Carmignac Gestion has announced in a notice to shareholders that it is liquidating and closing the Carmignac Innovation fund. The dissolution was approved by the French financial markets authority, the Autorité des Marchés Financiers (AMF) on 30 January 2012. The cash settlement of the assets to shareholders will be available as of 9 February 2012. In the letter from the asset management firm, Eric Le Coz, deputy managing director, explains that «the fund was created with the objective of investing across all innovation sectors, but it has, unfortunately, not lived up to our expectations». «At the fund’s inception, the most cyclical and defensive sectors, such as IT and healthcare respectively, had a very low level of correlation, which was a major advantage for fund management. Since 2007, the renewed high correlation among these different sectors has prevented the fund manager from effectively adapting asset allocation to changes in the economic cycle», he writes. The firm also explains that it does not believe that restricting the investment universe to just one of these sectors would provide a satisfactory solution in terms of the risk/return ratio. “We depended on the notion that the fund would not be monosectoral,” Le Coz admits in an interview with Newsmanagers. Carmignac Innovation, a descandant of Carmignac Technologies, created in 1997, invested in IT, biotech and energies via oil services and renewable energies. “Unfortunately, the fund found itself in a lower category compared with pure products which offered better performance,” the head says. Due to these sub-optimal results over the long term, down 36% and 47%, respectively, over five and 10 years, the asset management firm preferred to end the life of a fund which found itself relegated to the bottom quartile.Tim Jaksland, the fund manager, will not be leaving Carmignac Gestion, but will join the sectoral analysis team at the firm.The letter to shareholders also states that assets stand at EUR50m, of which almost 70% is held by the asset management firm’s own funds of funds, Carmignac Profil Réactif 50, 75 and 100, and in mandated management by the firm. The loss of the fund will not be compensated for by the creation of a new mutual fund. No new fund with the Carmignac Gestion name is expected to be released this year, says Le Coz.
Roger ISELI, Directeur Général du Groupe MACIF, annonce qu’il démissionnera de son mandat de Directeur Général fin avril 2012, et fera valoir ses droits à la retraite à compter de début août. Ce départ s’inscrit dans le cadre du plan de succession des dirigeants du Groupe annoncé récemment par le Président Gérard ANDRECK et engagé depuis juin 2011 avec la nomination de Jean-Marc RABY à la fonction de Directeur Général Délégué. Le Conseil d’Administration de la MACIF aura à se prononcer sur la désignation d’un nouveau Directeur Général lors de sa réunion de fin avril 2012.
Le médiateur de l’association des banques allemandes veut faire établir par la justice si le fonds db Kompass Life 3 de la Deutsche Bank est compatible avec les valeurs défendues par les banques allemandes, rapporte Der Spiegel. Ce fonds n’achète pas des assurances-vie d’occasion mais propose aux souscripteurs de spéculer sur l’espérance de vie d’un échantillon de 500 Américains âgés de 72 à 85 ans. Le produit se fonde sur un calcul complexe de mathématique assurantielle, mais le système est simple : plus le décès des personnes du groupe de référence intervient tôt, plus le gain est élevé pour l’investisseur.
The Raiffeisen banking group, with whom US clients have deposited a total of CHF58m, has decided to discontinue service to clients with ties to the United States, the head of Raiffeisen Pierlin Vincenz, has said in an interview with SonntagsBlick.The third-largest Swiss firm in the sector took the decision last autumn. Vincenz explains that the group has never oriented its activity to this type of clients, and that it does not have a banking services contract in English. Only 3% of Raiffeisen clients are foreign.Non-American business acquired from the private bank Wegelin, which is now operating under the Notenstein name accounts for 30% of European and 70% of Swiss clients.
Rogge Global Partners is opening an office in Geneva, Agefi Swtizerland reports. The London-based fixed income specialist, with USD49bn in assets under management, is forming a joint venture with the French financial marketing firm Alfi Partners, which has recently opened its own operations in Geneva. “At our level of assets under management, we think that the only way to grow the business further is to serve new markets. That is why we have decided to extend our present to the French-speaking European markets, including French-speaking Switzerland, France, Belgium, and Luxembourg,” Olaf Rogge, founder of the firm, formerly of Lombard Odier, explains in an interview with Agefi Switzerland.
La récente dégradation par le FMI des perspectives de croissance en zone euro (de 1,1 % à -0,5 % pour 2012) n’a pas inversé la tendance haussière suivie par la monnaie unique depuis mi-janvier. Pour le panel du consensus taux et changes, qui a une nouvelle fois révisé à la baisse ses anticipations sur l'évolution de l’euro-dollar, ce n’est qu’une question de temps. En effet, la parité est attendue à 1,25 à horizon fin avril, à comparer à un niveau de 1,32 au soir du 2 février. « Au regard des fondamentaux, la force actuelle de l’euro est incompréhensible et ne joue pas son rôle d’amortisseur de crise », estime Isabelle Job, économiste au Crédit Agricole. « Le problème est que les autres pays industrialisés, pris au piège de leur dette, ont choisi une même stratégie de remorquage par les exportations avec des banques centrales parfois plus complaisantes et prêtes par des moyens détournés à affaiblir leur monnaie », mentionne-t-elle. Le dynamisme de l'économie américaine au quatrième trimestre (2,8 % en rythme annualisé) et le maintien de perspectives de croissance élevées pour 2012 (1,8 % d’après le FMI) n’ont pas empêché la Fed de repousser une nouvelle fois l'échéance du resserrement de sa politique monétaire en annonçant que son taux directeur resterait exceptionnellement bas jusqu’en 2014. Si l’institution s’est fixée une cible d’inflation de 2 %, elle n’a pas non plus fermé la porte à de nouvelles mesures d’assouplissement quantitatif, mentionnant notamment ses préoccupations devant le niveau toujours élevé du taux de chômage. Confrontée à une croissance en berne, la Banque d’Angleterre pourrait elle profiter de sa réunion des 8 et 9 février pour relancer son programme de rachat d’actifs, celui-ci restant actuellement bloqué à 275 milliards de livres. La baisse du taux d’inflation observée depuis novembre est de nature à favoriser la mise en ??uvre d’une telle décision, d’autant que la tendance devrait se poursuivre tout au long de l’année. Lire la suite: cliquez ici
Le Portugal n’a aucunement besoin de renégocier sa dette ni de solliciter une nouvelle aide qui viendrait s’ajouter à son sauvetage de 78 milliards d’euros, estime le Premier ministre Pedro Passos Coelho dans une interview publiée par l’hebdomadaire Sol.
With the acquisition of its rival International Property Asset Management GmbH (IPAM), Cordea Savills has doubled its assets under management in Germany to about EUR1bn, Thomas Güde, CEO of Cordea Savills Deutschland, has announced in an interview with the Börsen-Zeitung. The acquisition deal stipulates that the IPAM team, including the three partners who have sold their stakes to Cordea Savills, will join Cordea Savills GmbH. Personnel at the latter firm will increase from 18 to 35.Güde also states that Cordea Savills is planning to create a German-registered asset management firm (KAG), which will allow it to launch locally-registered institutional funds, rather than releasing Luxembourg or UK-registered funds. A BaFin license is expected in the second half of this year.
Rothschild & Cie Gestion vient de mettre la main sur une société française indépendante de multigestion alternative, Héritage Asset Management. L'établissement de l’avenue de Messine à Paris acquiert 100 % de l’ensemble pour un montant qui n’a pas été divulgué, confirmant ainsi sa volonté de développer plus largement encore en son sein ce type de gestion, comme son responsable, Jean-Louis Laurens, l’avait rappelé au mois de décembre dernier lors d’une interview à Newsmanagers (le 05/11/2011). «C’est une première marche», prévient Denis Faller, associé-gérant et responsable des activités de multigestion à qui l’on a confié la direction de la nouvelle équipe issue du rapprochement des experts maison et de ceux d’Héritage AM. En d’autres termes, la société de gestion s’est renforcée dans ce pôle mais reste à l’affût de dossiers plus importants encore, l’objectif, selon Denis Faller, étant de faire de Rothschild & Cie Gestion un acteur majeur dans le domaine de la multigestion alternative en Europe. «D’ores et déjà», ajoute le responsable, "à la suite de cette acquisition, les actifs gérés sous forme de multi-gestion classique et alternative dépasseront 3 milliards d’euros permettant à Rothschild & Cie Gestion de conforter sa position parmi les leaders du marché français dans ce domaine». L’objectif de la maison est clairement d’articuler le développement de ce pôle de gestion à partir de deux axes : via de la croissance externe comme cela vient d'être le cas mais également via un rapprochement de la multigestion classique et alternative dans l'établissement. «Cet objectif n’est pas encore tangible dans les produits, reconnaît Denis Faller, mais c’est déjà le cas dans les équipes commerciales.» En pratique désormais, Héritage Asset Management, va prendre le nom de Rothschild Investment Solutions. Laurent Levenq, le créateur de la société indépendante en 2003 en sera le directeur général et sera chargé du développement. Du côté des ressources humaines, Denis Faller va rapatrier les équipes de Héritage AM – actuellement dans des bureaux situés sur les Champs Elysées - dans les locaux de Rotschild & Cie Gestion. L’ensemble comptera une quinzaine de professionnels à Paris avec des relais à Londres et New York. Enfin, actuellement, Héritage AM gère trois OPCVM de multigestion alternative - deux fonds ARIA III et un fonds contractuel. Toutefois, le regroupement des deux équipes de gestion permet d’ores et déjà à la direction d’envisager le lancement de nouveaux produits définis par Denis Faller comme «Solvency compliant». Un produit de transparisation de niveau 2 dédié aux investisseurs institutionnels, par exemple, ferait partie des projets du nouveau pôle...
Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des Dépôts, a procédé à la nomination de Clément Lecuivre, chargé de mission auprès du directeur général adjoint de la Caisse des Dépôts est nommé directeur du département Etudes, planification stratégique et développement durable de la direction de la Stratégie du groupe Caisse des Dépôts, en remplacement de Didier Janci qui sera prochainement appelé à occuper d’autres fonctions au sein de la Caisse des Dépôts. Clément Lecuivre, 34 ans, diplômé de HEC et de l’Institut d'études politiques de Paris, est ancien élève de l’ENA (promotion Romain Gary). Il débute sa carrière, en 2005, en tant qu’administrateur civil à la direction du budget du ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’Etat. En 2008, il est appelé au cabinet du Premier ministre comme conseiller technique pour le budget. Depuis 2010, il exerçait la fonction de chargé de mission auprès du directeur général adjoint de la Caisse des Dépôts.
CGPA est l'assureur de responsabilité civile professionnelle des professions de l'intermédiation financière et d'assurances : Agents Généraux d'Assurance, courtiers d'assurance, Conseillers en Gestion de patrimoine indépendants (CGPI), Conseillers en Investissements Financiers (CIF), Intermédiaires en Opérations de Banque (IOB), Démarchage bancaire et financier, Intermédiaires en Transactions immobilières...
Bfinance, cabinet de conseil international spécialisé en opérations financières pour les grandes entreprises et les investisseurs institutionnels, annonce la nomination de Michel Haski en tant que Responsable de la clientèle institutionnelle pour la région EMEA. Michel Haski était précédemment CEO de Allianz Global Investors Europe Gmbh ainsi que Directeur Général de Allianz Global Investors France. Il avait rejoint le Groupe Allianz en 1996 en tant que CEO de Dresdner RCM Gestion à Paris. En janvier 2002, il devient Directeur Général de AGF Asset Management après la fusion de Dresdner RCM Gestion et AGF Asset Management. En mai 2006, il rejoint Allianz Global Investors Europe en tant que Responsable du développement dans un premier temps, puis en tant que CEO à partir de juillet 2008. A partir de décembre 2009 et jusqu’en février 2011, Michel Haski était également co-responsable des ventes pour l’Europe. Avant de rejoindre le Groupe Allianz, Michel Haski a été en charge du développement commercial du Crédit Commercial de France (CCF), désormais HSBC France. Il a également occupé des fonctions de direction chez Framlington Asset Management et Foster & Braithwaite, deux filiales londoniennes de CCF Asset Management. Auparavant, il avait travaillé pour deux sociétés de conseil basées à Paris : Groupe Bernard Krief Consultants et Dorset Development.
Lors d’un séminaire à Paris le 26 janvier 2012, Noël Amenc, Directeur de l’EDHEC-Risk Institute, a présenté l’approche efficiente en général et l’indice FTSE EDHEC-Risk Efficient ERAFP SRI Large Cap Custom en particulier, tandis que Philippe Desfossés, Directeur, et Olivier Bonnet, Responsable de la Stratégie ISR, ont expliqué pourquoi l’ERAFP a décidé d’adopter l’approche efficiente et pourquoi l’ERAFP souhaite que l’indice FTSE EDHEC-Risk Efficient ERAFP ISR soit mis à disposition des autres investisseurs institutionnels. Vous trouverez également des informations sur la page suivante : http://www.edhec-risk.com/indexes/erafp
Gérard MESTRALLET, Président de Paris EUROPLACE, souligne « qu’il s’agit là d’une opportunité importante manquée pour l’Europe, dans la mesure où le rapprochement entre NYSE EURONEXT et Deutsche Börse aurait permis de constituer un marché boursier régulé fort et transparent au niveau international et de renforcer la position européenne dans l’ensemble transatlantique. Ce rapprochement répondait en outre, dans l’esprit du G20, à la nécessité de rendre plus transparents et robustes, à l'échelle mondiale, les marchés financiers. » Cette fusion aurait, également, permis d’apporter une réponse concrète aux objectifs de convergence des pratiques de marché avec les Etats-Unis et de se doter d’une organisation compétitive et régulée du marché mondial des dérivés, alignée sur le degré de consolidation déjà réalisée aux Etats-Unis. A un moment où les questions de liquidité et les stratégies d’investissement de long terme sont cruciales pour le financement de l'économie mondiale, ce projet présentait pour les investisseurs et émetteurs européens une utilité indéniable. Pour faire face aux défis de croissance et de compétitivité de l’Europe il est donc plus que jamais nécessaire de se mobiliser à nouveau pour trouver de nouvelles solutions de transparence, de résilience et d’apport de financement à l'économie. Paris EUROPLACE, qui a pris une part active aux discussions entre les parties prenantes, poursuivra sa contribution dans ce sens. La Place financière de Paris compte poursuivre et accélérer sa stratégie de valorisation de ses pôles de force, dans les marchés cash actions et obligataires, le développement du marché secondaire obligataire, les dérivés actions, les infrastructures post marché, en particulier les chambres de clearing, et les technologies de marché. « L’objectif de la place de Paris est de renforcer les conditions nécessaires au développement de l'épargne longue, en s’appuyant sur une industrie de la gestion et de l’assurance puissante, de conforter et adapter notre modèle d’intermédiation bancaire qui a démontré une meilleure résistance dans la crise financière internationale, afin de répondre aux besoins des entreprises et du financement de l'économie, fortement impactés par la crise et les nouvelles régulations qui en découlent », rappelle Gérard MESTRALLET.
L'économiste française Claire Waysand, jusqu’ici en poste au Fonds monétaire international (FMI), a été nommée mercredi directrice générale adjointe du Trésor, chef économiste du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, a annoncé Bercy. Agée de 42 ans, cette diplômée de Polytechnique, de l’Ensae et de la London School of Economics a commencé sa carrière à l’Insee, avant de rejoindre la direction du Trésor, où elle a notamment été chef du service des Affaires européennes et des politiques macroéconomiques entre 2007 et 2009. Au FMI depuis 2009, elle occupait le poste de sous-directrice au département de la stratégie, des politiques et de l'évaluation, après avoir été sous-directrice au département Europe. Elle succède à Benoît Coeuré, nommé le 1er janvier au directoire de la Banque centrale européenne (BCE).
Pourquoi lancer un blog sur ce thème ? Le thème du partage du profit est un thème d’actualité permanent. Le succès populaire du livre « Les Indignés » et les manifestations à Wall Street ou en Espagne, les débats français autour de la prime Sarkozy en ont été une des signes forts. Les candidats à l'élection présidentielle vont débattre du sujet pendant la campagne de 2012 et les réflexions sur l'évolution de notre modèle social devront inclure ce thème. Mais son traitement dans les médias, dans le débat public ou les manuels scolaires est souvent caricaturé. Le discours est souvent dominé par les postures idéologiques et les a priori que ce soit chez les politiques, le patronat ou les syndicats alors que dans les entreprises, des accords sont signés, des compromis sont trouvés. L’enseignement à nos enfants sur ces thèmes est lui aussi inexistant ou très éloigné de la réalité comme le montreront nos analyses sur les manuels scolaires. Nous souhaitons donc montrer comment dans les entreprises, le partage du profit est une réalité, qu’il fonctionne, et expliquer de façon simple et objective comment. En rappelant ce qui existe, les possibilités de la loi française, en donnant des cas concrets, en parlant d’histoires vécues, nous montrerons que la France est en avance. Mais il ne faut pas s’en satisfaire, il faut aller plus loin, être force proposition. Un blog c’est aussi une liberté de ton, un contenu accessible et une fréquence de diffusion élevée. Quels sont les thèmes abordés ? Partage : le mot profit est désormais quasi tabou en France comme si faire des profits était répréhensible, mais en ajoutant partage à profit, le mot profit retrouve tout son sens. Le partage c’est aussi notre capacité collective à partager le savoir et l’expérience sur ces sujets en particulier avec les générations suivantes. Rémunération : immédiate ou différée, fixe ou variable elle est la première source du partage de la valeur. Actionnariat salarié : la réconciliation du capital et du travail est une réalité, tout du moins dans les grands groupes, elle est une source importante du partage du profit. Retraite : Le financement de la retraite est un partage entre les générations grâce au système par répartition, entre les salariés d’une entreprise dans les dispositifs collectifs par capitalisation. Epargne collective : les mécanismes d'épargne salariale, notamment la participation légale sont un autre moyen de partager les profits, mais que faire cet argent une fois qu’il est épargné ? Comment le placer ? Trouve-t-il à financer l'économie productive, créatrice de nouvelles richesses à partager ?
Regardant le déluge d'argent qu'il va falloir pour renflouer les pays du Sud de la zone euro, Gideon Rachman (du Financial Times) écrit qu'il se sent « étrangement autrichien » (école de pensée économique du début du XXe siècle qui rejette assez largement les interventions de l'État et dont le représentant le plus connu est Friedrich Hayek, NDLR). J'avoue ressentir la même chose en observant les banques.
Sur la base de ses données Investisseurs 2010, IPD a élaboré un premier indicateur de l’immobilier vert de bureau en France sur l’année 2010. La mise en place de cet indicateur, produit par IPD en partenariat avec Certivéa, cherchera à terme à répondre à deux questions fondamentales en matière de performance environnementale : Existe-t-il une valeur verte en France ? et Comment représenter la performance énergétique du parc d’immobilier d’investissement ?
L'initiative Cassiopée repose sur la volonté de stimuler la création d'un nouveau marché de la dette corporate et d'en faire un marché de référence en Europe, basé sur les caractéristiques suivantes : règles de transparence et par là, recherche d'efficience pour investisseurs et émetteurs, adossement à une chambre de compensation, gouvernance associant les utilisateurs, assurance d'intégrité (respect de la directive abus de marché).
Vania Schleef est nommée Directeur des relations clients au sein de la société de conseil AAAIC. Son parcours professionnel: Analyste financier chez Moody’s Investor Services au sein du groupe Global Managed Investments au Royaume-Uni (1998-04) puis en Italie (2004). En poste chez Experian (2004-05) puis chez Scope Analysis GmbH (2006). Edhec-Risk Institute : directrice adjointe du développement (2007-09) puis Business Manager (2009-11). Directeur des relations clients chez AAAiC (depuis 2012).
Eric Coutts, qui avait succédé en 2009 à Jean-Michel Steg à la tête de la banque d'investissement, s'en va. Charles-Henri Filippi pourrait le remplacer
L’année 2011 qui vient de s'écouler aura sans doute été une des années les plus éprouvantes pour l’industrie traditionnelle européenne de la gestion des fonds d’investissement* avec une baisse des encours de l’ordre de 260 milliards € qui s’explique pour moitié par une décollecte nette (soit -125 milliards €) contre une collecte nette de +125 milliards € en 2010. Si l’on intègre les ETF, l’industrie dans son ensemble aura subi une décollecte nette de -110 milliards €, puisque ce segment a réalisé une collecte nette +15 milliards €. Lire la suite en pièce jointe
Le 19 janvier 2012, Jean Lardin, Président de l’UPA (Union Professionnelle Artisanale) et Serge Crouin, Président de la MNRA (Mutuelle des Artisans), ont renouvelé pour trois ans la convention de partenariat que les deux organisations avaient conclue en 2007. Depuis cette date, l’UPA et la MNRA développent des actions communes, l’UPA travaillant de manière privilégiée avec la Mutuelle des Artisans sur les sujets relatifs à la protection sociale complémentaire des artisans. Soucieuses de pérenniser et d’approfondir ces liens de partenariat, les deux organisations formalisent au travers de cette convention triennale de nouveaux engagements : la nouvelle convention prévoit une rencontre annuelle entre le Président de la MNRA et les représentants des organisations membres de l’UPA, dans le cadre d’une réunion de son Conseil National. Ce rendez-vous annuel traduit la proximité politique qui existe entre l’UPA et les élus de la MNRA, qui sont tous membres d’une confédération affiliée à l’UPA ; l’UPA accompagnera la collaboration territoriale entre la MNRA et les UPA départementales et régionales. Par réciprocité, la MNRA s’engage à réaliser et à communiquer à l’UPA nationale un bilan annuel de ces actions territoriales ; une présentation de l’activité de la MNRA sera proposée dans le cadre des formations dédiées aux représentants de l’UPA ; enfin, l’UPA s’engage à participer aux différents observatoires qui seront mis en ??uvre par la MNRA en partenariat avec d’autres acteurs importants de l’artisanat (observatoire de l’EIRL, observatoire des retraités de l’artisanat, etc.) ; Afin de consolider les échanges entre les deux partenaires et d’assurer le suivi opérationnel de la convention, un comité de pilotage administratif composé de représentants de l’UPA et de la MNRA se réunira tous les trimestres.
L’agence d'évaluation financière Standard & Poor’s a annoncé vendredi avoir dégradé la note de crédit de CNP Assurances de AA- à A+, en raison notamment des développements sur les marchés financiers. La note a été placée sous perspective négative, a prévenu S&P. Les développements sur les marchés financiers et l’intensification des risques de crédit que nous observons dans la zone euro ont affaibli la capacité de l’assureur-vie CNP Assurances, basé en France, à restaurer l’adéquation de ses fonds propres à des niveaux robustes au cours des deux prochaines années, a expliqué l’agence dans un communiqué. La perspective négative reflète des conditions économiques et financières qui pourraient davantage empêcher CNP de restaurer l’adéquation de ses fonds propres en dépit de ses actions stratégiques, a-t-elle ajouté. Dans un communiqué, CNP Assurances a commenté que malgré un environnement économique difficile, le groupe se distingue de la tendance du marché français de l’assurance vie avec une collecte nette positive sur tous les mois de l’année 2011. CNP poursuit sa politique de réduction de ses investissements en actions ainsi que son exposition aux dettes souveraines des pays dits périphériques de la zone euro (PIIGS), a indiqué l’assureur. Le groupe s’est dit confiant dans sa capacité à renforcer régulièrement et durablement ses fonds propres. Le 9 décembre, Standard & Poor’s avait placé les notes de crédit de quinze compagnies d’assurance européennes sous surveillance avec implications négatives dont celle de l’allemand Allianz, du britannique Aviva et des français Axa, Caisse centrale de réassurance et CNP Assurances. L’agence de notation avait expliqué avoir pris cette décision après le placement sous surveillance négative de quinze des dix-sept pays de la zone euro. Le 13 janvier, elle a privé la France de sa note AAA en l’abaissant à AA+.