Common investment funds in the United States have posted record outflows of USD80bn in 2013, victims of a flight of investors expecting a rise in interest rates, according to data published by Bloomberg dated 23 December 2013, This level of outflows represents 2.3% of overall bond assets, according to Brian Reid, chief economist at the Investment Company Institute, in an interview with the press agency. This is the largest outflow ever posted from bond funds since 1994, a year in which investors withdrew nearly EUR62bn, or 10% of total assets under management. These outflows may not stop so soon, “As long as interest rates continue to rise, we are expecting to see a moderate continuation in outflows,” Brian Reid tells Bloomberg.
Les décrets du 31 décembre 2013 portent promotion ou nomination dans l’ordre de la Légion d’Honneur. Les bienheureux bénéficiaires de cette mesure nominative sont (par ordre alphabétique) : Achour Cheurf, agent général d’Axa, nommé chevalier (proposé par le ministre de la Francophonie). Rose-Marie Dardé, directrice générale du groupe Languedoc Mutualité, promue chevalier (proposée par le Premier Ministre) Yvan Glasel, président de la France Mutualiste, nommé chevalier (proposé par la Chancellerie) Michel Keller, président d’Humanis, promu chevalier (proposé par le Premier ministre) Françoise Lareur, présidente de la MACIF Ile-de-France, nommée chevalier (proposée par le ministre du Travail). Jacques Nozach, consultant, nommé chevalier (proposé par la ministre de la Santé) Corinne Prayez, directrice générale d’Apgis, nommée chevalier (proposée par la ministre de la Santé)
Sandrine Lemery Âgée de 45 ans, Sandrine Lemery est Ingénieur général des Mines. Ancienne élève de l'École Polytechnique, elle est diplômée de l’Institut d'études politiques de Paris et du Centre d'études actuarielles. Entrée en septembre 1992 à la Commission de contrôle des assurances (CCA) comme commissaire-contrôleur en brigade, elle fut mise à disposition d’avril 1993 à avril 1994 à l’Inspection générale des finances puis de septembre 1997 à juin 2001 à la direction du Trésor en tant qu’adjoint au chef du bureau assurances de personnes. Conseillère technique en charge des retraites au cabinet du ministre de l’Emploi et de la solidarité, Elisabeth Guigou, en juin 2001, elle est nommée en juin 2002 chef de brigade de contrôle à l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM), issue de la fusion de la CCA avec la Commission de contrôle des mutuelles et institutions de prévoyance. En avril 2007, elle est secrétaire générale adjointe de l’ACAM. Chargée de mission à la Mission de pilotage interministériel du Plan Alzheimer d’avril 2008 à décembre 2012, elle est en parallèle, d’avril 2010 à février 2012, chef du corps de contrôle des Assurances, qui fusionne en mars 2012 avec le corps des Mines. En janvier 2013, elle est chef du service coordination au Secrétariat général pour la modernisation de l’action publique (SGMAP) puis, en septembre 2013, membre du conseil général de l'économie, de l’industrie, de l'énergie et des technologies. Elle est depuis octobre 2013 secrétaire générale adjointe de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).
La fusion des teneurs de compte d'épargne salariale Fongepar SA et Inter Expansion a reçu l’agrément de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) et de l’Autorité des marchés financiers (AMF) ont annoncé jeudi 2 janvier 2014 leurs maisons-mères CNP Assurances et Humanis, dans un communiqué commun. Après ce feu vert des autorités de tutelle, la nouvelle entité Inter Expansion-Fongepar est détenue à 65% par Humanis, l’un des principaux groupes de protection sociale et à 35% par CNP Assurances, leader de l’assurance vie en France. Inter Expansion-Fongepar administre ainsi 600.000 comptes épargne, gérés dans le cadre de dispositifs tels que les plans d'épargne entreprise et inter-entreprise (PEE et PEI) ou les plans d'épargne retraite collectifs intra ou inter-entreprise (Perco et Percoi). Le nouvel ensemble reste cependant loin derrière les trois leaders du secteur que sont Natixis Interepargne, Crédit Agricole-Amundi et CM-CIC ES qui gèrent entre 1,2 et 3 millions de comptes chacun. La nouvelle société d'épargne salariale s’appuie sur la société de gestion d’actifs Humanis Gestion d’Actifs. Celle-ci est issue de la réunion des équipes de gestion de portefeuille d’Inter Expansion et de Fongepar Gestion Financière qui gèrent les fonds commun de placement d’entreprise (FCPE) détenus au sein des plans d'épargne des salariés bénéficiaires. Humanis Gestion d’Actifs revendique un encours géré de plus de 4 milliards d’euros au titre de l'épargne salariale et de près de 10 milliards d’euros au total. « Ce rapprochement entre Inter Expansion et Fongepar nous permet d’avoir une position renforcée sur le marché de l'épargne salariale grâce à la conjugaison des compétences humaines et la mutualisation de moyens techniques et financiers. Il illustre notre volonté d’optimiser notre gestion afin d’assurer le meilleur service au juste coût à chacun de nos clients », déclare Gilles de Margerie, directeur général adjoint du groupe Humanis, en charge notamment des finances et du pôle épargne. « Les groupes CNP Assurances et Humanis partagent des ambitions et des valeurs communes dans le métier de l'épargne salariale. La fusion Inter Expansion et Fongepar est l’occasion de proposer une offre élargie de services et de prestations », précise Xavier Larnaudie-Eiffel, directeur général adjoint de CNP Assurances.
L’Autorité des marchés financiers est le régulateur de la place financière de Paris. Elle compte 470 collaborateurs issus des métiers de la finance, du chiffre et du droit pour accomplir ses missions de protection de l'épargne, de veille quant à la qualité de l’information financière et de suivi du bon fonctionnement des marchés financiers. Au sein de la Direction de la gestion d’actifs (65 collaborateurs) la Division des agréments et du suivi (35 collaborateurs) est en charge de la protection de l'épargne investie en OPC et FIA ainsi que du suivi des prestataires de services d’investissement et des conseillers en investissements financiers. Ses missions couvrent : le traitement des dossiers d’agrément des sociétés de gestion de portefeuille et des autres prestataires de services d’investissement ; le contrôle du programme d’activité relatif à la gestion pour compte de tiers ou à tout service d’investissement de l’ensemble des prestataires de services d’investissement, ainsi que le suivi des prestataires au quotidien ; le développement de la relation avec les associations professionnelles des conseillers en investissements financiers et le suivi des conseillers en investissements financiers ; le suivi des activités de commercialisation des différents acteurs (prestataires de services d’investissement, conseillers en investissements financiers); le traitement des dossiers d’agrément des produits d'épargne collective comme les SICAV et les FCP ; OPCVM spécialisés (épargne salariale, capital-risque), OPCVM complexes (fonds communs de créances, SCPI, Sofica, Sofipêche...), FIA et leur suivi au quotidien. L’industrie de la gestion d’actifs et de la commercialisation des produits financiers ayant connu de profondes mutations ces dernières années, le secteur des prestataires de service d’investissement et de la gestion d’actifs est extrêmement dynamique et innovant. Pour lire la suite : cliquez ici
Outre-Atlantique, les hedge funds activistes font campagne pour préserver leur droit à verser des bonus aux administrateurs qu’ils ont placé dans les conseils d’administration des entreprises, rapporte le Financial Times.Cette offensive des hedge funds intervient alors que 33 groupes américains viennent de modifier leurs statuts pour exclure les administrateurs qui perçoivent des paiements issus d’entités extérieures à l’entreprise, avec l’espoir de dissuader ainsi les investisseurs activistes tels que CVarl Icahn, Bill Ackman ou encore Daniel Loeb.L’initiative de ces entreprises américaines a déclenché un tollé chez les actionnaires institutionnels, qui ne partagent pas forcément le point de vue des activistes, mais qui souhaitent conserver le droit de choisir eux-mêmes des administrateurs.
L’annonce d’un investissement de 200 millions de dollars de la part de Blackstone et du départ prochain du directeur général John McCarvel ont soutenu le cours de l’action Crocs, qui a bondi de 21,08 % lundi à 16,14 dollars. L’entrée de Blackstone au capital intervient après une tentative de trouver un acquéreur pour la totalité de la société, a rapporté Bloomberg de source proche du dossier.
A Bruxelles, la définition du statut de Société Mutuelle Européenne va, selon toute vraisemblance, être repoussée à la prochaine mandature européenne, c'est-à-dire aux calendes grecques. En France, la loi Hamon sur l'économie sociale et solidaire, qui comporte pourtant un certain nombre d'avancées (comme celles concernant les certificats coopératifs, nouvelle forme de financement offerte aux structures mutualistes), va être votée en début d'année prochaine dans l'indifférence générale.
La colère gronde chez les grands utilisateurs de données financières, confrontés à une flambée des prix. Car, dans le monde de la finance, les «???data???» constituent la matière première. Elle est donc incontournable. Prix d’achat et de vente d’une action, d’une obligation ou d’un autre produit financier, niveau de l’offre, de la demande, informations sur le marché, description des indices, historique des cours... les salles de marché des banques, assureurs, dépositaires et valorisateurs ou sociétés de gestion ont chaque jour besoin de brasser ce type de données par millions. Ces «???data???» leur sont fournies par plusieurs grands opérateurs (Bloomberg, Thomson Reuters, Six Financial), les agences de notation (Fitch, Standard & Poor’s) ou les fournisseurs d’indices (Standard & Poor’s, MSCI, Dow Jones, Stoxx). «???Choc des données???» «???Depuis des années, ces fournisseurs, abusant de leur position dominante et n'étant soumis à aucune réglementation et supervision, ont régulièrement et sans vergogne augmenté leur prix d’accès aux données???», alerte une société de conseil qui travaille avec des grandes institutions financières françaises et européennes. Elle affirme que ces augmentations de tarifs «???ont pris une ampleur exceptionnelle ces deux dernières années. Celles-ci, combinées à un besoin croissant de données des valorisateurs, sont en train de mener à un choc des données???». Certains fournisseurs d’indices auraient ainsi présenté à leurs clients des augmentations allant «???d’un facteur multiplicateur de 4 à 24???» . Par ailleurs, selon nos informations, Bloomberg serait en train de négocier avec l’ensemble des établissements de la place un nouveau contrat sur les flux de données associées à ses terminaux, qui se traduirait par une hausse d’au moins 30???% de la facture sur les trois années à venir. Le géant de l’information financière jure qu’il ne fait que répercuter les hausses de prix de ses propres fournisseurs. De fait, certains opérateurs boursiers procèdent à des augmentations pour le moins audacieuses. Lire la suite : cliquez ici
Depuis le début du mois, Groupama présente son plan stratégique opérationnel (PSO) 2013-2015. Le 13 décembre, la direction a dévoilé à l’assemblée générale de la Fédération nationale Goupama ce document qui détaille les grandes orientations pour le groupe mutualiste et, quelques jours avant, aux syndicats. Un exercice très attendu en interne. « Depuis deux ans, on a l’impression que la direction joue davantage les pompiers que les stratèges », regrette ainsi un syndicaliste. Fin novembre, les agents généraux de Gan assurance ont piqué une grosse colère, lors d’une assemblée générale extraordinaire de leur syndicat, le Snagan, dénonçant, entre autres, l'« absence de stratégie commerciale » et le quasi-abandon du plan Entreprendre 2012 (L’Argus de l’assurance, n°7339). « L’objectif n°1 de la solvabilité a été atteint, mais les salariés ne perçoivent pas très bien ce que les dirigeants actuels veulent faire de Groupama », témoigne un ancien cadre. Il semble bien loin le temps où Jean Azéma, le directeur général d’alors, affichait haut et fort l’objectif de hisser Groupama parmi les dix premiers assureurs européens. Crise financière et investissements hasardeux ont balayé cette stratégie et le nouveau tandem installé à la tête du géant mutualiste - Thierry Martel, devenu directeur général, et Christian Collin, directeur général délégué - a d’abord cherché à redresser une marge de solvabilité tombée à 107% en 2011. Lire la suite : cliquez ici
Anne-Sophie Grave, directrice des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts, et Patrick Sitbon, nouveau directeur de l’Etablissement Public des Fonds de Prévoyance militaire et de l’aéronautique (EPFP) ont prolongé la convention de gestion qui les lie jusqu’en 2018. Ce partenariat renouvelé s’appuie sur les acquis de la première convention, établie à la création de l’EPFP en juillet 2008. Depuis la constitution de l'établissement, la Caisse des Dépôts a assuré la montée en puissance des activités sur la gestion des allocations, des secours, des flux financiers, de la comptabilité et des prêts immobiliers. Pour les quatre ans à venir, elle continuera à soutenir les évolutions de l’EPFP tout en poursuivant l’optimisation de la gestion et de la sécurité des processus opérationnels. La convention prévoit par ailleurs de nouvelles prestations, en particulier pour l’accompagnement des administrateurs. La signature de cette nouvelle convention suit de près l’entrée en fonction, le 1er décembre, de Patrick Sitbon, magistrat de la Cour des Comptes. Ce dernier a souligné « la qualité du travail réalisé par la Caisse des Dépôts et a dit son souhait de faire appel à elle de façon croissante. » Anne-Sophie Grave, a salué « la bonne définition de l’intervention de chacun des partenaires sur les différents champs », et a dit « la fierté de la Caisse des Dépôts d’exercer cette mission ». Les fonds de prévoyance militaire et de l’aéronautique ont été créés pour assurer la couverture des risques d’invalidité et de décès des militaires ou membres de l’aéronautique lors de leur service.
Dans le cadre d'une mission générale de contrôle des placements des organismes de retraite complémentaire sollicitée par le ministre du travail, de l'emploi et de la santé, une mission IGAS a conduit six contrôles sur pièces et sur place, contradictoires.
Frédéric Jauffret créé Jauffret Consultiva en 2003, après avoir passé près de dix ans chez Prudential Securities. Il débute sa carrière en Suisse dans le conseil financier auprès d'équipes de gestion d’actifs. Il fréquente plusieurs grands établissements, dont la Banque Worms et le Crédit Suisse. 1. Meilleur conseil à donner à un gérant : Savoir reconnaître ses erreurs et ne pas les cacher Lire la suite : cliquez ici
La leçon la plus sombre de la crise financière mondiale : des mesures supposées augmenter la résilience (dans ce cas, le modèle financier «originate and distribute») n’ont fait que la diminuer. Un danger similaire menace-t-il maintenant la stabilité ? Oui. La prochaine pénurie de liquidités pourrait naître des obligations en devises étrangères des sociétés non financières des économies émergentes. Au centre, des gestionnaires d’actifs, et non les banques. La crise du ???taper tantrum’ http://www.lenouveleconomiste.fr/la-fed-taper-and-not-tighten-20810/ de l'été dernier en a donné un avant-goût. L’annonce faite par la réserve fédérale américaine d’une possible réduction du taux de progression de son bilan a eu un effet foudroyant sur les économies émergentes. Comme l’a relevé le FMI dans le World Economic outlook sur l'économie mondiale d’octobre : « Les interrogations autour d’un resserrement de la politique monétaire américaine et d’un ralentissement de la croissance des économies des marchés émergents ont provoqué des sorties de capitaux très importantes des marchés émergent au cours du mois de juin 2013 ». Les conséquences ont été élargissement des spreads de risque, chutes des bourses et fortes baisses des taux de change par rapport au dollar. Pourquoi la seule éventualité d’un petit pas de la FED vers le resserrement de la politique monétaire provoque-t-elle ce chaos? Durant une conférence sur l’Asie à la banque de la réserve de San Francisco, Hyun Song Shin, de Princeton, un économiste de la finance parmi les plus respectés dans le monde, a avancé une réponse : la croissance de la demande d’obligations du secteur privé des économies émergentes. Durant les booms, la finance inonde le marché, provoquant des excès. Durant les creux, la finance s’assèche, et provoque des marasmes. Ce phénomène est connu sous le terme générique de « liquidités mondiales ». Avant la crise financière mondiale, les banques étaient les principaux fournisseurs de liquidités. Depuis 2010, le financement par obligations de sociétés des secteurs non-financiers des économies émergentes s’est accru. Les gestionnaires d’actifs (BlackRock, Vanguard, Fidelity, State Street, Pimco, etc) entraînent les flux. Ceci, alors, amène la «deuxième phase des liquidités mondiales.» C’est aussi pour cette raison que les flux de portefeuilles des économies émergentes se sont inversés l'été dernier. Les politiques des économies émergentes ont changé de deux façons : les sociétés non bancaires empruntent plus que les banques. Et les titres de créances ont en grande partie remplacé les prêts. Beaucoup d’emprunts sont contractés à l'étranger. L’un des signes en est l'écart grandissant entre les emprunts par lieu de résidence et par nationalité : les entreprises chinoises, par exemple, émettent des obligations en devises étrangères à Hong Kong, et non en Chine continentale. Lire la suite : cliquez ici
Sumitomo Mitsui Trust, quatrième plus importante banque nippone par sa capitalisation boursière, prévoit de porter de 10% actuellement à 15% la part de ses bénéfices réalisés à l’étranger d’ici à mars 2015, en développant notamment ses activités de conservation et de gestion d’actifs hors du Japon, a déclaré mardi lors d’une interview son président, Hitoshi Tsunekage.
Dans le cadre d'une mission générale de contrôle des placements des organismes de retraite complémentaire sollicitée par le ministre du travail, de l'emploi et de la santé, une mission IGAS a conduit six contrôles sur pièces et sur place, contradictoires.
Dans un communiqué daté du 24 décembre, ils précisent que cela passera par la création d’une Union de Groupe Mutualiste (UGM) avant l'été 2014, le premier président de cette UGM étant Daniel Havis, PDG du groupe Matmut, et le vice-président Mikel de Rezola, président d’Ociane. La création de cette UGM permettra, en matière de frais de santé et de prévoyance, d’organiser notamment la convergence des gammes de complémentaire santé, en particulier en créant de nouvelles offres dédiées au segment des TPE, de mettre en place une communication efficace et de partager les compétences pour l’animation des réseaux.
2014 : Les perspectives des principales sociétés de gestion de la place Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en ??uvre ; des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps. Pour télécharger le baromètre de décembre sur les perspectives 2014 : cliquez ici
Marie-Pierre Peillon a été réélue présidente du Conseil d’administration de la SFAF. Elle entend poursuivre les travaux initiés sous sa mandature : imposer l’association comme un acteur incontournable de la construction d’une nouvelle finance «d’après-crise», consolider le Centre de Formation et les relations avec les émetteurs et positionner la SFAF comme centre de réflexion et d’action. Trois nouvelles administratrices ont rejoint le Conseil d’administration: Agnès Blazy a rejoint CM-CIC Securities en 2001. Elle est analyste financier ISR, spécialisée en gouvernance depuis 2006, après avoir été analyste « aéronautique et défense » et coordinatrice internationale. Au préalable, elle a été analyste chez MIA-MARCHE INTER ACTIONS; analyste « stock picking » chez PINATON, analyste automobile à la SOCIETE GENERALE et chez DUPONT DENANT. Agée de 49 ans, Agnès Blazy est diplômée du Centre de formation de la SFAF et de l’IEA, Institut Européen des Affaires. Elle est membre de la SFAF depuis 1996. Barbara Cohen a rejoint BNP Paribas Asset Management en 2002. Elle y est responsable de la recherche crédit Europe depuis 2007, et analyste buy side depuis 2002. Au préalable, Barbara a été chargée d’affaires en private equity (1990 à 2000) chez Natexis Banques-Populaires puis analyste action sell side chez Natexis Capital. Agée de 47 ans, Barbara Cohen est diplômée du Centre de formation de la SFAF où elle est chargée de TD depuis 2005. Elle est titulaire d’un DESS de gestion des organismes bancaires et financiers (Dauphine) et membre de la SFAF depuis 2000. Véronique Laurent-Lasson a fondé en août 2013 Sponsor Finance, société de conseil en placement privé, introductions en bourse et fusions /acquisitions. Elle a été de 2010 à 2013 directeur executif d’AELIOS Finance, après avoir créé les départements « corporate finance » de KEPLER Capital Market (2007) et de CM-CIC Securities (2006). Au préalable, elle était chargée des valeurs étrangères chez NYSE EURONEXT Paris. Agée de 42 ans, Véronique Laurent-Lasson est diplômée du Centre de formation à l’Analyse Financière. Elle est titulaire d’un DESS banque et finance (Dauphine) et membre de la SFAF depuis 2000. Elues pour quatre ans, elles remplacent des administrateurs dont le mandat arrivait à échéance : Vincent Bazi, Isaac Chebar et Ibra Wane.
SCOR annonce le lancement d’une solution de capital contingent innovante et efficace pour une durée de trois ans prenant la forme d’une ligne d'émission d’actions garantie, qui apporte au Groupe une couverture de EUR 200 millions en cas de survenance d’un événement extrême (catastrophes naturelles ou événements vie). Cette solution s’inscrit dans le cadre de l’un des quatre piliers du Groupe, à savoir « une protection du capital efficace », ainsi que de son plan stratégique « Optimal Dynamics ». Dans le prolongement de l’autorisation accordée par son assemblée générale en avril 2013, SCOR a mis en place une nouvelle ligne d'émission contingente d’actions avec UBS. Cette solution remplacera, au 1er janvier 2014, l’actuelle solution de capital contingent, qui vient à terme le 31 décembre 2013. En vertu de ce nouvel instrument de EUR 200 millions, SCOR augmente de EUR 50 millions son niveau de protection par rapport à la solution de capital contingent existante. Pour ce nouveau programme, SCOR paie une commission annuelle à UBS de 0,10 %, ce qui le rend très compétitif en termes de coût par rapport aux précédents programmes de capital contingent ainsi qu'à d’autres formes de capital. De plus, SCOR a fortement réduit la probabilité de survenance d'événements déclencheurs par rapport à sa première structure de 2010 (en rehaussant significativement les seuils de déclenchement applicables), ce qui diminue aussi significativement les coûts pondérés probabilisés pour SCOR et ses actionnaires. Dans le cadre de ce nouveau programme, le montant maximum des augmentations de capital qui pourraient résulter des tirages sur le programme s'élève à EUR 200 millions (prime d'émission incluse), montant pour lequel SCOR a reçu un engagement ferme de souscription de la part d’UBS. L'émission d’actions sera déclenchée dès lors que le montant total des pertes ou des sinistres enregistrés par SCOR et consécutives à la survenance de catastrophes naturelles ou d'événements extrêmes vie s'établira au-dessus d’un certain niveau entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2016. Cette solution est disponible en deux tranches de EUR 100 millions chacune. Outre sa reconnaissance dans le modèle interne de SCOR, le programme a reçu un accueil favorable d’un point de vue tant qualitatif que quantitatif de la part des agences de notation, dont un crédit en capital proche du maximum. En l’absence d'événement extrême déclencheur, aucune action ne sera émise dans le cadre de ce programme. Par conséquent, ce programme peut aller jusqu'à son terme sans aucun impact dilutif pour les actionnaires. Denis Kessler, Président-Directeur général de SCOR, déclare : « Nous sommes très heureux de lancer cette nouvelle solution de capital contingent innovante et efficace, qui est pleinement conforme à la politique de gestion du capital dynamique instaurée dans le cadre de notre plan triennal « Optimal Dynamics ». Ce programme continue de protéger SCOR contre l’accumulation d'événements extrêmes prédéfinis et contribuera à renforcer la solvabilité du Groupe si nécessaire. C’est une source de capital extrêmement efficace au sein de la structure du capital de SCOR, plus compétitive encore en termes de coût que le précédent programme. Cette solution est également plus innovante que le précédent mécanisme, dans la mesure où les critères de déclenchement s’inscrivent désormais parfaitement dans le cadre de notre nouvelle zone de capital « optimale » et incluent les événements vie extrêmes, tels une pandémie. Toutefois, la probabilité de déclenchement d’un tel programme, que nous estimons inférieure à 2 % par an, est très faible et se traduit, compte tenu de l’impact dilutif théorique de ce produit, par une dilution moyenne probabilisée inférieure à 0,1 % ». Caractéristiques de la ligne d'émission contingente d’actions L’opération donnera lieu à l'émission par SCOR d’environ 12,7 millions de bons d'émission d’actions en faveur d’UBS, chaque bon donnant à UBS le droit de souscrire à deux actions nouvelles de SCOR. L'émission de bons a été autorisée par la 20e résolution de l’Assemblée générale extraordinaire des actionnaires de SCOR en date du 25 avril 2013 et approuvée par une décision de son Conseil d’administration en date du 5 novembre 2013. Dans le cadre de ce contrat, SCOR a pris l’engagement d’effectuer un tirage au titre du programme encas de survenance d’un événement déclencheur résultant de catastrophes naturelles ou non naturelles, tel que décrit ci-dessous, et UBS a réciproquement pris l’engagement d’exercer le nombre de bons nécessaires à la souscription de EUR 200 millions d’actions nouvelles en deux tranches de EUR 100 millions chacune.
In 2013, iShares has had a record year in Italy, Emanuele Bellingeri, head of the ETF division of BlackRock for Italy, confirms in an interview with Bluerating. “In terms of assets, we have reached EUR13bn, and in the first ten months of the year, inflows totalled about EUR3bn,” he explains. “Taking into account only assets deposited in Italy, iShares has a market share of 53%,” he adds. Bellingeri predicts that 2014 will be marked by an acceleration in the use of ETFs by clients who currently use them less: institutional investors and distribution.
Alors qu’il anticipe pour 2013 un repli d’environ 40% de son excédent brut d’exploitation, le premier fabricant mondial de caoutchouc synthétique pour pneumatiques s’attend à un rebond de ses résultats l’an prochain grâce à son plan de réduction de coûts, a indiqué dans une interview au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung le président du directoire Axel Heitmann.
Encensée en 2012, la dette émergente a beaucoup souffert en 2013 : de l'amorce de normalisation des taux d'intérêt aux Etats-Unis ; du ralentissement de la croissance (Chine notamment) et du découplage avec les pays développés ; des flux sortants des investisseurs privés et allocataires à hauteur de 35 milliards USD (alors que les flux institutionnels sont restés positifs).
Charles Vaquier, l’ancien directeur général de l’Union Mutualiste Retraite (UMR), s’apprêterait à lancer un site internet baptisé Comparetraite. Un outil gratuit qui, comme son nom l’indique, comparerait les produits de retraite individuels, notamment les contrats Perp et Madelin.
Bouygues Telecom proposera l’an prochain des prix réduits dans l’internet fixe afin de contrer le développement de son rival Free. Dans une interview au Figaro, le PDG de Bouygues, Martin Bouygues, déclare que cette nouvelle offre permettra aux clients intéressés de réaliser 150 euros d'économies par an par rapport aux offres disponibles actuellement sur le marché. «Qui dit mieux? Que Xavier Niel (le fondateur d’Iliad, la maison mère de Free, ndlr) fasse la même chose s’il en est capable !», lance-t-il. Free a créé une nouvelle rupture dans le très haut débit mobile en annonçant au début du mois qu’il proposait la 4G au prix de la 3G, ce qui a obligé ses concurrents à infléchir leur stratégie tarifaire. SFR a ainsi annoncé jeudi l’intégration de la 4G dans un nouveau forfait de sa gamme de téléphonie mobile à bas coûts RED qui sera doté d’un accès illimité au site internet YouTube. Cette nouvelle offre sera affichée au prix de 25,99 euros par mois.
Depuis la nomination d’Eric Lombard au poste de directeur général de Generali France, la place de Stéphane Dedeyan au sein du groupe italien n'était pas encore clairement définie. Une incertitude révolue depuis le 18 décembre, date à laquelle il a été nommé officiellement directeur général délégué de la compagnie française. Stéphane Dedeyan vient d'être nommé directeur général délégué de Generali France. Alors qu’il était en charge de la direction de l'épargne patrimoniale, du développement et de la distribution de Generali France, son nom avait notamment circulé pour prendre auparavant la direction générale française, avant l’annonce officielle de la nomination d’Eric Lombard. Numéro deux au niveau opérationnel L’arrivée de l’ancien PDG de BNP Paribas Cardif aurait pu, selon certains observateurs, rendre un tant soit peu instable la situation de Stéphane Dedeyan au sein de Generali France.Par cette nomination, le groupe italien mené par Mario Greco montre au contraire compter sur ce membre du comité de direction générale en faisant ainsi de lui le numéro deux de la supervision des opérations France.
Introduction Les assureurs (vie) peuvent pousser un « ouf de soulagement » et aborder la nouvelle année des projets plein la tête, après le vote par l’Assemblée nationale, dans la nuit du 3 au 4 décembre, de la réforme de l’assurance-vie dans le cadre du collectif budgétaire 2013. L’année s’annonçait à risque, elle se termine plutôt bien : création de nouveaux produits, « euro-croissance » (au 1er janvier 2014) et « vie-génération » (au 1er juillet 2014), avec maintien de l’antériorité fiscale pour les encours transférés, et fiscalité en cas de succession, certes alourdie pour les plus gros patrimoines, mais moins que ce que préconisaient les députés K. Berger et D. Lefebvre dans leur rapport du mois d’avril, voire neutralisée par la création d’un abattement supplémentaire pour les contrats « vie-génération ». Quant à la généralisation du taux unique de prélèvements sociaux inscrite dans le PLFSS, mesure rétroactive très commentée dans le débat public sur l’insécurité fiscale, celle-ci ne concernera, sauf invalidation par le Conseil Constitutionnel, que certaines catégories de contrats...et aura pour moindre mérite une simplification des calculs. Lire la suite en pièce jointe