Threadneedle Investments on April 1 announced that it has entered into a promotion and referral agreement with South African investment manager Stanlib to introduce its clients globally to the latter’s Africa strategies. Stanlib will similarly offer African investors access to Threadneedle’s capabilities. The South African fund manager, which manages over USD45 billion for retail and institutional clients, specialises in South African and African investments across all major asset classes including property.The agreement follows the announcement in August 2012, that Stanlib had selected Threadneedle to manage in excess of USD800 million in Global and Emerging Market equity and Global Balanced portfolios as part of its offshore investment range. Today, Threadneedle manages in excess of USD1 billion on behalf of Stanlib.Strategies that Threadneedle will introduce include: Africa ex South Africa Equity, a strategy focusing on investment in Africa’s frontier markets, Global Emerging Market Property and Direct Property investment opportunities. The two partners do not hide that they want to tap the African market. “Collectively, Africa’s economy is around USD2.0 trillion and is expected to reach USD2.6 trillion by 2020,» observes Dylan Evans, head of International Business Development at Stanlib. “The outlook for 2014 is promising, with Africa’s GDP growth expected to grow by around 5.5% in 2014.”
P { margin-bottom: 0.08in; } Julius Baer is adding to its teams in Southern Europe. The Swiss asset management firm has appointed Carolina Martinez-Caro as its new head for the Iberian market, and also as a member of the board of directors for the Southern Europe, Middle East and Africa region. Martinez-Caro replaces Rafael Zimenez de Embun, who has recently left his job to continue his career outside the firm. Martinez-Caro has 20 years of experience in the industry. She joined Julius Baer in 2013, at the same time as the Madrid-based team at Bank of America Merrill Lynch, as part of the integration in to the international wealth management division of the US bank, where she had served as head of high net worth clients.
Bercy n’aura pas un mais deux patrons. A l’occasion du remaniement ministériel annoncé mercredi matin, Michel Sapin a été nommé ministre des finances et des comptes publics dans la nouvelle équipe dirigée par Manuel Valls, tandis qu’Arnaud Montebourg prendra le portefeuille de l'économie, du redressement productif et du numérique. Dans cette nouvelle configuration, Michel Sapin, ancien ministre du travail, cède ce dossier à François Rebsamen. Bernard Cazeneuve, qui avait pris le ministère du Budget après le séisme de l’affaire Cahuzac, succède à Manuel Valls au ministère de l’Intérieur. Des secrétaires d’Etat doivent encore être nommés.
Morningstar indique que le Total Return Fund du gestionnaire californien a subi en mars une collecte nette négative de 3,1 milliards de dollars. Il s’agit du onzième mois consécutif de retraits nets pour le plus important fonds obligataire au monde, dont les actifs s’élèvent à 232 milliards après 51 milliards de sorties nettes depuis le printemps dernier. En mars, le fonds vedette de Pimco a été devancé par 95% de ses pairs en termes de performance.
En février, la hausse des encours de crédits aux sociétés non financières a atteint + 0,5 % en rythme annuel, après + 0,3% en janvier, selon les statistiques de la Banque de France. La croissance des crédits à l’investissement s’accélère légèrement (+ 2,6 % en février, après + 2,3 %). En revanche, la contraction des crédits de trésorerie s’accentue (-4,7 %, après -4,5 %).
Reuters croit savoir qu’Industrial and Commercial Bank of China envisage de déposer une offre sur le gestionnaire d’actifs Pioneer Investments, propriété de la banque italienne UniCredit. Les actifs sous gestion de Pioneer s’élevaient à fin 2013 à 174 milliards d’euros. UniCredit n’a pas souhaité commenter le mois dernier des rumeurs lui prêtant le souhait de vendre ou de coter sa filiale de gestion. ICBC a démenti l’information.
Michel Sapin est nommé ministre des finances et des comptes publics et Arnaud Montebourg ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique
La croissance du secteur manufacturier américain s’est accélérée en mars pour le deuxième mois consécutif grâce à une reprise de la production, malgré un ralentissement des créations d’emplois, montre l’enquête de l’institut ISM publiée lundi. L’indice est ressorti à 53,7 contre 53,2 en février et 54,0 attendu par les économistes interrogés par Reuters. Il reste inférieur à son pic de 57 atteint en novembre dernier, avant l'épisode de grand froid qui a perturbé l’activité outre-Atlantique.
A la suite du protocole d’acquisition signé le 20 décembre 2013 avec les actionnaires de la société, Nexity a finalisé hier l’acquisition du capital d’Oralia, 5e groupe d’administration de biens en France. Fort d’un réseau de 25 agences et de 635 collaborateurs, Oralia gère un portefeuille de plus de 165.000 lots dont environ 31 000 en gestion locative à fin 2013. Hervé Denize, directeur général délégué de Nexity, prend à compter de ce jour la présidence d’Oralia.
Quelque 3,5 milliards d’euros ont été investis en France au premier trimestre 2014, soit une hausse de 13% par rapport à la même période en 2013 dans la moyenne des volumes investis au cours d’un premier trimestre depuis 10 ans, indique Cushman & Wakefield. Le conseil en immobilier relève cependant que cette hausse «s’accompagne d’une très nette diminution du nombre total de transactions», à 53 contre 112 il y a un an. Les opérations d’une valeur inférieure à 50 millions d’euros ont été rares (36 contre 88 au premier trimestre 2013), la hausse des volumes investis étant principalement liée à la signature de grandes transactions, avec 10 opérations supérieures à 100 millions totalisant 2,5 milliards d’euros. Surtout, l’acquisition par le fonds américain Lone Star de l’ensemble Cœur Défense pour 1,3 milliard, comptabilisée sur le trimestre, représente ainsi à elle seule 36% des montants investis.
TIAA Henderson Real Estate a annoncé mardi son lancement officiel. Issue de l’union de TIAA-CREF (60% du capital) et de Henderson Global Investors (40%), la société gère plus de 16,4 milliards d’euros d’actifs détenus via une cinquantaine de fonds et véhicules dédiés et se consacre uniquement à la gestion d’actifs immobiliers. Cette nouvelle plate-forme rassemble les activités immobilières de TIAA-CREF en Europe et celles de Henderson Global Investors en Europe et en Asie-Pacifique.
Le gouvernement allemand et les syndicats ont annoncé hier soir s'être mis d’accord sur une hausse de 3% des salaires pour 2,1 millions d’agents du secteur public cette année et de 2,4% en 2015, ce qui alourdira le budget fédéral de 2,55 milliards d’euros en 2014 et de 2 milliards d’euros supplémentaires l’an prochain.
Le président Barack Obama a annoncé hier soir que 7,1 millions d’Américains avaient souscrit l’assurance-maladie prévue par la réforme de santé qu’il a fait adopter sous son premier mandat. Il a estimé que, même si sa loi de réforme de la santé n’est pas parfaite, ses adversaires devaient cesser leurs efforts pour obtenir son abrogation.
Dans un rapport publié mardi, un groupe d’experts mandaté par la Commission apprécie les mérites respectifs d’une émission commune et d’un fonds de rédemption
Frédéric Bernard, Directeur général, Mutuelle UMC à la rédaction de www.institinvest.com : Nous privilégions les organismes de l'économie solidaire (Crédit Coopératif, OFI, EGAMO, Crédit Mutuel). Mais, compte tenu de la conjoncture, il est devenu indispensable de trouver des placements rentables en prenant le minimum de risques, ce qui est possible chez les grands financiers (Rothschild & Cie Gestion, Amundi, BNP Paribas, Société Générale). Aussi avons-nous diversifié nos placements au sein de plusieurs intermédiaires. Les sélections, dans le cadre de mandats de gestion, se font par appels d’offres réalisés par la Direction financière. Des tableaux de synthèse sont établis et communiqués à la Commission des placements, qui choisit l’intermédiaire qui lui semble le plus approprié en matière de sécurité, de savoir-faire, de qualité de reporting, de coût etc. La décision finale revient au Conseil d’administration. Pour les placements en direct, le choix est effectué de manière à éviter une trop grande dispersion. Nous cherchons des niches compatibles avec notre allocation cible et qui offrent de meilleurs rendements. Par le passé, il nous est arrivé de faire appel à des consultants avec lesquels la collaboration était tout à fait satisfaisante. Mais nous avons fait le choix, depuis environ trois ans, de renforcer nos compétences dans ces domaines financiers. Nous disposons donc aujourd’hui en interne des ressources nécessaires, en particulier au sein de la Commission des placements. Dans le cadre de notre récent partenariat avec Malakoff-Médéric Mutuelle, leur société de gestion nous a fait quelques propositions d’investissement qui ont retenu notre attention et qui ont été validées par la Commission des placements dans des fonds ISR. En tant que mutuelle, nous sommes très conscients de notre responsabilité sociétale. Nous cherchons autant que possible des placements sociaux et éthiques. Cela peut se traduire de différentes manières. En 2013, nous avons ainsi mis en place un partage d’intérêts sur un produit de taux. Les revenus de ce fonds seront partagés par moitié entre des associations, essentiellement la Croix-Rouge Française, et la Mutuelle UMC. Nous pouvons nous permettre ce genre d’initiatives grâce à nos investissements dans des produits rentables qui nous procurent un revenu certain.
La Caisse de Pensions de la République et Canton du Jura (CEC Jura) va sélectionner dans les deux prochains mois des gérants pour la gestion de deux classes d’actifs : les infrastructures et les Insurance-Linked Secutities (ILS), dont les obligations catastrophes (ou cat bonds) font partie. La Caisse va stopper ses investissements dans les fonds alternatifs. Nous nous serons débarrassés de l’intégralité de la poche gestion alternative de notre portefeuille d’ici à la fin avril, a expliqué Christian Affolter, le directeur de la CEC Jura. La Caisse va réinvestir l’intégralité du montant, environ 85 millions d’euros, alloué précédemment aux fonds alternatifs, à parts égales dans les infrastructures et les ILS/Cat Bonds. Nous n’avons pas encore choisi de gérants. Notre consultant, Complementa, a préparé un rapport. La décision sera prise dans les deux mois à venir, a expliqué le directeur de la Caisse. L’allocation consacrée à la gestion alternative était jusque-là gérée par UBP, Dexia Group et Man Group/RMF Investment Management. D’autre part, la CEC Jura s’est séparée de Valiant Privatbank concernant un petit mandat d’obligations internationales. « Nous avons remplacé Valiant par Lombard Odier Darier Hentsch cet automne concernant la gestion semi-passive d’un mandat core, a déclaré Christian Affolter. Valiant a géré de manière active, alors que nous voulions une tracking error plus faible ». La CEC Jura est en outre encore investi dans un fonds immobilier international géré par JP Morgan Asset Management, qui est actuellement en liquidation. Nous allons réinvestir dans un autre fonds international immobilier, idéalement un montant situé aux alentours de 8,5 millions d’euros.
Selon le quotidien qui se réfère à des indicateurs internes à la Fédération des particuliers-employeurs (Fepem), l’emploi à domicile a encore chuté au quatrième trimestre, après avoir globalement reculé sur les neuf premiers mois de 2013. La masse salariale nette versée par l’ensemble des particuliers employeurs a reculé d’environ 3% l’an dernier, après une baisse de 1,8% en 2012 et une stagnation en 2010 et 2011. «La forte dynamique qui caractérisait ce secteur dans les années 2000 est désormais très loin», souligne le journal qui cite l’impact de la crise sur le pouvoir d’achat des ménages employeurs, auquel se sont ajoutées des évolutions législatives et fiscales défavorables.
Après des débuts laborieux, les actifs gérés par des fonds d’arbitrage en Corée du Sud pourraient doubler d’ici à 2015 pour atteindre 5 milliards de dollars, rapporte le site financier, en précisant que le pays compte environ 24 hedge funds gérés par 12 sociétés locales. Ces sociétés tirent parti des fonds de pension et autres investisseurs institutionnels qui diversifient leur allocation dans la gestion alternative.
Suite au protocole d’acquisition signé le 20 décembre 2013 avec les actionnaires de la société, Nexity annonce avoir finalisé aujourd’hui, 1er avril 2014, l’acquisition du capital d’Oralia, 5ème groupe d’administration de biens en France. Fort d’un réseau de 25 agences et de 635 collaborateurs, Oralia gère un portefeuille de de plus de 165.000 lots dont environ 31 000 en gestion locative à fin 2013. Hervé Denize, directeur général délégué de Nexity, prend à compter de ce jour la présidence d’Oralia.
TIAA Henderson Real Estate a annoncé son lancement officiel ce mardi 1er avril 2014. Issue de l’union de TIAA-CREF (60% du capital) et de Henderson Global Investors (40%), la société gère plus de 16,4 milliards d’euros d’actifs détenus via une cinquantaine de fonds et véhicules dédiés et se consacre uniquement à la gestion d’actifs immobiliers. Cette nouvelle plate-forme rassemble les activités immobilières de TIAA-CREF en Europe et celles de Henderson Global Investors en Europe et en Asie-Pacifique.
Les ministres des finances de la zone euro ont approuvé le déblocage d’une nouvelle tranche d’aide de 8,3 milliards d’euros à la Grèce, mettant fin à la dernière revue de la troïka FMI-UE-BCE qui durait depuis septembre. «Les institutions de la troïka nous ont assuré que le financement de la Grèce était complètement bouclé pour les douze prochains mois», a dit mardi Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe. La Grèce espère désormais émettre au printemps sur les marchés obligataires pour la première fois depuis son sauvetage, sans doute sur des maturités de 3 à 5 ans.
Quelque 3,5 milliards d’euros ont été investis en France au premier trimestre 2014, soit une hausse de 13 % par rapport à la même période en 2013 dans la moyenne des volumes investis au cours d’un premier trimestre depuis dix ans, indique Cushman & Wakefield. Le conseil en immobilier relève cependant que cette hausse «s’accompagne d’une très nette diminution du nombre total de transactions», à 53 contre 112 il y a un an. Les opérations d’une valeur inférieure à 50 millions d’euros ont été particulièrement rares (36 contre 88 au premier trimestre 2013). De fait, la hausse des volumes investis en ce début d’année est principalement liée à la signature de grandes transactions, avec 10 opérations supérieures à 100 millions totalisant 2,5 milliards d’euros. Surtout, l’acquisition par le fonds américain Lone Star de l’ensemble Cœur Défense pour 1,3 milliard, comptabilisée sur le trimestre, représente ainsi à elle seule 36 % des montants investis. De quoi inciter à la prudence pour le reste de l’année.
La croissance du secteur manufacturier américain s’est accélérée en mars pour le deuxième mois consécutif grâce à une reprise de la production et malgré un ralentissement des créations d’emplois, montre l’enquête de l’institut ISM publiée lundi. L’indice est ressorti à 53,7 contre 53,2 en février. Les économistes interrogés par Reuters attendaient un indice à 54,0. Il reste inférieur à son pic de 57 atteint en novembre dernier, avant l'épisode de grand froid et de chutes de neige qui ont perturbé l’activité outre-Atlantique.
Agissant pour le compte de la SCI Foncière 1, la société de gestion AEW Europe a vendu une plateforme logistique de 11.648 m² à Lieusaint. Cette plateforme, située au sein du pôle logistique de Parisud-Sénart et en façade de la francilienne, est vendue à un utilisateur qui convertira l’actif en un site à vocation industrielle.
Oddo Asset Management a été définitivement condamnée à rembourser l’intégralité du capital investi par un client professionnel dans le FCP Oddo Cash Arbitrage pour présentation mensongère de la composition de ce fonds et le transfert dans ce même fonds d’actifs investis dans les subprimes, rapporte L’Agefi Actifs dans sa lettre du 31 mars. Concrètement, les sociétés Oddo & Compagnie et Oddo Asset Management se sont désistées de leur pourvoi contre la décision de la Cour d’appel de Paris du 30 octobre 2012 (**) ayant retenu leur responsabilité. Le 25 mars dernier, la Cour de cassation (*) a ainsi acté ce désistement. Dans les faits, le FCP avait été liquidé par anticipation en juillet 2007 à la suite de la crise de liquidité survenue sur les marchés financiers. Ce fonds avait été partagé en deux poches distinctes, l’une à liquidité immédiate et l’autre à liquidité longue en sachant que les investisseurs qui ne précisaient pas le choix à opérer entre ces deux poches voyaient leurs avoirs immédiatement transférés sur le fonds à liquidité immédiate, ce dernier comportant un risque de décote importante. Dans cette affaire, un client professionnel qui n’avait pas répondu avait perdu 53% de son investissement.Caractérisée à l’appui de la sanction de l’AMF, la Cour d’appel a noté que «les supports d’information destinés aux porteurs du FCP Oddo Cash Arbitrages, institutionnels ou non, comportaient de réelles distorsions d’informations de nature à induire en erreur sur les risques de placement effectué et, d’autre part, la société Oddo & Compagnie, et par conséquent sa filiale Oddo Asset Management, avait bien eu début mars 2007 connaissance des risques accrus présentés par les produits de titrisation liés au marché immobilier américain, au point de décider entre le 5 mars et le 5 juillet 2007 de les transférer de son fonds monétaire classique (FCP Premium Oddo Cash) vers ses fonds monétaires dynamiques dont le FCP Oddo Cash Arbitrages, au mépris de l’intérêt des porteurs de parts de ces derniers. »La Cour d’appel relève que ce transfert d’actifs réalisé hors marché était à l’évidence contraire à la stratégie de gestion du fonds notamment présentée dans la fiche reporting d’avril 2007. En outre, « la fiche de reporting d’avril 2007 ayant spécifiquement pesé sur la décision d’investissement de la société était, si ce n’est équivoque compte tenu des énonciations du prospectus détaillé correspondant, à tout le moins incomplète et, quoi qu’il en soit, appelée à devenir, à très brève échéance, radicalement contraire à la réalité des faits, ce que Oddo AM ne pouvait ignorer. » (*) Cass. Com. du 25 mars 2014, n°13-10.890/ (**) CA de Paris du 10 octobre 2012 n°2012/00087