Efires apporte des solutions sur mesures dans le domaine des stratégies de développement responsable aux asset managers, investisseurs institutionnels, entreprises et collectivités. Co-fondé par Véronique le Heup et Nadia Tihdaini, ce nouvel acteur du conseil en Investissement Responsable et Responsabilité Sociale des Entreprises a développé une approche transverse de ces thématiques. Après avoir travaillé chacune au développement de l’ISR et de la RSE en France, Véronique le Heup et Nadia Tihdaini ont décidé d’unir leurs compétences au sein d’une nouvelle structure baptisée Efires. Véronique le Heup a débuté dans le conseil en 2009 en tant que directrice associée du cabinet Numaï Partners, après avoir été responsable développement durable chez Natixis Asset Management, où elle a exploré les sujets relatifs à l’investissement responsable et à la RSE dès 2002. Elle accompagne depuis plusieurs années des investisseurs institutionnels comme Préfon-Retraites sur les sujets ISR ainsi que diverses sociétés de gestion, Idinvest Partners notamment, en proposant un accompagnement global sur toutes les classes d’actifs dans l’intégration de l’ESG dans la vision des investisseurs. Nadia Tihdaini est quant à elle spécialiste de la recherche extra-financière et de la mise en marché de fonds ISR. Elle a développé ses compétences dans le domaine en intégrant en 2007 la direction du développement de Natixis Asset Management. Elle a notamment copiloté en 2009 le lancement du fonds thématique Mirova Global Climate Change (ex IMPACT FUNDS - Climate Change), avant d’intégrer en 2010 la direction des gestions, où elle s’est spécialisée dans l’analyse des pratiques RSE des sociétés cotées européennes, notamment dans le secteur de la construction et de la consommation. D’après les deux associées, la création d’Efires, qui noue dans le même temps un partenariat stratégique avec Numaï Partners, devrait permettre de « répondre aux attentes croisées des entreprises et des investisseurs sur les thématiques extra-financières, en favorisant le développement de dispositifs innovants de dialogue concerté entre investisseurs et entreprises ». « Les problématiques IR et RSE évoluent constamment et nous sommes dans une période charnière où il est nécessaire pour les investisseurs de mieux comprendre le marché, les référentiels tels que les UN-PRI notamment, et pour les conseiller de s’adapter au degré de maturité de chacun » explique Véronique le Heup. « Les entreprises souhaitent comprendre le regard des investisseurs sur leur démarche RSE afin de mieux structurer leur reporting extra-financier et de satisfaire ainsi à leurs exigences » complète Nadia Tihdaini. Qui poursuit : Il est souvent nécessaire de définir des priorités dans la mise en place d’une démarche RSE, selon les enjeux sectoriels et les spécificités des entreprises concernées, afin de mettre en place par la suite des solutions sur-mesure » Partant du constat qu’il est important de travailler étroitement à la fois avec les dirigeants et les opérationnels dans la conduite du changement, le nouveau venu dans le domaine du conseil en IR et RSE a pour objectif d’inscrire ses missions dans un temps assez long pour mettre en place un accompagnement très rapproché et favoriser une coopération étroite entre investisseurs et entreprises. Efires, qui s’appuiera sur un scope européen, en travaillant principalement avec des acteurs français et suisses, ne s’interdit pas pour autant d’aller au-delà des frontières européennes : « Les acteurs américains regardent avec intérêt les démarches développées par des investisseurs institutionnels comme l’ERAFP ou l’Ircantec et s’interrogent sur les clés du marché de l’IR en France » observe Véronique le Heup.
Amadeis et Natixis Asset Management, à travers son pôle d’investissement responsable, Mirova, se sont associés, pour la sixième année consécutive, pour décerner, en collaboration avec Les Echos, le Prix de l’Investisseur Responsable. Ce prix a pour objectif de récompenser les investisseurs institutionnels qui, à travers leurs actions, se sont illustrés au cours des douze derniers mois dans leur démarche d’investisseur responsable. Le jury composé de personnalités reconnues en matière d’Investissement Socialement Responsable (ISR) ou de développement durable, a décerné le Prix de l’Investisseur Responsable 2013 au Groupe MAIF. La MAIF est une mutuelle d’assurance qui est aujourd’hui ouverte à un large public partageant ses valeurs. 3,4 millions de sociétaires dont plus de 149 000 associations et collectivités lui font confiance et bénéficient d’une offre diversifiée de produits et services, dont les principaux sont l’assurance des produits IARD, l’assurance vie, l’assurance décès et l’assurance des personnes morales. Avec environ 15,7 milliards d’actifs sous gestion, le groupe MAIF a fait de l’investissement responsable un axe majeur de sa politique de placements depuis 2009 : 1er assureur français à signer les PRI Charte ISR formalisée et validée par le Conseil d’Administration précisant les axes d’engagement de la mutuelle : prendre en compte des critères ESG sur toutes les classes d’actifs, contrôler et informer régulièrement sur les actions mises en oeuvre, promouvoir un engagement responsable de la part des partenaires financiers et dialoguer avec l’ensemble de la communauté financière. Cette démarche s’est traduite en 2013, par des initiatives concrètes en matière d’investissement responsable parmi lesquelles : Intégration d’un processus d’analyse et de notation ISR interne basé sur la recherche VIGEO, ayant un impact sur les décisions d’investissements obligataires. Cette classe d’actifs représente les ¾ des placements financiers du groupe. Evaluation du degré d’implication ISR des sociétés de gestion partenaires de la MAIF dans leur comportement d’entreprise et dans leur placement via un questionnaire de Due Diligence ISR. Signature d’un partenariat de recherche avec l’Université d’Auvergne pour le financement de la Chaire « Valeur et Responsabilité Sociale des Entreprises ». La création d’un film pédagogique de 4 minutes sur la démarche ISR MAIF à l’adresse suivante : www.maif.fr/investissementresponsable. Benoît Jullien est directeur des investissements de la Maif. La mutuelle gère environ 12 milliards d’euros dans le cadre d’une démarche ISR.
ABN Amro has announced that its private banking affiliate MeesPierson has carried out interviews with 17,000 clients to inform them of upcoming changes which will come into effect at the beginning of 2017, and which will prohibit commissions, Fonds Nieuws reports. Meanwhile, the bank has carried out more than 80,000 interviews with retail clients. These contacts were put to use to introduce the bank’s new offerings to clients, particularly new advising resources.
Florent Combes, Responsable gestion des risques, Mutuelle des Artisans (MNRA) lors d’une table ronde organisée par amLeague et Newsmanagers : Ce qu’il est important de savoir selon moi, c’est le risque dominant et comment je dois faire apparaître ce risque dominant dans mes portefeuilles ? A mon sens, aujourd’hui, value ou growth et même small-cap, ne constitue pas le risque dominant. Le risque dominant reste sur une dynamique financières/non financières et géographiques. Cela devrait s’atténuer surtout que les écarts de prime de risque sont désormais assez faibles. Aujourd’hui, nous avons surtout un raisonnement géographique. La problématique, surtout avec un prisme Solvabilité 2, est de faire baisser la consommation de risque. Cela veut dire que l’on diversifie mieux les portefeuilles en tenant compte des interactions avec le crédit. C’est une réflexion qui est plus large que la seule dynamique value/growth ou small-cap.
Aviva Investors, which opened an office in Stockholm in 2011, has initially focused on institutional investor clients in Northern Europe. “But distribution is important for us, and we are in the process of extending ourselves in this area,” says Katrin Boström, head of the Scandinavian region at Aviva Investors, in an interview with Fondbranschen. The majority of funds from the British asset management firm are registered in Sweden, Finland and Norway for institutional and retail clients, and Aviva has had assets under management for Scandinavian clients for 10 years, she says.
C’est pour profiter du contexte porteur de l’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier que le Groupe Pasteur Mutualité (175 M€ de cotisations, 169 000 personnes protégées) et la Mutuelle nationale des hospitaliers (695,8 M€ de cotisations, 1,1 million de personnes protégées) s’associent à parité dans la création d’une société par actions simplifiée (SAS) baptisée Orsane. L’annonce de cette création aura lieu lors du Congrès annuel de la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), qui se tiendra à Marseille, les 3 et 4 décembre prochains, et dont les membres sont une des cibles privilégiées des deux partenaires. Un potentiel de plus de 500 000 salariés L’enjeu n’est pas une éventuelle recommandation dans un accord de branche - si cette disposition devait franchir le cap du Conseil constitutionnel après le vote de la loi de financement de la Sécurité sociale -, car la FHP ne l’envisage pas. Mais, entre le secteur privé lucratif dans le périmètre de cette fédération patronale membre du Medef, le privé non lucratif dans celui de la FEHAP et d’autres professions de santé, comme par exemple les laboratoires d’analyse qui sont en plein regroupement sous l’effet de la nouvelle loi sur la biologie, les deux partenaires entrevoient d’importantes perspectives. «Nous estimons le marché potentiel à 13 800 établissements et 560 000 salariés», indique le Dr Bruno Gaudeau, président du Groupe Pasteur mutualité. La légitimité sectorielle avant tout Si bon nombre de ces salariés bénéficient déjà d’une couverture collective, les deux groupes mutualistes comptent sur la légitimité liée à leur connaissance du secteur de la santé et sur leur complémentarité pour imposer Orsane face aux spécialistes de la collective. Groupe Pasteur Mutualité est très ancrée chez les professionnels de santé libéraux, tandis que MNH reste largement présente dans le secteur public, au sein duquel elle couvre beaucoup de personnels hospitaliers tout en détenant aussi déjà des contrats collectifs dans le privé. «Nous couvrons 55 000 personnes en complémentaire santé et 16 000 en prévoyance, aussi bien avec des contrats d’une cinquantaine de personnes dans des maisons de retraite que de 1 000 dans des hôpitaux privés», déclare Gérard Vuidepot, président du groupe MNH, qui précise que «ce portefeuille d’assurés sera transféré dans la nouvelle société». Une première étape Les deux partenaires peuvent aussi mettre en avant une offre diversifiée, puisque Groupe Pasteur mutualité est également présent en vie, épargne, RC médicale et IARD - même si son activité est essentiellement en santé et en prévoyance. Reste à savoir si la création d’Orsane préfigure un rapprochement plus structurant. Groupe Pasteur Mutualité et MNH n’ont pas dévoilé leur intention à cet égard.
Objectif : financer la construction de 10 000 logements en Ile de France via le livret A (900 M€), 200 M€ d’apport de la CDC et une contribution de 600 M€ des assureurs. Pour l’heure, ces derniers se feraient tirer l’oreille : le logement intermédiaire ne figure pas parmi leurs priorités d’allocation d’actifs, et le véhicule leur paraît peu liquide, doté de performances faibles et très sensible sur le plan politique. Seule la CNP aurait répondu à l’appel, pour 100 M€.
BNP Paribas Investment Partners has an ambitious roadmap: bring in EUR40bn in net inflows by 2016, including EUR33bn from Asia-Pacific/emerging market clients and institutionals, Agefi Hebdo writes, with an interview with CEO Philippe Marchessaux. Although they represent 15% and 50% of current assets, respectively, “we now have all the strengths to be able to increase the proportion of emerging markets to 20% or more, and institutionals to 60%, by 2016,” says Marchessaux. Of the EUR10bn to EUR15bn in inflows that the firm is aiming to bring in from institutionals, “it would not be absurd to raise EUR6bn to EUR7bn in loans,” he says. BNP Paribas IP will also soon open an asset management firm in Mexico.
Sébastien Thomas quitte CCI Finance (groupe CCI de Paris), qui l’avait recruté en octobre 2011 en tant que Responsable du Front Office. Selon Patrick Morvan, directeur délégué de l’entité de gestion financière constituée en octobre 2009 par les Chambres de Commerce et d’Industrie de Paris Ile de France et de Nice Côte d’Azur, Sébastien Thomas quittera officiellement ses fonctions le 29 novembre prochain. L’ex Fund manager chez Invest AM et Olympia Capital Management « devrait être remplacé », CCI Finance s'étant d’ores et déjà mis en quête d’un « junior confirmé ou d’un senior ». La personne recrutée pour occuper ce poste, qui jouera le rôle d’intermédiaire entre les Chambres de Commerce et d’Industrie, les courtiers et les fonds, devra faire preuve de « technicité et de beaucoup de savoir-être », selon Patrick Morvan. Il pourra être amené à traiter toutes les classes d’actifs, en particulier des OPCI et des foncières, les clients de CCI Finance, chambres de commerce et leurs affiliés, associations notamment, ayant une faible appétence pour le risque. CCI Finance, pôle qui regroupe des fonctions de trésorerie, de financement et de conseils à destination exclusive des Chambres de Commerce et d’Industrie et de leurs affiliés et organismes associés, offre pour le moment ses services aux seules CCI Paris Ile de France, Nice Côte d’Azur et le Havre. Le GIE (Groupement d’Intérêt Economique) a vocation à intégrer d’autres CCI en France dans les années à venir et à devenir ainsi un acteur incontournable du réseau consulaire.
A l’occasion de la Journée du capital-développement organisée mardi 26 novembre 2013, Louis Godron, Président de l’AFIC, et Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance, ont signé la Charte de bonnes pratiques en présence de Fleur Pellerin, Ministre chargée des PME, de l’Innovation et de l’Economie numérique.
La Direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts est gestionnaire sous mandat de 47 régimes ou fonds de protection sociale, pour un montant total de 10 milliards d'euros d'actifs. Dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par l'Etat, elle exerce un rôle de conseil, de contrôle et de suivi dans la gestion financière, notamment l'Ircantec, qui représente à lui seul 6,3 milliards d'euros.
Les investisseurs veulent être plus impliqués dans la gestion déléguée, mais ils ne doivent pas pour autant prendre la place de leurs gérants. La mise en place de comités d’investissement peut être une solution. Lorsqu’ils délèguent leur gestion, les investisseurs institutionnels ne doivent pas s’immiscer dans le travail de leurs gestionnaires ! Mais, dans les faits, ils peuvent être bien souvent tentés d’intervenir. Plusieurs cas récents ont d’ailleurs été épinglés par l’AMF, comme en octobre dernier, où l’Autorité a annoncé avoir signé une composition administrative, c’est-à-dire un accord à l’amiable, avec la société de gestion privée Messieurs Hottinguer & Cie. Cette dernière avait laissé deux des investisseurs principaux de sa Sicav Crystal intervenir directement et indirectement dans les décisions de gestion de cette dernière, une situation interdite par le code monétaire et financier. Lorsqu’il s’agit de fonds ouverts comme des Sicav ou des OPCVM, le cadre réglementaire est en effet très strict : les investisseurs ne peuvent pas s’immiscer dans la gestion pour garantir l'égalité de traitement entre les porteurs de parts. Ils ont néanmoins à leur disposition quelques outils pour bien encadrer leur gérant. Ils peuvent par exemple demander la mise en place d’administrateurs indépendants dans les fonds, mais ces derniers n’auront pas de pouvoir décisionnel dans la gestion. «En Europe, le fonctionnement des fonds collectifs standards est très normé, résume Olivier Jéséquel, directeur chez bfinance. Il n’y a pas beaucoup de latitude en matière de gouvernance en dehors des options offertes pas le cadre réglementaire lui-même, qui s’avère très précis et détaillé.» Pour lire la suite de l’article sur le site d’Option Finance, cliquer ici
In an interview with the Börsen-Zeitung, Andrej Brodnik, head of sales for German-speaking Europe, says that the British asset management firm Jupiter Asset Management is aiming to triple its GBP1.4bn in assets currently under management in Germany, Austria and Switzerland (of which EUR700m in Germany) in three to five years.Jupiter had previously targeted only institutional clients in these countries, but it is now planning to take on the retail market. Brodnik says his team is in talks with the cooperative banks, savings banks, wealth managers, advisers, fund platforms and funds of funds, but there are no plans to target end clients directly.By the end of the year, the sales team in Munich and Frankfurt will increase from 4 to 6 people.
Eric Pictet, directeur général de la succursale parisienne de Muzinich & Co met en lumière les avantages d'un investissement dans les obligations high yield dans le contexte actuel.
«En vingt ans, je n’ai jamais reçu autant d’appels d’investisseurs institutionnels français à la recherche d’informations pour investir dans le private equity!» confie Antoine Dréan, président de la société de conseil en levée de fonds Triago. Un phénomène qui pourrait marquer un retournement de tendance sur ce marché, qui a depuis longtemps été délaissé par les acteurs français. Selon l’Af2i, les investisseurs institutionnels détiennent actuellement en moyenne seulement 1 % de leurs encours dans le private equity, soit deux fois moins que la moyenne des assureurs et cinq fois moins que celle des caisses de retraite en Europe. Cette spécificité française, qui existe depuis plusieurs années, reflète néanmoins d’importantes disparités sur le marché. «Nos clients investisseurs français détiennent entre 4 à 5 % de leurs encours dans le non-coté, voire 10 % pour certains», témoigne Olivier Cassin, managing director au sein de bfinance. Mais, malgré quelques exceptions, les investisseurs français restent globalement en retard sur ce segment. «En France, seuls quelques grands institutionnels sont fidèles depuis une vingtaine d’années au capital-investissement, indique Louis Godron, président de l’Afic. Les autres se montrent encore très réticents à investir dans cette classe d’actifs, même s’ils reconnaissent son utilité compte tenu de l’environnement de taux bas.» Pour lire la suite de l’article sur le site Option Finance, cliquer ici
Fédéris Gestion d’Actifs, the asset management affiliate of French group Malakoff-Médéric, recently opened its doors to external clients. In an interview with Newsmanagers, Anne Courrier, CEO at the asset management firm, explains the reasons for this choice, and lays out the firm's SRI philosophy, the “common thread for development in asset management.”
Sauf avis contraire du conseil d’administration, Alain Montarant, vice-président du conseil d’administration depuis 2011, devrait succéder à Gérard Andreck à la présidence de Macif en juin 2014. Une succession minutieusement préparée en coulisses. Et pour cause : la candidature d’Alain Montarant a été soumise au comité de sélection il y a maintenant deux ans et demi. Une période au cours de laquelle ce dernier a pu se préparer à l’exercice de ses futurs responsabilités. «Au regard des rapports d'évaluation, Alain Montarant est apparu comme un candidat à fort potentiel», affirme Gérard Andreck. Elu mutualiste depuis 16 ans Sociétaire Macif depuis 1984, cet ex-professionnel de l’immobilier a cumulé plusieurs responsabilités au sein du groupe mutualiste : délégué régional en 1997, administrateur depuis 2003, président du comité d’audit (2005-2011), du comité des risques (2011-2013), président du conseil de surveillance de Mutavie, la filiale vie, depuis 2012 et de Macifin’, la structure de développement de l’offre bancaire de Macif, depuis 2013. Changement dans la continuité Le mandat d’Alain Montarant devrait s’inscrire dans la continuité de son prédecesseur. «La fonction nécessite une triple expertise : maîtrise technique des grands équilibres financiers, maîtrise de l’animation des différentes composantes de Macif et la représentation extérieure. Je suis convaincu de la capacité d’Alain à assumer ces responsabilités. Il poursuivra le développement du groupe dans le respect des valeurs mutualistes et solidaires qui nous sont propres», rappelle l’actuel président de Macif. Un certain nombre de chantiers attendront d’ailleurs le futur président : poursuite de la mise en ??uvre du plan à trois ans axé sur l’efficacité de l’entreprise sans compromettre le modèle social, évolution de l’organisation des onze régions dans le but d’harmoniser leur processus. Sans oublier la poursuite des partenariats au sein de Sferen, la société de groupe d’assurance mutuelle (Sgam) commune avec Maif et Matmut. Dernière étape : le feu vert du consil d’administration Adoubé par le comité de sélection, Alain Montarant doit encore obtenir l’aval du conseil d’administration, qui se réunira lors de l’assemblée générale des 20 et 21 juin 2014 pour valider officiellement son ticket pour la présidence (mandat d’un an renouvelable). Mais, en l’absence de candidatures concurrentes déclarées, la décision du conseil d’administration laisse peu de place au suspense. «Il n’est pas dans la culture de Macif d’entretenir le mystère sur ses successions», souligne Gérard Andreck.
Si les appels d’offres baissent en volume, ils portent sur des classes d’actifs plus diversifiées. A côté des obligations en euros qui dominent toujours, les actifs risqués gagnent ainsi du terrain. En 2014, le nombre d’appels d’offres pourrait grimper car les petits institutionnels s’interrogent sur l’opportunité d’externaliser leur gestion afin de répondre aux contraintes de Solvabilité 2. L’année 2013 ne devrait pas être un bon cru en matière d’appels d’offres institutionnels en France. «A fin septembre, 50 appels d’offres avaient été émis sur le marché par des institutionnels pour un montant total d’environ 6,5 milliards d’euros, avance Frédéric Pétiniot, directeur général d’Amadeis. Si on projette la tendance d’ici à la fin de l’année, le volume total devrait s'élever à environ 8 milliards d’euros pour un nombre d’appel d’offres compris entre 65 et 70.» Ce niveau se situe en dessous de la moyenne historique du marché français. «En moyenne, les appels d’offres initiés par des institutionnels français ressortent chaque année aux alentours de 15 milliards d’euros, poursuit Frédéric Pétiniot, sauf lorsque certains appels d’offres émis par de grands institutionnels publics, comme le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) ou encore l’ERAFP (établissement retraite additionnelle de la fonction publique), viennent gonfler ces chiffres. 2013 se situera dans la moyenne basse du marché français.» Un constat assez général chez les consultants, pour Mercer comme pour bfinance : 2013 sera en repli par rapport à 2012, une année qui avait déjà vu les appels d’offres des institutionnels se hisser péniblement à 11 milliards d’euros. Un recul qui s’explique notamment par la taille des appels d’offres. «Il y a eu peu d’appels d’offres de taille importante cette année, la plupart se situent entre 50 et 200 millions d’euros», précise Marco Fusco, président-directeur général de State Street Global Advisors (SSgA) France. Pour lire la suite de l’article sur le site d’Option Finance, cliquer ici
L’AMF publie son rapport annuel sur la gestion d’actifs pour le compte de tiers en France en 2012. Ce rapport est l’occasion de faire le point sur les acteurs de l’industrie de la gestion d’actifs, leur actionnariat, leur taille, leur activité ou encore leur rentabilité. L’AMF publie, par ailleurs, les résultats d’une étude spécifique menée sur les OPCI qui fait le bilan des encours gérés, de l’endettement, des frais et de la nature des actifs immobiliers sous-jacents. Les chiffres clés de la gestion d’actifs : 604 : c’est le nombre historique de sociétés de gestion de portefeuille comptabilisées au 31 décembre 2012. 2 599 : c’est le nombre de milliards d’euros d’actifs nets gérés, soit une hausse de 3,8% par rapport à 2011. Moins 7% : c’est l'évolution du résultat d’exploitation global au cours de l’année 2012. 18% : c’est le niveau de marge d’exploitation atteint en 2012. Les principaux constats de l'étude de l’AMF sur les OPCI sont les suivants : Un attrait des sociétés de gestion pour les OPCI confirmé ; Une augmentation de 23% des encours bruts gérés par rapport à 2011 ; Une baisse de l’endettement en valeur relative : 34% des encours bruts, contre 41% fin 2011 ; Pas de changement majeur dans les caractéristiques des OPCI. Rapport de l’AMF sur la gestion d’actifs pour le compte de tiers en 2012
Le gouvernement ukrainien a décidé de suspendre les négociations avec l’Union européenne sur un accord d’association et de libre-échange et annoncé la relance d’un «dialogue actif» avec la Russie et les autres pays membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI). Cette décision intervient quelques heures après le refus du parlement ukrainien de transférer à l'étranger l’opposante Ioulia Timochenko, condamnée à sept ans de prison pour abus de pouvoir en 2011. Un transfert jugé nécessaire par l’UE pour la signature d’un accord dont la signature est prévue le 28 novembre lors d’un sommet Ukraine-UE en Lituanie. «Nous saluons le désir d’améliorer et de développer le commerce et la coopération», a déclaré Dimitri Peskov, porte-parole du président russe Vladimir Poutine, en ajoutant que la Russie respectera la décision que prendra l’Ukraine à propos de l’UE, quelle que soit celle-ci.
Le gouvernement ukrainien a suspendu les négociations avec l’UE sur un accord d’association et de libre-échange et annoncé la relance d’un «dialogue actif» avec la Russie et les autres pays membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI). Cette décision intervient quelques heures après le refus du parlement ukrainien de transférer à l'étranger l’opposante Ioulia Timochenko. Un transfert jugé nécessaire par l’UE pour la signature d’un accord dont la signature est prévue le 28 novembre lors d’un sommet Ukraine-UE en Lituanie.
In an interview with Bluerating, Didier Saint-George, a member of the investment committee at Carmignac Gestion, has announced that following the opening of a new office in Zurich, “we have no plans to extend ourselves into other countries, but we are continuing to consolidate our activities in Europe.” He nuances this: “We are, however, looking with interest at opportunities in South America and East Asia,” meaning Japan. “So far, this is merely a matter of studying which of our products may be of interest in these countries,” Saint-George concludes.
Entrepreneur Partners a obtenu l’homologation de l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) en tant que gestionnaire de fortune, rapporte L’Agefi suisse. La décision intervient rétroactivement au 1er juillet, conformément à la Loi sur les placements collectifs (LPCC), a indiqué le 20 novembre la société zurichoise spécialisée dans le conseil aux entrepreneurs. Entrepreneur Partners entend ainsi renforcer sa position sur le marché suisse et jouer un rôle actif dans la consolidation qui s’opère parmi les gestionnaires de fortune.
Louis Tremblay, gérant financier senior et Benoît D. Lapointe, Directeur Général Adjoint d’Optimum Vie, ont indiqué à la rédaction d’Instit Invest qu’ils recherchaient un gérant financier dans le cadre du développement d’Optimum Gestion Financière et d’Optimum Vie en France. Optimum Gestion Financière, filiale du Groupe Optimum, est mandatée pour gérer les 100 millions de fonds en euros d’Optimum Vie, sa société s??ur, et les 50 millions des OPCVM sous-jacents aux unités de compte des contrats d’Optimum Vie. Plusieurs projets de développement sont en outre en cours, afin de faire croître les deux filiales françaises du Groupe Optimum. « 2014 sera certainement une année plus difficile au niveau obligataire, notamment avec les probables programmes d’assouplissement quantitatifs que la BCE pourrait implanter prochainement. Dans le contexte d’une faiblesse durable du niveau des taux d’intérêt, la gestion obligataire sera plus que jamais un défi important dans les années à venir, et c’est dans cette optique que nous recherchons quelqu’un pour nous épauler dans le suivi des marchés ».