Environ 20 fonds monétaires ont été renfloués par leur maison mère pour les empêcher d’accuser des pertes depuis la crise financière de 2006-2009, selon Moody’s, cité par le Financial Times fund management. La révélation selon laquelle 16 fonds monétaires américains ont reçu des injections de capitaux en 2010 et trois autres (dont un non américain) en 2011 intervient alors que le débat sur la réglementation du secteur aux Etats-Unis s’intensifie.
Selon nos informations, Yoann Dupin a rejoint Generali depuis octobre pour occuper le poste d’analyste financier. Il a démarré sa carrière professionnelle chez Swan Capital en 2007. La société a fusionné avec Amilton AM fin décembre 2012. Yoann était gérant, en charge du suivi des positions existantes en obligations et fonds externes pour la gestion sous mandat (création de fiches de synthèse), de la création de portefeuilles types obligataire en direct et en fonds.
Présentation de Pascal Frei, CFA Associé chez PCC Metrics à l’occasion du Club de prospective de l’Af2i Conclusion : Le besoin de rendement des IPs helvétiques se monte entre 3.5% et 4.00% p.a. Un tel rendement est-il réaliste dans le futur? Le potentiel de rendement des obligations est limité. Afin d’atteindre le besoin de rendement, les actions doivent réaliser une performance annuelle moyenne très élevée. De plus, il convient de rappeler que le marché suisse des actions a historiquement été un des plus performants ! Solutions, probablement une combinaison des éléments suivants : Stratégie d’investissement ( p.ex. accroissement du potentiel de rendement = plus d’actions), Réduction des prestations (taux de conversion, taux d’intérêt crédité), Amélioration du financement : accroissement des contributions, Optimisation des coûts. Une analyse détaillée de la situation particulière de chaque institution est nécessaire !
Selon les informations du Handelsblatt, la Deutsche Bank a élargi le cercle de son enquête interne sur l’affaire de la manipulation du Libor. Elle concerne désormais une cinquantaine de collaborateurs de la grande banque allemande. Les interviews ont commencé la semaine dernière et vont se poursuivre dans les jours et semaines à venir. Les collaborateurs concernés peuvent se faire assister de témoins ou d’un avocat, rapportent les proches du dossier.
Partant du principe qu' « il vaut mieux être la tête d'un rat que la queue d'un lion », Christian Oyarbide a cherché, durant sa carrière, à occuper des postes stratégiques au sein de structures relativement modestes. Mais son parcours a été jalonné par différentes expériences. Diplômé de HEC en 1977, il débute dans la maîtrise d'ouvrage informatique en rejoignant successivement quatre sociétés dont la Banque française du commerce extérieur ou encore la filiale informatique de la Caisse des dépôts.
L’AF2i va s’installer début novembre dans de nouveaux locaux situés 36 rue de l’Arcade, dans le 8ème arrondissement à Paris, après 10 années passées 8 rue du Mail, dans le 2ème arrondissement de la capitale. Le nouveau siège fait une surface d’une centaine de mètres carrés et comporte une grande salle de réunion, ainsi que 4 bureaux. Jean Eyraud, Président de l’institution, a déclaré que cette nouvelle adresse va clairement permettre d’accroître les services et facilités offertes par l’AF2i, avec par exemple une plus grande facilité de réunions (rencontres institutionnelles, groupes de travail) et autorisera la création d’une bibliothèque spécialisée.
Les nouveaux ratios prudentiels changent la donne en termes d'investissement immobilier. Si les banques sont de moins en moins enclines à porter des prêts sur leur bilan, d'autres acteurs en profitent pour intégrer la dette à leurs actifs : les compagnies d'assurance. Le code des assurances a même été modifié, en juillet dernier, pour permettre à ces dernières d'investir dans des sociétés industrielles non cotées, sans passer par un organisme de titrisation, sous certaines conditions.
Jean-Marie Levaux, candidat à la vice-présidence de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), a obtenu un avis favorable à sa nomination, à la suite de son audition par la commission des Finances du Sénat (le 23 octobre 2013). Cette seconde audition fait suite à celle intervenue le 16 octobre 2013 devant la commission idoine de l’Assemblée nationale. On précisera que ces auditions ont un caractère facultatif, comme le précise l’article L. 612-5 du code monétaire et financier : «Les avis des commissions sont réputés favorables à l’expiration d’un délai de trente jours suivant la réception de la demande d’avis.» Plus rien ne s’oppose donc à l’arrêté conjoint des ministres chargés de l’Economie, de la Sécurité sociale et de la Mutualité portant la nomination de Jean-Marie Levaux. Un poste de premier secrétaire général adjoint dans la foulée La nomination du vice-président de l’ACPR permettra de débloquer celle de son premier secrétaire général adjoint, vacant depuis le départ de Cyril Roux. En effet, selon l’article L. 612-15 du code monétaire et financier : «Un premier secrétaire général adjoint, placé sous son autorité, est nommé par le président de l’Autorité, après avis conforme du vice-président et agrément par les ministres chargés de l’Economie, de la Sécurité sociale et de la Mutualité. Le premier secrétaire général adjoint possède une expérience en matière d’assurance ou bancaire complémentaire de celle du secrétaire général.» Sandrine Lemery, actuelle secrétaire générale adjointe de l’ACPR, est pressentie pour remplir cette fonction.
Le Fonds de dotation du Louvre a investi environ 8 millions d’euros dans le fonds State Street Global Advisors Europe Managed Volatility Equity. Par ailleurs, il est à nouveau en train de revoir son allocation cible, après avoir changé sa stratégie au début de l’année. Le gérant a été sélectionné en juin et gère un investissement fonds actions européennes faible volatilité avec un processus basé sur de la gestion quantitative au format UCITS représentant 5,7% du portefeuille de l’organisme, au 1er octobre. « L’objectif est de réduire la volatilité », a déclaré Thierry Brevet, Directeur général du fonds de dotation, au sujet de cet investissement. Le fonds de dotation a également fait évoluer son benchmark, notamment en ce qui concerne sa poche actions. « Actuellement nous en possédons 48% », poursuit-il. La poche ne représentait que 40% précédemment, elle a été progressivement augmentée depuis le début de l’année 2013. « Il s’agit d’améliorer les performances à long terme, les obligations sont moins attrayantes maintenant que les actions et l’inflation menace, explique Thierry Brevet. Les actions ont de meilleures perspectives. Toutefois, en ce qui concerne les valorisations des actions, nous pensons que les résultats des entreprises ont encore besoin de s’améliorer ». « Nous sommes à nouveau en train de revoir la stratégie, et éventuellement augmenter encore la partie actions ainsi que réorganiser le portefeuille obligataire. Nous possédons 15% de liquidité pour le moment », précise le Directeur général. « Nous pourrions décider de réduire davantage les obligations zone euro. Une décision sera prise à la fin de l’année, le conseil d’administration va se réunir en décembre », a-t-il ajouté. Lire l’interview de Thierry Brevet Nous pourrions nous poser la question d’investir en private equity
In an interview with Investment Europe, Peter Lindgren, general manager of Amundi Nordic, says “we would like to be considered here as a serious long-term player.” His territory includes Sweden, Denmark, Norway, Finland and Iceland. The French asset management firm wants to be present “in all market segments,” meaning institutional (insurance, pension funds, charities, private banks), distribution (distribution agreements, uit-linked accounts, networks of finaical advisers) and corporates. Amundi would also like to sell ETFs and meet demand from sovereign funds.
JP Morgan Asset Management est en train de constituer une plus grande équipe interne d’analystes pour ses fonds marchés émergents, afin de réduire sa dépendance à l’égard de la recherche sellside, rapporte Financial News. Cette décision intervient après que Richard Titherington, le patron des marchés émergents de la société de gestion, a exprimé des inquiétudes concernant la qualité de la recherche venant de l’extérieur.
Des levées en forte augmentation à 3,6 milliards d’euros qui recouvrent une réalité contrastée Concentration des levées sur de fortes contributions : un membre contribue à plus de 50% aux levées du semestre, 4 véhicules réalisent à eux seuls 63% de la collecte et 78% des levées sont supérieures à 100 M€. Sociétés mères prépondérantes pour les levées auprès des institutionnels. Augmentation des levées en provenance de l'étranger pour les acteurs français réalisant des levées de taille importante. Des investissements en hausse de 14% mais ... ... un nombre d’entreprises accompagnées (768) atteignant son niveau le plus faible depuis 2007, et une baisse très significative des montants investis en capital-développement (-30%). Des désinvestissements ... globalement stables en valeur (2,1 Md€) et en nombre d’entreprises (455), et des cessions aux industriels en baisse (-70%) compensées par une hausse des cessions de titres cotés et aux sociétés de capital-investissement.
Coe-Rexecode et l’AFTE publient les résultats de l’enquête d’octobre 2013 sur la trésorerie des grandes entreprises, qui s’est déroulée entre le 3 et le 9 octobre. Rechute des opinions sur les trésoreries d’exploitation en octobre. La tendance sur l'évolution des trésoreries globales reste à la dégradation. La trésorerie globale apparait moins bonne que prévu par les trésoriers. Légère amélioration des délais de paiement des clients. Le solde d’opinion sur les marges bancaires reste légèrement tendu. 31,5 % des trésoriers ont l’intention de mettre en place des lignes de précaution. Les résultats détaillés sont consultables en PJ.
AXA Real Estate a signé un accord de long terme avec Norges Bank Investment Management, dit NBIM pour un programme d’investissement commun dans la dette immobilière. La collaboration porte sur les lignes de crédit d’immobilier commercial (CRE) de grande taille, allant jusqu'à 600 millions d’euros, principalement sur les marchés français, britannique et allemand.
SMI, mutuelle spécialisée dans l’assurance santé collective, rejoint la société de groupe d’assurance mutuelle (Sgam) Covéa, qui coiffe les assureurs MMA, Maaf et GMF, ont indiqué les deux groupes mercredi. Ce rapprochement, validé par l’autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR), permet à Covéa de se renforcer sur le marché de l’assurance santé et prévoyance collective alors que la loi prévoit de généraliser d’ici 2016 les complémentaires santé en entreprise. « Disposant d’une entité courtage et d’un portefeuille conséquent d’entreprises de taille intermédiaire, SMI complète les orientations stratégiques et la croissance volontariste de MMA sur les marchés Professionnels et Entreprises », souligne Thierry Derez, président de Covéa cité dans le communiqué. De son côté, SMI (près de 200 millions de chiffre d’affaires en 2012) entend « s’appuyer sur la taille, la solvabilité et la notoriété de Covéa dans les appels d’offres d’entreprises ou de branche ». « Tout en gardant notre propre identité, nous participerons activement à la mise en ??uvre de synergies opérationnelles pour faire face aux enjeux futurs et complexes de la protection sociale », estime Nicole Poiffait, présidente de SMI. Covéa, qui assure près de 11 millions de Français, a réalisé un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros en 2012. Le groupe réunit les assureurs Maaf, MMA et GMF et l’institut de prévoyance Apgis.
Un investisseur qui veut construire ou contrôler un portefeuille à partir de critères financiers le fera sans problème. Mais cela devient impossible dès qu’il veut prendre en compte des critères extra-financiers. En effet, il n’y a rien de plus facile pour un investisseur de sélectionner un fonds qui corresponde parfaitement à ses objectifs et contraintes financières. Concrètement, si l’investisseur a des critères précis en matière de répartition par secteur, par dividende, par valorisation ou, sur les obligations, par maturité par exemple, la simple consultation du portefeuille du produit en question lui permet de vérifier instantanément que ses propres critères sont bien respectés. De la même façon, en matière de contrôle, une agrégation régulière de ses portefeuilles est aujourd’hui très facile. C’est à cet exercice de transparisation que se livre actuellement les assureurs en vue de la Directive Solvency 2 afin de contrôler leurs expositions réelles et de calculer les impacts possibles sur leur solvabilité. Ce qui semble simple pour les critères purement financiers semble hors d’atteinte en revanche pour les critères extra-financiers. En effet, l’investisseur a beaucoup de mal à trouver une correspondance claire avec ses propres valeurs éthiques uniquement en regardant les portefeuilles en ligne à ligne. Certains investisseurs vont alors se contenter d’un label ISR au niveau du fonds ou de la société de gestion. D’autres vont s’en remettre à des pré-sélections ou à des indices construits par les nombreuses agences de notation extra-financières. Face à cette jungle, certains institutionnels et gérants vont jusqu'à faire eux-mêmes leurs propres analyses extra-financières en interne ! L’industrie de la gestion, aidée par la technologie, va donc devoir répondre à ce nouveau besoin : Permettre à chaque investisseur, particulier comme institutionnel, de pouvoir prendre en compte sa propre définition de l’ISR et de l'éthique. Dans un second temps, à partir des inventaires de portefeuilles, de pouvoir intégrer les métriques réalisées sur chaque valeur. Et donc, au final, de pouvoir construire des portefeuilles qui collent vraiment aux critères ISR de chaque investisseur. Et, en matière de contrôle, de pouvoir calculer une notation extra-financière personnalisée, une sorte de « SolvencISR » !
Selon les données de l’Association française de la gestion financière (AFG), l'épargne salariale représentait près de 95 milliards d’euros d’encours à la fin 2012. Grâce à la reprise des marchés, la masse des actifs avait progressé de 11% sur l’année. Parallèlement, le Plan d'épargne retraite collectif (Perco) poursuivait son ascension en enregistrant une hausse de 34% des encours, à 6,7 milliards d’euros. C’est peu encore par rapport aux encours gérés par les caisses de retraite en charge de la retraire par répartition, mais il y a un intérêt qui demande à être stimulé. Seulement, début juillet, le gouvernement a autorisé un nouveau déblocage anticipé de l'épargne salariale pour relancer la consommation. Cette mesure n’a pas été appréciée par les gestionnaires d’actifs qui ne cessent d’investir dans des offres de plus en plus complètes, au sein desquelles l’architecture ouverte a trouvé sa place. Alors que le gouvernement met la touche finale à son rapport sur le financement de la retraite, Instit Invest a réuni le 23 septembre un panel de quatre experts pour y voir plus clair sur les dernières évolutions de l'épargne retraite entreprise : Laurent Legendre, Président du conseil de surveillance de plan épargne groupe chez EADS et de René Thomas, Manuèle Pennera, Associée-gérante de Karente, Guy Bonnet, Directeur adjoint de CM-CIC épargne salariale, et de René Thomas, Directeur des avantages sociaux chez Carrefour. Les échanges de ce panel sont disponibles sous plusieurs supports : podcast et compte rendu Téléchargez le compte rendu complet de la conférence-débat Ecoutez le podcast de la conférence-débat
Suite au rapprochement de BIO Intelligence Service avec Deloitte en juin dernier, Eric Labouze rejoint le cabinet en tant qu’associé responsable des services en RSE de Deloitte en France, Véronique Monier et Shailendra Mudgal, en tant que directeurs associés des activités RSE. Florence Didier-Noaro rejoint par ailleurs l'équipe en tant qu’associée au sein des activités Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE). Eric Labouze, co-fondateur et directeur général de BIO Intelligence Service, a développé depuis plus de 23 ans les activités de BIO dans le domaine de l'évaluation et du management environnemental et santé. La société, composé de 70 consultants d’une vingtaine de nationalités, intervient en qualité d’expert auprès d’un grand nombre d’acteurs publics et privés. Après le rapprochement entre BIO Intelligence Service et Deloitte en France, Eric Labouze anime aujourd’hui une équipe de plus d’une centaine de collaborateurs entièrement dédiés à la mesure, le reporting et la vérification de la performance durable. Florence Didier-Noaro a débuté sa carrière chez Deloitte en 1989 au sein de l’audit grands comptes industrie et services, puis a intégré la direction de la Qualité et des Risques. Promue associée en 2001, elle a accompagné de grands groupes dans leurs projets de conversion aux normes comptables internationales, d’appel public à l'épargne et conduit avec succès des projets de transformation importants au sein des directions financières de groupes bancaires, industriels et de service. Florence Didier-Noaro rejoint l'équipe RSE de Deloitte France pour développer les activités d’accompagnement des entreprises publiques et privées dans leurs projets de transformation vers la performance durable. Véronique Monier est membre fondateur en 1991 de la société Ecobilan, spécialiste des analyses de cycle de vie, elle a rejoint en 1996 TN Sofres Consulting, le département Conseil du groupe Taylor Nelson Sofres, leader mondial de l’information sur les marchés, où elle était chargée du développement du pôle Environnement. Elle était Directeur général adjoint de BIO Intelligence Service depuis plus de 11 ans. Suite au rapprochement de BIO Intelligence Service et de Deloitte en France, Véronique Monier anime plus particulièrement les activités liées au secteur des déchets et produits en fin de vie. Shailendra Mudgal a commencé sa carrière chez Tata Consulting (Inde), il conseille depuis plus de vingt ans les entreprises et les pouvoirs publics en Inde comme en Europe. Directeur général adjoint de BIO Intelligence Service depuis 2005, Shailendra a participé à sa croissance, notamment à travers l’accompagnement d’entreprises privées et de clients institutionnels tels que la Commission Européenne et le Parlement Européen. Il participe régulièrement pour le compte d’institutions à des publications clés.
Comme annoncé par l’Argus de l’Assurance en juillet dernier, le groupe Macif a confirmé l’entrée «d’ici la fin de l’année» de la Mutuelle nationale des personnels d’Air France (MNPAF) au sein de son pôle Santé - Prévoyance. Le 12 juillet dernier, le groupe mutualiste avait confié dans nos colonnes que l’opération restait conditionnée au feu vert de l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP) et à l’approbation des instances sociales. Sur ce dernier point, Vincent Boo, président de la MNPAF indique : «Nos instances ont décidé de rejoindre le groupe Macif afin de s’inscrire dans une perspective financière plus large et dans une structure qui maîtrise l’intégralité des outils.» La première mutuelle d’entreprise Née en octobre 1990 de la volonté conjointe des organisations syndicales et de la direction d’Air France, la MNPAF couvre les salariés de la compagnie via un contrat collectif obligatoire et les retraités à titre facultatif. Avec un chiffre d’affaires de 105 M€ (assiette 2011 déclarée au fonds CMU), c’est la première mutuelle d’entreprise française. Par cette opération, le groupe Macif, vingtième organisme complémentaire santé français (507,6 M€ de cotisations santé TTC, Top 30 de la santé 2013), se renforcerait donc à nouveau en assurance collective. Outre son partenariat avec AG2R-La Mondiale, le groupe a déjà intégré une importante mutuelle d’entreprise, la Mutuelle IBM.
Philippe Rey, directeur des investissements de l’Union Mutualiste Retraite (UMR) dans un article publié par Option Finance : Depuis 2009, l’UMR a cherché à poursuivre la diversification des ses placements. Après avoir intégré le high yield, les obligations convertibles ou même la dette émergente, nous travaillons aujourd’hui sur d’autres classes d’actifs. Même si le thème à la mode cette année était les loans, nous sommes cependant restés à l'écart de ce segment car il demande une grande expertise d’analyse notamment en ce qui concerne les covenants. En revanche dans les classes d’actifs plus traditionnelles, nous considérons qu’il peut y avoir encore des opportunités qui ne sont pas forcements exploités par tous les investisseurs institutionnels. Globalement aujourd’hui nous sommes surexposés tactiquement aux actions, car elles offrent des dividendes élevés dans un environnement de taux bas. Notre exposition se fait à travers de nos fonds de fonds dédiés européen et monde hors Europe. Plus de 50% de notre allocation en actions s’effectue désormais sur les marchés internationaux (USA, Chine, Japon, pays émergents en incluant les marchés frontières). Actuellement nous intégrons également les situations spéciales dans nos fonds de fonds actions puisque les fusions-acquisitions ont repris aux Etats-Unis et commencent aussi à repartir en Europe sur les petites et moyennes entreprises. Retrouver la fiche de l’UMR dans le Guide Lire l’interview de Philippe Rey L’essentiel de notre gestion obligataire est externalisé depuis le 1er janvier 2013
Génération ERIC organise avec le soutien d’Instit Invest, BNP Securities Services et Allianz Global Investors, un voyage d'étude aux Pays-Bas les 23 et 24 janvier 2014 axé sur le thème « Quels sont les impacts de la crise sur la retraite aux Pays-Bas ? ». L’objectif d’une telle démarche est d’aller à la rencontre des experts ainsi que des responsables politiques et syndicaux, afin de mieux comprendre les orientations prises au plan des dispositifs de retraite néerlandais, qu’ils relèvent de la répartition ou de la capitalisation. L'événement se déroulera en deux parties : la première journée d'étude, le 23 janvier, sera consacrée aux aspects techniques et la seconde, le 24, aux aspects politiques. L’objectif de ce voyage est également de nouer des contacts pour améliorer les relations et favoriser les regards croisés concernant des sujets complexes. 40 participants, dont une dizaine seront des invités Français : députés et sénateurs, responsables d’organisations syndicales et patronales, conseillers ministériels. Pour connaître le programme complet, cliquer ici
Lancée en novembre 2012 afin de rassembler toutes les expertises du Groupe Swiss Life en matière de gestion d’actifs pour compte de tiers, Swiss Life Asset Managers profite de sa première bougie pour revenir sur les temps forts de l’année et évoquer ses perspectives de développement. Jean-Pierre Grimaud, Responsable de la gestion pour compte de tiers de Swiss Life Asset Managers commente : « face à une conjoncture économique difficile, nous sommes fiers de nos premiers résultats. Cela démontre que nous sommes bien en phase avec les objectifs fixés qui sont d’atteindre 30 milliards d’actifs sous gestion fin 2015. Notre développement en Europe s’accélère avec l’ouverture d’un bureau à Genève et en Allemagne. La qualité de nos savoir-faire en gestion de taux, notamment sur les segments du monétaire et du High Yield, ainsi qu’en immobilier fait de Swiss Life Asset Managers un acteur significatif sur le marché en France et en Europe. Nous restons confiants pour le second semestre fidèle à notre plan de développement ». Entre le 31 décembre 2012 et le 30 juin 2013, Swiss Life Asset Managers a enregistré une collecte de 2 528 milliards de CHF soit 2 054 milliards d’euros, réalisée principalement sur des expertises acquises ou renforcées depuis le lancement de la marque : l’immobilier, les taux, le monétaire, et les fonds diversifiés. La gestion taux reste le principal moteur de l’activité Forte collecte sur le monétaire en France avec plus de 700 millions d’euros de collecte Dans un marché en forte décollecte (30 milliards d’euros sur le seul segment monétaire), Swiss Life Asset Managers enregistre une collecte à contre-courant de plus de 700 millions d’euros sur ses fonds monétaires. Ce savoir-faire historique en matière de gestion monétaire ainsi que les performances des fonds ont permis la fidélisation et la conquête de 16 nouveaux clients institutionnels sur le marché français depuis le début de l’année. Le High Yield, une expertise confirmée, avec près de 440 millions d’euros d’actifs sous gestion Lancée en 2010, cette expertise s’est considérablement renforcée avec près de 440 millions d’actifs sous gestion. Swiss Life Asset Managers est un acteur référent sur ce type de produits. Près de 190 millions d’euros sont investis sur les trois fonds : SLF (F) Rendement, SLF (F) Opportunité High Yield 2017 et SLF (Lux) Bond Global High Yield. Le SLF (F) Opportunité High Yield 2018 vient d'être lancé sur le marché Suisse. Une activité immobilière dynamique, représentant un quart des actifs sous gestion et la moitié de la collecte 2012 Plus de la moitié de la collecte en 2012, soit plus de 1 milliard d’euros, a été réalisée sur le segment immobilier, à part égale entre la France et la Suisse. Le développement de cette activité en 2013 démontre que ce marché est porteur et qu’il contribuera fortement aux performances annuelles du Groupe. L’activité représente près de 250 millions d’euros de nouveaux actifs au 30 juin 2013. Swiss Life Asset Managers devient le 3ème contributeur aux résultats du Groupe Swiss Life Comme annoncé lors de la publication des résultats de Swiss Life le 14 août dernier, les revenus issus des frais et commissions sont passés de 148 à 169 millions de francs suisses entre le 30/06/2012 et le 30/06/2013, soit une hausse de près de 15%. Quant au résultat opérationnel, il a augmenté de 16% sur ce même intervalle et se monte à 71 millions de CHF, ce qui place la société de gestion au rang de troisième contributeur aux résultats du Groupe derrière les marchés assurances de la Suisse et de la France. Un développement amorcé en Europe En mai dernier, Swiss Life Asset Managers a officialisé l’ouverture d’un bureau de représentation en Suisse Romande, à Genève, exclusivement dédié à la distribution. Swiss Life Asset Managers renforcera en 2014 sa présence en Allemagne, au Royaume-Uni et en Scandinavie.
Au mois de mai dernier, les fonds souverains ont dépassé le seul des 5.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion, selon l’Institut des fonds souverains (SWF Institute). Ils ont atteint, en effet, 5 380 milliards de dollars en 2013, contre 4 620 milliards de dollars l’année précédente. Le premier fonds souverain au monde reste le fonds de retraite du gouvernement norvégien (775,2 milliards de dollars) suivi, dans l’ordre, de l’autorité d’investissement d’Abou Dhabi (627 milliards), la Compagnie d’investissement chinoise (575 milliards), l’Administration chinoise des devises , l’Autorité monétaire de Hongkong, l’Autorité d’investissement du Koweit, la Temasek Holdings et le Fonds d’investissement du gouvernement de Singapour le Fonds de sécurité sociale chinois et l’Autorité d’investissement du Qatar. Les 22 fonds souverains asiatiques contrôlent près de la moitié des avoirs des des fonds souverains au niveau mondial. Leurs actifs ont augmenté de 19 % contre 6 % pour les institutions du Proche Orient. Selon Preqin, 50,5 % des avoirs proviennent des hydrocarbures et 48,4 % de réserves officielles (essentiellement Chine, Singapour) et 1,1 % des matières premières non énergétiques comme les métaux ou le diamant. En 2011, cinq nouveaux fonds souverains sont apparus dans les classements de l’Institut : le fonds stratégique italien, le Nigerian Sovereign Investment Authority (1 milliard de dollars d’actifs), le North Dakota Legacy Fund, le Papua New Guinea Sovereign Wealth Fund et le Fiscal Stability Fund de la Mongolie.
Jean-Pascal Gond analyses the evolution of practices in the area of sustainable development and social responsibility. The shock of the financial crisis led to a welcome dynamic, which nonetheless got bogged down over the years. The problems which are slowing the growth of SRI and CSR are being increasingly well-identified, particularly in France.
Le fabricant chinois de smartphones a l’ambition de se hisser d’ici à 2016 dans les trois premières places du classement mondial, a indiqué lors d’une interview son vice président exécutif He Shiyou. Il ajoute que la priorité du groupe est le marché américain qui devrait devenir dans les deux ans son plus important débouché, ZTE étant déjà le quatrième plus important fabricant de smartphones outre-Atlantique.