p { margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); line-height: 120%; }p.western { font-family: «Droid Sans»,sans-serif; font-size: 12pt; }p.cjk { font-family: «Droid Sans Fallback"; font-size: 12pt; }p.ctl { font-family: «Droid Sans Devanagari"; font-size: 12pt; } Russell Investment Management has sold its 49% stake in the joint venture Ping An Russell Investments, held with the Ping An group, Asian Investor reports. The private asset management structure, launched in March 2011 and based in Shanghai, focused on Chinese high net worth individuals. At the end of 2014, it had 34 employees, and managed USD1.3bn in assets. The stake has been purchased by Ping An. This new divorce illustrates the difficulties that foreign asset management firms have had in keeping such partnerships alive. These firms are now preferring to found their own wholly foreign-owned enterprises.
Asian asset managers have been making moves to expand their business beyond their home markets in recent years. However, while Asian brands have made significant progress internationally in the auto and technology sectors, the same cannot be said for the asset management industry, observes Cerulli Associates.A good example is Mirae Asset Global Investments, the largest asset manager in Korea. It has been trying to develop a pan-Asian footprint longer than most, starting as far back as 2003 with the opening of its Hong Kong office. The company has also made forays into India, China, and Taiwan. However, its efforts to gather assets across the region have hitherto yielded unspectacular results.At present, it has been the likes of Fidelity, J.P. Morgan, and Franklin Templeton that have been able to adapt well to the fragmented Asian markets. The term " pan-Asian» applies more appropriately to them than homegrown Asian players who have ventured abroad in the region. Will the tide turn? Cerulli expects that it will be difficult because global players that have established their footprints across Asia are well ahead of the game and will be hard to dislodge. Their positions will be further reinforced if investors in markets such as Korea and India start thinking about investing in overseas strategies. It will be the global players who can best deliver such strategies.
The reference shareholders of Bank Degroof and Petercam signed a definitive merger agreement on 20 May 20 2015, following the completion of the due diligence phase initiated after the signing of the Memorandum of Understanding on 19 January 2015. With assets under management of over 50 billion euros, the new entity becomes the reference independent financial institution in Belgium with a leading position in its three businesses (private banking, institutional asset management and investment banking) and a leading player in Europe, according to a press statement.The merger agreement provides that the merger will be preceded by transactions in each group in order to align the shareholder base and the activities of the new group. Bank Degroof will transfer - through a partial demerger - its long-term equity portfolio in a new entity called Degroof Equity. In parallel, the family shareholders of Petercam will constitute a new company called Holding Petercam to which they will contribute their shares and acquire Petercam shares available for sale, bringing their stake in Petercam to approximately 70%. The combination of the two companies will be effected through a merger involving the transfer of all assets and liabilities of Petercam to the legal entity Bank Degroof, which will allow the new group to maintain its banking license. The merged entity will issue new shares to the shareholders of Petercam based on a valuation of 70% for Bank Degroof and 30% for Petercam. Immediately after the merger, Bank Degroof ‘s reference shareholders will bring in their shares in the merged entity into a holding company called DSDC.The board of Bank Degroof Petercam will be composed of seven members of the executive committee, two independent directors, five members proposed by DSDC, and three by Petercam Holding. The board will be chaired by Alain Philippson.
Kames Capital a lancé deux fonds obligataires à rendement absolu, rapporte Citywire Global. Le Kames Absolute Return Bond Global Fund et le Kames Absolute Return Bond Constrained Fund peuvent tous les deux être souscrits par les investisseurs institutionnels et particuliers. Le fonds monde sera cogéré par John McNeill, Sandra Holdsworth, Nicholas Chatters et Paul Dilworth, tandis que le second fonds sera géré par an McNeil et James Lynch, avec le soutien de Paul Dilworth.
Newton Investment Management a réorganisé ses équipes asiatiques et marchés émergents après le départ de Jason Pidcock, rapporte Citywire Global. Rob Marshall-Lee va prendre les commandes de ces équipes qui ont pour l’occasion été fusionnées. Jason Pidcock, qui travaillait chez Newton depuis 11 ans, va rejoindre une société concurrente (lire par ailleurs). L’équipe actions émergentes et asiatiques comprend sept professionnels, soutenus par 20 analystes sectoriels et quatre analystes ESG (environnement, social, gouvernance).
Jason Pidcock a quitté Newton Investment Management pour rejoindre prochainement Jupiter, selon le site spécialisé Investment Week. Jason Pidcock gérait depuis son lancement en 2005 le fonds Newton Asian Income, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 4,4 milliards de livres.Chez Jupiter qu’il devrait rejoindre dans les prochains mois, Jason Pidcock devrait participer à la mise en place d’une nouvelle stratégie de rendement asiatique, qui viendra compléter la gamme actuelle de produits émergents davantage orientés growth et multi-capitalisations.
Towry a nommé Steve Midgley, managing director d’Ashcourt Rowan, en tant que responsable de la stratégie commerciale et des opérations, un poste nouvellement créé, rapporte Investment Week. Towry a bouclé l’acquisition d’Ashcourt Rowan en début de mois.
Algebris Investments, la boutique d’investissement dirigée par Davide Serra, travaille à la création d’un fonds dédié aux petites et moyennes entreprises italiennes, rapporte Funds People Italia. La nouvelle structure, qui sera bâtie sous la forme d’un partenariat avec les entreprises financières, devrait voir le jour début 2016. « Nous ciblerons les sociétés ayant un chiffre d’affaires compris entre 20 et 200 millions d’euros », indique Davide Serra, CEO et fondateur d’Algebris.
Invesco PowerShares lance à la Bourse de Milan l’ETF PowerShares S&P500 High Dividend Low Volatility, déjà disponible à la Bourse de Londres depuis le 12 mai.Le nouveau produit réplique physiquement l’indice S&P500 Low Volatility High Dividend Net Total Return, qui cherche à obtenir un rendement en ligne avec les cours et les performances des 50 entreprises américaines qui, au sein de l’indice S&P 500, affichent la plus faible volatilité, face à un rendement du dividende élevé.
Sectoral Asset Management a comme objectif de lever 500 millions de dollars d’encours sur les 12-18 prochains mois en Italie, rapporte Funds People Italia. « L’Italie est le marché le plus important en termes de distribution de nos produits en Europe méridionale et présente encore un important potentiel de croissance », explique Gian Luigi Costanzo, senior advisor de la société. Sectoral AM est une société canadienne fondée en 2000 et spécialisée dans la santé, avec plus de 2,5 milliards de dollars d’actifs sous gestion à fin 2014. Les fondateurs sont Jérôme Pfund, CEO, et Michael Sjöström, CIO.
Comment favoriser la réorientation des capitaux vers une économie bas carbone ? Cette question est au centre des discussions de la « Journée mondiale de la finance pour le climat » (ou « Climate Finance Day »), organisée ce vendredi, à l’initiative conjointe du groupe Caisse des dépôts et de la Banque Européenne d’Investissement, par Paris Europlace.Les investisseurs institutionnels s’intéressent de plus en plus au défi du réchauffement climatique mais l’écart entre les besoins effectifs et les engagements reste malgré tout énorme. Ce qui ne semble pas du tout inquiéter Abyd Karmali, l’un des participants à la manifestation, responsable du pôle Climate Finance chez BofA Merrill Lynch.Abyd Karmali confirme notamment l’intérêt croissant des institutionnels. « Nous avons lancé depuis 2007 un programme de 70 milliards de dollars, dont 20 milliards en 2007 très rapidement investis et 50 milliards en 2012, pour favoriser l’économie bas carbone. Sur les 50 milliards proposés en 2012, nous avons déjà investi quelque 39 milliards de dollars dans le cadre de ce programme. C’est dire le potentiel considérable qu’offre cette approche », souligne Abyd Karmali.Le responsable relève l’intérêt croissant que suscitent les nouveaux produits, à l’instar des obligations vertes. BofA Merrill Lynch a lancé il y a quelques jours sa deuxième émission de green bonds pour un montant de 600 millions de dollars, après une première émission de 500 millions de dollars. « Une telle émission est pour nous source de diversification de la base de clientèle et elle nous permet aussi de familiariser nos équipes à une classe d’actifs encore un peu nouvelle et dont le fonctionnement n’est pas encore complètement bien huilé », remarque Abyd Karmali.L’absence de cadre de référence n’empêchera pas ce segment de marché de se développer. « Il est vrai que dans le secteur des green bonds, on pourrait aussi dire qu’il existe cinquante nuances de vert. Mais là n’est pas l’essentiel. De mon point de vue, l’essentiel est de créer la confiance. D’où la mise en place de principes sur la mesure, le suivi de ces obligations qui offrent une vraie transparence vis-à-vis des investisseurs et du marché. Il ne s’agit pas d’un produit de niche mais d’un véritable instrument qui connaît déjà différentes déclinaisons comme les green project bonds, les green ABS ou encore les obligations municipales vertes », explique Abyd Karmali.Les nouvelles initiatives donnent aussi des raisons d’espérer. Ainsi en est-il des « yield cos », ces véhicules cotés spécialisés dans les investissements en faveur des énergies renouvelables, lancés il y a seulement un an. « On compte une quinzaine de sociétés de ce type, surtout américaines, mais il en existe une en Europe et une dans les marchés émergents. Le volume d’investissement de ces sociétés totalise environ 30 milliards de dollars. Un montant modeste mais encourageant ».Le problème du volume est donc très loin d’être résolu. Mais là encore, dans le contexte actuel, il est prioritaire d’encourager les investisseurs. « Si l’on veut que la COP21 soit un succès, il faut envoyer des signaux forts aux investisseurs. Faire en sorte par exemple que les pays soient les plus nombreux possible à prendre des engagements de réduction de l’empreinte carbone. Ou encore que le Green Climate Fund, qui a levé à ce jour un peu plus de 10 milliards de dollars, favorise une désensibilisation au risque des capitaux afin d’impliquer les investisseurs privés et favoriser ainsi un effet de levier significatif ».
L’ERAFP, le groupe Caisse des Dépôts, le FRR et l’Ircantec se sont engagés à publier d’ici décembre 2015 l’empreinte carbone de leur portefeuille d’actions cotées, mettre à jour cette mesure sur une base annuelle et bâtir des initiatives pour réduire significativement à terme l’empreinte. Dans un communiqué, les investisseurs ont indiqué vouloir être en cohérence avec leur vocation d’investisseurs responsables de long terme et conscients des impacts que les conséquences du changement climatique pourraient avoir sur la rentabilité de leurs portefeuilles d’actifs, ainsi que du rôle qu’ils peuvent jouer dans le financement d’une économie moins émettrice de gaz à effet de serre.
NN Investment Partners (NN IP), anciennement ING Investment Management, et la banque de développement néerlandaise Financierings-Maatschappij voor Ontwikkelingslanden (FMO) ont annoncé le lancement d’un fonds dédié aux marchés émergents. Le fonds devrait permettre aux investisseurs institutionnels d’investir dans des prêts d’entreprises basées dans les marchés émergents, une classe d’actifs intéressante mais avec une barrière à l’entrée généralement élevée.
La Grèce compte boucler un accord avec ses créanciers dans les dix jours à venir et a l’intention de rembourser toutes ses échéances du mois de juin, a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Sakellaridis. Il a ajouté que l’accord recherché avec les partenaires européens de la Grèce et le Fonds monétaire international (FMI) permettrait à la Banque centrale européenne d’inclure Athènes dans son programme d’assouplissement quantitatif via des rachats d’actifs. Le pays doit rembourser au total 1,5 milliard d’euros au FMI le mois prochain avec comme première échéance le 5 juin.
Le climat des affaires a progressé en France au mois de mai pour atteindre son plus haut niveau depuis plus de trois ans et demi, selon les données publiées vendredi par l’Insee. L’indicateur global, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, est ressorti en hausse d’un point, à 97. Celui de l’industrie a augmenté d’un point, à 103. Celui des services a augmenté de deux points, à 94, l’indicateur du bâtiment a augmenté d’un point, à 89. «L’indicateur de retournement pour l’ensemble de l'économie augmente légèrement et repasse dans la zone indiquant une situation conjoncturelle favorable», ajoute l’Insee.
La Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (AIIB) s’est fixé vendredi l’objectif ambitieux d'être opérationnelle d’ici la fin de l’année, à l’issue d’un sommet ayant réuni pendant trois jours les représentants des futurs pays fondateurs à Singapour. Cette nouvelle banque lancée par la Chine a indiqué dans un communiqué que la réunion avait permis de finaliser la convention de l’AIIB, qui devrait être prête à être signée d’ici la fin juin. Certains délégués ont affiché leur scepticisme face à l’objectif fixé, dans la mesure où les propositions établies lors de la réunion de Singapour doivent être validées par les autorités de chaque pays concerné. L’AIIB regroupe 57 pays membres fondateurs potentiels.
L’activité manufacturière s’est encore contractée en Chine au mois de mai, selon la première estimation de l’indice PMI HSBC/Markit publiée jeudi. L’indice (à 49,1) reste sous la barre de 50 (qui sépare la contraction de la croissance) pour le troisième mois consécutif. Cette nouvelle déception renforce l’opinion des analystes quant à la nécessité pour le gouvernement de prendre de nouvelles mesures pour relancer la deuxième économie du monde.
Tokyo répond à sa façon au projet de création de l’Asian Infrastructure Investment Bank (AIIB), la banque de développement promue par la Chine. Le Japon a dévoilé un plan d’investissement en infrastructures en Asie de 110 milliards de dollars sur cinq ans. Cela représenterait une hausse de 30% par rapport à l’effort actuel du pays pour aider les projets d’infrastructures chez ses voisins. Le montant dépasse aussi la capitalisation de 100 milliards de dollars attendue pour l’AIIB.
Le taux de chômage en Irlande est passé sous le seuil de 10% fin mars, pour la première fois en plus de six ans. Selon l’institut national des statistiques, il s'établit à 9,9% (moyenne en zone euro : 11,3%), alors qu’il avait culminé à 15,1% début 2012 -le pays faisait l’objet d’un plan d’aide international. L’Irlande en est sortie il y a 18 mois et connaît depuis la croissance la plus rapide de la zone euro. Son PIB a progressé de 4,8% en 2014.
La collecte nette du Livret A est redevenue négative en avril, à hauteur de 170 millions d’euros, après une incursion dans le vert en mars pour la première fois depuis avril 2014, selon les données publiées jeudi par la Caisse des dépôts. Avec le Livret de développement durable, la collecte nette a été négative de 100 millions. Le FMI et la Banque de France recommandent malgré tout d’abaisser le taux du Livret A afin d’améliorer la transmission de la politique monétaire de la BCE.
La Cour de Cassation a donné raison aux 55.000 adhérents de l’Afer ayant déposé une requête en restitution après une fraude des fondateurs, ouvrant la voie à une récupération des fonds. Dans ce dossier, l’Afer a été mandatée par 55.113 adhérents pour tenter de récupérer 24 millions d’euros confisqués par la justice. L’Afer avait été déboutée en janvier par la Cour d’appel de Paris, qui avait assimilé la requête à une action de groupe.
La publication hier du compte-rendu de la réunion du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne du 15 avril a été entachée par le retard dans la diffusion des propos tenus lundi soir par l’un de ses membres, Benoît Coeuré, devant plusieurs investisseurs privés.
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur le marché des fonds actions américaines et le marché des fonds actions françaises au cours du mois d’avril 2015. Ces performances sont mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
Suite à la mise en place de la loi FATCA « Foreign Account Tax Compliance Act », les européens devenus « US Person » sont aussi devenus « persona non grata » pour les établissements financiers de la zone Euro.
La caisse de pension vaudoise enregistre une performance de 6,6% renforçant ses réserves. Les taux d’intérêt négatifs poussent la mutuelle à se diversifier davantage
Grand partenaire de la « conférence mondiale de la finance pour le climat » (ou Climate Finance Day) organisée par Paris Europlace à l’initiative conjointe du groupe Caisse des Dépôts et de la Banque Européenne d’Investissement, CNP Assurances place la contribution à la transition écologique et énergétique (TEE) au coeur de ses priorités stratégiques et prend de nouveaux engagements pour lutter contre le réchauffement climatique. A l’occasion du Climate Finance Day, CNP Assurances annoncera le 22 mai 2015 la signature du Montreal Carbon Pledge qui engage les signataires à mesurer l’empreinte carbone de leur portefeuille d’investissements en actions et à la divulguer publiquement. CNP Assurances figurera ainsi parmi les premiers assureurs à s’engager à calculer et à publier d’ici fin 2015 l’empreinte carbone de l’ensemble de son portefeuille d’investissement. En tant que grand partenaire de l’événement, CNP Assurances parraine une table ronde sur la façon dont les investisseurs institutionnels peuvent aligner leurs portefeuilles d’investissement avec la limitation du réchauffement climatique à 2°C. En termes de climat, les enjeux étant principalement internationaux, CNP Assurances a choisi de laisser la parole, lors de cette table-ronde, à Miriam Belchior, présidente de Caixa Econômica Federal, la deuxième banque publique du Brésil qui détient 48.25 % de Caixa Seguradora, filiale brésilienne de CNP Assurances. Miriam Belchior s’exprimera notamment sur les actions mises en place par la banque brésilienne pour contribuer à limiter le réchauffement climatique comme, par exemple, la réduction de son empreinte carbone et la lutte contre la déforestation. Comme l’ensemble du groupe Caisse des Dépôts, CNP Assurances a placé la contribution à la transition écologique et énergétique au coeur de ses priorités stratégiques. A la fin de l’année 2014, le Groupe a investi 560 M€ dans des supports « verts » (énergies renouvelables, clean tech, …) dont 251 M€ dans des obligations liées à des projets environnementaux spécifiques (green bonds) et envisage de doubler encore ses investissements dédiés à la TEE pour atteindre plus de 1 Md€ à fin 2017. Cet axe participe de sa démarche d’investisseur responsable entreprise dès 2006, année où CNP Assurances fut l’un des premiers assureurs à intégrer les critères ESG - environnement, social-sociétal, gouvernance - qui couvrent aujourd’hui, 80 % de ses actifs. Cette démarche se déploie dans les filiales et tout particulièrement au Brésil. Cet engagement découlait de son adhésion dès 2003 au Pacte mondial de l’ONU qui fixe dix principes relatifs aux droits de l’homme, aux droits du travail, à la protection de l’environnement et à la lutte contre la corruption. Il a été renforcé en 2011 par la signature des Principes pour l’investissement responsable (PRI).