The Munich-based asset management firm KanAm Grund, which has had to liquidate its two open-ended real estate funds, Grundinvest and US-Grudinvest, is now launching a new open-ended product, the Leading Cities Invest fund, Börsen-Zeitung reports.In an interview, Hans-Joachim Kleinert, CEO of KanAm Grund, says that new legislation protects investors: subscribers have to agree to retain their shares for two years, and to respect a one-year withdrawal waiting period, which will prevent more massive redemptions like those seen in the past.The Leading Cities Invest fund will focus on high quality real estate properties in the major cities of Europe and North America. The fund will have the advantage over its predecessors of not having old subscribers allowed to withdraw EUR30,000 per half year at any time.
In an exclusive interview with Financial News, Scott Powers, chairman and CEO of State Street Global Advisors, has announced: “We will invest more aggressively in Europe, not only for institutions but also financial advisers.” SSgA is recruiting sales teams, has transferred some France-registered funds to Luxembourg and Ireland in order to give European financial advisers easier access, and promoted Alexis Marinof to head for Europe, the Middle East and Africa. Powers adds that SSgA will be extending its actiely-managed activities.
Dans une interview exclusive à Financial News, Scott Powers, président et directeur général de State Street Global Advisors, déclare : « nous allons investir plus agressivement en Europe, non seulement auprès des institutions mais aussi des conseillers financiers ». SSgA recrute ainsi des équipes de vente, a transféré certains fonds basés en France au Luxembourg et en Irlande afin de donner aux conseillers financiers européens un accès plus facile, et promu Alexis Marinof en tant que responsable Europe, Moyen-Orient et Afrique. Scott Powers ajoute que SSga va élargir ses activités gérés activement.
Le fonds souverain chinois China Investment Corporation (CIC) a acquis une participation de 12,5% dans le producteur russe de potasse Uralkali à la faveur d’une conversion d’obligations qui avaient été vendues par les principaux actionnaires du premier producteur mondial de potasse à Chengdong Investment Corporation, une filiale de CIC. Cette recomposition du capital intervient en plein coeur d’un bras de fer entre la Russie et la Biélorussie depuis qu’Uralkali a mis fin à un accord de distribution qui le liait au producteur biélorusse Belaruskali.
Antoine Catinchi quitte son poste de directeur général à la MGEFI pour rejoindre l’union mutualiste de groupe Istya en tant que directeur général adjoint. Ce départ sera effectif fin septembre. « Je suis en phase de recrutement, précise Serge Brichet, Président de la MGEFI. Je pense pouvoir accueillir un nouveau directeur général courant novembre ». Serge Brichet est à la recherche, d’une personne appartenant, si possible, au monde mutualiste, auquel il pourrait confier une double mission : « d’une part, poursuivre le travail d’Antoine Catinchi en termes de structuration et d’organisation de la gestion au sein de la MGEFI et, d’autre part, inscrire la mutuelle dans une stratégie de mutualisation des moyens à l’intérieur d’Istya ». En attendant l’arrivée du nouveau directeur général, Jean-Jacques Rouzaud, directeur général adjoint, assurera l’intérim. Antoine Catinchi « Le départ d’Antoine Catinchi n’est pas une surprise, ajoute Serge Brichet. Il s’inscrit dans le développement logique d’Istya. Je me réjouis qu’un des dirigeants de la MGEFI rejoigne la direction de notre UMG ». La structuration d’Istya doit en effet permettre de mutualiser différentes fonctions assumées jusqu'à présent par chaque mutuelle appartenant à cette UMG (la MGEN, la MNT, la MGEFI, la MGET, la MCDef et la MAEE). « L’idée est notamment de mutualiser la gestion du régime obligatoire des fonctionnaires, la consolidation des comptes, la mise en place de procédures communes conformes à Solvency II et la maîtrise des risques et de l’audit, dans un premier temps, et de regrouper la gestion d’actifs dans un second temps », explique Serge Brichet. Ce développement doit assurer la survie des différentes mutuelles appartenant à l’UMG dans un monde de plus en plus concurrentiel. « L’enjeu pour la MGEFI est notamment de rester référencé par Bercy », poursuit le président. Rappelons en effet que tous les 7 ans, les ministères choisissent pour leurs fonctionnaires un ou plusieurs opérateurs mutualistes qui sont alors mis en concurrence. En 2007, la MGEFI s’est retrouvée ainsi en rivalité avec Réunica, la MGEN avec Swiss Life. Les mutuelles professionnelles redoutent l’arrivée de nouveaux acteurs. Aujourd’hui, l’enjeu pour elles est de rester compétitives et continuer â être référencées par leur ministère lors du prochain appel d’offres prévu en 2016.
M. Thierry Francq, administrateur hors classe de l’Institut national de la statistique et des études économiques, est nommé commissaire général adjoint à l’investissement, en remplacement de M. Philippe Bouyoux, appelé à d’autres fonctions.
Après s'être plongé quatre ans dans les comptes sociaux de la Nation, le directeur général de la Mutualité est un philosophe qui maîtrise les chiffres. Dans un univers parallèle, Emmanuel Roux pourrait être professeur de philosophie à Briançon. Quelques lycéennes seraient amoureuses de lui, car il ne manque pas d'éloquence ni d’un certain charme, et il serait apprécié de leurs parents et de ses pairs. Mais peu d’entre eux sauraient que ce prof écrit. Philosophe de formation, il a bien passé une première partie de sa carrière dans l'Éducation nationale dans les années 90, découvrant ainsi quelques villes de province, dont Briançon. Une rencontre clé... Mais il faut croire que ce pur parisien issu d’un milieu d’avocats et de hauts fonctionnaires n'était pas fait pour cette vie-là. Ou plutôt, comme il le dit, que « les conditions dans lesquelles un intellectuel ou un philosophe peut vivre en se consacrant à l’enseignement ne sont pas les mêmes qu’il y a cinquante ans ». À la Sorbonne, le directeur de sa thèse sur la pensée politique de Machiavel lui a fait comprendre que les postes sont rares, et que passer du lycée à la faculté exige beaucoup de temps. Après sa soutenance en 2000, il prend donc la tangente, direction l'École nationale d’administration. « Quand on est enseignant, si on veut évoluer vers une autre profession, l’ENA ouvre de nouveaux horizons. » Mal préparé en droit administratif et en économie, le philosophe loupe le concours et atterrit dans un lycée de Caudry, capitale de la dentelle près de Cambrai. Peu après la rentrée 2001, il repasse le concours, qu’il réussit. Le séminaire de sa promotion de l’ENA est dédié aux politiques de santé. Grâce au tirage au sort, Emmanuel Roux se retrouve dans un groupe de travail consacré à l’articulation entre les assurances maladie obligatoire et complémentaire, un groupe encadré par Étienne Caniard, alors délégué aux questions de santé à la Mutualité française (FNMF). « Un homme charismatique et généreux de sa personne », bref « la » rencontre importante de la scolarité d’Emmanuel Roux. Bien noté, le rapport du groupe lui ouvre les portes de la Cour des comptes. Il se plonge dans les comptes sociaux et les questions de financement de la Sécurité sociale, avant de partir s’occuper de la mise en place des agences régionales de santé. ... et de l’opiniâtreté Après l’ENA, Emmmanuel Roux était resté en contact avec Étienne Caniard. À celui qui apparaissait déjà comme le successeur naturel de Jean-Pierre Davant à la tête de la FNMF, il avait promis : « Tu peux compter sur moi si tu prends la présidence de la fédération. » Promesse tenue en 2011, où il rejoint la fédération en tant que directeur général adjoint. Devenu directeur général de la FNMF en juin, le magistrat de la Cour des comptes ne « pantoufle » pas, il est détaché à la Mutualité, qui est considérée comme un organisme d'« intérêt général ». Sa feuille de route est simple : « faire mieux avec une moindre cotisation ». Lui faudra-t-il un zeste de l’habileté politique dont Machiavel est, au sens commun, synonyme ? « Il en faut certainement une forme, mais je pense que cela n’a rien à voir avec Machiavel », répond Emmanuel Roux, qui, en revanche, se dit « opiniâtre ». « Je ne sais pas si c’est une forme de courage, mais j’aime surtout aller au bout de ce que j’entreprends. J’ai entamé un travail sur la pensée politique de Machiavel, et, à un moment, je me devais d’en faire un livre (« Machiavel, la vie libre », Raisons d’agir, Paris). » À la Mutualité, il commence une nouvelle boucle.
Dans une interview accordée au journal, le nouveau PDG de SFR Jean-Yves Charlier indique qu’une fusion avec Numericable, qui nécessiterait une évolution de la réglementation, n’est pas à l’ordre du jour. Ajoutant que le projet d’introduction en Bourse donnera à SFR les moyens financiers de son indépendance, il estime ne pas avoir «besoin d’attendre une consolidation de l’industrie pour avancer», en privilégiant un partenariat avec Bouygues Telecom pour la mutualisation des réseaux mobiles en dehors des grandes villes. L’accord en cours de négociation «permettrait de partager des centaines de millions d’euros d’ici à 2020», relève également le dirigeant.
Laurent Giovachini n’est plus directeur général de CS (Communication et Systèmes) et quitte la société. Yazid Sabeg, le président de la SSII, «a demandé à Khaled Draz de rejoindre le groupe pour en assurer la direction opérationnelle». Yazid Sabeg estime que Laurent Giovachini a mené à bien la première étape du plan de transformation de CS a permis d’assurer le retour à la rentabilité opérationnelle et le refinancement du groupe. Selon lui, CS doit maintenant intensifier les actions de transformation pour bénéficier de relais de croissance. Ce changement de direction intervient quelques semaines après la bataille ayant opposé Yazid Sabeg au second actionnaire du groupe, Cira Holding.
Créée en juin 2012, Cedrus AM a réussi rapidement son premier niveau de développement avec plus de 350 M€ d’actifs gérés et conseillés dont 52 M€ d’encours gérés et 320 M€ d’encours conseillés. Cedrus AM accroît ses moyens de développement commercial en renforçant son équipe. Emmanuelle Hsu, 42 ans, vient de rejoindre l'équipe Commerciale et Marketing de Cedrus AM en tant que Responsable du développement Commercial. Dans le même temps, selon nos informations, Michel Stochitch quitte son poste de Senior Advisor - Co Founder de Cedrus Partners. Son profil Linkedin indique en effet qu’il occupe aujourd’hui la fonction d’Owner - Chairman chez Alpha Financial Investment Consulting. Emmanuelle Hsu, par son expertise, permettra à Cedrus AM d’accélérer sa présence auprès d’une clientèle institutionnelle et de distribution. Son parcours : 1996 à 2002 : Groupe Crédit Agricole & BFT. Responsable de la distribution externe 2002 à 2005 : Crédit Suisse AM. Responsable distribution France 2006 à 2009 : Threadneedle AM. Responsable distribution France et Monaco 2009 à 2011 : Spread Box. Direction commerciale Marketing social/intelligence économique 2011 à 2012 : Global Financial Services: chargé du développement France et international auprès d’une clientèle d’investisseurs Institutionnels et multigestion.
Ageas France prend à bail 3 300 m² de bureaux à la Défense, au sein de l’immeuble « Les Villages » (propriété d’Unibail-Rodamco). Le spécialiste du patrimoine installera son futur siège social sur trois plateaux, en cours de rénovation, dans le courant de l’année 2014. Cette opération a été conclue dans le cadre d’une mission de conseil et d’un mandat de recherche confiés à DTZ.
L’Irlande est sortie de la récession au deuxième trimestre, avec une progression de 0,4% de son produit intérieur brut par rapport au trimestre précédent, a indiqué jeudi l’Office central des statistiques (CSO) irlandais. Le retour de la croissance qui intervient après trois trimestres consécutifs de contraction de son économie. En glissement annuel, l'économie irlandaise accuse en revanche une contraction de 1,2%, ajoute le CSO.
Le futur siège de la MGEFI, dans le 10ème arrondissement à Paris La MGEFI vient d’acheter un immeuble de 8 étages, rue Bouchardon dans le 10ème arrondissement de Paris. Cette acquisition permettra de réunir, en un même lieu, les 7 mutuelles qui la composent ; le déménagement étant prévu pour le mois de décembre. « Pour acheter cet immeuble, nous avons créé une SCI, précise Serge Brichet, Président de la MGEFI. Cette opération permet de diversifier nos investissements et de sécuriser les créances de nos acheteurs. Elle est importante pour une institution comme la nôtre ». La SCI Bouchardon a été constituée par la MGEFI, la Mutuelle d’Action Sociale des Finances Publiques (MASFIP) et la Mutuelle des Douanes (MDD). La MGEFI n'était jusqu'à présent pas propriétaire de son siège social situé rue de la Glacière, dans le 13ème arrondissement. Cet immeuble appartenait à une de ses mutuelles, la Mutuelle des Agents des Impôts (MAI), qui vient donc de le vendre à la Banque Fédérale Mutualiste. La MGEFI n’a pas l’intention d’effectuer d’autres acquisitions dans l’immobilier.
Pour Thomas S. Kuhn, la science avance par à-coups : une théorie peut être réfutée, des anomalies constatées, seule la naissance d’un nouveau paradigme, sa diffusion et son adoption au sein de la communauté scientifique, fait basculer dans une nouvelle normalité. La gestion de portefeuille serait-elle en pleine révolution kuhnienne ? La théorie moderne du portefeuille (voir encart page suivante), au fondement d’une industrie de plus de 40 trillions de dollars 2, est en effet mise à mal avec la persistance d’anomalies, les nouvelles orientations de la recherche académique, et le succès depuis quelques années des stratégies dites « smart beta ». La thèse défendue est la suivante : les indices de marché traditionnels utilisés comme benchmarks sont sous-optimaux, la gestion active génératrice d'« alpha » donne des résultats aléatoires dont l’appréciation est biaisée en raison même de la sous-optimalité du benchmark, il faut donc retravailler à l’objectif premier : une stratégie systématique et robuste pour accéder directement à la prime de risque actions dans les meilleures conditions possibles. Lire la suite en pièce jointe
Hugh Mullan, managing director UK at Fidelity Worldwide Inestment, has announced in an interview with Financial Times fund management that he expects profits to fall at his company, as for all players in the sector. This is due to the Retail Distribution Review, the transformation of retirement markets, and the aging of traditional Fidelity clients. Mullan feels that the changes in progress in the United Kingdom are the prelude to what is happening elsewhere. The Netherlands, Denmark, Australia and Switzerland are also on a similar path. Fidelity Worldwide remains a profitable acivity, FTfm notes. Pre-tax profits at FIL Holdings, the British holding company, rose 69%, to GBP30.6m in the year to June 2012, while earnings were down 6.4% to GBP677m.
Directeur général adjoint de CM-CIC Epargne Salariale, Guy Bonnet fait un état des lieux de l'épargne salariale en France. Sur ce marché concentré, les sociétés de gestion multiplient les offres de produits et technologiques. Grâce à cela, les salariés sont aujourd'hui équipés comme des gestionnaires de patrimoine. Il estime que ces investissements ne sont pas vains dans un monde qui bouge. Il n'écarte pas l'idée que l'épargne salariale évolue plus vers la préparation de la retraite.
Michel Saint-Jeannet, directeur du développement de SMI, a rejoint la mutuelle Ociane comme directeur général adjoint, où il sera plus spécialement chargé des opérations liées à l’ANI du 11 janvier 2013. Diplômé de HEC School of Management, ce spécialiste de l’assurance collective a notamment exercé auparavant la fonction de directeur grands comptes au sein du groupe Novalis, aujourd’hui partie intégrante du groupe de protection sociale Humanis. Départ à la retraite du directeur général Michel Saint-Jeannet est appelé à prendre, en mai prochain, la direction générale de cette importante mutuelle interprofessionnelle du Sud-Ouest. L’actuel directeur général, Hubert Rozès, doit effectivement prendre sa retraite à cette date, suivi quelques mois après par Jean-Marie Carricano, directeur général adjoint. Basée à Bordeaux, la mutuelle Ociane pointait en 18ème position du top 30 de la Mutualité 2012, avec un chiffre d’affaires de 229 M€. Elle est également actionnaire de la société mutualiste Mutex.
L'été a apporté une série de bonnes nouvelles concernant la résilience de l'économie des pays développés. Les Etats-Unis ont confirmé la reprise de leur activité, l'économie européenne se stabilise, l’Asie confirme une croissance toujours élevée et le Japon nous a surpris pour la première fois depuis dix ans. Dans ce contexte, au sein des pays du G8, les marchés actions ont retrouvé les plus hauts de l’année voir du quinquennat et les marchés obligataires ont confirmé la remontée des taux souverain moyen et long terme sans écartement trop marqué des marges de crédit des émetteurs privés depuis lors. Seule exception, les pays émergents ont fortement réagi après les avertissements de Ben Bernanke mi mai ; les obligations mais aussi parfois les actions ont connu des baisses de forte ampleur dues au retrait de capitaux étrangers et à de fortes dévaluations de leurs devises. Les investisseurs sont de nouveau prêts à entendre les appels de la reprise. Pour de bonnes raisons. Certes, les marchés des pays développés pourraient de nouveau tirer partie de la croissance renaissante, avec pour les actions, une hausse des bénéfices à en attendre et une amélioration supplémentaire des valorisations dans cette euphorie renaissante ; et pour les obligations, le haut rendement, encore prisée ou conservée pourrait bien performé du fait de la reprise de l’activité. Et, dans une moindre mesure, les actifs des pays émergents sont désormais à des niveaux attractifs, pour qui sait être un peu plus sélectif dans ses choix de pays et de secteurs. Pour lire la suite, cliquer ici
Didier Philouze, nouveau Managing Director Le cabinet de conseil international bfinance, spécialisé en opérations financières pour les grandes entreprises et les investisseurs institutionnels, annonce l’arrivée de Didier Philouze en tant que Managing Director. Après 20 années d’expérience dans le conseil en financement, l’analyse crédit et le conseil en notation, Didier Philouze prend la responsabilité de l'équipe dédiée au Conseil en Financements chez bfinance à Paris. Avant de rejoindre bfinance, Didier Philouze était depuis 2008 Managing Director chez Oddo Corporate Finance où il a développé la plate-forme de conseil en financement aux entreprises. Après avoir débuté sa carrière en tant qu’Analyste Associé chez Moody’s à Paris de 1993 à 1997, il a rejoint Citigroup à Londres dans les services de Conseil en Notation pendant deux années. A compter de 1999, il intègre Morgan Stanley à Londres où il occupera successivement pendant dix ans les fonctions de Vice-Président puis Directeur Exécutif dans les activités de crédit, structuration de bilan et conseil en notation.
Guillaume Chatelet Guillaume Chatelet, ancien directeur technique et financier de MutRé, vient renforcer l'équipe de direction de Santiane. Recruté en qualité de directeur technique au sein du groupe niçois, il sera basé à Paris, tout comme l’ensemble de la direction générale. Maîtriser les portefeuilles d’assurance Selon Pierre-Alain de Malleray, directeur général du groupe Santiane, «il aura pour mission de développer une expertise en matière de pricing des produits et d’analyse prédictive permettant de maîtriser davantage les portefeuilles d’assurance que nous souscrivons». Cette arrivée fait également suite à celle de Clément Janicot, ex-account strategist chez Google à Dublin. Il sera, lui, en charge de l’acquisition de trafic sur le web au sein du département marketing.
Les valeurs vénales continuent toujours à légèrement progresser, que ce soit sur les centres commerciaux ou sur les autres commerces, avec une croissance de +0,8% sur six mois grâce à des taux stables et des valeurs locatives de marché qui augmentent. A l’opposé, le rendement en capital semestriel des bureaux reste négatif, à -1,6%, mais sans détérioration par rapport au précédent semestre, avec encore des disparités fortes suivant le segment de marché. Sur un an à fin juin 2013, la performance des bureaux est de 2,3%. « Ces résultats reflètent un début d’année encore mitigé pour les Bureaux, avec une vacance qui augmente encore légèrement, et des revenus et des valeurs vénales qui baissent en dehors de Paris, tandis que le marché parisien se maintient» souligne Stéphanie Galiègue, Executive director and Head of Southern Europe, IPD. En comparaison, les actions (MSCI FR) ont enregistré la meilleure performance à 5,6%, bien que ralentie par rapport au précédent semestre. En revanche, avec 2,7% de rendement, l’immobilier tertiaire a affiché une meilleure performance que celle des obligations (JP Morgan GBI Global, FR 7-10 ans) à -1,1% et se positionne au même niveau que celle des foncières cotées (MSCI FR/ Real Estate) à 2,7%. Sur la même période, l’indice IPD pour les OPCI RFA (en partenariat avec l’ASPIM) présente aussi une performance de 2,7%. Composition de l’indice semestriel France IPD au 30 juin 2013 : L’indice semestriel IPD de l’investissement en France est basé sur 1 180 immeubles tertiaires dont la valeur est évaluée à 25 milliards d’euros au 30 juin 2013 au travers de 42 portefeuilles différents. La composition de la base de données semestrielle IPD a changé au premier semestre 2013 suite à l’entrée d’actifs français portés par des portefeuilles multinationaux. Les commerces représentent 52% de la valeur totale des actifs analysés dans l’indice semestriel, contre 31% pour les bureaux, 12% pour la logistique et les locaux d’activité et 5% pour les autres types d’actifs.
UK Financial Investments, la holding qui gère les parts de la Grande-Bretagne dans les banques nationalisées lors de la crise de 2007-2008, a recruté son nouveau patron. James Leigh-Pemberton, qui dirigeait jusqu'à présent les activités de Credit Suisse outre-Manche, prend les fonctions de président exécutif de UKFI. Fils d’un ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, il remplace le directeur général de la holding, Jim O’Neil, parti chez Bank of America, et le président Robin Budenberg. Cette nomination intervient alors que Londres envisagerait de vendre dès ce mois-ci, selon Bloomberg, jusqu'à 5 milliards de livres d’actions Lloyds Banking Group.
Coe-Rexecode et l’AFTE publient les résultats de l’enquête de septembre 2013 sur la trésorerie des grandes entreprises, qui s’est déroulée entre le 4 et 11 septembre. Les trésoreries d’exploitation sont devenues moins difficiles en septembre. Le solde d’opinion sur l'évolution des trésoreries globales reste négatif. Les trésoreries d’exploitation sont devenues moins difficiles en septembre. Le solde d’opinion sur l'évolution des trésoreries globales reste négatif. La trésorerie globale apparaît meilleure qu’anticipé pour une majorité de trésoriers. Amélioration significative des délais de paiement des clients. Légère hausse du solde d’opinion sur les marges bancaires. 29,8 % des trésoriers ont l’intention de mettre en place des lignes de précaution (seulement 21,1 % dans le secteur des services aux entreprises). Les résultats détaillés sont consultables dans le communiqué de presse en pièce jointe.
95% des gérants d’actifs externalisent leur comptabilité OPCVM. Pourtant, selon l’Observatoire européen de l'épargne, seuls 500 milliards d’euros de comptabilité de placement seraient externalisés en gestion institutionnelle, sur 2200 milliards d’euros au total. Ce contraste est-il justifié ? Pour nous éclairer, nous avons organisé le 3 juillet dernier une conférence-débats sur le thème suivant : Insourcing/outsourcing de la comptabilité des placements : quels enjeux pour les institutionnels ? Philippe Bigeard, responsable commercial de la clientèle institutionnelle de CACEIS (groupe Crédit Agricole), Thierry Decourrière, associé de Sagalink Consulting, cabinet de conseil, mais aussi Julien Dorieux, directeur administratif et financier adjoint de Klesia, groupe d’assurances et de retraite complémentaire, enfin Bernard Fripiat, vice-président market support de SimCorp Western Europe, éditeur de logiciel spécialisé dans la fourniture de solutions et de services à l’industrie financière, ont débattu sur le sujet le 3 juillet dernier et nous ont apporté leur éclairage. Les échanges de ce panel sont disponibles sous plusieurs supports : podcast et compte rendu Téléchargez le compte rendu complet de la conférence-débat Ecoutez le podcast de la conférence-débat