Benoît Briatte, président de la Mutuelle Générale de la Police, a réuni le conseil d’administration dans le but de statuer sur les suites à donner au projet de rapprochement de la MGP avec les deux acteurs mutualistes indépendants que sont le groupe Intériale et la mutuelle Unéo. À l’issue des travaux qui ont été menés avec les deux interlocuteurs, la Mutuelle Générale de la Police a décidé d’interrompre son projet de rapprochement avec Intériale mutuelle et de poursuivre ses discussions avec la mutuelle Unéo. Un projet de rapprochement fondé sur des valeurs et des ambitions communes Au début de l’année 2013, la Mutuelle Générale de la Police, le groupe Intériale et la mutuelle Unéo avaient lancé une étude d’opportunité de rapprochement dans le cadre d’une union mutualiste de groupe (UMG). Les trois acteurs partagent en effet la même analyse de leur environnement économique, certains objectifs stratégiques comme le développement de leur offre produit et l'élargissement de leur base d’adhérents ainsi qu’une proximité affinitaire auprès des fonctionnaires qui assurent la sécurité. Le résultat des travaux en désaccord avec les valeurs de la MGP En amont des travaux de rapprochement, une lettre d’intention a été signée entre les trois acteurs puis, entre la MGP et Intériale mutuelle, une déclaration d’intention a été rédigée afin de définir les fondements sur lesquels devait se bâtir le rapprochement de ces deux concurrents sur le marché du ministère de l’Intérieur. Or, à l’issue des travaux entre la MGP et Intériale mutuelle, le conseil d’administration de la MGP a constaté que les conditions qui ont prévalu à la rédaction de cette déclaration d’intention n'étaient plus réunies. En conséquence, le conseil d’administration de la MGP a dénoncé, ce lundi 4 novembre 2013, la déclaration d’intention du projet de rapprochement MGP - Intériale qu’il avait votée le 29 mai 2013.
Dans une interview accordée à la Stampa, le président du Conseil italien juge que son gouvernement tiendra jusqu’en 2015 malgré les fortes tensions entre gauche et droite au sein de la coalition au pouvoir, alors que le vote du Sénat pour déchoir Silvio Berlusconi de son mandat est attendu en novembre.
Si en tête des ventes ces dernières semaines, nous trouvons « Astérix chez les Pictes », « L'identité malheureuse » d'Alain Finklekraut, « Cinq jours » de Kennedy Douglas, ou le dernier album du Chat de Philippe Geluck, sans oublier les « Cinquante nuances de Grey » qui continue de séduire grand nombre de lecteurs et de lectrices, les investisseurs institutionnels ont des goûts tout aussi éclectiques.
Directeur financier de Groupama Centre-Manche, Patrice Gennin, 56 ans, est promu en qualité de directeur général adjoint de la caisse régionale. Il succède à Franck Offredi, nommé directeur assurances de Groupama SA en remplacement de François Bucchini, qui va quitter le groupe. Titulaire d’une maîtrise d’administration économique et sociale, d’une maîtrise de science politique et de la formation supérieure des managers Groupama, Patrice Gennin a exercé durant cinq ans à la Maaf avant de rejoindre Groupama. Il a ainsi intégré, en 1987, la caisse régionale Groupama du Maine en tant que responsable sinistres corporels avant d'être nommé en 1990 au poste de responsable service juridique. En 1993, il devient responsable études et maitrise des coûts, avant d’exercer, à partir de 1997, la fonction de sous-directeur finances et institutionnel. Depuis 2003, il exerçait en tant que directeur financier de Groupama Centre-Manche (née de la fusion des caisses régionales d’Eure-et-Loire, du Maine et de la Normandie).
Towers Watson a établi un nouveau classement de risques extrêmes où les trois premières places sont dans l’ordre : une crise dans le domaine de l’alimentation / eau / énergie, un risque de stagnation économique, un changement de température au niveau mondial Alors que la crise liée à l’alimentaire / eau / énergie (c’est-à-dire la rareté des ressources) a gagné dix places pour prendre la tête du classement, d’autres risques extrêmes ont également progressé cette année, comme l’effondrement du commerce mondial (+4 places) et le changement de la température mondiale (+3 places). De l’avis de Towers Watson, les risques extrêmes - d’une moindre menace qu’en 2011 - incluent le défaut de paiement d’un pays souverain (en chute de 5 places) conduisant à une crise sur le marché de l’assurance, mais aussi une crise bancaire et une crise sur le marché des devises, qui ont perdu, respectivement, deux et trois places. Le classement de Towers Watson, intitulé « les risques extrêmes de 2013 » [1], catégorise des événements très rares qui auraient un fort impact sur la croissance économique mondiale et le rendement des actifs, s’ils devaient se produire. Pour la première fois, les 15 principaux risques extrêmes comprennent : la stagnation économique, les effets pervers des progrès de la santé, la contamination nucléaire, la longévité extrême et le terrorisme, tandis que ceux qui ont quitté cette année le top 15 du classement sont : l'éclatement de l’euro, l’hyperinflation, une crise politique, une guerre majeure, la fin de la monnaie fiduciaire et une pandémie meurtrière. Tim Hodgson, responsable du groupe Thinking Ahead chez Towers Watson, a déclaré : « Il y a eu des modifications importantes dans les 15 premières places du classement cette année. Ceci est largement dû à l’extension de notre domaine de recherche sur les risques non-financiers extrêmes, de sorte que nous avons maintenant une liste complète de 30 risques extrêmes. Malgré tout, il est intéressant de noter que les risques de pandémie meurtrière et de guerre majeure ont disparu des 15 premières places, respectivement en 17ème et 18ème position. Les nouveaux venus dans les 15 premières rangs incluent les risques de terrorisme et de longévité extrême qui gagnent des places dans notre classement soit parce qu’ils ont plus de chance de se produire d’après notre évaluation (davantage une attaque terroriste majeure qu’une troisième guerre mondiale) ou parce qu’il y a moins d’incertitudes liées à leur impact (extrême longévité contre pandémie meurtrière). Cela illustre le défi auquel sont confrontés les investisseurs institutionnels et comment ils devraient s’adapter à l'évolution des évaluations des risques extrêmes. Nous suggérons de consacrer du temps à une étude pre mortem, réalisée à l’avance afin de déterminer à ce qui pourrait tuer de façon permanente la mission de l’investisseur ». Une telle étude pré mortem devrait pouvoir identifier les risques extrêmes dont il faudrait tenir compte. Towers Watson affirme dans ce cas que la bonne chose à faire est d’avoir recours à une assurance (si elle disponible et abordable), étant donné que l’investisseur ne peut se permettre de s’auto-assurer. Lire la suite : cliquez ici
Les arbitrages gouvernementaux (mais le mot acharnement conviendrait peut-être mieux) sur les désignations suscitent beaucoup d'animosité dans un champ que certains avaient hâtivement cru sanctuarisé en juin par le Conseil Constitutionnel. Plus que jamais, cet acharnement souligne tout l'enjeu, pour le paysage de la protection sociale française, du paritarisme de gestion. Tout l'enjeu, mais aussi tout le prix que l'économie française lui paie aujourd'hui.
Avec l’aide du consultant Aon Hewitt, B2V a lancé un appel d’offres sur les actions ISR pour un montant de 40 millions d’euros. « Huit sociétés de gestion ont déposé un dossier de candidature. Nous sommes en train de les étudier en vue de désigner les deux ou trois asset managers que nous souhaiterions interviewer afin de sélectionner in fine notre gérant », précise Henri Jacks, Président de Prevaal Finance, société de gestion du groupe B2V. L’institution reste ouverte à des sociétés de gestion ayant des profils différents (petites ou grandes). « Elles ont comme points communs d'être principalement actives dans l’ISR et de travailler déjà avec des institutions similaires à la nôtre », poursuit-il. Dans le cadre de cet appel d’offres, B2V a voulu introduire des sociétés de gestion anglo-saxones. « Cependant, la majorité ont décliné estimant notamment les conditions de rémunération peu attractives », ajoute Henri Jacks. L’institution devrait ainsi pouvoir intégrer son fonds ISR dédié le 1er janvier 2014. « Nous avions déjà le souci d'évaluer la dimension ISR de nos investissements actions en demandant, chaque année, à nos deux gérants actions dédiés d’effectuer un filtrage ISR de nos fonds, souligne Henri Jacks. Néanmoins, nous allons réellement expérimenter pour la première fois la gestion ISR dans notre portefeuille grâce à ce nouveau fonds dédié actions ». B2V n’a pas encore décidé quelle politique d’investissement ISR elle souhaite mettre en ??uvre. Elle a prévu d’effectuer son choix en fonction des réponses reçues dans le cadre de l’appel d’offres.
« Nous n’avons pas l’intention de lancer de nouveaux produits en 2014. Nous concentrons nos efforts sur une gamme restreinte et cohérente de 17 fonds qui répondent aux exigences des investisseurs. Nous sommes convaincus que c’est la clé de notre succès », indique un porte-parole de Carmignac Gestion dans une interview à Bluerating. Carmignac Gestion indique également prévoir de s’agrandir en Suisse avec l’ouverture d’un nouveau bureau à Zurich.
Antoine Catinchi, ex Directeur général de la MGEFI L’UMG Istya, premier assureur santé en nombre d’affaires directes, annonce l’arrivée de Antoine Catinchi, ancien directeur général de la MGEFI, au poste de directeur général adjoint. Istya poursuit son organisation. L’Union mutualiste de groupe, qui accueille autour du groupe MGEN, la Mutuelle générale de l'économie, des finances et de l’industrie (MGEFI), la Mutuelle nationale territoriale (MNT), la Mutuelle générale environnement et territoires (MGET), la Mutuelle civile de la défense (MCDef) et la Mutuelle des affaires étrangères et européennes (MAEE) se dote d’un nouveau directeur général adjoint en la personne de Antoine Catinchi. Ancien directeur général de la MGEFI, Antoine Catinchi travaillera aux côtés de Jean-Louis Davet et de Serge Giacometti, directeur général adjoint en charge des questions de développement, selon un communiqué du groupe Istya. Selon le même communiqué, Antoine Catinchi «aura pour mission de structurer les activités opérationnelles du groupe» et sera en charge «de la réorganisation des filières de gestion des régimes obligatoires et complémentaires dans la perspective de la constitution d’une union rassemblant toutes les mutuelles de fonctionnaires délégataires de la gestion du régime obligatoire». L’UMG Istya regroupe des mutuelles liées à la fonction publique, et gère une partie des régimes obligatoires en santé des agents qu’elles couvrent parfois dans un régime complémentaire. Istya annonce couvrir 5,1 millions de personnes, pour un chiffre d’affaires de près de 2,9Mds d’euros. Le résultat net a été en 2012 de 36,3M d’euros. Antoine Catinchi est diplômé de l’Ena et Inspecteur général des affaires sociales. Il a été directeur général de la Mutuelle du ministère de l’intérieur (MMI) avant de prendre la tête de la MGEFI lors de la création de celle-ci en 2007.
La maison de luxe Hermès a fait son entrée au capital d’Ardian. A la suite de la levée de fonds initiée par Ardian début octobre, l’ex Axa Private Equity accueille Hermès à son capital pour un montant indéterminé. Il s’agit d’un placement de notre trésorerie dans une entité qui gère les fonds de grands opérateurs internationaux, a simplement commenté une porte-parole d’Hermès. Contacté par l’AFP, Ardian n’a lui pas souhaité réagir à ces informations. Ardian revendique 36Mds d’euros d’actifs «gérés ou conseillés«. Son portefeuille comprend notamment le spécialiste de l’ingénierie industrielle Fives Group. La société d’investissement avait lancé le 3 octobre une levée de fonds de 2,8Mds d’euros pour alimenter son fonds LBO Fund V dédié à l’investissement dans les sociétés européennes de moyenne catégorie. Le 30 septembre, Axa Private Equity avait annoncé sa sortie effective du giron de l’assureur français Axa et son changement de nom pour Ardian. Comme prévu lors de la divulgation de l’accord de cession au printemps, les équipes d’Ardian forment actuellement le premier actionnaire du groupe Ardian, avec 46,4% du capital. Axa, de son côté, a conservé 22,6% de son ancienne filiale, une part légèrement inférieure à celle de 26,86% initialement envisagée. Le solde, soit 31%, devait être détenu par des institutions européennes et des family offices (structures de gestion de fortune familiale) français, avait annoncé Ardian fin septembre sans plus de précision.
Si certains voient converger largement la gestion alternative et la gestion benchmarkée, d'autres perçoivent différemment ces évolutions. Jean-Christophe Wibault, chargé du suivi des investissements chez Aviva France, observe une amorce de convergence d'une partie de la gestion « long only » vers une gestion moins indicielle au sens classique, et donc plus alternative au sens large. Néanmoins l'écart entre les deux mondes reste important.
In an interview with Bluerating, Donato Savatteri, head of Lombard Odier Investment Managers for Italy, has announced that his firm is in the process of finalizing four agreements with financial adviser and private banking networks, Bluerating reports.
In an interview with Financial Times fund management, Roderick Munsters, CEO of the Robeco Group, discusses his group’s acquisition by the Japanese firm Orix. He says “it is clear that we are planning to be big in Japan.” In 2012, assets under management at Robeco increased by 26%, to EUR189bn, while net profits rose from EUR134m to EUR197m. Staff was reduced at the same time from 2,100 to 1,400 people.
La décision surprise de la Fed de ne pas engager la réduction des achats d’actifs comme attendu par le marché et les indications de la Banque centrale européenne sur les taux d’intérêt alors que l'économie européenne semble entrée en phase de reprise ont créé de la confusion dans l’esprit des investisseurs. Comme le montre les données de Morningstar sur les flux de fonds, les investisseurs européens ont géré cet épisode de manière pragmatique, réduisant leur exposition à la dette et aux actions émergentes ainsi qu’aux obligations américaines sensibles à la hausse des taux tout en augmentant leur exposition aux fonds investis en actions européennes. L’un dans l’autre, la collecte sur le mois de septembre atteint un modeste 3,71 milliards d’euros. Les fonds obligataires ont subi une décollecte de 8,66 milliards d’euros, laquelle a surpassé les 8,30 milliards d’euros de collecte des fonds actions. Les fonds d’allocation ont vu leur collecte nette ralentir de manière notable, tout comme les fonds de gestion alternative. L’incertitude macro-économique du troisième trimestre a poussé la collecte vers les fonds investis sur le long terme à 30,97 milliards d’euros, très en-deçà des 126,1 milliards du premier trimestre ou des 61,4 milliards d’euros collectés entre mars et juin. Lire la suite : cliquez ici
La Caisse des dépôts et consignations (CDC) prépare une émission obligataire de 1 milliard de dollars à 3 ans. La mise à prix devrait intervenir mardi 29 octobre, les premières indications de prix faisant état d’une marge dans le haut de la fourchette de 20-30 pb au-dessus des swaps. BNP Paribas, Citigroup, Deutsche Bank et HSBC sont en charge de la transaction.
As head of Comgest for nearly 20 years, Vincent Strauss looks back at the changes at a structure which at first had only a few tens of millions of euros of assets under management, and whose assets under management now total nearly EUR16bn. The asset management firm, whose management philosophy has not varied one iota, has nonetheless had to adapt its structures to its size and add to its product range. Last but not least, Strauss also discusses his appreciation for emerging markets and China.
Massimo Greco, director of fund distribution at JPMorgan Asset Management for Europe, claims in an interview with the Frankfurter Allgemeine Zeitung that a new wave of concentration is inevitable in the sector, since the growing number of new regulations is weighing down all asset management firms with costs, but smaller ones can’t bear the burden. This is especially true for major investment themes, where a small number of major funds dominate the market, whereas more targeted themes still offer niches for smaller asset managers.The asset management sector has returned to its pre-crisis levels of 2007, but growth beyond that has been limited to passive investment strategies and index-based funds, which represents a major change for the industry.
In an interview with finews, Francesco Tarabini, director of fixed income management at Vontobel, has announced that after the recruitment earlier this year of Luc d’Hooge, Wouter von Overfelt, Philipp Kallerhoff and Jens Finke, bringing the number of portfolio managers recruited in two and a half years to nine, the team now has 16 members. The staff is expected to grow to 20 people, particularly with the arrival of new managers for emerging market debt.The five-year objective is to double assets in the fixed income space to CHF20bn.
In an interview with the Financial Times, Patrick Odier, chairman of the Swiss banking association and senior partner at Lombard Odier, discusses a tax agreement between Switzerland and the United States. Although he admits that on paper, the price for Swiss banks is “at the limit of acceptability economically speaking,” he says this is a price which it is worth paying to settle uncertainty which had been weighing down the sector since the US authorities began their crusade on tax evasion in 2008.
Dans un interview à finews, Francesco Tarabini, directeur de la gestion obligataire chez Vontobel, annonce qu’après avoir recruté depuis le début de cette année Luc D’hooge, Wouter von Overfelt, Philipp Kallerhoff et Jens Finke, ce qui porte à neuf le nombre de gérants de portefeuille embauchés en deux ans et demi, l’équipe se compose à présent de 16 personnes. Cet effectif doit monter à 20 personnes, notamment avec l’arrivée de nouveaux gérants pour la dette émergente.L’objectif à cinq ans est de doubler l’encours du pôle obligataire à 20 milliards de francs suisses.
L'Office national des forêts (ONF) gère un quart de la superficie des forêts en France (forêts domaniales et communales). L'office vit de ses recettes qui proviennent pour un tiers de la vente de bois (avec une part de marché de 40% en France), pour un quart du travail en forêts (activité soumise à appel d'offres) et pour le reste, de la « garderie » des forêts des communes mais aussi, dans une moindre mesure, de la vente des produits de la chasse et de la pêche.
Ingénieur des eaux et forêts, Patrick Soulé a choisi, en 1986, de faire un MBA à HEC pour pouvoir travailler à l'optimisation des aspects commerciaux dans la fonction publique. En 1987, il débute sa carrière au ministère de l'Agriculture, à la direction générale de l'alimentation, en charge des entreprises appartenant aux secteurs des vins et spiritueux et du tabac.
L’administration fiscale a reçu plus de 3000 demandes de régularisation depuis la publication le 21 juin de la circulaire Cazeneuve encadrant la procédure, a-t-on appris jeudi auprès de Bercy. La révélation de ce nouveau chiffre, quatre mois après la publication de la circulaire, intervient le jour où la capacité de Bercy à faire face à un afflux de demandes a été mise en doute, à l’occasion de la remise d’un rapport sénatorial sur l'évasion fiscale, rapporte l’AFP."Notre organisation actuelle permet de traiter ces dossiers, il n’y a aucun problème d’engorgement», a assuré Bercy à l’AFP, en précisant qu’"en cas d’afflux, nous adapterons notre organisation et quoiqu’il arrive, les dossiers seront traités».
Pioneer Investments Taiwan peut depuis le 15 octobre vendre ses fonds directement auprès des distributeurs de Taiwan, rapporte Asian Investor. Auparavant, c’est ING Securities Investment & Trust qui assurait la distribution des fonds de Pioneer.
Edmond de Rothschild Asset Manageent is seeking to boost its assets, which currently stand at EUR55bn, by 36% in the next three years, and is seeking an Asian partner to allow it to achieve this objective, Asian Investor reports, based on an interview with the global head of asset management at the group, Laurent Tignard. The French firm would like its partner to help it enlarge its regional distribution platform and its capacities in terms of asset management. EdRAM is seeking partners in Korea and Singapore.EdRAM is also planning to launch a Luxembourg fund investing in equities and corporate bonds.
Alain Zeitouni, directeur de la gestion multi-actifs chez Russell Investments, nous explique pourquoi certains investisseurs institutionnels français font le choix de recourir à son expertise pour déléguer la gestion d'une partie de leur portefeuille.
Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en ??uvre ; des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps. Pour télécharger le baromètre d’octobre : cliquez ici