Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
Joe Lavorgna, qui occupait jusqu'à cet été les fonctions de chef économiste de Deutsche Bank aux Etats-Unis, vient d'être recruté par Natixis en tant que «chef économiste pour les Amériques», selon un communiqué de la banque française. Basé à New York, il est rattaché à Denis Prouteau, responsable de la recherche global markets à Paris, ainsi que localement à Kevin Alexander, responsable de global markets et de la banque d’investissement de la plate-forme Amériques.
Joe Lavorgna, qui occupait jusqu'à cet été les fonctions de chef économiste de Deutsche Bank aux Etats-Unis, vient d'être recruté par Natixis en tant que «chef économiste pour les Amériques», selon un communiqué de la banque française. Basé à New York, il est rattaché à Denis Prouteau, responsable de la recherche global markets à Paris, ainsi que localement à Kevin Alexander, responsable de global markets et de la banque d’investissement de la plate-forme Amériques.
Le groupe helvétique a détaillé lundi dans une série de mémos internes une réorganisation de sa banque d’affaires en Europe. Mathew Cestar et Jens Welter ont ainsi été nommés co-responsables de la banque d’investissement et des marchés de capitaux (IBCM), qui coiffe les activités de corporate finance, pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique, selon un message signé de Jim Amine, patron de la division pour l’ensemble du groupe. Basés à Londres, ils succèdent à Marisa Drew et Mark Echlin. La première prend les rênes d’un nouveau département dédié à l’investissement à impact social (impact advisory and finance). Le second devient président de la banque d’investissement au Royaume-Uni. Jonathan Moore, qui partageait la responsabilité des produits de crédit pour la zone EMEA avec Mathew Cestar, en devient désormais le seul patron. Ce changement entraîne à son tour une cascade de nominations dans les métiers de crédit, notamment celle de David Ross comme patron du leveraged finance en Europe dès octobre, une fonction qu’il occupait jusqu'à présent chez Bank of America Merrill Lynch.
Le groupe helvétique a annoncé lundi dans une série de mémos internes une réorganisation de sa banque d’affaires en Europe. Mathew Cestar et Jens Welter ont ainsi été nommés co-responsables de la banque d’investissement et des marchés de capitaux (IBCM), qui coiffe les activités de corporate finance, pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique, selon un message signé de Jim Amine, patron de la division pour l’ensemble du groupe. Basés à Londres, ils succèdent à Marisa Drew et Mark Echlin. La première prend les rênes d’un nouveau département dédié à l’investissement à impact social (impact advisory and finance). Le second devient président de la banque d’investissement au Royaume-Uni.
Deutsche AM et Franklin Templeton, comme la majorité des asset managers qui se sont déclarés à ce jour, ne transféreront pas ces coûts à leurs clients.
Goldman Sachs a présenté mardi un plan visant à augmenter ses revenus de 5 milliards de dollars (4,2 milliards d’euros) sur un horizon de trois ans. Alors que la banque a enregistré une performance maussade sur la première partie de 2017, notamment dans le trading FICC (obligataire, changes, matières premières), le plan d’action entend ainsi augmenter le résultat avant impôts de 2,5 milliards de dollars, pour un rendement sur fonds propres gonflé de 150 points de base.
Elles devraient enregistrer cette année une hausse de 50 points de base de la rentabilité de leurs fonds propres, selon la société d’analyse Coalition.
L’ancien patron de Deutsche Bank en France Bruno Hallak a rejoint la division de banque d’investissement et des marchés de capitaux de Credit Suisse à Paris pour aider à servir la clientèle européenne et française, a annoncé hier la banque suisse. Il a pris ses fonctions le 1er septembre comme vice-président de la division EMEA. Il sera chargé de développer les activités françaises de banque d’investissement. Âgé de 50 ans, Bruno Hallak a débuté sa carrière à la direction du Trésor en 1991. En février, il avait annoncé quitter Deutsche Bank, où il a été remplacé par l’ancien directeur financier d’EDF Thomas Piquemal.
Le holding chinois Legend Holdings Corporation a acquis 90% des actions de la Banque d’investissement à Luxembourg (BIL), a annoncé le ministère des Finances du pays. La BIL était précédemment dirigée par un fonds qatari qui a accepté une transaction de 1,465 milliard d’euros, les 10% restants étant détenus par l’Etat luxembourgeois.
L’ancien patron de Deutsche Bank en France Bruno Hallak a rejoint la division de banque d’investissement et des marchés de capitaux de Credit Suisse à Paris pour aider à servir la clientèle européenne et française, annonce aujourd’hui la banque suisse dans un communiqué. Il a pris ses fonctions le 1er septembre comme vice-président de la division EMEA et sera chargé de développer les activités françaises de banque d’investissement.
La nouvelle réglementation rendra l’exécution sur les marchés plus complexe, sans rejoindre encore tous les objectifs de transparence pour l’investisseur.
Concurrence. Sur un marché sans prix de référence, quelques courtiers ont commencé à révéler leurs tarifs de recherche avec l’entrée en vigueur de MIF 2, qui imposera en 2018 une séparation totale avec les frais d’exécution. Bernstein Research facturera 150.000 dollars/an les études de ses analystes, Nomura 60.000 euros sa recherche change et macro ou 80.000 euros avec sa recherche taux et crédit, Crédit Agricole CIB 10.000 euros/an sa recherche macro, 30.000 sur les marchés émergents, 40.000 sur les taux et changes, 60.000 sur le crédit, avec une offre premium limitée à un petit nombre de clients pour un accès plus rapide aux analystes (jusqu’à 120.000 euros). JPMorgan évoque 10.000 dollars/an pour sa recherche action (sans entretien) afin de gagner des parts de marché. Deutsche Bank, qui demande 30.000 euros/an pour un accès limité à 10 personnes à sa recherche écrite et aux analystes, diviserait ses tarifs par deux selon Bloomberg.
Ayant élargi son assise en Allemagne, la banque pourrait vendre les activités résiduelles de Seydler, avec lequel elle posa son premier pied Outre-Rhin.