p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; } The US investor Warren Buffett is planning new acquisitions in Germany, after his company, Berkshire Hathaway, last year acquired a specialised in sales of motorcycles and accessories. In an interview released by the newspaper Handelsblatt, he said he appreciated the regulatory and legal security which German companies offer their shareholders, as well as the international players which were able to develop there, including SMBs such as Detlev Louis Motorrad-Vertriebs, the company acquired last week. “We are really interested in the acquisition of other German businesses,” he adds. “Germany is a large market: a big populatino, large buying power, and the Germans are productive. We also appreciate the legal and regulatory framework.” The multi-billionaire explains that the current weak euro is only one factor which has led him to scale up his investments in Germany. “In the end, the weak euro is naturally a good thing as far as acquisitions go,” he says. “But the euro exchange rate is not our primary motivation. We simply want to own more good businesses in Germany, that is our objective.”
Simon Pickard et Edward Cole quittent Carmignac Gestion. La société de gestion qui annonçait les départs des deux gérants sur son site hier soir précise qu’ils sont motivés par des raisons personnelles. Evoluant au sein de l’équipe actions émergentes, Simon Pickard, qui en est le responsable, gère notamment Carmignac Emergents tandis que Edward Cole intervient dans la gestion actions - très proche de celle du fonds phare - de Carmignac Portfolio-Emerging Patrimoine, avec un prisme sur la région Europe-Moyen Orient-Afrique. En pratique, les deux professionnels vont être remplacés en interne par le duo Xavier Hovasse et David Park. Le premier assure à ce jour la gestion de Carmignac Portfolio-Emerging Discovery - composé de small et midcaps - et aussi la gestion de la partie actions de Carmignac Portfolio-Emerging Patrimoine. Il est notamment spécialisé sur l’Amérique Latine, après avoir géré dans le cadre de la zone Europe Middle-East. Quant à David Park, il interviendra aussi sur les deux fonds en se polarisant sur le marché asiatique. A noter que la partie obligataire du fonds Carmignac Portfolio-Emerging Patrimoine, soit un minimum de 50% des actifs du fonds, va continuer à être gérée par Charles Zerah. Au-delà du départ de deux gérants sur une classe d’actifs stratégique pour Carmignac Gestion, le fait que Simon Pickard quitte la société constitue un petit évènement. Le professionnel, qui est arrivé en 2000 en ayant la charge de la gestion des actions européennes, y est resté douze ans, avec un première sortie en 2005 pour la société de gestion suisse Argos IM, et un retour en 2008 chez Carmignac pour prendre la gestion « émergente » - après le départ de la gérante Wen Zhan Goldberg. « Simon part en très bons termes», assure Didier Saint Georges, membre du comité d’investissement interrogé par Newsmanagers, «et il restera le temps nécessaire pour accompagner la prise de fonctions en douceur de ses collègues». Reste que ces derniers temps, le fonds Carmignac Emergents n’a pas fait exception aux déceptions des marchés émergents. Valeur sûre sur cinq ans, le fonds sur un an est à la peine : il a progressé de 22,53 % contre 25,76 % pour l’indice de référence, et 25,13 % pour la moyenne de la catégorie. De fait, le fonds qui «pèse» tout de même 1,34 milliards d’euros a enregistré des sorties nettes de 457 millions d’euros l’an dernier... Cela étant, Xavier Hovasse qui le remplace est tout sauf un inconnu. Le gérant bénéficie de 14 années d’expérience en tant qu’analyste et gérant, partagées entre BNP Paribas - où il a travaillé sept ans avec le gérant vedette Claude Tiramani - et Carmignac Gestion. De son côté, David Park a intégré Carmignac Gestion il y a 8 ans comme expert sur l’Asie, et a rejoint la gestion de Carmignac Emerging Discovery il y a 2 ans et demi. En termes de résultats, le fonds Carmignac Portfolio Emerging Discovery qu’ils gèrent affiche un comportement comparable à celui de Carmignac Emergents. Autrement dit, sur cinq ans, le fonds excelle - + 48.51% contre + 36.68% pour sa référence - mais sa dernière année est plus délicate - +23,43 % contre 25,88 % pour l’indice composite. D’où une décollecte de 22 millions d’euros pour un fonds dont l’encours atteint 333 millions.Dans ses fonctions, la nouvelle équipe de gestion pourra également compter sur Haiyan Li-Labbé, analyste spécialiste de la Chine depuis 14 ans et présent depuis plus de 3 ans chez Carmignac Gestion. Il n’empêche. Compte tenu de ses ambitions, Didier Saint-Georges a confirmé que la société de gestion se préparait probablement à recruter dans un horizon de six mois à un an, pour renforcer l'équipe.
Le décret relatif aux certificats mutualistes ou paritaires est paru, ce mercredi 25 février, au Journal Officiel, près de sept mois après l’adoption de la loi sur l’économie sociale et solidaire (ESS), portée initialement par Benoit Hamon puis Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée de la consommation et de l’ESS.
Les actifs du fonds général des compagnies d’assurances s’établissent à 523 milliards d’euros au 31 décembre 2014, contre 470 milliards d’euros au 31 décembre 2013. La hausse correspond principalement à l’impact de la baisse des taux d’intérêts sur les actifs obligataires et à la collecte nette positive. L’allocation d’actifs est restée globalement stable, principalement orientée vers les obligations d’Etat et les obligations d’entreprises de qualité élevée (notation moyenne de niveau A). Le taux de rendement des actifs investis s’élève à 3,7% en vie, épargne, retraite et 3,9% en dommages (ou 3,8% en excluant les dividendes exceptionnels d’OPCVM en France qui s’élevaient à 71 millions d’euros en 2014), bénéficiant respectivement de durations moyennes de 7,6 années et 4,6 années. En vie, épargne, retraite, ce taux se compare favorablement au taux moyen garanti de 2,1%, permettant de dégager une marge financière nette de 80 pdb en 2014, en ligne avec l’objectif de 70 à 80 pdb. En 2014, les entités vie, épargne, retraite et dommages ont réinvesti 43 milliards d’euros dans des actifs obligataires à un taux moyen de 2,7%, nettement au-dessus du taux garanti moyen sur les affaires nouvelles en vie, épargne, retraite, qui s’élève à 0,4%. Lire l’intégralité du communiqué ici
«Territoires d’avenir» : tel est le nom du projet stratégique de la Mutuelle nationale territoriale (MNT), adopté à l’unanimité par son conseil d’administration après l’avis favorable des institutions représentatives du personnel. Cette adoption vient parachever une réflexion engagée depuis décembre 2013, qui porte notamment «un schéma de gouvernance renouvelé et adapté aux enjeux mutualistes», selon un communiqué. Professionnelle mais pas seulement La MNT, qui a précisé le mois dernier un projet d’alliance avec Smacl Assurances, exprime aussi avec ce projet son ambition de «demeurer une mutuelle professionnelle investissant pleinement son champ affinitaire». Cette réaffirmation de son ancrage dans le monde territorial n’est pas contradictoire avec d’autres alliances et projets. Le communiqué souligne que le projet stratégique «traduit également l’ambition de la MNT de constituer, par ses alliances actuelles et à venir, un groupe mutualiste plus large, porteur d’une identité forte et d’une conception exigeante de la protection sociale et de la solidarité». «C’est en ce sens que la MNT participe aux travaux impulsés par Harmonie et MGEN», souligne la MNT, membre de l’union mutualiste de groupe Istya aux côtés de la Mutuelle générale de l’Education nationale et d’autres grandes mutuelles de la fonction publique.
Société Générale (GLE.FR) a annoncé mercredi soir sa décision d’exercer son option d’achat de la participation de 50% détenue par Aviva France dans Antarius, une compagnie d’assurance dédiée aux réseaux de Crédit du Nord. Antarius est actuellement détenue conjointement par Aviva France et Crédit du Nord, filiale de Société Générale. La banque compte ainsi dénouer le partenariat en assurance vie établi avec Aviva France. La réalisation effective de cette opération interviendra au plus tard d’ici deux ans, à l’issue d’une période permettant d’assurer le transfert de la gestion opérationnelle de la compagnie vers le groupe Société Générale, qui détiendra 100% d’Antarius à terme. «Cette acquisition permettra de renforcer significativement les positions de la ligne métier Société Générale Insurance : les encours d’Antarius, d’un montant de 10,5 milliards d’euros à fin 2013, lui permettront de franchir le seuil des 100 milliards d’euros», précise la banque dans un communiqué.
Les portefeuilles d'Aviva France étaient jusqu'à la crise constitués en majeur partie d'obligations. Le changement de paradigme provoqué par la baisse des taux et la technicité grandissante de la gestion liée au développement de nouvelles classes d'actifs (infrastructure, loans corporate, dette immobilière…) a contraint l’assureur à faire évoluer en profondeur son allocation d'actifs. Aviva France dispose du confort de pouvoir déléguer la gestion de la quasi-totalité de ses actifs financiers à une société sœur, Aviva Investors. Philippe Taffin, son chief investment officer, nous détaille ses positions en actifs de diversification.
Patrick de Cambourg, président d’honneur de Mazars, s’apprête à prendre la présidence de l’Autorité des normes comptables (ANC). Sa nomination, approuvée la semaine dernière par les commissions des finances de l’Assemblée nationale et du Sénat, prendra effet après publication du décret. Le poste était vacant depuis le décès brutal de Jérôme Haas, intervenu en mai 2014. De nombreux chantiers, à l’échelle nationale comme internationale, attendent le nouveau président, qui entend notamment renforcer le dialogue avec l’IASB.
La devise s'est affaiblie vendredi après les déclarations d'un dirigeant soulignant que le pays était prêt à tous les moyens pour défendre le peg avec l'euro.
Longtemps cantonnés au Livret A, les OPH peuvent investir dans des OPCVM et depuis peu dans des FIA, des possibilités méconnues au sein de ces organismes. Un manque d’informations que les fédérations souhaitent réduire avec prudence compte tenu du manque d’expertises de certains OPH et des déboires rencontrés par d’autres ayant souscrit à des prêts toxiques.
Le crowdfunding ou finance participative gagne du terrain. En 2014, environ 152 M€ de fonds ont été collectés par les 46 plateformes françaises d’investissement en capital, de don ou de prêt actuellement en activité. C’est près du double du montant collecté en 2013, selon le baromètre 2014 de la finance participative réalisé par Compinnov pour le compte de la jeune association Financement Participatif France. 3 000 € à 376 000 € en moyenne par projet selon le type de plateforme Dans le détail, les plateformes de prêts aux particuliers ou aux entreprises (Unilend, Prêt d’Union, Babyloan, Finsquare, HelloMerci, PrêtPME, etc.) ont collecté 88,4 M€ (+84%/2013), les plateformes de don avec ou sans récompense (KissKissBankBank, MyMajorCompany, etc.) ont recueilli 38,2 M€ (+97%) et les plateformes d’investissement en capital-risque (Wiseed, Apoyogo, etc.) près de 25,4 M€ (+146%). Le montant moyen par projet est de 3 000 € pour les plateformes de don, de 65 448 € pour les plateformes de prêts et de 376 733 € pour celle concernent le capital risque. 64 500 projets financés par 1,3 million de financeurs depuis 2014 La contribution moyenne par financeur s’élève à 4 470€ pour l’investissement en capital, 561€ pour le prêt rémunéré et 60€ pour le don. Au total, 20 380 projets ont été mis en ligne en 2014 sur l’ensemble des plateformes et depuis 2008, près de 64 500 projets ont pu être financés par 1,3 million de financeurs. Pour Nicolas Lesur, président de FPF et par ailleurs co-fondateur d’Unilend, «La France se situe en tête des pays d’Europe continentale pour la finance participative» Nouveau terrain de jeu pour les assureurs Les assureurs s’intéressent de plus en plus à ce secteur via diverses approches : Generali a noué un partenariat avec Prêt d’Union pour proposer l’investissement à son réseau de CGPI, Groupama Banque compte investir 100 M€ sur trois ans dans les projets de la plateforme Unilend, ou encore Gan Assurances propose un diagnostic assurance aux entreprises financées par la plateforme Lendopolis.
La direction de Groupama peut avoir le sourire. L’assureur mutualiste a en effet conclu l’année 2014 avec «d’excellents résultats», de l’aveu même de Jean-Yves Dagès, président de la Fédération Nationale Groupama. Pourtant, les chiffres peuvent sembler moins flatteurs. De fait, Groupama a dégagé l’an dernier un résultat net de 257 millions d’euros, en recul de 9,2% par rapport à 2013. Cependant, le groupe est parvenu à améliorer significativement son efficacité opérationnelle. Ainsi, son résultat opérationnel économique a été multiplié par 13 en un an, passant de 10 millions d’euros en 2013 à 129 millions d’euros en 2014. «Désormais, la rentabilité opérationnelle de nos métiers représente la moitié de notre résultat net», a observé Christian Collin, directeur général délégué de Groupama. En parallèle, au 31 décembre 2014, le chiffre d’affaires combiné du groupe s'établit à 13,66 milliards d’euros, en progression de 0,3% par rapport à 2013. Une croissance modeste qui témoigne de « notre stratégie de développement sélectif visant à mettre l’accent sur la qualité de notre production», a commenté Christian Collin. Symbole de cette politique, son chiffre d’affaires en assurance de la personne sur le marché français a accusé une baisse de 5,2% pour ressortir à 5,3 milliards d’euros fin 2014 contre 5,6 milliards d’euros fin 2012. Cette dynamique est le reflet de «la baisse pilotée de notre collecte en épargne/retraite avec une diminution de l’activité en épargne/retraite individuelle en euros fin d’augmenter la collecte d'épargne/retraite en unités de compte et l'épargne bancaire», a souligné Christian Collin. Concrètement, le chiffre d’affaires de l'épargne-retraite individuelle en euros a reculé de 17,7% en 2014 tandis que celui de l'épargne/retraite individuelle en unités de compte (UC) a progressé de 20,3% l’an dernier. Désormais, la part des UC dans la collecte d'épargne/retraite individuelle s'établit à 29,4%, contre 22,2% en 2013 et 11,8% en 2012. Un niveau bien supérieur à celui du marché puisque, selon les données de la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA), la collecte en UC est de 17% pour l’ensemble du secteur. Mieux, les UC représentent aujourd’hui 17,6% de ses encours totaux d'épargne individuelle de Groupama contre 13,3% en 2012 et surtout 7,1% en 2011. Cette tendance se reflète aussi sur l'état de sa collecte nette. En France, Groupama a en effet enregistré une décollecte nette de 1,3 milliard d’euros, avec 1,6 milliard d’euros de sortie sur les contrats en fonds euros et une collecte nette de 300 millions d’euros sur les UC. Une tendance forte appelée à se poursuivre dans les années à venir. Par ailleurs, à l’occasion de la publication de ses résultats, Groupama a fait un rapide point sur l’activité de sa filiale de gestion d’actifs. En 2014, Groupama AM a ainsi enregistré un chiffre d’affaires de 120 millions d’euros, un résultat en légère croissance par rapport aux 119 millions d’euros de revenus annoncés en 2013. En revanche, «sa contribution au résultat net du groupe s'élève à 23 millions d’euros en 2014 contre 11 millions d’euros en 2013», a précisé la direction de Groupama.
Pimco a annoncé la démission de Paul McCulley, son chef économiste. Il était également managing director du gérant d’actifs, filiale d’Allianz. Il occupait ce poste depuis mai dernier, à la demande de Bill Gross qui a quitté Pimco fin 2014. Le départ de Paul McCulley intervient après la nomination, il y a 10 jours de l’ancien chef économiste de Morgan Stanley, Joachim Fels, au poste de conseiller économique et managing director de Pimco.
Entre les dividendes, ordinaire et exceptionnel, et les rachats d'actions, le groupe de médias va verser 377 millions d'euros, soit 12% de sa capitalisation.
Selon IPD, le rendement global des OPCI professionnels français s’élève à 3,5 % au second semestre 2014. Du jamais vu depuis juin 2011. Stéphanie Galiègue, executive director, head of France et Southern Europe, en a expliqué les raisons à Business Immo. Nous vous proposons cette interview.
Edwige Novacq est nommée responsable clientèle institutionnelle en France chez Swiss Life Asset Managers et sera dédiée à la commercialisation des fonds auprès de cette clientèle en France. Auparavant, la nouvelle recrue travaillait chez Lyxor AM depuis 2002. D’abord comme gérante multigestion, puis à partir de 2007 au sein de l'équipe commerciale pour couvrir la clientèle française. Depuis 2010 elle avait pris la direction de l'équipe commerciale en charge de la zone Europe francophone.
L'assureur mutualiste Groupama s'est dit prêt jeudi à participer à d'éventuelles discussions autour de l'avenir de CNP Assurances qui vient de signer avec la banque BPCE un nouveau partenariat dans l'assurance emprunteur et la prévoyance.
Selon nos informations, le directeur général délégué de la société de gestion Dôm Finance, Denis Metzger quitte ses fonctions d’ici la fin du mois d’avril. Denis Metzger est diplôme d’études comptables supérieures (INTEC) au Conservatoire National des Arts & Métiers. Après 7 années de pratique au sein d’un Cabinet d’expertise Comptable, Denis a exercé des fonctions de Directeur Financier ou de Secrétaire Général dans différents groupes industriels ou de services durant plus de 25 ans. Durant 10 ans Directeur Financier et Directeur des investissements de la 2ème Mutuelle Française, La Mutuelle Générale, Denis a géré un actif de 2 milliards d’euros.
CNP Assurances a annoncé avoir enregistré une collecte nette de 3,1 milliards d’euros, dont 1,7 milliard d’euros en épargne en unités de compte, sur le segment vie capitalisation en France en 2014. Un chiffre qui efface la décollecte de 300 millions d’euros enregistré par le groupe en France en 2013. Le chiffre d’affaires du Groupe s’élève à 30,8 Md€, en hausse de 11,3 % par rapport à l’année 2013 (+ 12,2 % à périmètre et change constants). Le chiffre d’affaires en France est en hausse de 16,1 % à 24,5 Md€. Cette augmentation est soutenue par le fort développement des ventes de produits en unités de compte dans l’ensemble des réseaux (+ 78,7 %). La part du chiffre d’affaires UC représente ainsi 13,1 % du chiffre d’affaires total épargne/retraite (contre 8,8 % en 2013). L’activité prévoyance/protection (prévoyance, santé et assurance emprunteur) poursuit son développement (+ 1,9 %). La collecte nette sur le segment vie capitalisation en France est positive en 2014 (+ 3,1 Md€ dont + 1,7 Md€ en épargne UC).
Selon L'Argus de l'Assurance, les deux mutuelles, qui officialisent un partenariat commercial dans le sport et la santé, ont amorcé des discussions en vue d’une intégration plus poussée. Un rapprochement qui pourrait prendre la forme d’une société de groupe d’assurance mutuelle (Sgam).
Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en œuvre ; des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps. Pour télécharger le baromètre de février : cliquez ici
Le Fonds de compensation commun au régime général de pension (FDC) gère, au 31 décembre 2013, 13,75 milliards d'euros, avec l’aide de près d’une vingtaine de sociétés de gestion. Marc Fries, premier conseiller de direction du FDC, se souvient que, pour les travaux préparatoires au lancement du Fonds, les équipes se sont largement appuyées sur l’expérience du FRR, même si les circonstances de création du grand frère français étaient bien différentes.
Pour Franca Perin, directeur de l’analyse ISR et de la politique de vote de Generali Investments Europe, l’engagement d’un investisseur se bâtit sur son analyse ESG, son dialogue avec les entreprises et sa politique de vote. Le groupe Generali a décidé, il y a plus d’un an, de mettre en place une politique de vote Groupe, plus contraignante, qui s’applique tant aux actifs de la maison mère qu’à ses fonds ISR.
Kraft Foods a nommé James Kehoe au poste de directeur financier. Après avoir passé plus de 20 ans dans le groupe d’agro-alimentaire américain, James Kehoe venait de rejoindre le canadien Gildan Activewear. Ce retour express de James Kehoe intervient dans le cadre du remaniement de la direction orchestré par le nouveau directeur général de Kraft, John Cahill.
La tutelle a publié hier sa recommandation sur le sujet, après avoir constaté qu'un tiers des 2.300 publicités visées donnaient matière à observations.