Schelcher Prince Gestion, an asset management firm specialised in fixed income, credit and convertible bonds, in which Federal Finance controls 85%, has topped EUR3.5bn in assets, due to net inflows of nearly EUR750m since the beginning of the year (as of 30 September).Most inflows, EUR500m, went to funds, which are more lucrative than mandates and dedicated funds, says Sébastien Barbe, CEO of the asset management firm, in an interview with Newsmangers.The other remarkable fact of the year is the development of Schelcher Prince Gestion serving a new class of clients: distribution and independent financial advisers, which got a boost last year with the recruitment of Fabrice Neyroumande.In order to win over these clients, the French asset management firm has overhauled its Opportunités Européennes fund, and converted it into a wealth management fund based on 11 strategies from the group, including the house specialties: convertible bonds, high yield, investment grade, etc.The product, managed by Fabien Labrousse and Barbe, now has assets of EUR180m, compared with EUR38m as of the end of 2012. “It is seeing inflows at a pace of EUR15m per month, whereas we had EUR5m at first,” adds Neyroumande, head of distribution, who has recently been assisted by Etienne Laluque from Federal Finance.As a result of this development, distribution clients represent 15% of assets at Schelcher Prince Gestion, compared with 85% for institutional investors, half of which are composed of retirement assets. Internationally, Schelcher Prince is continuing to build its network, particularly in Southern and Northern Europe. In the latter region, the firm is partnered with the Swedish bank SEB. Other vectors are in progress to develop in these countries and beyond the borders of Europe, says Bruno Promonet, deputy CEO and head of business development.In terms of asset classes, the firm has consolidated its convertible bond unit, which now represents EUR1.2bn, of which more than EUR800m are in open-ended funds. A mandate and a dedicated fund are expected to be released soon, with an overall total ofEUR70m. The firm is also betting on its global fund.The short term has also worked well, with the unexpected arrival of a corporate client. The fund dedicated to this asset class now has EUR750m in assets, and will very soon reach EUR1bn. But in light of the volatility of corporated, Schelcher Prince Gestion does not want to “push” the product too hard.The high yield unit, for its part, has EUR60m, with a fund of EUR180m.Lastly, in the future, these areas may be joined by operations in the area of loans.
In an interview with the Börsen-Zeitung, Marc Renaud has announced that in the space of one year, assets at Mandarine Gestion have risen from EUR1.2bn to EUR1.8bn, and that the firm he leads has posted subscriptions again, particularly the small and midcaps fund Mandarine Unique.
Alfred Berg, la filiale suédoise de BNP Paribas Investment Partners, vient de recruter Sara Stevinger au sein de son équipe commerciale à Stockholm. L’intéressée, qui s’occupera des clients institutionnels, travaillait précédemment au sein de Bank Vontobel AG/Harcourt Investment Consulting.Ce recrutement intervient alors que Dagens Industri annonçait récemment que BNP Paribas Investment Partners prévoit de transférer toute sa gestion Europe de l’Est à Alfred Berg.Alfred Berg gère environ 19,6 milliards d’euros.
Le Japon a décidé de mettre au point un plan de mesures de soutien à l'économie réprésentant un total d’environ 5.000 milliards de yens (50 milliards de dollars ou 37,7 milliards d’euros) en vue de compenser l’effet de la hausse de la taxe sur la valeur ajoutée qui entrera en vigueur début avril, a annoncé mardi le gouvernement. Cette annonce intervient quelques heures après que le Premier ministre Shinzo Abe a dit que la TVA passerait de 5% à 8% dans six mois
Le projet de constitution d’un groupe spécialisé dans l’assurance des collectivités territoriales et des acteurs du secteur de la santé, annoncé par Sham en juillet 2013, est sur les rails. La société d’assurance mutuelle annonce en effet avoir finalisé l’acquisition du courtier Sofaxis après avoir obtenu le feu vert de l’Autorité de la concurrence. Pour réaliser cette opération de croissance externe, Sham s’est alliée à la Mutuelle nationale territoriale (MNT) et à la Mutuelle générale de l'éducation nationale (MGEN). Les deux mutuelles devraient, selon les termes de l’accord initial, détenir respectivement 10% et 5% du nouvel ensemble, qui compte 765 salariés et gère au total un portefeuille représentant 650 M€ de primes.
Le Groupe Prévoir recrute en CDI, à temps plein, à Paris un(e) chargé(e) d'études actuarielles. Modélisation du passif : Intégration des nouveaux produits dans l’outil de modélisation, participation à l'évolution du modèle, validation des hypothèses en entrée du modèle et des résultats en sortie, Réalisation d'études techniques : étude de rentabilité des produits, analyse des marges. Inventaire technique : Calculs de provisions, calcul du Best Estimate, fiabilisation de calculs actuariels, analyse des résultats techniques en normes S1 et S2, Participation au suivi technique et réglementaire des produits. Votre profil : Titulaire d’un DEA ou DESS mathématiques, finances, économétrie, vous avez une première expérience de la fonction. Vous connaissez les produits d’assurance-vie individuelle (épargne, retraite, prévoyance). Autonomie, sens de l'écoute, rigueur et esprit d’analyse sont des qualités essentielles pour ce poste. Merci d’adresser votre candidature (LM et CV) à anne-sophie.gleyen@prevoir.com
Laurent Vigier, président directeur général de CDC International, devra mettre en oeuvre, pour le compte du Groupe, une stratégie ambitieuse d’attraction des fonds souverains, et autres grands investisseurs institutionnels internationaux, dans un cadre d’investissement partenarial à leur côté. L’objectif de la Caisse des Dépôts est ainsi de contribuer fortement à attirer des capitaux étrangers, sur de multiples classes d’actifs, pour le financement pérenne de l'économie française et le renforcement de sa compétitivité. CDC International avait déjà permis de développer un réseau dense de partenaires fonds souverains et de mettre en place les premiers partenariats d’affaire internationaux de long terme de la Caisse des Dépôts (fonds Inframed et Marguerite, fonds franco-chinois). InfraMed (385 MEUR), fonds d’infrastructure dédié aux pays de la rive sud de la Méditerranée www.inframed.com, Marguerite (710 MEUR), fonds d’infrastructure dédié aux pays de l’UE www.margueritefund.eu, Fonds PME franco-chinois avec la China Development Bank (150 MEUR) géré par Cathay Capital. Première société française d’investissement exclusivement tournée vers les fonds souverains, elle aura pour premier objectif de poursuivre la constitution des véhicules bilatéraux d’investissement avec le Qatar, les Emirats Arabes Unis et la Fédération de Russie. Elle portera les participations de la Caisse des Dépôts dans ces véhicules et sera en charge d’assurer le pilotage de leurs investissements. Elle aura également la responsabilité de développer une plateforme multilatérale d’investissement à même d’attirer plus largement et durablement les capitaux souverains. CDC international devient ainsi l’outil du Groupe pour l’investissement de long terme en partenariat avec les fonds souverains. Laurent Vigier sera membre du Comité de direction du groupe Caisse des Dépôts. Laurent Vigier était directeur des affaires européennes et internationales et représentant permanent du Groupe auprès des institutions européennes depuis 2007 ; PDG de CDC International (depuis 2010) ; PDG de France Caucase (depuis 2010). Ancien élève de l’ENS-Ulm et de Harvard, agrégé d’histoire, ancien élève de l’ENA (promotion Valmy 1998), Conseiller technique à la Présidence de la République en charge des questions multilatérales/G8, puis des affaires européennes (2003-2007); précédemment conseiller technique de la ministre des Affaires européennes (2002-2003) et au ministère des Affaires étrangères sur les dossiers OMC (1998-2002). »
The chairman of PAI Partners, Lionel Zinsou, has announced in an interview with Les Echos that his second in command, Michel Paris, will take over at the fund in 2015. “Michel Paris, with whom I have been directing the fund in perfect partnership for four years, and who has been a point of reference for all our counterparties, clients, businesses and investors for over 30 years, will succeed me at the end of 2015. On that date, I will become chairman of the supervisory board,” says Zinsou, who also states that his fundraising of EUR3bn is “perfectly in line with our timetable,” after passing EUR1bn early in the summer.
Changement d'ère en vue chez Generali France. Claude Tendil, son PDG depuis avril 2002, devrait laisser prochainement le poste de directeur général à Eric Lombard, l’actuel PDG de BNP Paribas Cardif, comme l’ont indiqué lundi «???L’Agefi???» et «???La Correspondance économique???». A soixante-huit ans, il conserverait toutefois une présidence non exécutive, un poste créé pour l’occasion. La décision aurait été prise vendredi lors d’un conseil d’administration de l’assureur italien. La nomination d’Eric Lombard doit encore faire l’objet d’un vote du conseil d’administration de la filiale française. Interrogé par «???Les Echos???» Generali n’a pas souhaité faire de commentaire. Artisan de la mégafusion entre AXA et l’UAP en 1998, Claude Tendil est l’homme qui a fait de Generali France un véritable groupe en fusionnant les différentes sociétés qui composaient l’entreprise, après notamment les acquisitions de Continent Assurances et du réseau d’agents généraux de Zurich. Vice-président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA) et président de la Fédération française des sociétés anonymes d’assuranecs (FFSAA), il vient aussi de faire son entrée cet été au comité exécutif du Medef, dont il préside la commission protection sociale. Un professionnel reconnu de l’assurance Avec le recrutement d’Eric Lombard, Generali France s’offre les services d’un professionnel reconnu de l’assurance, au parcours très différent de celui de Claude Tendil. Ce diplômé d’HEC de cinquante-cinq ans a fait l’essentiel de sa carrière chez Paribas, puis BNP Paribas, d’abord dans la banque. Directeur général de BNP Paribas Assurances en 2004, il avait passé auparavant plusieurs années au service de l’Etat, au cabinet de Louis Le Pensec, porte-parole du gouvernement (1989-1991), puis auprès de Michel Sapin, aux ministères de la Justice, puis de l’Economie et des Finances (1991-1993). PDG de la filiale d’assurance de la banque depuis 2006, il n’a cessé de la faire grandir à l’international. Présent dans 36 pays, BNP Paribas Cardif réalise désormais plus de la moitié de son chiffre d’affaires hors de France. Elle vient de prendre pied en Chine avec l’acquisition de la participation détenue par ING dans une société commune avec Bank of Beijing. Membre du comité exécutif de BNP Paribas depuis décembre 2011, Eric Lombard est aussi président du Groupement français des bancassureurs (G11). Signe de renouveau Cette nomination est un signe du renouveau voulu par Mario Greco, le nouvel homme fort de Generali. Depuis son arrivée à la tête du premier groupe d’assurance italien en août 2012, le???«???Napolitain de fer???» a déjà profondément remanié la gouvernance. Il a ainsi créé un comité de direction générale de dix membres, dont fait partie Claude Tendil. Début août, il a nommé un autre Français, Philippe Donnet, un ancien dirigeant d’AXA, à la tête de Generali Italia.
Le secrétariat général de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (SG ACPR) conduit actuellement un exercice volontaire de préparation à Solvabilité II, consistant en la remise d’une sélection d'états prudentiels quantitatifs de la future réglementation et d’un questionnaire qualitatif. Cet exercice s’appuie sur des éléments très largement stabilisés de Solvabilité II : états prudentiels, spécifications techniques hors partie dite du « paquet branches longues ». Les états et le questionnaire devaient être retournés remplis, par voie électronique, pour le 6 septembre dernier. Le SG ACPR a reçu à ce jour plus de 370 réponses individuelles complètes, témoignant de la forte mobilisation du marché, à la fois en vie et en non-vie, et dans tous les secteurs (organismes régis par le code des assurances, mutuelles ou institutions de prévoyance), avec un taux de couverture du marché qui devrait être supérieur à 70% en non-vie et 80% en vie. L’objectif de cet exercice est à la fois de mesurer la préparation du marché (via notamment le questionnaire qualitatif) mais aussi de recenser les problèmes rencontrés par les organismes et de permettre un échange entre ceux-ci et le SG ACPR sur les méthodes et techniques utilisées. A cet effet, une note méthodologique était également demandée, au format libre. « Nous sommes heureux de constater depuis vendredi et nos premiers dépouillements la qualité de ces notes méthodologiques, qui vont nous permettre d’avoir un dialogue très efficace avec les organismes sur leur travaux » souligne Romain Paserot (Directeur des contrôles spécialisés et transversaux et Chef de projet Solvabilité II). Dans les prochains jours, l'équipe en charge de l’exercice continuera de faire des retours individuels auprès des participants et va mener l’analyse des réponses, afin de pouvoir communiquer rapidement les enseignements de cet exercice.
Dans une interview accordée au quotidien, le président du directoire du groupe allemand Johannes Teyssen ne voit pas de solution claire pour mettre fin à l’écart existant sur les prix de l’énergie entre l’Europe et les Etats-Unis. Il déplore des subventions sur les énergies renouvelables en Europe qui aboutissent à la fermeture de centrales à gaz techniquement efficaces mais non rentables.
Tour de vis fiscal en prévision pour l’ensemble des revenus du capital. Ainsi, dans le projet de loi de finances 2014 de la Sécurité sociale présenté jeudi 26 septembre, les rachats de versements effectués jusqu’en 1997 sur des contrats d’assurance-vie (hors contrats en euros) doivent être soumis aux prélèvements sociaux à 15,5%. Les gains sur les rachats de plans d’épargne en actions (PEA) à partir de 5 ans sont également concernés ainsi que les plans d’épargne-logement (PEL) ouverts avant le 1er mars 2011 dont les intérêts sont taxés au dixième anniversaire du plan (ou à son dénouement s’il intervient avant). Les intérêts des PEL ouverts depuis le 1er mars 2011 ou, pour les PEL antérieurs, ceux qui sont versés après la dixième année du plan ne sont pas concernés car ils font l’objet d’un prélèvement chaque année, au fil de l’eau, précise Bercy.Cette mesure doit s’appliquer aux faits générateurs intervenant à partir du 26 septembre 2013. Le rendement attendu de cette mesure est de 600 millions, indique le minsitère de l’Economie et des Finances.
L’Autorité des marchés financiers (AMF) a annoncé le 26 septembre la nomination d’Anne Maréchal en tant que directrice des affaires juridiques à compter du 1er octobre 2013. Elle rejoint le comité exécutif de l’AMF.Anne Maréchal, 52 ans, ancienne élève de l’ENA et titulaire d’un DEA de droit communautaire européen, a débuté sa carrière en 1983 en qualité de commissaire à la Direction de la Concurrence du ministère de l’Economie. Elle a ensuite été nommée administrateur civil au Service de la législation fiscale du même ministère en 1993. En 1997, elle rejoint la Commission des opérations de Bourse (COB) au service des études, puis comme responsable de la surveillance des marchés. Admise au barreau de Paris en 1999, elle rejoint le cabinet August & Debouzy, avant de diriger le département de droit boursier du cabinet Herbert Smith à Paris de 2002 à 2005. En 2005, elle devient associée au sein du département Corporate du cabinet DLA Piper à Paris où elle est responsable du département droit boursier. Elle conseille des sociétés cotées, des banques d’affaires et des fonds d’investissement en matière de fusions-acquisitions, d’offres publiques, d’émissions de titres, d’introductions en bourse et de communication financière, ainsi qu’en matière de gouvernement d’entreprise et de conformité. Elle intervient également sur des dossiers de contentieux boursiers.
Dans un document publié dans le cadre de la chaire de recherche de l’institut EDHEC-Risk, soutenu par Rothschild & Cie sur « le cas des obligations d’entreprises indexées sur l’inflation : perspectives pour les émetteurs et les investisseurs, les chercheurs de l’EDHEC-Risk ont fourni une analyse exhaustive des sources de valeur ajoutée des obligations d’entreprises pour les investisseurs institutionnels. Le document intitulé « Analyse et décomposition des sources de valeur ajoutée des obligations d’entreprises au sein des portefeuilles des investisseurs institutionnels », montre que les obligations d’entreprises sont attrayantes pour les portefeuilles des investisseurs : introduire des obligations d’entreprises dans les portefeuilles en quête de rendement (« Performance-Seeking Portfolios - PSPs ») est généralement benefique du point de vue de la gestion actif-passif car cela conduira à des améliorations substantielles en termes de couverture, provenant d’un coût proportionnellement moindre en termes de performance par rapport à un portefeuille fortement alloué sur les marchés actions. introduire des obligations d’entreprises dans les portefeuilles de couverture du passif (« liability-hedging portfolios - LHPs ») a également un impact positif sur le bien-être des investisseurs car cela améliore les avantages liés à la couverture et à la performance, en particulier pour les investisseurs devant faire face à des passifs actualisés, utilisant un ajustement lié à un spread de crédit. Dans ce contexte, les investisseurs peuvent vouloir évaluer si une certaine proportion d’obligations d’entreprises dans chaque portefeuille conduirait à un niveau plus élevé du bien -être des investisseurs. Un exemplaire de L’analyse et la décomposition des sources de valeur ajoutée des obligations d’entreprises dans les portefeuilles des investisseurs institutionnels » peut être téléchargé via le lien suivant : EDHEC-Risk Publication Analysing and Decomposing the Added-Value of Corporate Bonds
The French asset management boutique Tikehau, founded in 2004, is seeking to construct an activity in the United Kingdom, with the asssistance of Duke Street, a private equity firm in which it has recently acquired a majority stake, Mathieu Chabran, co-founder, has said in an interview with Financial Times fund management. Its first office in London was opened this summer, with four employees, and Chabran is planning to recruit six more by the end of the year. Tikehau has EUR2.5bn in assets under management.
Connue pour être un établissement qui se rémunère uniquement sur honoraires et s’adresse à une clientèle privée haut de gamme, quirin bank, créée par Karl Matthäus Schmidt, élargit son spectre de chalandise en ouvrant un portail en ligne, rapporte le Handelsblatt.Dans une interview à la Berliner Zeitung, Karl-Matthäus Schmidt indique que les clients pourront accéder dès cet automne à du conseil sur une plate-forme spéciale, ce qui leur coûtera beaucoup moins cher que du conseil à domicile. Actuellement, quirin bank facture 150 euros de l’heure pour un entretien personnalisé de conseil.
LVMH a annoncé une prise de participation minoritaire dans la jeune marque de mode britannique JW Anderson et la nomination de son créateur au poste de directeur artistique de la griffe espagnole Loewe. Cette acquisition intervient quelques jours après celle du chausseur britannique Nicholas Kirkwood et illustre de la bataille que se livrent les grands groupes pour investir dans des labels jugés prometteurs. Kering a pris le contrôle de Michael Kane et une participation minoritaire dans la griffe new-yorkaise Altuzarra.
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans emploi) a diminué en France de 1,5% en août, soit de 50.000, pour s'établir à 3.235.700, enregistrant son premier recul depuis avril 2011, selon le ministère du Travail. Cette baisse, la plus forte en ampleur depuis l’automne 2000, intervient à la suite du ralentissement du rythme de hausse constaté depuis le mois de mai.
Kaspar Müller, président de la Fondation Ethos et de la société Ethos Services, a annoncé qu’il ne se représentera plus à réélection lors de l’assemblée générale en 2015. Kaspar Müller est membre du Conseil de fondation depuis la création d’Ethos en 1997 et son président depuis 2007. Afin de garantir la continuité dans l'évolution stratégique, le Conseil de fondation d’Ethos et le Conseil d’administration d’Ethos Services ont décidé de proposer Dominique Biedermann, directeur actuel, comme leur nouveau président à partir du printemps 2015. A cette date, il quittera son poste de directeur pour se concentrer sur ses nouvelles fonctions. Les Conseils disposent maintenant d’un délai de 18 mois pour rechercher et nommer un nouveau directeur à la tête d’Ethos. Ce délai permet de s’assurer que les changements au sein de la Direction maintiendront l’orientation pionnière de la Fondation Ethos en matière d’investissement socialement responsable et d’actionnariat actif.
While Italy has not (22 July) ratified the AIFM directive, the Italian market authority (Consob) and the Bank of Italy on 26 July passed a joint ruling that allows foreign asset management firms based in the European Union which have transposed the directive to sell their products in Italy, Plus, the weekly supplement of Il Sole – 24 Ore, reports. Before 22 July, foreign hedge funds needed prior authorisation from the Bank of Italy to be sold in Italy. Now, it is enough to notify the authorities in the home country of the asset management firm in question, a lawyer from Simmons & Simmons interviewed by the newspaper last week explains. This authority then informs Consob. This possibility does not exist for Italian hedge funds, since the directive has not been transposed in Italy. That represents a handicap for Italian alternative asset management firms, who are in compliance with the new regulations.
Martin Davis, l’ancien patron de Cofunds, va prendre la direction de Kames Capital, filiale à 100% d’Aegon AM, en tant que chief executive officer à compter du 1er octobre, selon FundWeb.Sa nomination intervient après plusieurs changements à la tête de Kames, notamment le départ fin mars 2013 d’Andrew Fleming de ses fonctions de CEO. L’intérim était assuré par Sarah Russell, CEO d’Aegon AM.
Dans une interview à la Börsen-Zeitung, Stefan Keitel, le nouveau managing director et global CIO de la banque privée Berenberg, annonce que l’établissement va transférer progressivement toutes ses activités de gestion de fortune de Hambourg à Francfort.L’ancien CIO de Credit Suisse a l’intention de concurrencer les grandes maisons comme JPMorgan, Goldman Sachs et Deutsche Bank au moins sur le plan de la gestion discrétionnaire, même s’il n’est pas question de rivaliser avec elles par les volumes. Berenberg veut convaincre par ses performances, sa gestion du risque, son processus d’investissement et la communication sur ce processus.
Christophe Cuvelier, ex Directeur Général Adjoint de Médicis Avec l’arrivée de Christophe Cuvelier, Insti7, cabinet indépendant de conseil en investissements financiers, poursuit le développement de ses activités, tant auprès des investisseurs institutionnels que des entreprises, en développant un pôle de conseil tourné vers la gouvernance, la stratégie, la performance et la gestion des risques. Christophe possède 20 ans d’expérience dans le secteur de la retraite dont 13 ans en tant que Directeur Général Adjoint de Médicis, mutuelle retraite des travailleurs indépendants. A ce titre, il assurait le pilotage actif-passif des régimes de retraite et avait la responsabilité de la direction de la gestion du risque regroupant les fonctions supports (contrôle interne, juridique, informatique). Christophe Cuvelier est diplômé de l'École Nationale Supérieure de Sécurité Sociale (EN3S). Contacté par la rédaction d’Instit Invest, Médicis a déclaré que le remplacement de Monsieur Cuvelier n'était pas à l’ordre du jour.
Laurent Legendre revient sur la mise en place du dispositif d'épargne au sein de l'entreprise en 2008. EADS a alors divisé par huit le nombre de fonds, dans le plan d'épargne groupe (PEG) et confié à deux gérants seulement la gestion des actifs, l'un pour le PEG, l'autre pour le Perco, d'où des fonds différents dans les deux plans.
Alexandre Hezez is leaving Convictions AM. The chief investment officer has decided to take on an entrepreneurial project, and if he desires, he may rely on the support of Cloran Finance, the largest shareholder (70% of capital) in the asset management firm led by Philippe Delienne, a statement released on the evening of Monday, 23 September states. In an interview with Newsmanagers, the management team at the firm insisted that the departure of the head of investments was not related to a disagreement. According to information obtained by Newsmanagers, Hezez had for several months been discussing his desire to enter an activity that combined advising, communications, analysis and management, particuarly in the area of international equities. Without the two events being related, it has been announced that at Convictions AM, Philippe Delienne will take over as head of investments. The firm underscores what it claims is an error committed in 2011: in order to award “UCITS IV” status to its funds and to allow it to retain institutional investors among its clients, Convictions AM agreed to opt for direct management of securities, and abandoned use of a fund of funds structure. The asset management firm is now going back to basics, and once it receives the appropriate licenses from the French Autorité des marchés financiers (AMF) in the next few weeks, is preparing to add funds to its range, Convictions Premium and Convictions Europe Active, a mixed fund. The portfolios of these products may be invested directly in securities and also allow for the presence of underlying funds equivalent to more than 10% of total assets. As of the end of May, assets at Convictions AM totalled about EUR600m, of which nearly 85% are in the Convictions Premium fund. As of the beginning of September, assets under management total only EUR460m, of which EUR432m are in the flagship fund.