de francs suisses d’actifs issus de l’intégration, encore en cours, des activités internationales de gestion de fortune de Merrill Lynch, précise la banque. La collecte nette s’est élevée à 7,6 milliards de dollars. L’effet marché positif a représenté 7 milliards de francs suisses, en partie effacé par un impact change négatif de 3 milliards de francs. Julius Baer relève dans son communiqué que la collecte dérivée de l’activité européenne transfrontalière a été largement neutralisée par les régularisations fiscales des avoirs non déclarés. Les actifs sous conservation se sont accrus de leur côté de 6% sur un an à 93 milliards de francs suisses. Le résultat avant impôts a progressé l’an dernier de 19% à 583 millions de francs suisses, le bénéfice net s’inscrivant à 480 millions de francs suisses (+19% également). Le coefficient d’exploitation s’est amélioré l’an dernier à 71% contre 73% précédemment. Après prise en compte des charges d’intégration des activités internationales de gestion de fortune de Merrill Lynch, le bénéfice net recule de 30% à 188 millions de francs suisses. Le conseil d’administration proposera à l’assemblée générale annuelle du 9 avril 2014 un dividende ordinaire inchangé de 0,60 franc suisse par action.
Castle Private Equity AG a annoncé dans un bref communiqué publié dimanche avoir perdu son plus gros actionnaire, Abrams Capital. La société américaine a informé Castle Private Equity qu’elle avait conclu un accord contraignant pour la vente de ses actions. La finalisation de la transaction est soumise à certaines conditions qui devraient être remplies dans les prochaines semaines. Selon les données de SIX Swiss Exchange, Abrams détient 21,83% de Castle Private Equity.
Aberdeen Asset Management a prévenu les investisseurs qu’un escroc utilise son nom et son ancien logo pour tenter d’arnaquer le public, rapporte Fund Web. Dans son avertissement, la société de gestion précise que l’homme contacte ses victimes potentielles par le biais d’e-mails et leur propose de faux accords de bail. Afin d’asseoir sa crédibilité, l’escroc s’est créé un profil LinkedIn dans lequel il affirme être salarié d’Aberdeen.
Vanguard vient de lancer le fond Global Short-Term Bond Index qui complète sa gamme de trackers obligataires, révèle FT Adviser. Il s’agit du douzième véhicule de ce genre lancé par la société de gestion.Ce nouveau fonds suit l’indice Barclays Global Aggregate 1-5 Years ex-US MBS Float Adjusted Bond et il est géré sur la base d’une couverture pour limiter la volatilité des changes. Le véhicule investira dans un large univers de titres à l’échelle mondiale, incluant des obligations d’Etat, d’entreprise investment grade mais aussi des titres hypothécaires (ex-US mortgage-backed securities).
Doug Shaw, le responsable de la clientèle des œuvres caritatives au Royaume-Uni chez BlackRock, a démissionné, a appris Financial News. L’intéressé avait publiquement défendu les hedge funds pendant la crise financière.
La société de gestion quantitative 80 Capital LLP, dirigée par un ancien responsable quantitatif de la Deutsche Bank, Philippe Azoulay, a décidé d’ouvrir sa stratégie Helium aux investisseurs externes en raison des bons résultats enregistrés au cours des 23 derniers mois et de l’apport d’un capital de démarrage substantiel, selon un communiqué publié le 3 février. 80 Capital a obtenu 50 millions de dollars de la Deutsche Bank. «Un soutien institutionnel jamais vu qui témoigne de la force de cette stratégie», indique Philippe Azoulay, cité dans le communiqué. La stratégie a dégagé sur les 23 mois depuis février 2012 une surperformance moyenne annualisée d’environ 10% par rapport aux principaux indices de managed futures dans un environnement difficile pour la classe d’actifs. Selon le communiqué, Helium divise l’univers du trading en différents groupes de contrats de futures, à partir desquels des combinaisons de contrats sont filtrées puis systématiquement analysées pour déterminer des signaux de trading. Cette approche permet ainsi de générer de l’alpha à partir des déformations de corrélation et des mouvements de prix. La plupart des fonds quantitatifs établissent des positions à partir de critères tels que le nombre d'écarts type au-delà d’un certain seuil. Une approche qui peut déboucher sur des surpondérations sans robustesse statistique qui peuvent rapidement perdre de la valeur. Helium utilise en revanche des techniques qui visent à éliminer le risque d’exposition à une chute soudaine.
Une équipe de neuf personnes du défunt bureau de Londres de SAC Capital Advisors ont rejoint la société de hedge funds Moore Capital Management (12,1 milliards de dollars), rapporte Financial News. Il s’agit des gérants Israa Al Bayaa, Nicholas Aldridge, Arjun Menon, Alexi Papaconstantinou, Bramen Singanayagam, Martin Stapleton et Louis Villa, et des analystes Atallah Estephan et Rahil Kuchiera.
Wisdom Tree, société de gestion américaine spécialisée dans les ETF, se lance en Europe via l’acquisition d’une participation de 75 % dans Boost, fournisseur d’ETP basé à Londres.La firme américaine va investir 20 millions de dollars sur quatre ans pour financer la création d’une plate-forme et d’une activité européennes qui seront dirigées par Hector McNeil et Nik Bienkowski, les fondateurs de Boost, qui ont également occupé des postes à responsabilité chez ETF Securities.Par le biais de cette plate-forme, WisdomTree compte lancer une gamme d’ETF au format européen (Ucits) sous sa propre marque. La société continuera aussi à gérer et faire grandir la gamme d’ETP de Boost.WisdomTree détiendra 75 % de la nouvelle structure, WisdomTree Europe, tandis que le reliquat sera aux mains des actionnaires de Boost. Dans quatre ans, la société américaine compte acquérir la totalité du capital pour un montant qui dépendra notamment des encours de l’activité européenne.Avec 34 milliards de dollars d’encours, WisdomTree est le cinquième fournisseur d’ETF aux Etats-Unis et le huitième à l’échelle mondiale. La société aligne une gamme de 61 ETF sur les actions, l’obligataire, les devises et l’alternatif.
Deux grands hedge funds new-yorkais spécialisés sur les actions ont annoncé qu’ils fermaient leurs portes après avoir enregistré de fortes performances au cours du rally de 2013. Ainsi, Scout Capital Management (6,7 milliards de dollars) et Joho Capital (5 milliards de dollars) ont séparément annoncé à leurs investisseurs qu’ils allaient les rembourser, selon des lettres lues par The Wall Street Journal.Robert Karr, qui a fondé Joho en 1996, indique entre autres qu’il souhaite passer davantage de temps avec sa famille. Il continuera à investir via son family office et conservera une partie du personnel de la société.La fermeture de Scout est liée à des divergences entre les fondateurs.
Franklin Resources, la maison mère de Franklin Templeton Investments, a fait état d’un bénéfice en hausse de 17 % à l’issue de son premier trimestre fiscal, clos au 31 décembre 2013. La progression du résultat net est de 19 % par rapport au trimestre précédent clos fin septembre 2013. Au cours des trois derniers mois, la société de gestion américaine a ainsi réalisé 603,8 millions de dollars de profits, contre 516,1 millions de dollars sur un an. Ses revenues s’établissent à 2,1 milliards de dollars à la fin de son premier trimestre, en croissance de 6 % par rapport au trimestre précédent et de 11 % sur un an. A fin décembre 2013, ses actifs sous gestion s’élèvent à 879,1 milliards de dollars, en progression de 34,4 milliards ou de 4 % par rapport au trimestre précédent. Cette croissance est exclusivement tirée par un effet de marché positif de 36 milliard de dollars, sa collecte nette sur le trimestre étant nulle. Sur un an, ses encours ont augmenté de 97,3 milliards de dollars, soit une croissance annuelle de 12 %, portés par 77,3 milliards de dollars d’effet de marché et par 24 milliards de dollars de souscriptions nettes.