L’année 2011 qui vient de s'écouler aura sans doute été une des années les plus éprouvantes pour l’industrie traditionnelle européenne de la gestion des fonds d’investissement* avec une baisse des encours de l’ordre de 260 milliards € qui s’explique pour moitié par une décollecte nette (soit -125 milliards €) contre une collecte nette de +125 milliards € en 2010. Si l’on intègre les ETF, l’industrie dans son ensemble aura subi une décollecte nette de -110 milliards €, puisque ce segment a réalisé une collecte nette +15 milliards €. Lire la suite en pièce jointe
La FFSA vient de présenter les résultats 2011 du secteur de l'assurance en France. Jean-François Lequoy, Délégué général de la FFSA, commente ces résultats.
Les assureurs mutualistes ont enregistré un fort recul de leur collecte nette en assurance-vie en 2011, de même ordre que celui dont la FFSA a fait état jeudi, a indiqué vendredi Gérard Andreck. « Les chiffres ressembleront à ceux de la FFSA », a déclaré le président du Groupement des entreprises mutuelles d’assurance (Gema) lors d’une rencontre organisée par l’Association nationale des journalistes de l’assurance (ANJA). La FFSA a fait état d’un recul de 14% du chiffre d’affaires de l’assurance-vie en 2011, à 124Mds d’euros. Compte tenu de la hausse des prestations, la collecte nette a fondu de 85% mais est restée positive sur l’année, à 7,6Mds d’euros. Malgré les mauvais chiffres de 2011, le président du Gema, qui est aussi président de l’assureur mutualiste Macif, a estimé qu’ « il y (avait) trop d’incertitude pour qu’on puisse tirer des conclusions définitives » quant à l’avenir de ce placement, qui concentrait encore 1.362Mds d’euros d'épargne fin décembre. « Ce n’est pas le développement qui a baissé, ce sont les sorties qui ont décollé un peu plus », a-t-il souligné. Les prestations (retraits) ont augmenté de 25% en 2011, alors que les versements n’ont baissé que de 14%. « Cela nous poserait un problème si l’assurance-vie tombait en désuétude. Je ne vois pas quel produit on pourrait lui substituer », a-t-il observé. Evoquant l’autre grand métier de l’assurance, M. Andreck a indiqué que l’année 2011 s'était « plutôt bien passée en IARD ».
Le premier assureur de personnes en France, CNP Assurances, a enregistré en assurance-vie une collecte brute et nette (versements moins retraits) positive sur chaque mois de 2011, a indiqué jeudi à l’AFP une porte-parole. Les derniers chiffres publiés jeudi par la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA) montrent que le marché reste sur cinq mois consécutifs de décollecte nette, du jamais vu. Sur l’ensemble de l’année 2011, la collecte nette reste positive pour le marché, à 7,6Mds d’euros et le total des sommes mobilisées en assurance-vie a augmenté de 2% sur l’exercice, pour atteindre 1.362Mds.
Aliénor Capital vient d’annoncer l’arrivée de Laurent Coutanceau au poste de directeur général et directeur de la distribution. Interrogé par Newsmanagers, Arnaud Raimon, le président de la société de gestion, a précisé que le nouveau venu entrait simultanément au capital d’Alienor pour une part non divulguée. Jusqu’ici et depuis 2007, Laurent Coutanceau occupait le poste de directeur commercial chez Fidelity en charge des partenariats bancaires.Aliénor Capital, dont les actifs sous gestion s'élevaient à 250 millions d’euros fin 2011, veut ainsi renforcer le développement de son offre de gestion et de ses services auprès des conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI), des banquiers privés, des multi-gérants et des investisseurs institutionnels en France. En pratique, Laurent Coutanceau aura sous sa responsabilité Marc Coustet à la distribution. Il couvrira également l’activité à l'étranger d’Aliénor Capital – en Belgique et en Suisse – qui représente 15 % des actifs gérés. Cette nomination intervient alors que la gestion a connu une période difficile jusqu’au mois de juillet 2011, «période durant laquelle le marché à repris en pente douce et où nous avons payé notamment notre excès de prudence», explique Arnaud Raimon. De fait, la société de gestion a connu une décollecte nette en 2011 qui avoisine 179 millions d’euros pour les fonds commercialisés en France. «Il n’empêche, nous avons enregistré des renouvellements de mandats l’an dernier et avons séduit de nouveaux clients auprès des CGPI qui nous ont permis d’enregistrer des souscriptions de 20 millions d’euros sur nos fonds ouverts», tempère Arnaud Raimon. Reste que le patron de la gestion en convient : «Nous sommes performants lorsque les marchés sont en hausse ou en baisse nettes, moins lorsqu’ils sont incertains ou sans logique comme cela a été le cas». Dès lors, le gérant dit clairement avoir retrouvé actuellement des convictions dans sa gestion...
A l’initiative de Finance Innovation, pôle de compétitivité mondial, et avec l’appui de l’AFG et de Paris Europlace, la Place financière de Paris se dote de son premier fonds de seed-money : EMERGENCE, effectif depuis le 19 janvier 2012. La création, ces dix dernières années, de plus de 400 sociétés de gestion entrepreneuriales résulte de la qualité reconnue internationalement des gérants français. L’un des principaux besoins exprimé par ces jeunes sociétés basées en France, ou souhaitant s’y implanter, est de bénéficier, comme leurs concurrents à l'étranger, de capitaux à gérer dès leur création (seed-money) leur permettant d’atteindre rapidement une taille critique. C’est dans ce but qu’a été créé EMERGENCE. Ce fonds prend la forme d’une SICAV contractuelle à compartiments, afin de développer différentes thématiques avec des gérants délégataires appropriés : Performance Absolue, Actions long terme, Investissement Durable ISR... Le premier compartiment, EMERGENCE - Performance Absolue - destiné à fournir un rendement régulier dans toutes les conditions de marché vient de lever 120 millions d’euros auprès de sept grands investisseurs institutionnels : Caisse des Dépôts, Aviva Investors France, MACIF Gestion, BNP Paribas Cardif, CNP, UMR, CAVP. Une seconde levée auprès d’autres investisseurs est prévue avant l'été 2012 sur ce compartiment. Le lancement d’un deuxième compartiment en actions investies à long terme - Actions long terme - est d’ores et déjà à l'étude. La structuration du fonds répond à un objectif d’alignement des intérêts entre investisseurs et gérants incubés grâce à trois innovations majeures de nature à accélérer et à consolider le développement des fonds sélectionnés : le positionnement des investisseurs au c??ur de la gouvernance du fonds ; la participation de ceux-ci à la croissance des gérants incubés (via un partage de revenus) ; une optimisation des contraintes Solvabilité II fondée sur la transparence complète des portefeuilles. Le premier Conseil d’administration, présidé par Alain Leclair, Président d’honneur de l’AFG (Association Française de la Gestion financière) et Membre du Comité de Direction de Finance Innovation a désigné NewAlpha Asset Management comme délégataire de la gestion financière de ce premier compartiment. Anaële Cojan-Baudant a été nommée Secrétaire générale de la SICAV. L’ensemble du schéma juridique de la SICAV a été établi avec le concours du Cabinet Gide Loyrette Nouel et du Cabinet PWC Sellam.
Hors mandats, BNP Paribas a enregistré la plus forte décollecte en Europe (de -21 milliards d’euros), suivi par Amundi (-17 milliards), selon Morningstar
Marc Tournier a quitté Tocqueville Finance, confirmant ainsi une «fuite» parue dans la presse à la fin de l’année dernière (lire Newsmanagers du 23/12/2011). Dans le détail, le gérant star du fonds Ulysse n’est plus salarié de la société de gestion dont il était directeur général délégué, ni actionnaire. Au terme de la négociation qui s’est tenue ces derniers jours, la Banque Postale a racheté les 15 % du capital de Tocqueville que Marc Tournier détenait. L'établissement possède désormais 90 % de l’ensemble. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué. Le départ de Marc Tournier intervient alors que la Commission des sanctions de l’Autorité des marchés financiers (AMF) a infligé, début décembre, un blâme à son encontre et à la société Tocqueville Finance. Avec, à la clé, une sanction pécuniaire de 250.000 euros pour le gérant et de 150.000 euros pour la société de gestion, à la suite d’une manipulation de cours du titre du loueur de voitures Ada (lire Newsmanagers du 05/12/2011). Pour autant, cet événement n’aurait pas été la raison du départ du gérant. Interrogé par Newsmanagers, Bruno Julien, directeur général de la société de gestion indique que «c’est une décision personnelle qu’il ne nous appartient pas de commenter». Il précise par ailleurs que Tocqueville Finance n’a pas l’intention, à ce stade, de faire appel de la décision de l’AMF concernant la condamnation, Marc Tournier pouvant toujours le faire de son côté, mais "à titre personnel». Il semble donc que la greffe entre un gérant connu comme épris de liberté et La Banque Postale entrée au capital de Tocqueville Finance en 2009 n’a pas pris. L’arrivée de l'établissement a pourtant contribué à rassurer les clients de la société de gestion et à conforter sa place, notamment dans le monde échaudé des conseillers en gestion de patrimoine indépendants. De son côté, la banque se dotait d’un style de gestion value qui n’existait pas jusqu’alors dans le groupe et d’un gérant «porte drapeau»... «Il n’en reste pas moins que le renforcement dans le capital de Tocqueville Finance est une intégration réussie», juge La Banque Postale. «Suite au départ de Marc Tournier, l’ADN de la gestion active de Tocqueville Finance dont il est le fondateur restera inchangé», a par ailleurs confirmé Bruno Julien.En pratique, le départ de Marc Tournier entraîne des changements dans le pilotage des fonds : l’homme qui était co-gérant des fonds Ulysse et Odyssée avec Didier Roman est remplacé par Jacques Burlot, directeur de la gestion collective, qui est déjà gérant du fonds Tocqueville Dividende, l’autre poids lourd de la gamme - il pesait 318,1 millions d’euros fin 2011 contre 354,3 millions d’euros pour Ulysse – ainsi que Tocqueville Olympe Patrimoine. «Notre organisation permet aux gérants de continuer à incarner notre philosophie de gestion value en toute indépendance», ajoute Bruno Julien. «L’actionnaire solide que représente la Banque Postale nous permet d’envisager très prochainement le développement de nos équipes de gestion et des lancements de fonds, toujours dans le souci de répondre aux attentes de nos clients», conclut-il. A suivre donc…
Le General Counsel Urs Zulauf rejette l’accusation selon laquelle l’Autorité suisse de surveillance des marchés financiers (Finma) aurait livré des informations sur d’anciens clients ou collaborateurs d’UBS aux autorités américaines. En février 2009, les données de 255 clients d’UBS ont été fournies au ministère américain de la justice «c’est tout», affirme Urs Zulauf dans une interview à Finanz und Wirtschaft. En dernière instance, le Tribunal fédéral a jugé que cette transaction était légale. Urs Zulauf estime que les Américains ont obtenu des données de clients dans le cadre de leur propre programme d’amnistie fiscale. Selon lui, on peut estimer que plus de 10.000 clients de banques suisses ont fait usage de ce programme. A cela s’ajoutent 4.450 dossiers fournis dans le cadre de l’accord conclu dans le cadre de l’affaire UBS.
La Banque Postale a nommé Stéphane Magnan au poste de directeur des Opérations Financières à compter du 23 janvier 2012. A ce titre, il devient membre du Comité Exécutif. Il succède à Pierre-Manuel Sroczynski, nommé, en juin 2011, secrétaire général et membre du directoire de La Banque Postale Asset Management."La Direction des Opérations Financières gère le bilan de La Banque Postale. Elle intervient donc sur les marchés (négociation sur les marchés financiers, échanges de titres, etc.) au titre de cette activité et effectue également des opérations financières pour ses clients grands comptes ou pour d’autres entités du groupe La Poste sous forme de prestations de services d’investissement», précise un communiqué.Agé de 46 ans, Stéphane Magnan était, depuis 2011, directeur des marchés financiers et membre du comité de direction de Dexia Crédit Local . Auparavant, il était directeur des produits sur taux d’intérêt chez Dexia qu’il avait rejoint en 1996.
Martin Wheatley, chairman of the new Financial Consumer Authority (FCA), claims in an interview with the Financial Times that the 2008 financial crisis fundamentally changed the population which the regulator is required to protect. It must not assume that investors will make rational choices, meaning that regulators are required to limit or forbid sales of potentially harmful products. The FCA will become an independent entity as part of the dismantling of the Financial Services Authority (FSA).
General Counsel Urs Zulauf has rejected the claim that the Swiss financial market surveillance authority (Finma) has handed over information about former clients or employees of UBS to US authorities. At the end of February 2009, information on 255 clients of UBS were handed to the US Department of Justice, “and that’s all,” says Zulauf in an interview with Finanz und Wirtschaft.Most recently, the Federal court found that the transaction was legal. Zulauf claims that the US authorities received data on clients as part of their own tax amnesty programme. He says that one may estimate that 10,000 Swiss banking clients have taken advantage of the programme. In addition to that, information on 4,450 cases were handed over as part of the agreement in the UBS scandal.
En amont de la saison 2012 des assemblées générales, l’AFG publie une version mise à jour de son code sur le gouvernement d’entreprise, qui guide les sociétés de gestion dans l’exercice de leurs votes. Les principales modifications des Recommandations portent sur les points suivants : Une attention particulière portée à la déontologie par le Conseil d’administration L’AFG souligne l’importance de l’implication du Conseil en matière de déontologie : « les administrateurs doivent d’une part inscrire leur action dans le respect de règles déontologiques et d’autre part s’assurer de la diffusion au sein de la société de principes déontologiques applicables à ses dirigeants et salariés. » Une vigilance accrue vis-à-vis du recours à des censeurs L’AFG recommande aux sociétés de ne recourir aux censeurs que de façon exceptionnelle. En tout état de cause la présence de censeurs doit « faire l’objet de justifications précises à l'égard des actionnaires ». Un contrôle en amont du cumul des mandats L’AFG souhaite que les administrateurs informent préalablement le Conseil avant d’accepter d’autres mandats, les dirigeants mandataires sociaux devant même lui demander une autorisation préalable. Un accès facilité au rapport des Commissaires aux comptes sur les conventions réglementées L’AFG souhaite que le « rapport spécial des Commissaires aux comptes sur les conventions réglementées soit accessible aux actionnaires in extenso dans le rapport annuel » Un encouragement à passer au vote électronique L’AFG, qui a toujours fortement encouragé le vote aux AG, encourage les émetteurs à faire bénéficier les actionnaires du nouveau système de vote électronique. L’AFG participe activement aux réflexions sur le gouvernement d’entreprise : en France, implication dans les débats sur le GE : dialogue régulier avec le Medef, l’AFEP et l’ANSA ; contacts fréquents avec l’ADAM, ISS (Riskmetrics) et Proxinvest ; membre fondateur de l’Institut Français des Administrateurs (IFA) et membre de l’Association Française pour le Gouvernement d’Entreprise (AFGE). en Europe : participation aux consultations de la Commission sur les directives ayant un impact en matière de GE, dans le but prioritaire de faciliter le vote transfrontière, et aux travaux de l’EFAMA au niveau international : participation active aux travaux de l’International Corporate Governance Network (ICGN). Pierre Bollon est membre de son « nominating committee » et en est le country correspondant pour la France. Les grands principes de l’AFG en matière de gouvernement d’entreprise Une assemblée générale favorisant la démocratie actionnariale Une prise en compte des orientations stratégiques à moyen et long terme et de la politique environnementale et sociale de l’entreprise Un conseil d’administration indépendant et efficace Des rémunérations adaptées et transparentes « Une action, une voix » Opposition aux dispositifs anti-OPA
Le 12 septembre 2011, la publication du rapport Vickers en Grande Bretagne relance le débat sur la séparation des activités de Banque de Détail et de Banque de Financement et d'Investissement.
Elles sont peu connues du public mais gèrent des millions d'euros tous les ans. Les caisses des règlements pécuniaires des avocats (Carpa) qui dépendent des Ordres des avocats, jouent un rôle majeur dans le fonctionnement régulier de la justice. Elles assurent des missions d'intérêt public liées par exemple, à l'aide juridictionnelle et conservent les fonds de tiers. Pour ce faire, elles peuvent dans des conditions règlementaires très strictes, placer ces fonds. Enquête.
Roger Yates, CEO of Pioneer, would like to increase assets at the Italian asset management firm in the United States to about EUR60bn in the next five years, up from EUR35bn currently, Financial Times Fund Management reports, in an interview with the director about the plans. The firm will also be targeting Asia, and currently the Korean market in particular. The Pioneer CEO has also announced that the product range will be simplified. The firm would like to launch a loyalty programme to allow Pioneer employees to hold shares in the firm. Pioneer this year expects results similar to those of 2010 (earnings of EUR834m and pre-tax profits of EUR330m), FT FM reports.
Stéphane Gannac, diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Strasbourg, est nommé Directeur Administratif et Financier, membre du Comité Exécutif et du Directoire de La Mutuelle Générale. Il a rejoint La Mutuelle Générale en avril 2011 en qualité de Directeur des Ressources Humaines. Il supervise désormais les fonctions financières, ressources humaines et juridiques et immobilières de La Mutuelle Générale. Il a effectué une grande partie de sa carrière au sein du groupe Dexia où il occupait depuis 2009 le poste de Directeur des Ressources Humaines de Dexia Crédit local à Paris. Auparavant de 1994 à 2001, il était responsable de la Formation puis des Relations Sociales de Dexia Crédit local. Il devient ensuite Directeur des Ressources Humaines et de la Communication Interne de Dexia Assurances France jusqu’en 2004, avant d'être en charge de la Direction des Relations Sociales et adjoint du DRH du groupe Dexia à Bruxelles jusqu’en 2009.
Ethos vient de publier ses deux rapports trimestriels Ethos Quarterly et Ethos Investment Focus pour le trimestre 4 - 2011. L’Ethos Quarterly présente un survol de l’actualité dans le domaine de l’investissement socialement responsable et de l’actionnariat actif. Au sommaire de ce numéro on trouve notamment les articles suivants : cliquez ici
Lors de la réunion du Conseil d’Administration du 17 janvier 2012, Serge Crouin, artisan garagiste à Fleury dans la Manche, a été élu Président de la MNRA - La Mutuelle des Artisans. Il succède à Robert Goinaud, qui a présenté sa démission après 17 ans de présidence, conformément aux dispositions du code de la mutualité concernant l'âge des administrateurs en fonction. Agé de 48 ans, Serge Crouin est engagé dans les instances de la Mutuelle des Artisans depuis de nombreuses années. Délégué de la MNRA depuis 1988, puis administrateur, Serge Crouin est entré au Bureau du Conseil d’administration en 2007 en qualité de Trésorier adjoint. Il occupait depuis 2010 le poste de Vice Président. Serge Crouin exerce le métier de garagiste et dirige l’entreprise ASC qu’il a créée très jeune, à l'âge de 22 ans. Fortement impliqué dans le développement de son activité, il a exercé plusieurs mandats d’administrateur au sein de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Manche. Soucieux de participer aux évolutions de sa profession et de la défendre, il est élu au sein du Bureau du CNPA (Conseil National des Professionnels de l’Automobile) de son département. Depuis 1988, Serge Crouin exerce également un mandat d’administrateur régional d’un régime de protection sociale.