A compter du 5 mai et jusqu’au 16 mai inclus, les actionnaires de Boursorama pourront apporter leurs titres à l’offre publique d’achat simplifiée initiée par Société Générale, agissant de concert avec le Groupe Caixa, a précisé la SocGen dans un communiqué. Le prix de l’offre s’élève à 12 euros, représentant une prime de 22,1% sur le cours de clôture de l’action au 17 mars 2014 (dernier jour de cotation précédant le dépôt du projet d’offre à l’AMF). L’offre porte sur les 24,1% du capital non détenus par Société Générale et le Groupe Caixa, ainsi que sur les actions susceptibles d'être émises à la suite de l’exercice par leurs porteurs des options de souscription d’actions Boursorama.
Les fonds de pension publics américains ont gagné1,87% au premier trimestre contre 1,66% pour l’ensemble des investisseurs institutionnels sur la période, selon Reuters qui s’appuie sur un rapport publié hier par Wilshire Trust Universe Comparison Service.Malgré cette surperformance sur les 3 premiers mois de l’année, les fonds de pension publics américains sont loin d’égaler leur progression de 5,2% au premier trimestre 2013. Néanmoins, au terme du premier trimestre 2014, le rendement médian des fonds de pension publics américains sur un an reste élevé à 13%, selon les données de Wilshire Trust Universe Comparison Service.
Tom Valverde a rejoint la société de gestion américaine Fidelity Investments en qualité de «senior vice president» en charge des ventes et de la gestion des relations clients, rapporte Mutual Fund Wire.com. Selon son profil LinkedIn, il a intégré la compagnie en avril dernier après avoir passé six ans chez Pershing Advisor Solutions en tant que «managing director» et responsable du développement de l’activité et de la relation client. Il s’agit en fait d’un retour aux sources pour Tom Valverde qui, entre 1998 et 2008, avait déjà travaillé chez Fidelity Investments en tant que «vice president» en charge des ventes institutionnelles.
Selon une information du Figaro, trois ou quatre groupes dont AEW, Eurosic ou Gecina se sont positionnés sur le dossier de la foncière Siic de Paris. Contrôlé par un groupe espagnol, Realia, cette dernière serait à vendre. Il s’agit d’une foncière au patrimoine de 1,5 milliard d’euros avec des immeubles de bureau dans les quartiers prestigieux de Paris. Les offres sont attendues ces jours-ci, note le quotidien.
L’introduction en Bourse d’Ares Management est venue la semaine dernière confirmer la fin d’un âge d’or pour le private equity en Bourse outre-Atlantique, rapporte L’Agefi. Le titre de la société diversifiée dans le private equity, la gestion crédit et l’immobilier (pour un total d’actifs sous gestion de 74 milliards de dollars fin 2013) a abandonné 2,1% à 18,60 dollars en clôture vendredi sur le Nyse pour sa première séance de cotation, après avoir cédé jusqu'à 5,3%. Ares était pourtant le premier acteur du private equity à se présenter en Bourse depuis l’IPO de Carlyle au printemps 2012, rappelle le quotidien. Les actions de ce dernier, comme celles de KKR, Apollo ou Blackstone, accusent une baisse en Bourse cette année.
Le mois dernier, les sociétés Shanti AM et Gefip se sont rapprochés pour former une société de gestion indépendante, spécialisée en sélection de valeurs et en allocation d’actifs. Shanti AM est devenu ainsi la société dédiée d’offre en fonds émergents pour Gefip. L’opération a été réalisée via la vente du fonds de commerce, c’est-à-dire des portefeuilles et d’une partie des équipes, précise Les Echos.Le nouvel ensemble « fédère désormais une équipe de 7 gérants […] pour assurer des services de gestion pour compte de tiers sous mandat de gestion privée ou de gestion institutionnelle » selon un communiqué publié sur le site de Shanti AM. Eric Mookherjee, président de Shanti AM espère que ce rapprochement permettra de réaliser « beaucoup de synergies, en termes de qualité de gestion, de lancement de nouveaux services et d’expansion commerciale à l’international » précise le communiqué.
La société espagnole de capital risque Miura Private Equity souhaite lever un nouveau fonds de 200 millions d’euros, soit le double du précédent, rapporte Cotizalia qui cite des sources financières. Ce fonds aura pour vocation d’investir dans des sociétés de taille moyenne en Espagne.
Début d’année satisfaisant pour les activités de gestion d’actifs de l’assureur espagnol Mapfre. A l’issue du premier trimestre, les encours s’établissent en effet à 8,65 milliards d’euros en cumulant les fonds communs de placement, les fonds de pension et autres portefeuilles gérés, rapporte Funds People.Dans le détail, Mapfre Inversión Dos, la filiale de gestion d’actifs, a enregistré une progression de 20 % de ses encours, s’affichant à 3,18 milliards d’euros à fin mars 2014 contre 2,65 milliards d’euros à fin mars 2013. Pour sa part, Mapfre Vida Pensiones a augmenté les actifs gérés de ses fonds de pension à 5,46 milliards d’euros, soit une croissance de 6,8 % en l’espace d’un an.
L’appétit des investisseurs pour le risque ne se dément pas. Selon l’enquête de rotation du risque d’ING Investment Management (ING IM), réalisée en mars auprès de 83 investisseurs institutionnels basés en Europe, cet appétit a continué de progresser au cours des six derniers mois mais à un rythme moins soutenu que précédemment. Ainsi, au premier trimestre 2014, 42 % des sondés ont déclaré que leur appétit pour le risque avait augmenté tandis que 19% d’entre eux ont reconnu qu’il avait diminué. Les chiffres pour le quatrième trimestre 2013 étaient respectivement de 56% et 11%, rappelle ING IM dans un communiqué.D’après l’enquête, ce ralentissement s’expliquerait par les craintes relatives à la Chine et le risque d’événements inattendus. De fait, alors que 14 % des investisseurs sondés avaient déclaré au quatrième trimestre 2013 qu’ils étaient «significativement» préoccupés par l’éventualité d’un «hard landing» en Chine, ils sont désormais 27 % à évoquer cette préoccupation au premier trimestre 2014. S’agissant du risque d’événements exceptionnels, les chiffres sont passés de 11 % à 27 % sur la même période de référence.Pour autant, leur appétit pour les actions reste fort. Ainsi, 70 % des investisseurs institutionnels interrogés ont déclaré que, parmi les principales classes d’actifs, les actions devraient être la plus attrayante en termes de risque/rendement au cours des 3 à 6 prochains mois. «Il convient cependant de noter le net repli de l’intérêt pour les valeurs immobilières, quoique ces dernières demeurent le second choix», observe ING IM. De fait, 30 % des personnes interrogées les considèrent comme leur classe d’actifs favorite contre 45 % au trimestre précédent.Enfin, dernier signe de l’appétit toujours manifeste des investisseurs pour le risque, 51 % des investisseurs institutionnels sondés estiment que la performance des actifs des marchés émergents va s’améliorer dans les 3 à 6 mois à venir, alors que 22 % seulement pensent que cela est improbable.En termes de zones géographiques, les investisseurs institutionnels estiment que les meilleurs opportunités en termes de rendement/risque se situent d’abord aux Etats-Unis (30 %), devant le Royaume-Uni (24%), les marchés émergents (18%) et, enfin, l’Europe (13%).
Last November, David Einhorn asked the Securities and Exchange commission in an unpublished letter for seven days to report an investment by his fund, Greenlight Capital, in the company Micron Technology, the New York Times reports. Einhorn says the non-negligible investment in 47 million shares would have provoked a flight if he disclosed it to investors publicly. The regulatory document which Einhorn had wished to release late, Form 13F, is normally submitted 45 days after the end of the quarter, in order to give investors an idea of the investor’s positions. The SEC generally does not follow up requests of this type for confidential treatment, but the simple fact of making the request allows the manager to gain time with the benefit of doubt. The SEC has declined all comments on the case. However, the newspaper notes, Einhorn’s letter does not mention the fact that after the period of confidentiality of seven days requested from the market regulator, he has also and very widely spoken about his investmen in Micron Technology.
Major shareholders in the Allianz group will publicly ask the directors of the group to manage the problem of underperformance at Pimco, whose flagship bond fund has seen outflows in the billions of dollars since the departure of Mohamed El-Erian, former CIO of Pimco, due to his differences with Bill Gross, the news agency Reuters reports. Union Investment announced a desire to publicly express its concerns on 7 May at the general shareholders’ meeting of the group, which has not yet responded to these calls. “Currently, Allianz shares are suffering very clearly from a downturn at Pimco,” Ingo Speich, a portfolio manager at Union, tells Reuters. Since the beginning of the year, shares in Allianz have underperformed the Stoxx Europe 600 insurnace index by about 4.5% due to problems at Pimco. Pimco last year contributed USD3.2bn to operating results at Allianz, but its flagship fund, the Total Return Fund, still saw outflows of USD3.1bn in April, and more than USD55bn since May 2013, according to Morningstar figures. Major shareholders would like the management structure set up since the departure of El-Erian to be reviewed, with six deputy investment officers who report to Bill Gross, whose pay is perceived by some as too high. The shareholders would also like a long-term plan to be shown to them for Pimco’s plans to extend beyond the bond universe.
The Pictet bank is doing “well,” says Jacques de Saussure. In 2013, assets under management rose 4.5%, to CHF390bn (CHF301bn with the removal of funds under administration, to leave only managed funds), the senior partner at the Swiss firm has told the newspaper Le Temps. Fund contributions totalled CHR300m. In the first three months of 2014, the trend remains positive, he says. The volume under management now totals CHF394bn (308 funds managed). Pictet has recruited more than 300 employees since 2009, bringing the total to 2,500, with 2,300 in Switzerland, and plans to recruit more than 130 people in 2014, distributed evenly between Switzerland and abroad. For more information about the results for the Swiss firm, it will be necessary to wait for the end of first half, when it will be required to release its financial results, as a result of its change of legal status.
Wealth Management at UBS increased adjusted profit before tax to CHF 659 million in first quarter, while net new money was strong at CHF 10.9 billion. The net new money growth rate of 4.9% is at upper end of target range. The gross margin on invested assets increased 2 basis points to 87 basis points; adjusted cost / income ratio improved and was within the target range.Wealth Management Americas delivered record adjusted profit before tax of USD 284 million, with net new money of USD 2.1 billion. The adjusted cost / income ratio and gross margin on invested assets maintained within target ranges.Global Asset Management delivered adjusted profit before tax of CHF 126 million, with very strong net new money of CHF 13.0 billion excluding money market flows. The annualized net new money growth rate is ahead of target at 6.6%.
The Swiss provider of publicly-traded products Source on 5 May announced the arrival of Marco Mautone, who will provide additional expertise to the sales team responsible for Switzerland and Leichtenstein. He will report directly to Stefan Garcia, co-director for the EMEA region. Mautone is recruited as managing director, responsible for Switzerland and Liechtenstein. Before joining Source, he spent 8 years at Bank of America Merrill Lynch as director of sales trading for Europe and the United States in Switzerland, where he was responsble for creating a sales & trading activity for ETFs. “We are happy to welcome Marco among us to develop our presence in Switzerland. Marco brings his expertise to the sales team in charge of Switzerland,” says Garcia. “Switzerland is already an important and expanding market for ETFs. We would like to increase our presence there, in terms of both human resources and products.”
Wells Farrgo Advantage Fund, an affiliate of the US bank Wells Fargo, in early May announced the launch of a new hedge fund which employs strategies similar to those used by institutional-quality hedge fund managers, according to a statement. The Wells Fargo Alternative Strtegies Fund will offer investors access to a diversified portfolio of alternative investment strategies, and will be advised by advisers recommended by the Rock Creek Group. The fund offers access to four speculative fund strategies : equity hedged, global macro, relative value, and event-driven. The product will be available in four share classes: A, C, Administrator and Institutional. “Alternative strategies, which offer the daily liquidity of a mutual fund, represent strong demand from institutional investors, pension funds and financial advisers,” says Karla Rabusch, chairman of Wells Fargo Funds Management. Clients are seeking investment options in which they have confidence to navigate and prosper on inpredictable and volatile markets.”
Investors’ appetite for risk is not letting up. According to a risk rotation survey by ING Investment Management (ING IM), carried out in March, which covered 83 institutional investors based in Europe, this appetite has continued to rise in the past six months, but at a much less sustained pace than previously. In first quarter 2014, 42% of respondents said that their appetite for risk had risen, while 19% admitted that it had fallen. The figures for fourth quarter 2013 were 56% and 11%, respectively, ING IM noted in a statement. According to the statement, this downturn is due to fears concerning China and the risk of unexpected events. While 14% of investors said that in fourth quarter 2013 they were “significantly” preoccupied by the chances of a hard landing in China, 27% expressed this concern in first quarter 2014. For the risks of exceptional events, the figures have gone from 11% to 27% in the same reference period. However, their appetite for equities remains strong. 70% of institutional investors surveyed say that among the major asset classes, equities are expected to be the most attractive in terms of risk/returns in the next 3 to 6 months. “However, it is important to note the considerable decline in interest in real estate securities, though these remain the second choice,” ING IM observes. 30% of respondents surveyed consider them to be the their favourite asset class, compared with 45% in the previous quarter.
The Swiss national bank (BNS) is now processing its monetary policy operations and auctions of debt issued by the Swiss Confederation and accrual basis accounting on the Swiss stock market trading platform SIX, according to a statement released on 5 May by SICX Management. Since 2 May 2014, SIX has been offering the new Swiss money market to BNS and financial establishments, a statement says. This trading platform “significantly contributed to the stability and efficiency of the Swiss financial system,” a statement says. BNS had previously handled its money market operations on the Eurex platform. The decision to transfer them to the SIX trading platform allows it to have “a fully integrated system fro trading, securities clearance and processing of payments, in 13 different currencies.” The trading platform operated by SIX is available to Swiss and European financial establishments wishing to participate in open market operations and other facilities offered by BNS. This is a first stage. SIX is then planning to further develop this platform and transaction processing system. New functions and other market segments are planned from autumn 2015.
La banque américaine a confirmé hier qu’elle fournirait au fonds souverain norvégien des services de custody et de prêt de titres, un contrat détenu depuis 2012 par JPMorgan et qui avait auparavant été partagé entre les deux banques. Norges Bank Investment Management, qui gère les actifs du fonds, affiche 866 milliards de dollars d’encours. La durée et les conditions du contrat n’ont pas été dévoilées, mais le FT évoquait hier matin une période de 7 ans.
Le Premier ministre chinois Li Keqiang a annoncé le déblocage d’au moins 12 milliards de dollars (8,6 milliards d’euros) de nouveaux crédits à destination de l’Afrique, selon l’agence Chine nouvelle. Pékin augmentera de 10 milliards de dollars ses prêts et versera 2 milliards de dollars supplémentaires au Fonds de développement Chine-Afrique pour le porter à 5 milliards. Pékin s’est déjà engagé à prêter 20 milliards de dollars à l’Afrique sur la période 2013-2015.
A l'échéance prévue de 2013, le Danemark «respectait les recommandations dans le cadre de la procédure du déficit excessif», indique la Commission européenne dans une revue de la situation budgétaire du pays. Elle estime le déficit budgétaire du pays, aidé par des facteurs temporaires, à 0,8% du PIB, largement dans la limite des 3,0%. Pour 2015, année où les facteurs temporaires ne s’appliqueront plus, le déficit est évalué à 2,7%.
La Carac, 10 milliards d’euros d’encours sous gestion, a publié ses résultats financiers 2013. La mutuelle a sensiblement renforcé son exposition aux actions. Au 31 décembre 2013, le portefeuille obligataire représentait 76% de l’allocation d’actifs de la Carac, la poche actions 9%, l’immobilier 8%, le monétaire 6% et enfin les placements alternatifs 1%. Guillaume Ville, directeur du patrimoine de la Carac, a détaillé la politique de placements. En 2013 les investissements ont été orientés principalement vers les obligations d’Etat et les obligations d'émetteurs du secteur privé. L’exposition aux actions a été renforcée, ce qui a contribué positivement à la performance du rendement de l’ensemble du portefeuille. Par ailleurs, la diversification dans les autres classes d’actifs (prêts aux entreprises et aux collectivités, en immobilier d’habitation ou de commerce dans des fonds et fonds infrastructures) a été maintenue en accompagnant la croissance du portefeuille par de nouveaux investissements. D’autre part, en vue de la mise en ??uvre complète de la réglementation Solvabilité II, la Carac a poursuivi la dotation de ses fonds propres en y affectant le résultat de l’année 2012 (55,3 millions d’euros). Le résultat net 2013 de 58 millions d’euros sera également affecté aux fonds propres pour 2014 (sous réserve de l’approbation de l’Assemblée générale).
Citigroup a remporté l’un des mandats de l’année dans la conservation d’actifs. La banque américaine a confirmé lundi qu’elle fournirait au fonds souverain norvégien des services de custody et de prêt de titres, un contrat détenu depuis 2012 par JPMorgan et qui avait auparavant été partagé entre les deux banques. Norges Bank Investment Management, qui gère les actifs du fonds, affiche 866 milliards de dollars d’encours. La durée et les conditions du contrat n’ont pas été dévoilées, mais le FT évoquait lundi matin une période de 7 ans. Citigroup était jusqu'à ce jour le «back-up custodian» de JPMorgan pour ce contrat. La banque américaine a récemment réorganisé ses activités de post-marché en rapprochant la conservation d’actifs du financement et des services aux fonds.