Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
Numéro un européen des primary dealers ces dernières années, Barclays aurait glissé au cinquième rang en 2017, selon Thomson Reuters, qui s’appuie sur ses propres statistiques. De 10% environ en 2015 et 2016, la part de la banque britannique serait de 7,3%. C’est BNP Paribas, avec une part de 9,3% identique à celle de l’an dernier, qui se hisse à la première place des banques spécialisées dans la syndication d’emprunts d’Etat. Suivent Citigroup, HSBC et la Société Générale.
Numéro un européen des primary dealers ces dernières années, Barclays aurait glissé au cinquième rang en 2017, selon Thomson Reuters, qui s’appuie sur ses propres statistiques. De 10% environ en 2015 et 2016, la part de la banque britannique serait de 7,3%. C’est BNP Paribas, avec une part de 9,3% identique à celle de l’an dernier, qui se hisse à la première place des banques spécialisées dans la syndication d’emprunts d’Etat. Suivent Citigroup, HSBC et la Société Générale.
Les deux groupes ont officialisé leur partenariat. Oddo devient le courtier exclusif de Natixis, qui prend 5% de son capital et se chargera du primaire actions.
JPMorgan s’attend à une baisse de 15% de ses revenus dans le trading au quatrième trimestre par rapport à la même période un an plus tôt, a affirmé hier la directrice financière de la banque, Marianne Lake, lors d’une conférence d’investisseurs. La dirigeante a souligné qu’il n’existait pas «beaucoup de catalyseurs» susceptibles de stimuler l’activité actuellement et que la volatilité restait «faible dans l’ensemble». La banque a déjà accusé une baisse de plus de 20% de ses revenus dans le trading au troisième trimestre.
JPMorgan s’attend à une baisse de 15% de ses revenus dans le trading au quatrième trimestre par rapport à la même période un an plus tôt, a affirmé mardi la directrice financière de la banque Marianne Lake lors d’une conférence d’investisseurs. La dirigeante a souligné qu’il n’existait pas « beaucoup de catalyseurs » susceptibles de stimuler l’activité actuellement et que la volatilité restait « faible dans l’ensemble ». La banque a accusé une baisse de plus de 20% de ses revenus dans le trading au troisième trimestre.
A l’occasion d’une journée investisseurs, la banque suisse a annoncé jeudi son intention d’améliorer le retour aux actionnaires, alors que son directeur général Tidjane Thiam pense boucler la restructuration du groupe en 2018. «Nous souhaitons (...) augmenter la rémunération des actionnaires et prévoyons de leur distribuer 50% du résultat net essentiellement sous forme de rachats d’actions et de dividendes exceptionnels», a expliqué Credit Suisse dans un communiqué.
Déflation. C’est la rançon de MIF 2. Les investisseurs devraient fortement réduire le nombre de courtiers actions auxquels ils ont recours et faire chuter le prix de la recherche, à cause de l’entrée en vigueur des nouvelles règles en 2018. Une perspective qui accélère la réflexion des banques sur le modèle économique de leurs brokers. Natixis discute, comme l’a révélé L’Agefi, d’un transfert de ses équipes de cash actions – vente, trading et recherche – à Oddo BHF, dont c’est le métier historique. Les deux banques espèrent annoncer un accord d’ici à la fin de l’année. Si le précédent Kepler Cheuvreux doit servir de boussole, un tel rapprochement laisse craindre des coupes claires dans les effectifs. Avant Natixis, d’autres banques européennes, dont le Crédit Agricole, UniCredit et Rabobank, ont fait le choix d’externaliser leur cash faute de trouver une rentabilité pour ce métier.
Matthew Westerman, que le groupe HSBC avait recruté chez Goldman Sachs pour lui confier en février 2016 la co-responsabilité de son activité global banking, quitte le groupe, selon un mémo interne. Le banquier d’affaires, qui chapeautait les activités de conseil et de financement, avait introduit des méthodes de management plus dures, avec un pool de bonus réduit aux meilleurs éléments et une baisse du nombre de promotions. Un style inspiré de Goldman Sachs mais qui s’est heurté à la culture plus consensuelle prévalant chez HSBC. Le départ de Matthew Westerman sera effectif à la fin du mois. Robin Phillips, l’autre patron de global banking, continuera à diriger l’activité.
Matthew Westerman, que le groupe HSBC avait recruté chez Goldman Sachs pour lui confier en février 2016 la co-responsabilité de son activité global banking, quitte le groupe, selon un memo interne. Le banquier d’affaires, qui chapeautait les activités de conseil et de financement, avait introduit des méthodes de management plus dures, avec un pool de bonus réduit aux meilleurs éléments et une baisse du nombre de promotions. Un style inspiré de Goldman Sachs mais qui s’est heurté à la culture plus consensuelle prévalant chez HSBC. Le départ de Matthew Westerman sera effectif à la fin du mois. Robin Phillips, l’autre patron de global banking, continuera à diriger l’activité.
Kepler Cheuvreux a annoncé jeudi qu’il proposera son offre de courtage actions et recherche à la clientèle institutionnelle et fortunée de la banque belge Belfius. A la différence des précédents partenariats noués par le courtier parisien, celui-ci n’entraîne pas de reprise d’activité, Belfius étant présent sur le primaire actions (ECM) mais pas le brokerage.
Les revenus des 12 plus grandes BFI mondiales (dont BNP Paribas) ont diminué de 11% sur un an au troisième trimestre 2017, selon la société de recherche Coalition. Ce recul provient du plongeon de 21% des revenus de trading sur les instruments à taux fixe, les devises et les matières premières (FICC), à 16,4 milliards de dollars, tandis que les activités de trading actions (cash, dérivés, primes services) ont reculé de 3% à 9,6 milliards. Les revenus dans la banque d’investissement (marchés primaires actions et obligations, conseil en M&A) ont en revanche progressé de 4%, à 10 milliards de dollars. «L’indice des revenus sur les neuf premiers mois de l’année est stable, les bonnes performances de la banque d’investissement étant compensées par le déclin des revenus de trading actions et FICC, [lequel devrait] continuer au quatrième trimestre étant donné le manque de volatilité et les plus faibles résultats du pôle dédié aux produits à taux fixes», résume Coalition.
Les revenus des grandes BFI mondiales ont diminué de 11% sur un an au troisième trimestre 2017, selon la société de recherche Coalition. Ce recul provient du plongeon de 21% des revenus de trading sur les instruments à taux fixe, les devises et les matières premières (FICC), à 16,4 milliards de dollars, tandis que les activités de trading actions (cash, dérivés, primes services) ont reculé de 3% à 9,6 milliards. Les revenus dans la banque d’investissement (marchés primaires actions et obligations, conseil en M&A) ont en revanche progressé de 4%, à 10 milliards de dollars.
La banque française a dévoilé hier «une collaboration stratégique» avec GTS, teneur de marchés électroniques basé à New York. «Cette collaboration permettra à BNP Paribas de bénéficier des capacités technologiques et de trading de GTS avec pour ambition de fournir aux clients de la banque une liquidité plus importante et une meilleure offre de prix sur le marché secondaire des bons du Trésor américain», précise un communiqué. Une équipe dédiée s’appuiera sur une plate-forme technologique développée en commun pour intégrer la liquidité de GTS dans les modèles de prix de BNP Paribas sur les Treasuries.