Le taux de chômage au Japon est tombé à 2,6% en mars, après 2,7% rapportés en février par le ministère de l’intérieur (Statistics Bureau of Japan), qui était également la prévision consensuelle pour mars. Il s’agit d’un creux depuis un an, alors que le record - hors années 60-70 où le taux de chômage était inférieur à 2% dans ce pays - avait été atteint à 2,2% fin 2019. Le nombre de chômeurs a diminué de 4,8% ou 90.000, à 1,8 million, tandis que le nombre de personnes occupées a légèrement diminué de 0,2% ou 110.000 à 66,84 millions. Le taux d’activité s’est également établi à 62,1%.
Le taux de chômage au Japon est tombé à 2,6% en mars, après 2,7% rapportés en février par le ministère de l’intérieur (Statistics Bureau of Japan), qui était également la prévision consensuelle pour mars. Il s’agit d’un creux depuis un an, alors que le record - hors années 60-70 où le taux de chômage était inférieur à 2% dans ce pays - avait été atteint à 2,2% fin 2019.
Ce qui semblait une option dans l’air du temps pour affermir une politique RSE prend à présent des allures de nécessité. Encore faut-il bien détecter et former les candidats.
La banque américaine Citi vient de créer un hub pour analystes à Malaga. Une façon de retenir les profils juniors en leur offrant un meilleur équilibre de vie.
Le taux d’absentéisme dans les entreprises a encore frôlé 5 %, à 4,94 %, en 2021, selon l’Observatoire de l’absentéisme du courtier en assurance Diot-Siaci, présenté fin mars. Un niveau certes en retrait par rapport à l’exceptionnelle année 2020 mais supérieur aux 4,78 % de 2019. Si la pandémie a encore eu un impact sur les arrêts de travail puisqu’elle a concerné 44 % des salariés arrêtés, d’autres tendances plus inquiétantes sont à l’œuvre. L’étude, réalisée auprès de 750 entreprises et un demi-million de salariés, constate une progression de la durée moyenne des arrêts. Celle-ci est passée de 19,6 jours en 2019 à 22,5 jours l’année suivante et 23,6 jours en 2021. Un phénomène qui touche notamment les collaborateurs de moins de 35 ans.
Sûreté. La cybersécurité ne se réduit pas à la maîtrise des technologies. Elle fait aussi appel à des compétences dans la géopolitique, la gouvernance des organisations ou la communication. Sciences Po Saint-Germain-en-Laye a donc décidé de proposer à un public hybride, étudiants et professionnels, un « diplôme d’analyste en cybersécurité » (DAC) de niveau master 2. La première promotion de 24 candidats sera lancée en octobre 2022. Ce programme « s’adresse aussi bien à un dirigeant de start-up qu’à un fonctionnaire de l’administration publique ou à un cadre du secteur privé », explique l’école dans un communiqué.
Gros recruteur de jeunes diplômés, le secteur, à l’image austère, n’est plus si attractif après deux ans de Covid. Les cabinets remettent leurs méthodes en question.
Les créations d’emplois aux Etats-Unis ont été moins soutenues qu’anticipé par les investisseurs en mars. Selon le département américain du Travail, 431.000 emplois nets ont été créés en mars, après 750.000 en février. Le consensus du Wall Street Journal tablait sur la création de 490.000 emplois nets aux Etats-Unis le mois dernier. Le nombre de postes créés en février avait initialement été estimé à 678.000. L’emploi a poursuivi sa progression dans les secteurs des loisirs et de l’hôtellerie-restauration, des services aux entreprises, du commerce de détail et dans l’industrie manufacturière, a indiqué le département du Travail. En mars, le taux de chômage dans le pays a reculé à 3,6%, contre 3,8% en février.
Les créations d’emplois aux Etats-Unis ont été moins soutenues qu’anticipé par les investisseurs en mars, mais cela ne devrait pas empêcher la Réserve fédérale (Fed) de poursuivre le resserrement de sa politique monétaire pour lutter contre l’inflation.
Le Crédit Agricole, BNP Paribas et la Société Générale, qui emploient au total 20.000 collaborateurs dans les deux pays, sont entrés en gestion de crise.